n° 08704 | Fiche technique | 26638 caractères | 26638Temps de lecture estimé : 19 mn | 17/02/05 |
Résumé: Marianne a exploité les plaisirs saphiques avec Andrea. Cette Américaine me donne bien envie de profiter de son corps. Comment puis-je y arriver ? | ||||
Critères: fh jeunes frousses fsoumise hdomine voir massage fellation pénétratio | ||||
Auteur : Ed Benelli (Présentation... Bah, lisez plutôt !) Envoi mini-message |
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Résumé du dernier épisode
Marianne a été initiée aux plaisirs lesbiens par Andrea, la nouvelle arrivante. L’Américaine n’a pas eu tellement de mal à faire tomber dans ses bras la douce et pulpeuse blonde. Puis-je maintenant moi aussi savoir de quoi est capable cette rousse ?
Cette journée-là. j’avais congé. C’était un vendredi je crois… Marianne et Sandra travaillaient, et Andrea, toujours à la recherche d’un emploi, passait le plus clair de son temps à l’appartement. (Une technique tout à fait efficace pour trouver un emploi, cela va sans dire…) Nous dînions ensemble et nous parlions de nos colocataires. C’est à ce moment que je sus qu’Andrea avait couché avec Marianne. Piquant ma curiosité, je lui demandai quelques détails et, sans aucune discrétion, l’Américaine m’avoua avoir découvert Sandra et son regard troublé. Je ne fus guère surpris et quand Andrea me demanda si moi-même j’avais couché avec l’une ou l’autre (elle devait bien s’en douter mais jouait un peu avec ma gêne), je répondis franchement qu’oui.
Elle m’accorda beaucoup d’attention, me pressant de question sur Sandra. Après près d’une heure, elle m’avait tiré les vers du nez, apparemment très heureuse. Elle savait que Sandra aimait être soumise et sodomisée. Je me demandais si tout ça était une bonne idée, mais quand Andrea m’avoua être très attirée par Sandra et qu’elle voulait la faire jouir, je me calmai et repris confiance en elle.
C’était maintenant à moi de poser des questions sur Marianne et sur Andrea surtout. Comment aimait-elle le sexe ? Elle en parla très ouvertement, autant de son expérience irréelle avec Marianne, qui était décidément d’un naturel fou, que de son expérience en général. Elle pratiquait beaucoup de choses, mais particulièrement la fellation profonde et la pénétration un brin sauvage et sans trop de préliminaires. Pour elle, le sexe pour le sexe, sans amour, restait quelque chose de bestial et un besoin de se « vider de certaines frustrations » - le terme vider me semblait plutôt approprié, surtout pour les hommes.
Andrea n’était ni gênée par le goût du sperme, ni celui de la cyprine. À cette annonce, mon sexe prit quelque peu vie et je me tordis un peu sur ma chaise, ce qui ne manqua pas à son attention parce qu’elle eut un sourire coquin et amusé.
Elle se rapprocha alors de moi, de son déhanchement enchanteur. Je pensais bien que, pour elle, la seule démarche possible soit féline et sensuelle au maximum, elle ne bougeait que de cette manière. Bref, elle se coula près de moi, commençant à me poser des questions plus personnelles et tout, comment j’aimais les femmes, blablabla.
Je repris une certaine contenance, après tout, j’étais dans une phase où je me sentais plutôt sûr de moi. Je déblatérai des choses similaires à ce que j’avais dit à Sandra des semaines plus tôt. À voir ses seins qui déformaient le mince t-shirt qu’elle avait, sa peau chaude et ses lèvres, je commençais à développer une sérieuse érection, mais je ne me tortillais pas pour le prouver.
Ayant épuisé le sujet (parce que ça s’épuise ?), nous nous sommes séparés : elle devait – encore – pratiquer sa danse. De mon côté, je m’installai au salon pour écouter un film.
J’entendis de loin en loin le son étouffé d’une musique latino.
« Elle a dû se mettre dans l’ambiance », pensai-je.
Puis, une porte claqua et je frôlai avoir une attaque. Je ne savais si c’était le courant d’air ou si un enragé était rentré chez moi, mais je restai tout de même avachi, trop paresseux pour aller voir.
Après plusieurs minutes, j’entendis des pas résonner dans le couloir fortement et ces pas se rapprochaient. Je vis une Marianne étonnamment sexy déboucher du corridor. Elle me gratifia d’un bonjour tout à fait charmant, et enleva ses souliers qu’elle laissa près de la porte. Elle entra dans la bibliothèque pour refermer ensuite les deux portes coulissantes. Je perdis son ombre de vue alors qu’elle semblait se diriger vers l’étagère.
L’image qu’elle m’avait donnée me restait prise dans le crâne : une très belle et très courte robe d’une pièce, aux couleurs dorées qui lui seyait à merveille, ses cheveux laissés libres dans son dos. Je me demandais bien comment avaient réagi ses patrons en voyant une beauté pareille. Probablement avait-elle volé toutes les ventes aujourd’hui, même celles des femmes.
Cette image terrible en tête, j’avais maintenant une érection tout à fait douloureuse et je me replaçai avec vigueur, sinon je cassais. Reprenant ma respiration, je me demandai quelle attitude adoptée. Je savais depuis peu que Marianne aimait bien se faire dominer… comment utiliser à son plein potentiel cette révélation ?
J’étais tellement excité que je décidai que l’improvisation serait la voix de la sagesse et la prudence, sa tendre amie. La bibliothèque étant une pièce commune, j’entrai sans frapper, puis refermai les portes derrière moi.
Marianne me tournait le dos, lisant l’arrière de l’un de mes livres. Tout son corps était moulé presque divinement dans ce délicieux vêtement. Je n’avais toutefois qu’une seule envie, le lui enlever au plus vite. Ma bosse prit alors toute son ampleur quand elle tourna son visage vers moi en pliant un genou et en ressortant les fesses. À nouveau, elle me sourit simplement, ourlant ses si belles lèvres un peu maquillées.
Elle replongea ses yeux verts à sa lecture. Je restai un instant à admirer la plus belle partie du corps de la femme : l’arrière. Fesses, cuisses, mollets, dos, chevelure qui y tombe, cambrure des reins.
Je m’approchai.
J’avais en tête les aveux excitants de Marianne à propos de domination. J’avais une fois ou deux étudié la chose avec une ancienne partenaire, mais je n’aimais pas tellement le rapport de domination. La soumission muette de Sandra était très différente. Là, il était question de paroles, je devais dire des choses. Du moins, la domination m’apparaissait tout de même un peu sous forme de paroles. Je n’ai jamais été très très dominateur, considérant la chose comme brimant la liberté, ma valeur absolue.
Pourtant, pour deux choses à ce moment, je décidai de tenter d’être dominateur :
D’abord, par défi. J’étais tellement habitué à des ébats un tant soit peu normaux que c’était un test pour moi de faire jouir ainsi Marianne. Deuxièmement, pour son bon plaisir. Si elle s’éclatait vraiment comme ça, j’allais faire ce que je pouvais pour la faire jouir un max, pour lui faire perdre pied.
Je n’avais aucune idée de ce que je pouvais faire. Je pensais aux mots crus et secs… mais, moi-même, ça ne m’excitait pas tellement, je préfère les bruits des respirations et les gémissements à des termes grossiers que j’estime sans intérêt. C’était du pareil au même pour les outils… en général, je voyais la domination avec laisse, menottes et fouet. Maintenant ma version a été subtilisée avec le temps, mais reste que les rapports de domination ne m’intéressent pas tellement.
Une expérience en valait certainement une autre ! Mais la vigilance était de mise. Je devais faire attention à ses réactions et je devais peser mes gestes.
Dans tout bon film porno américain, le personnage mâle domine la femme (complètement consentante chaque fois) dans 90% des cas. J’avais donc constaté un grand nombre d’actions, de gestes et de paroles de domination.
Vive l’instinct !
Alors qu’elle regardait toujours l’arrière de son livre, j’enlevai mon t-shirt, question d’être plus à l’aise.
Je me plaquai derrière elle et posai mes mains fortes sur ses hanches. L’une descendit sur sa fesse, que je malaxai puissamment, l’autre monta sur sa nuque et son cou.
Jusqu’à maintenant, elle se laissait faire et s’était même cambrée un peu sous le poids de mes doigts. Je massais ses épaules et mes doigts passaient de plus en plus sur ses clavicules, caressant son cou. J’écartai la bretelle de sa robe et mordit son épaule. Elle lâcha une longue expiration bruyante. J’apercevais ses lèvres s’ourler en un sourire de plaisir. Ma main passa sous son bras et saisit un sein lourd, dont la pointe semblait frémir légèrement.
Je le pétrissais, le cajolais sur toute la surface, oubliant presque l’espace d’un instant le téton dur. La main qui massait sa fesse retroussa la robe assez sauvagement pour que le corps entier de Marianne sursaute. Elle poussait son bassin vers moi, voulait s’enfoncer ma main sous la peau.
Mais je n’avais que faire de cette robe qui n’avait fait que m’aguicher. Maintenant, je voulais la voir nue, pour la posséder entière. Je lâchai son sein et d’un autre mouvement brusque, je lui relevai la robe entière sur les hanches, dévoilant une jolie culotte blanche en dentelle.
Mon premier ordre. Il fut un coup de fouet pour tous les deux. Elle tressaillit et j’eus peur de l’avoir refroidie. Et moi, je me sentais bizarre. Mi-excité, mi-troublé. Mais elle réagit vivement en prenant sa culotte de ses mains fines et en la faisant descendre vivement pour ensuite la quitter et écarter doucement les jambes, dévoilant sa fente trempée, ses fesses rouges de mes caresses.
Je restai ébahi un instant. Ce que j’aime les dos de femmes ! Dans toute circonstance. Son visage rouge, appelant mes mains sur son corps, sa nuque et ses cheveux en bataille, la robe retroussée, les fesses charnues. J’y vouais et j’y voue encore un culte sans borne.
Je ne devais pas perdre mon rôle de dominateur, bien que toute volonté s’effritât rapidement.
Je caressai ses jambes, ses cuisses longuement, avec toute la force douce de mes mains. Elle râlait puissamment, je la croyais à bout de souffle, comme si elle venait de rattraper son bus.
Mais toujours cette maudite robe. Il me vint en tête de la déchirer proprement (C’était réellement un fantasme chez moi, cette sauvagerie sexuelle, cette soif dévorante) et je lui murmurai à l’oreille :
La réponse qui suivit fit dresser mon sexe si fort que je dus me contenir pour ne pas tomber à genoux en geignant.
Marianne souffla, entre deux inspirations, ces mots qui me restèrent longtemps en mémoire.
Nous avions presque changé de rôle, mais avec toute ma force brute, je saisis sans attendre le bas de la robe et, galvanisé par l’excitation, je tirai de toutes mes forces. Le craquement fut sonore et long, le temps pour moi d’un seul coup d’arracher cette damnée robe moulante. Elle frémissait et me regardait toujours, les yeux incandescents. Je rompis une bretelle, fit tomber la robe par terre et contemplai à nouveau ce dos, barré de ce maudit soutien-gorge. Je le dégrafai agilement et elle s’en défit d’un rapide mouvement.
Je me plaquai contre elle, pressant ma queue raide contre son cul. Je massai avec force ses flancs, montant vers sa poitrine que je soupesai, que je frottai sans cesse. Elle ne savait plus où se mettre, tenant ses bras au-dessus de sa tête. Une véritable offrande, un véritable appel au viol.
Je retournai brièvement dans mon personnage et je la fis pivoter. Dès que ce cou gracile m’apparut, j’y plongeai la tête, alors qu’elle fouillait mes cheveux d’une main tremblante.
J’étais devenu un loup tendre : mordant doucement sa peau, la léchant tendrement, caressant, hanches, fesses et cuisses, grattant de mes doigts. Je la soulevai sans difficulté, l’asseyant sur le rebord d’une tablette pour descendre lentement et langoureusement la bouche sur sa poitrine. Mon sexe, à travers mon jean, se frottait au sien et je le sentais mouillé, tandis que mes mains enlaçaient ses cuisses. Je trouvais tout mon plaisir à l’écouter murmurer de désir, soupirer et gémir, alors que je mangeais goulûment ses nichons. Je donnais parfois de petits coups de dents, je poussais avec ma tête, si bien que je la sentis se couvrir de chair de poule, ses mains me griffant le cuir chevelu.
Marianne lâcha un long cri, fort et un peu plaintif et je sentis l’humidité de son sexe me mouiller le jean ; je la sentais à travers mon boxer, je la sentais contre ma hampe dure. Je frottai ma bosse sur sa chatte qui s’ouvrait déjà pour accentuer son plaisir et elle jouit ainsi, complètement ivre de plaisir.
Toute pantelante qu’elle était, je la reposai sur le sol, la soutint un instant, pour qu’elle reprenne conscience et me transperce de ses yeux verts admiratifs. Je la laissai là vacillante et je m’écartai pour m’asseoir sur la table.
Néanmoins, ses yeux déjà luisants se firent lumineux et, malgré tous ses tremblements, elle commença à parcourir son corps alangui de ses mains. Elle prenait plaisir à obéir, et à voir l’effet qu’elle me faisait, alors que je replaçais la bosse de mon jeans.
Elle continua de langoureusement se frotter les seins et le ventre et voulut s’approcher.
Elle hocha faiblement de la tête et, posant son pied sur une chaise, fit s’ouvrir son sexe lustré. Marianne prit son sexe dans le creux de sa paume et le frotta, puis, n’y tenant probablement plus, y enfourna deux doigts. Elle se branlait vivement, un sein dans sa main libre, quelquefois son pouce s’activant sur le clitoris tout rose et émergeant.
Elle garda cette pause longtemps et plus elle approchait de la jouissance, plus elle se cambrait et rejetait la tête en arrière. Enfin, après de longues minutes, je l’entendis à nouveau crier sa jouissance et tressaillir de tous ses membres, la poitrine secouée par ses respirations saccadées et profondes. Je crus qu’elle sanglotait. Les yeux qu’elle me fit me rassurèrent.
Marianne attendait la prochaine étape et moi je bandais décidément beaucoup trop pour supporter une minute de plus sans aucune attention. Je quittai mon jean et mon boxer pour laisser ma queue bien raide se tendre entre mes jambes. Toujours assis sur la table, je lui ordonnai de venir me soulager.
Elle s’exécuta en approchant suavement. Debout entre mes jambes, elle prit mon sexe dans sa main, mon sexe tendu à pleine capacité et, sans me quitter des yeux, commença à me branler très lentement.
Au fond de moi, je me trouvais un peu trop sévère et sec, mais quand, sans broncher, elle porta sa bouche à mon sexe, je fus encore plus excité. Je passai ma main dans ses cheveux et appuyai un peu, sans trop forcer.
Marianne, dans toute sa grande expertise, commença par me lécher soigneusement, portant à ses lèvres les premières gouttes qui perlaient du gland. Elle continua de me branler, massant aussi mes couilles prêtes. Elle porta ses lèvres douces et charnues à mon gland rouge et l’embrassa pour ensuite ouvrir un peu plus ses lèvres et le prendre dans sa bouche. Je ne réprimai pas un gémissement d’aise et me laissai aller.
Elle pompait, sortant mon sexe de sa bouche parfois, pour le lécher et faire jouer sa langue sur le gland, sans jamais cesser de me branler de sa main. Je sentais que le plaisir montait rapidement en moi mais je ne voulais pas jouir. J’en voulais encore plus et je craignais presque que l’orgasme soit si puissant que j’en perde connaissance.
Elle se releva mais ne lâcha pas mon sexe de sa main.
Marianne, lâcha mon sexe et se retourna pour à nouveau me laisser béat en contemplant ce que j’estime la perfection.
Elle s’installa sur la chaise lentement, me présentant son cul bombé.
Je me demandais bien comment j’arrivais à « dominer » une femme aussi magnifique, mais j’étais beaucoup trop excité pour me poser plus de question.
J’avais ma queue en main et je m’avançais pour la poser entre les lèvres qui n’attendaient apparemment que ça. Une hauteur tout à fait parfaite. Je saisis les hanches de Marianne et commençai à entrer en elle. Elle râlait et ondulait doucement, tandis que je m’enfonçais en elle d’un lent mouvement. Tranquillement, presque à mesure où ma hampe la fendait, je repris mon rôle de dominateur en tête.
J’entamai le va-et-vient avec lenteur et force, cognant chaque fois ses fesses de mon ventre.
Elle gémissait et elle se mit à murmurer au fur et à mesure que je la pilonnais. Je ne parlais plus, je tenais ses hanches et je profitais de sa chatte humide et serrée. Je ne pourrais guère me retenir longtemps. J’accélérai progressivement, et chaque fois que son cul claquait contre mon ventre, elle lâchait un « han » plaintif.
Je recommençai à palper sa poitrine de mes mains, ne délaissant plus les tétons durs et, dès que je les eus entre mes doigts, Marianne hoqueta et rejeta sa tête en arrière.
Je la bourrais sauvagement, depuis plusieurs minutes. Moi silencieux, alors qu’elle continuait d’ahaner et de gémir. Je la sentis se raidir soudainement et j’eus l’impression que ma queue était prise dans une large tenaille qui me fit un grand bien. J’avais atteint moi aussi la jouissance et je sentais ma semence qui m’envahissait le sexe pour se déverser, à chaque long empalement, dans son sexe qui ne réclamait que ça.
Chaque jet provoquait en elle un cri sec, chaque fois je m’enfonçais jusqu’à la garde, chaque fois je la sentais atteindre une jouissance plus forte encore.
J’eus bien cinq ou six jets épais et chauds qu’elle recueillit dans son ventre, alors que ses râles diminuaient pour que le silence emplisse la pièce. J’étais fier de moi. J’avais su exploiter dans mes propres limites la domination et Marianne en était tout à fait satisfaite.
Elle se retourna d’ailleurs vers moi, le visage rouge, les yeux ardents, alors que je sortais ma queue vidée de sa chatte.
Je remettais mon jean et elle me regardait, debout devant moi, le sexe dégoulinant encore de mon sperme. Le mien luisait encore de sa mouille et de quelques résidus de ma propre jouissance. J’enfilai tout de même mon boxer. J’avais une irrépressible envie de garder sur moi le fruit de ma fierté.
Elle-même commença à ramasser ses vêtements qui jonchaient le sol. Je l’observai qui se rhabillait, souriante, enfilant ses sous-vêtements, laissant tomber la robe qui était plutôt en piètre état.
Je sortis avant elle de la bibliothèque, refermant les portes pour la laisser à son intimité. Le téléphone rugit soudainement et après deux sonneries, j’entendis Marianne qui parlait d’une voix tremblotante à quelqu’un. Elle était euphorique et se mit à papoter énergiquement.
Décidément, je n’avais pas manqué mon coup. Quelque peu claqué, je me dirigeai vers ma chambre. Je m’affalai sur mon lit et croisai les bras derrière la tête, question de réfléchir en fixant mon plafond.
Je me rendis compte alors du fond de musique lascive et me souvint d’Andrea qui devait encore pratiquer en bas. Je n’en fus pas plus mal qu’il fallait, même un peu content. Andrea savait maintenant avec certitude l’effet que je pouvais avoir sur les femmes. De toute manière, je n’avais pas à être gêné, Marianne et Sandra m’avait entendu faire jouir l’autre quelquefois.
Puis, je perçus le frottement des portes de la bibliothèque. Les pieds nus de Marianne qui approchaient rapidement et son visage dans l’embrasure de ma porte.
Je l’entendis qui descendait à la cave. Moins de cinq minutes plus tard, elle sortait de l’appartement.
Il faisait plutôt chaud dans ma chambre et, malgré une certaine fatigue musculaire, je décidai d’aller me rafraîchir dans le sous-sol ombragé et frais. Je pris un livre et sortis de ma chambre, empruntant l’escalier pour rejoindre un fauteuil confortable où j’avais la ferme intention de m’assoupir.
Arrivé dans le corridor, je me rendis compte que la musique d’Andrea était plutôt forte et je décidai de lui demander de la baisser.
Sa porte était grande ouverte. J’y passai la tête, mais cognai tout de même.
Une autre apparition enchanteresse. Je n’en revenais pas.
À quatre pattes sur le tapis, le visage s’observant dans le miroir, Andrea s’étirait, probablement terminait-elle sa pratique.
Ce qui était surprenant, c’était la plus complète nudité dans laquelle elle se trouvait. À l’exception d’épais bas de laines violets qui lui remontait jusqu’en haut des genoux et de ses souliers de danse, elle était entièrement nue. Son corps, après un exercice aussi long, était constellé de gouttelettes de sueur.
Elle avait une jambe tendue derrière elle, gardait les yeux fermés et respirait calmement.
J’admirai le creux de son dos, ses fesses fermes qui bougeaient à peine au rythme de ses exercices d’étirements, la cuisse ronde et allongée, le mollet caché sous le bas, le pied en extension. Puis, les seins qui ballottaient doucement, le son de ses expirations, de ses inspirations. Ses cheveux roux retenus par un bandeau.
La scène était empreinte d’un érotisme extraordinaire. Tellement que j’en rebandai, complètement paralysée par cette vision.
Je me sentais un peu honteux. Mais devant cette femme si forte, je ne devais pas plier. Je me dirigeai vers elle, m’agenouillai à ses côtés, et passai mes mains sur ses épaules. Elles étaient chaudes mais douces et terriblement attirantes. Je massais puissamment, glissant mes mains vers le centre du dos. Je faisais rouler mes doigts, tirais un peu sur sa peau brûlante. N’y tenant plus, je pris à pleines mains ses fesses et commençai à les caresser. Andrea gémissait sous mes caresses et quand je passais quelquefois près de sa chatte en feu, l’humidité qui s’en dégageait me disait de continuer.
Je lui levai la jambe et, des deux mains, je lui fis quitter ses bas et ses souliers, faisant la même chose avec l’autre jambe. Je me remis à masser.
Après quelques minutes que je pétrissais son dos, et particulièrement son beau cul, elle tourna la tête vers moi et d’une main levée empoigna mon jean à la ceinture vers elle.
Je me laissai faire et, toujours à quatre pattes, se plaça face à moi. D’une main rapide, elle exhiba à ses yeux mon sexe gonflé, luisant de mon sperme et de la mouille de la blonde.
Elle le branla agilement et donna un rapide coup de langue. Je frémis.
Andrea, sans plus de procédure, enfourna ma queue dans sa bouche. Je la sentais qui siphonnait toute trace de Marianne et de ma jouissance, je la sentais qui faisait courir sa langue sur mon gland. Elle le ressortit, pour mieux le lécher sur toute sa longueur, allant chercher les dernières gouttes. Puis, elle le reprit en entier et à son air vorace, j’eus bien l’impression qu’elle désirait ardemment que je jouisse dans sa bouche.
Elle suçait bien et rapidement. Dans l’état où j’étais, après cette vision d’elle nue et toute chaude, j’eus un soubresaut soudain et je me crispai, lançant mon bassin en avant, et plaquant une main sur sa tête.
Je me retins un bref instant, au cas où elle voudrait se retirer. Elle sortit pour mieux englober le gland et le cajoler de sa longue. J’explosai dans sa bouche et je la vis qui avalait à longues gorgées les quelques jets. Je me laissai choir sur le dos, groggy.
Elle enfourna mon sexe mort dans sa bouche et j’eus bien peur de mourir, mais la jeunesse étant ce qu’elle est, après plusieurs savants coups de langue et plusieurs pompages efficaces, ma queue se remit au garde à vous.
Andrea pivota sur ses genoux et se remit à quatre pattes, m’offrant sa croupe délicieuse.
Je me relevai sur les genoux et, sexe en main, la pénétrai d’un seul et puissant coup, qui la fit lâcher un long soupir où se mêlaient la plainte et le soulagement.
J’en avais pour un moment avant de jouir, je me savais endurant.
Je commençai en faisant d’amples mouvements de bassin, profonds et lents, me rythmant avec son cul qui bougeait doucement d’avant en arrière. Sa chatte était bien mouillée et Andrea savait divinement jouer de ses muscles pour me comprimer.
Je pris ses hanches et la vitesse grimpa. Je la pistonnais à coups rapides et secs, puis de longs coups de boutoir, jusqu’au fond, qui la faisaient avancer d’un pas. Andrea s’empalait alors d’elle-même sur mon sexe en reculant. Elle haletait, puis elle tourna des yeux hagards vers moi, je vis sa mâchoire se serrer. Je passai une main sous elle pour titiller son clitoris qui, tout sorti, brûlait de désir. Je le pinçais entre mes doigts, le triturais presque, j’avais peur de lui faire mal, mais la houle qu’elle faisait de son cul me dissuada d’arrêter. Je bourrais sa chatte qui n’avait aucun répit.
L’entendre perdre son français me fit redoubler de vitesse. Et enfin, elle fut emportée par une jouissance puissante. Elle se cambra un peu plus et je sentis un flot de mouille me tremper le sexe. Je ralentis mais elle continua de s’enfourner doucement ma queue dans la chatte en gémissant, comme pour terminer paisiblement une course.
Elle s’affala sur le ventre, les bras étendus devant elle, les cuisses écartées.
Je caressai ses fesses fortement, tandis qu’elle reprenait son souffle.
Je la retournai sur le dos d’une main et approchai ma queue luisante de son visage.
Elle sortit la langue et me nettoya entièrement, avec circonspection, sans toutefois le prendre en bouche. J’étais toujours bandé quand je me relevai, remontant mon jean.
Son regard était plongé dans le mien et elle gardait ses bras tendus, bombant le torse. C’était probablement une invitation. Mais j’étais quelque peu harassé et j’avais bien envie de la faire encore languir.
Je n’avais pas joui, mais mon plaisir était celui de l’avoir, elle, transportée par le plaisir.
Je la quittai ainsi, elle qui s’endormit nue et percluse de plaisir sur le tapis. J’allai prendre une bonne douche et décidai que prendre quelques journées de vacance serait une judicieuse idée, à mon plus grand regret.