n° 08702 | Fiche technique | 26338 caractères | 26338Temps de lecture estimé : 16 mn | 17/02/05 |
Résumé: C'est le tour d'Anne aujourd'hui... | ||||
Critères: f fh ff parking fsoumise exhib vidéox photofilm odeurs fetiche fmast fellation cunnilingu fgode préservati fdanus fsodo attache piquepince ecriv_g | ||||
Auteur : Fabienne (Fabi) |
Épisode précédent | Série : Et pourquoi pas continuer ? Chapitre 05 | Fin provisoire |
Anne était sous la douche et je lui préparais comme hier ses vêtements. Je posai sur le lit défait l’ensemble blanc que j’avais acheté hier. Une chemise de la même couleur et un tailleur blanc en lin. Comme elle avait la même pointure que moi, j’ajoutai les escarpins blancs. Il faisait déjà chaud et je ne voulais pas lui imposer le porte-jarretelles. Anne m’appela pour le petit déjeuner, nues toutes les deux. Je ne pouvais quitter son corps des yeux, l’imaginant dans les dessous que je lui avais choisis. Elle me dit que le service de l’eau passerait dans la journée pour relever les compteurs, j’étais un peu distraite et Anne s’en aperçut.
Et elle fonça au bureau, fouillant dans une armoire. Je m’approchais d’elle, elle était belle, ses cheveux encore humides collaient à sa peau. Je la désirais. Anne se redressa subitement avec un petit carton à la main.
Lorsqu’elle vit l’ensemble, elle me regarda, un peu hésitante, l’ensemble de dessous à la main.
Elle mit le soutien-gorge et la culotte et vint m’embrasser tendrement. Ses tétons pointaient déjà par l’ouverture, sa vulve était, elle aussi, bien mise en valeur. Je la regardais passer le reste de ses vêtements à regret. Je profitai de son passage aux toilettes pour lui glisser dans son sac le chapelet que j’avais utilisé hier. Devant la porte, elle m’embrassa encore une fois, puis ouvrit la porte. Je la retins par le bras, soulevai sa jupe et me baissant, j’embrassai son sexe comme si j’embrassais sa bouche. Son sexe avait encore un goût un peu âcre et salé. Je me relevai, déposai un baiser sur sa bouche et lui dis de filer. Elle m’envoya un baiser depuis l’ascenseur et les portes se refermèrent. À nouveau seule, elle me manquait déjà, son corps, son sourire, ses gestes, son odeur me manquaient. Je pris une douche, repensant sans cesse à nos ébats passés et à venir, je me caressai, doucement bercée par mon imagination. Une fois séchée, je quittai la salle de bains, toujours nue et rangeai la cuisine. Puis, je m’installai au bureau et allumai l’ordinateur. Je voulais régler en premier lieu mes problèmes professionnels avant d’en être incapable parce que trop excitée. Alain m’avait envoyé un mail avec toutes les infos promises la veille. Après avoir jeté un œil rapide sur le style de produits que notre client désirait se procurer, je décrochai le téléphone et appelai mon collègue. Il était manifestement de très bonne humeur.
aintenant que ces questions étaient réglées, je pouvais installer la webcam. C’était un peu pénible, et après un petit quart d’heure, je pouvais enfin voir mon image à l’écran. La qualité n’était pas terrible mais c’était sympa. J’envoyai un mail à Anne pour savoir comment me connecter. En attendant sa réponse, je cherchai le câble permettant de relier la caméra à l’ordinateur, malheureusement, aucun câble ne semblait fonctionner. Déçue, je passai le film de la soirée d’hier sur le petit écran du caméscope. De revoir Anne me lécher les seins, de voir son visage entre mes cuisses, mes fesses. De revoir ses seins jaillir de son soutien-gorge, de l’entendre gémir et me supplier de la défoncer, je n’en pouvais plus et je fonçai à la salle de bains. Je cherchai sa culotte d’hier, les traces étaient éloquentes, elle avait dû tremper sa culotte à force de mouiller dedans. Je la portai à mon nez pour m’enivrer de son odeur, à ma bouche pour retrouver le goût de son sexe. Le téléphone sonna, c’était Anne.
Je filai au bureau et, suivant les instructions d’Anne, je créai un compte puis me connectai. C’était plutôt rapide et sympa. Après quelques manipulations, je pus enfin voir mon amante à son bureau. Après quelques échanges, elle m’indiqua qu’elle avait beaucoup de boulot ce matin et qu’elle serait très heureuse de me retrouver vers midi, au moment où les bureaux seraient moins encombrés. Il me restait deux bonnes heures et je décidai d’aller acheter un câble permettant de relier la caméra à l’ordinateur. Je m’habillai d’une petite robe et de mes sandales à lacets. Je ne portais rien en dessous. Dans l’ascenseur, je soulevai ma robe pour me voir, nue dans le miroir. Dans le parking, encore une fois désert, je gagnai ma voiture pensant à ce qui pourrait m’arriver si soudain, des loubards s’attaquaient à moi. Je me disais, qu’ils ne seraient pas au bout de leur peine. J’avais très envie d’un vrai sexe masculin. Les godes sont parfaits pour se masturber, mais il manque la chaleur, la souplesse, l’odeur d’un vrai sexe, et il manque aussi ce qui en sort. J’avais envie de retrouver le goût du sperme dans ma bouche. À la rigueur, je pouvais foncer sur le premier mâle venu, mais ça me semblait quand même risqué. Chemin faisant, je cherchais un moyen de trouver des partenaires sûrs. Je n’avais pas d’idée précise pour le moment et je garai mon véhicule devant un magasin de hifi.
Un vendeur me trouva le câble qu’il me fallait et pour passer le temps, je flânai un peu dans les magasins proches. J’achetai des préservatifs dans une pharmacie, au cas où et passai dans un bureau de tabac pour chercher quelques journaux. Mon regard fut attiré par la presse érotique placée un peu plus haut sur les étagères. Le buraliste qui devait avoir l’habitude de surveiller ce coin pour chasser des gamins curieux me jeta un coup d’œil un peu étonné. Je trouvai quelques magasines qui me semblaient intéressants et payai le tout avec un grand sourire au buraliste un peu penaud. Merde, il était déjà presque midi !
Je sautai dans ma voiture pour rejoindre l’appartement. Sur la porte, un petit mot du service des eaux qui m’informait du passage infructueux de l’agent dans la matinée et indiquant un second passage dans l’après-midi. J’étais en retard, Anne était déjà connectée et attendait ma réponse. Je lançai ma webcam et je pus enfin voir mon amante. Elle était en train de grignoter un sandwich. Elle ne m’avait pas aperçue et je lui lançais un « coucou », espérant que le micro fonctionnait. Elle réagit aussitôt, la voix ne passait pas très bien mais on pouvait se voir et s’entendre.
Et j’enlevai ma robe, je saisis mes seins et, bien face à la caméra, je les malaxai, les pressant l’un contre l’autre. Je léchai mes doigts puis caressai mes tétons. À l’écran, Anne ouvrit son chemisier et l’écartant me fit voir ses tétons dressés. Je glissai ma main vers mon sexe et commençai à passer mes doigts dans ma fente.
Anne me demanda de me doigter. Je glissai un doigt, puis deux dans ma chatte. Anne se leva et souleva sa jupe devant la webcam, je voyais sa chatte appétissante et luisante en gros plan. Elle se tourna, et je pus constater qu’elle avait trouvé le chapelet anal dans son sac. On voyait la ficelle sortir de son petit trou. Je me branlais de plus belle. Soudain Anne se retourna, réajusta ses vêtements
Elle avait coupé. J’avais un nouvel objectif pour ce soir : lui faire plaisir. En feuilletant les magazines que j’avais achetés, je trouvai un DVD. Je glissai la galette dans le lecteur du salon et m’installai. C’étaient plusieurs extraits de films X amateurs. Les acteurs n’étaient pas aussi beaux que dans les pornos que j’avais déjà vus, c’était un peu des monsieur-et-madame-tout-le-monde. Mais par contre, ils ne manquaient pas d’imagination, les scènes étaient assez longues et les gros plans détaillés. Une femme brune à genoux se faisait asperger de sperme par ses partenaires, je comptais quinze hommes au moins qui se déchargèrent sur son corps. Elle les branlait, les suçait, son visage, sa poitrine, ses cheveux étaient pleins de foutre. Elle adorait ça et en redemandait, j’étais impressionnée par tout ce sperme et j’aurais aimé être à la place de la blonde venue pour la lécher entièrement. Une autre scène montrait une femme avec deux hommes, elle les suçait habilement avant de se faire défoncer la chatte par deux bites en même temps. Son excitation avait apparemment le dessus sur la douleur, et ses cris témoignaient d’un plaisir intense. Elle jouit rapidement sous les coups de boutoir des deux hommes. Je me caressais de plus belle, enfonçant mes doigts dans ma chatte et mon anus. Cette scène me donna une idée. Je cherchai les godes, et commençai à enfoncer un des godes dans mon sexe. J’étais trempée et il rentra facilement, après quelques va-et-vient, j’allais enfoncer le gode le plus fin dans mon sexe lorsque la sonnette retentit. Ne sachant que faire, je patientai un peu. Nouveau coup de sonnette, merde…
Je passai ma robe froissée et courus vers l’interphone, une voix un peu nasillarde m’informait du passage du relevé des compteurs d’eau. J’ouvris la porte, quelques instants plus tard, deux types sortirent de l’ascenseur. Un tout jeune gars qui devait être stagiaire et un gros type grisonnant. Le gros type m’informa qu’ils étaient passés le matin mais sans succès et me demanda poliment si je savais où se trouvait le compteur.
Je laissai passer le jeune gars qui me demanda de lui indiquer la cuisine. Il se pencha sous l’évier pour chercher le compteur mais sans succès. Je l’observais en douce, me disant que j’aimerais bien voir ce qu’il avait dans son pantalon de toile. Je m’approchai de lui, me postant presque au niveau de son visage. Un peu troublé, en se relevant, il se cogna et laissa échapper un juron.
Quel abruti, s’il m’avait laissé l’accompagner, je suis sûre que j’aurais pu tenter de voir le contenu de son pantalon de plus près. Quel dommage ! Je retournai à mon canapé, bien décidée à reprendre mes activités solitaires. Je n’étais pas assise qu’un nouveau coup de sonnette retentit. J’ouvris la porte, passablement énervée, c’était le jeune gars rouge comme une tomate.
Je téléphonai à Anne, elle répondit aussitôt, je lui expliquai mon problème et elle me dit où se trouvait la clé. Elle me dit de ne pas oublier de consulter mes mails avant qu’elle n’arrive. Je retrouvais mon jeune gars et lui adressai un grand sourire. J’avais les clés dans la main et je lui proposai de l’accompagner. Il me précéda dans l’ascenseur et appuya sur le bouton sous-sol. Durant la descente, je fis mine de resserrer le lacet de ma chaussure et me baissais à hauteur de sa ceinture. Je suis sûre qu’il lorgnait dans mon décolleté. La position était suffisamment équivoque pour le faire rougir encore un peu. En sortant de la cabine, je m’arrangeai pour le frôler et respirer son parfum. Ne sachant pas où se trouvaient les caves, je lui demandai de m’indiquer le chemin. Nous traversâmes le parking pour arriver devant une porte battante. Son collègue nous attendait devant une porte visiblement fermée à clé et me présenta ses excuses pour le dérangement. Je le rassurai et lui tendit le trousseau de clés. Il ne tarda pas à trouver la bonne clé et ouvrit la porte sur un couloir obscur. Il alluma la lumière et ne tarda pas à trouver les compteurs. Il demanda au jeune gars de tout noter et de me rapporter les clés ensuite. Puis il se sauva, prétextant un rendez-vous urgent. Je me retrouvais seule avec le stagiaire. Je lui fis un clin d’œil et je m’éclipsai. Remontant rapidement à l’appartement, je pris la boîte de préservatifs que j’avais achetée le matin même et je redescendis.
Il était toujours en train de relever les compteurs. Je fermai la porte derrière moi et avançai vers lui. À mi-chemin, il leva la tête dans ma direction. J’ôtai ma robe, et, nue, je le rejoignis et lui demandai son prénom. Il commença à bredouiller « Sté-sté.. Stéphane… », je posai un doigt sur sa bouche, puis ma main prit la sienne, je lui dis que je m’appelais Fabienne. Mon cœur battait à cent à l’heure, je posai sa main sur mon sein. Ce fut le déclic, sans un mot, il commença à me masser les seins et à les embrasser. Il se débrouillait plutôt pas mal pour un jeune. Sa langue était agile et ses doigts entreprenants. Il avait perdu sa timidité et dirigeait ses caresses vers ma chatte brûlante. J’écartai les jambes et il s’agenouilla entre mes cuisses pour lécher doucement ma chatte avant d’y glisser ses doigts. Je me redressai et lui dis de se relever, j’ouvris sa braguette et caressai son sexe tendu à travers son caleçon. Il bandait dur et semblait bien membré. Je posai ma bouche sur le tissu, sentant la chaleur de sa queue. Je le léchai à travers le tissu et défis sa ceinture. Son pantalon sur les chevilles je continuais à le faire languir en le titillant à travers son caleçon. Je le regardais, sans cesser de le caresser du bout des doigts.
Et descendant son caleçon, je découvris un sexe raide, au gland décalotté. Je lui mis un préservatif. Stéphane avait vraiment une belle bite et je me mis à le lécher de bas en haut, léchant ses couilles qui semblaient bien pleines. Il était déjà à la limite de l’explosion lorsque je le pris dans ma bouche. Je fis une petit pause pendant laquelle il me doigta avec adresse préparant le terrain. Ensuite, il me prit en levrette directement, enfonçant sa bite au fond de ma chatte d’un seul coup. Je criai mon plaisir et il plaqua sa main sur ma bouche. Son sexe me faisait un bien fou, j’adorais le sentir en moi. Le sentant grossir, je lui demandai de ralentir pour que je puisse jouir. Il était loin d’être inexpérimenté, et il ralentit aussitôt la cadence. Passant ma main entre mes jambes, je caressai doucement ses couilles. Stéphane, lui, caressait mes fesses, je me cambrai davantage et il comprit que j’aimais ses caresses. Il passa son doigt le long de mon sillon et massa doucement mon petit trou. Il enduisit ensuite son doigt de salive et l’enfonça dans mon anus offert. Sentir sa queue et son doigt, tellement vivants dans mes orifices, je le suppliai de continuer et de me défoncer. Stéphane reprit ses coups de boutoir de plus en plus vigoureux, je me branlais le clito et je fus secouée par un orgasme puissant. Stéphane à ma grande surprise n’avait pas joui. Je me retirai et agenouillée devant lui, je le repris dans ma bouche, goûtant mon propre nectar. Puis je lui enlevais son préservatif, et le branlai me rapprochant de lui. Il éjacula longuement sur mes seins. J’essuyai son sexe avec mes doigts, étalant sa semence épaisse sur mon ventre. J’aurais aimé aller plus loin, mais je m’arrêtai là. Stéphane me sourit et me demanda si nous pouvions nous revoir. Je passai ma robe et lui demandai de me suivre. Il se rhabilla et je l’emmenai vers l’appartement. Dans l’ascenseur, je posais ma main sur son pantalon, sa bite était à nouveau prête à servir. Une fois à l’appartement, je notai son numéro et de but en blanc, il me dit qu’il voulait bien faire un test sanguin pour aller plus loin avec moi.
Je notais fébrilement l’adresse et puis je lui dis de me suivre au salon. Je lui demandai de se déshabiller et j’ôtai ma robe, puis, en face de lui, je commençai à me caresser. Je m’approchai de son sexe tendu et lui mis un nouveau préservatif. Je le pris dans ma bouche puis, je m’assis sur le rebord du canapé et lui dis de m’enculer. Il se plaça derrière moi et me doigta l’anus pour me préparer. Il savait y faire et j’étais impatiente de le sentir dans mon cul. Il me pénétra doucement, avec attention, et une fois son gros gland passé, je dus lui demander de me défoncer pour qu’il me tringle plus vigoureusement. C’était délicieux, je sentais la chaleur de sa queue au fond de moi. Malheureusement, il ne résista pas longtemps et je sentis malgré le préservatif, une éjaculation puissante. Je me retirai prenant garde de ne pas perdre la capote pleine de sperme. Enfin, je lui ôtai le préservatif et fis un nœud dessus. Stéphane se leva et m’embrassa, sa langue s’enroula autour de la mienne. Je lui dis qu’il était un bon amant et que j’espérais que nous nous reverrions bientôt. Il se rhabilla et partit en me souriant et m’assurant qu’il était à mon entière disposition.
Une fois seule, je me connectais pour voir le mail qu’Anne m’avait promis. Elle me donnait des instructions pour la soirée. Elle voulait que je me fasse pardonner mon retard et que pour cela, je devais être très sage. Elle me promettait en outre d’arriver pour 18h. Il me restait une bonne heure pour devancer ses souhaits et je montai au grenier pour me préparer. Je mis le body de cuir, passant les lanières autour de mes seins, l’ajustant pour bien dégager mon sexe. Enfin, je refermai le collier sur mon cou. Je redescendis pour chercher la caméra et mes chaussures noires. Je ne m’étais pas lavée, et dans le miroir je pouvais voir le sperme qui maculait ma poitrine. Je mis un mot à Anne lui indiquant où je me trouvais. Je récupérais également le préservatif de Stéphane, plein de sa semence poisseuse et montai le tout.
Une fois en haut, je refermai la trappe et allumai le spot. Il faisait chaud et je commençais à transpirer. Il me restait quinze minutes, je mis en place la caméra face à moi et cadrai la scène avant de lancer l’enregistrement. Bien face à l’objectif, je chaussai mes chaussures à talon noires et plaçai des bracelets à mes chevilles et mes poignets. Enfin, je plaçai sur mes tétons tendus les pinces et les reliai à mes grandes lèvres. Je disposai tous les instruments achetés la veille sur le sol à disposition de mon amante. Puis, je pris le préservatif, défis le nœud et renversait le sperme sur mon corps. L’odeur forte m’enivrait complètement. Je pris une des fines mais robustes chaînes, la passais au-dessus d’une poutre et à l’aide d’un mousqueton, j’y attachai mes poignets. Il ne me restait plus qu’à attendre mon amante.
Après un moment, j’entendis la porte s’ouvrir. Anne m’appelait, je ne répondis pas. La trappe s’ouvrit, Anne apparut et me vit. Elle ne s’attendait pas du tout à ce spectacle et demeura bouche bée. Elle monta, se dirigea vers moi sans un mot. Je me tenais debout devant elle et la regardais dans les yeux, elle m’embrassa, elle posa la main sur ma poitrine, la porta à son nez.
Et je lui racontai ma journée. Elle demeurait impassible attendant la fin de mon récit. Puis elle regarda longuement les ustensiles mis à sa disposition puis me fit un grand sourire :
Et elle m’embrassa, mordillant ma langue avant de me mettre à genoux à ses pieds.