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Temps de lecture estimé : 12 mn
16/02/05
Résumé:  J'arrive enfin à la maison où je rencontre Jean.
Critères:  f ff voiture fdomine exhib noculotte photofilm odeurs fetiche chaussures cunnilingu anulingus fgode fdanus fsodo jeu yeuxbandés ecriv_g
Auteur : Fabienne  (Fabi)

Série : Et pourquoi pas continuer ?

Chapitre 04
Première soirée



Au retour, même combat : la circulation, les embouteillages, la chaleur. Nous étions bloqués depuis 5 bonnes minutes, les automobilistes commençaient à sortir de leurs véhicules pour essayer d’en comprendre la raison. Malgré les fenêtres ouvertes, il n’y avait pas d’air, les gens étaient de plus en plus énervés. Moi, j’avais une bien meilleure idée, j’actionnais le vibro qui occupait toujours ma chatte. Je poussais un peu le volume de la radio pour me donner une contenance. S’ils savaient, tous ces agités, que dans la voiture d’à côté, il y a une femme qui se branle comme une folle, ils penseraient à autre chose qu’à leurs 10 minutes de retard. Je remontais complètement ma robe pour sentir le contact du velours du siège sur mes fesses, et aussi, parce que je voyais le petit fil disparaître dans ma chatte et que ça m’excitait. J’essayais de me maîtriser un peu, et presque à regret, je réussis à contenir mon orgasme. J’arrêtais le vibro, le bouchon ne se dissipait pas, je me mis alors à penser à mon programme de la soirée. Anne allait être servie si je lui proposais la moitié de ce que je prévoyais. Je décidais également de lui faire porter d’autres dessous à son travail et ce, dès demain. Me remémorant notre passage entre les mains de Françoise, je me disais que la boutique que je venais de quitter ne tarderait pas à faire à nouveau des affaires avec moi et je projetai d’y emmener Anne.


Les voitures redémarraient doucement et je remis le contact. La maison était encore loin et je me réjouissais de quitter mes vêtements moites pour me glisser sous la douche. Je mis encore presque une heure avant d’arriver au parking souterrain. Comme à notre arrivée hier, il était totalement désert. Un abruti c’était garé sur l’emplacement d’Anne, j’en profitais pour me garer près de l’ascenseur et je déchargeais la voiture. Je montais au dernier, bloquais l’ascenseur et commençais à sortit les paquets. Je glissais la clé dans la porte, et, à ma grande surprise, elle était ouverte. J’étais pourtant sûre de l’avoir fermée à clé, je poussais la porte et tombais sur Jean.



Ouf, j’avais eu chaud, je n’avais pas trop envie que Jean voie tous mes achats. Je pris soin de cacher subrepticement les sacs dans la penderie dès mon entrée dans l’appartement. Jean rangeait les victuailles dans le frigo. C’est vrai qu’il était craquant, il n’était pas spécialement beau, mais il était bien bâti quand même et il ne manquait pas d’humour. Je comprenais Anne d’avoir tenté sa chance.



Son ton était subitement sérieux et démontrait qu’il s’inquiétait pour elle. C’est bizarre, je voyais un autre Jean, plus soucieux, plus sérieux que je n’avais jamais rencontré. Ce gars était vraiment un peu mystérieux. Assis en face de moi, d’autres mecs auraient passé leur temps à lorgner dans mon décolleté ou vers mes jambes, lui, non, il me regardait dans les yeux. C’en était presque troublant.



Jean se leva et s’étira, j’aurai bien aimé qu’il reste encore un peu. J’aimais sa compagnie. Je l’entendais farfouiller dans sa veste. Je me levais et allais vers lui, il avait le téléphone collé à l’oreille. Il raccrocha rapidement.



Je passais à la salle de bains, le long gode était bien en évidence sur la machine à laver le linge où je l’avais laissé ce matin. Si Jean était passé dans la salle de bains, il ne pouvait pas ne pas l’avoir vu. Je quittais ma robe, ôtais mes dessous et mon petit vibro qui ne m’avait pas quittée. Je passais rapidement sous la douche et nouais une serviette autour de ma poitrine. Je sortis de la salle de bains, Jean était encore au téléphone. J’enfilai une robe rapidement et retournai dans le salon pour déballer la caméra en attendant Jean. Il arriva au bout de 5 minutes et faisait la moue.



Jean était distrait, ça se voyait, il me montra néanmoins le maniement de la caméra, me conseillant sur les façons de filmer. Il me montra aussi comment la brancher sur l’ordinateur d’Anne. Moi qui espérais le draguer un peu, il restait complètement insensible à ma petite robe légèrement transparente. Au moment de partir, il déposa un baiser sur ma joue me promettant de nous revoir avec Anne et Gaëlle.


Et moi, je me retrouvais à attendre le retour de mon amante. Je fis encore une fois le tour de l’appartement pour me donner des idées pour la soirée. J’aurais bien aimé attacher Anne aux poutres du plafond mais j’aurais du les percer. Dommage, il fallait que je trouve autre chose. Une trappe dans le plafond du couloir permettait d’accéder à un grenier, je l’ouvris et montait un petit escalier pliant. Il faisait une chaleur étouffante sous le toit. Il y avait peu de lumière, et je mis un peu de temps à m’habituer à la pénombre. La dalle de ciment chauffait mes pieds nus. En voyant la charpente du toit j’étais comblée. De grosses poutres verticales soutenaient d’autres poutres formant des Y ou des T.


C’était le lieux idéal pour nos jeux. Je retournai en bas, et remontais une partie du matériel sous le toit. Des prises de courant me permettaient de brancher une lampe que j’avais rapatriée d’une chambre inoccupée. Je quittai ma robe et m’amusais à prendre des positions contre les poutres. Les bras en croix, je me frottai contre le bois chaud, imaginant mon amante liée, écartelée et soumise à mon plaisir. Après un bon moment, je décidais de me préparer un peu. Retrouvant l’appartement, je choisis de mettre la robe en vinyle. Je chaussais mes mules à talon en bois laqué qui allaient très bien avec. Les pinces à seins ne me tentaient pas, aussi je cherchais le rouleau de scotch noir, les seins d’Anne ainsi parés m’avaient beaucoup plus et je fis de même sur mes tétons, espérant que le scotch tiendrait. J’avais envie de sentir quelque chose en moi, je pris le chapelet anal et installée sur le canapé, les jambes écartées, je les glissais dans mon petit trou après l’avoir bien enduit de salive.


Anne arriva vers 20 heures, j’étais dans la cuisine en train de boire un verre lorsqu’elle me vit. Je retrouvais le contraste de ce matin, elle, en tailleur crème et chignon, moi en robe de vinyle, les seins et les cheveux à l’air. Elle s’approcha de moi et m’embrassa sans un mot. Elle suça ma langue, descendit sur mes seins, me caressant les fesses. Puis, elle fit mine de retirer son tailleur. Je l’arrêtai.



J’avais préparé un petit repas agrémenté d’une bonne bouteille de bourgogne. Je racontais ma rencontre avec Jean. Anne en était ravie et me confirma son souhait de nous retrouver tous ensemble. Je sentais toujours les petites billes de métal dans mon cul et je commençais moi aussi à être impatiente. Elle me parla de sa journée et je lui demandais si elle avait pensé à moi.



Je sortis de la cuisine, et plaçait la caméra dans un angle de la salle de bains. Je vérifiais le cadrage et lançais l’enregistrement après avoir appelé Anne. Elle arriva et sans lui donner le temps de dire ouf, je la pris dans mes bras et l’embrassais langoureusement.



J’appuyais sa tête contre mon sexe. Anne venait de remarquer la ficelle sortant de mon anus et tira légèrement dessus. Je me retournais et lui présentais mes fesses, elle passa sa langue dans mon sillon trempé de sueur et rejoignit mon clito pour le suçoter. J’écartais mes fesses et Anne embrassa mon sexe, roulant un patin mémorable à ma chatte. Puis, elle posa ses lèvres sur mon petit trou et à l’aide de ses dents fit sortir une à une les petites boules métalliques. À chaque boule, je sentais mon corps entier vibrer, Anne me doigtait la chatte en même temps, je n’en pouvais plus, un orgasme me secoua et je dus m’asseoir. Anne toujours à genoux posa sa tête sur mes cuisses. Nous quittâmes la salle de bains pour le salon. Une fois dans le salon, je bandais les yeux de mon amante et l’installais au milieu de la pièce. Je cherchais la caméra, pris un gode de taille moyenne, la ceinture et mis le tout en place. Je m’approchais d’Anne et l’embrassais. J’aimais la voir en tailleur, en train de se frotter à mon corps. Je lui ôtais sa robe et sa culotte puis je défit sa veste de tailleur, son chemisier mais sans lui enlever et fit jaillir ses seins de son soutien-gorge. Je l’embrassais, palpant ses seins, triturant ses tétons, fouillant sa chatte face à la caméra. Anne se tortillait sous mes caresses elle avait senti le gode ceinture que je portais et tentait vainement de le glisser entre ses jambes. Je la fis mettre à genoux. Une fois en place, Anne n’attendit même pas que je lui demande pour le mettre en bouche, elle me suçait avec application. Je la guidais vers la table et l’allongeais dessus, lui écartant les jambes.


J’embrassais ses pieds et jouais avec le talon de ses chaussures sur mes seins. Puis j’étalais sa mouille avec ma langue, prenant bien soin de lubrifier ses deux trous. Enfin, je la pénétrais d’un seul mouvement, doux mais continu. Anne n’avait plus de retenue, elle me demandait de la défoncer, de l’enculer, elle était ma chienne. Je redoublai mes coups et la sentant venir j’arrêtai tout, je sortis le gode de son sexe béant. Anne me supplia de la remplir, je décidais de la contenter. J’ôtais sa chaussure et avec le talon, j’agaçais son clitoris gonflé. Anne ahanait, se dandinait, avançant son bassin vers moi. Je présentais la chaussure à l’orée de sa fente et lui ordonnais de s’empaler. Anne ne se fit pas prier et pendant que je maintenais fermement le soulier, elle s’empala dessus. Son sexe était d’une élasticité incroyable, j’étais sûre qu’elle se godait souvent avec des objets bien plus gros que ça pour avoir autant de facilité. Anne se pinçait les tétons, les tordant entre ses doigts, quant à moi, je me préparai à la sodomiser. Je poussais doucement le gode contre son anus déjà dilaté par le plaisir et entamais des mouvements de va-et-vient de plus en plus forts. Anne cria son plaisir sans retenue et jouit à plusieurs reprises. Je me retirais et accroupie au-dessus de son visage je lui présentai le gode à nettoyer.


Cette vision était incroyable, cette femme, en tailleur, les seins à l’air, les jambes écartées, le talon d’une chaussure dépassant de son sexe béant, en train de sucer un gode proposé par une femme en robe de vinyle. Je ne m’en remettais pas d’aimer cette image et m’abandonnais aux caresses d’Anne qui avait trouvé l’ouverture permettant d’accéder à ma chatte. J’ôtais le gode pour qu’elle puisse me lécher et me doigter, ce qu’elle fit avec beaucoup d’application. Elle me fit jouir dans sa bouche, et je m’écroulais dans ses bras.


Après une bonne douche où je la débarrassais enfin de ses vêtements nous nous endormîmes, épuisées, blotties l’une contre l’autre. Le lendemain matin, dès le réveil, je sautais du lit pour lui préparer ses nouveaux vêtements de travail et quelques autres surprises.