n° 08694 | Fiche technique | 22379 caractères | 22379Temps de lecture estimé : 15 mn | 15/02/05 |
Résumé: Marianne, qui avoue avoir certains désirs d'exploration saphique, rencontre justement quelqu'un qui pourrait bien la combler... | ||||
Critères: ff exhib noculotte intermast cunnilingu anulingus 69 fdanus init | ||||
Auteur : Ed Benelli (Il y a toujours place à l'amélioration... Vive la critique!) Envoi mini-message |
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Après une chaude soirée partagée entre mes deux colocs, sans pouvoir les départager, cela serait complètement impossible, l’arrivée de l’Américaine émoustilla Marianne. L’histoire me fut racontée peu après.
Après cette soirée torride, la semaine se passa étrangement. Il n’y avait aucune conclusion à faire : mes colocataires étaient toutes deux merveilleuses. J’étais à la disposition de Sandra et Marianne et elles étaient à ma disposition. C’est ce que je pensais du moins, la définition que je me faisais de notre relation. Je baisai encore avec elles et elles me partageaient presque naturellement.
Je m’inquiétais un peu de leur relation. Je me demandais si elles n’étaient pas jalouses ou gênées par la présence de l’autre. Je fus rassuré un soir où, sortant de ma chambre pour aller à la cuisine, je surpris une conversation entre elles.
Ma belle rousse et ma plantureuse blonde étaient en parfaite harmonie, riant et plaisantant franchement. Sandra avoua avoir été excitée quand elle m’avait entendu faire jouir Marianne. Celle-ci en fut un peu surprise, mais elle accepta ouvertement la chose, qui était tout à fait normale. Marianne était simplement heureuse de se libérer sexuellement plus qu’avant, bien qu’elle ait toujours eu un appétit important pour le sexe. Ma belle rousse lui dit que c’était une bonne chose qu’elles soient sur la même longueur d’onde. Nous étions tous trois colocataires et même amis, mais certainement pas amoureux et nous prenions simplement du plaisir. D’ailleurs, je faisais tout pour leur en donner autant qu’elles m’en donnaient.
Elles comparèrent avec enthousiasme leurs baises avec moi.
Sandra aimait être soumise à mes plaisirs, soumise à mes caprices, elle se laissait faire dans mes bras et elle s’ouvrait volontiers à la sodomie, que je pratiquais, selon elle, merveilleusement bien. Elle était plus passive dans la baise et jouissait très souvent de toutes mes attentions.
Marianne, elle, était plutôt active au contraire. Elle aimait porter son attention sur moi, sucer férocement, utiliser son corps et quand je lui avais donné des ordres, plus crûment, elle avait été très excitée. Elle avait du mal à croire que la domination avait un effet sur elle.
Tout ce qu’elles disaient m’émoustillait au plus au point. Je gardais mon calme, mais pas mon sexe, qui aurait bien voulu se montrer à ces gentes dames et je commençais à imaginer de nouvelles situations pour utiliser ce qui semblait les exciter et les faire jouir.
Curieuse et un peut-être un peu excitée, Marianne demanda à Sandra si elle avait déjà essayé avec une autre femme. La belle rousse lui répondit que non – je fus soulagé qu’elle ne m’ait pas menti. Marianne enchaîna en admettant qu’elle aimerait tenter l’expérience, qu’elle se sentait prête pour la chose, qu’elle était célibataire et que le temps était idéal. Elle complimenta même Sandra et j’entendis le malaise de la rousse qui répondit faiblement merci.
Je m’attendais à ce que Sandra lui dise qu’Andrea, notre future visiteuse, était une bisexuelle d’expérience, mais elle n’en dit mot. L’horloge sonna dans la cuisine et je me précipitai dans ma chambre en silence, alors que j’entendais Marianne lancer qu’elle devait se coucher.
Satisfait et heureux, je n’attendais plus maintenant que cette mystérieuse Américaine.
Sandra n’eut pas à convaincre Marianne. L’argument « ton loyer baisse encore », suffit.
Andrea arriva avec deux jours de retard sur le programme prévu, ce qui permit à Sandra de lui trouver un lit convenable et même une vieille commode de bois. C’était là tout le mobilier de la chambre, à l’exception de l’immense garde-robe à portes coulissantes.
Notre Américaine et Sandra arrivèrent en fin d’un après-midi du mois de juin. Et cette Américaine, j’eus tout de suite envie d’elle. (Évidemment, avec mes semaines comblées, je développais un désir sexuel plus grand)
Andrea était assez grande, mince et toute pimpante de santé, ses muscles souples jouant sous sa peau blanche, un peu hâlée. Elle était rousse, elle aussi. Mais d’un roux plus flamboyant, plus lumineux que Sandra qui avait les cheveux foncés. Elle avait de beaux yeux noisette, pétillants de curiosité, un beau visage aux traits simples et une jolie bouche, aux lèvres minces et roses.
Son corps de danseuse accomplie était tout simplement ahurissant. Une poitrine assez développée, bien que plus petite que les beaux seins de Marianne. Un ventre plat, ferme, découvert par son t-shirt, de belles hanches, fines et toujours se balançant langoureusement. Des jambes fermes, musclées par la gymnastique, souples et longues. Elle portait un short bleu très court dévoilant ses cuisses magnifiquement nues.
Sandra, amusée, me regarda la détailler lentement.
Andrea, confiante de l’effet qu’elle faisait, eut l’air contente de ma contenance et de mon assurance. C’était une belle femme, certes, mais j’étais un bel homme et j’avais baisé mes deux colocs – dont une qu’Andrea elle-même aurait bien voulu se faire.
Toutefois, mon sexe se tendit quelque peu, à la vue de ses fesses merveilleuses, qu’elle me dévoila en descendant l’escalier. Un cul bandant à souhait, que je voyais ferme, bien rond.
Quand elle vit sa chambre, elle fut très heureuse. Juste ce qu’il lui fallait. En voyant l’espace dégagé, qui s’offrait à elle, elle s’écria :
Je ne compris pas ce qui la faisait tant rêver dans ce grand espace vide tout de suite.
Pendant la journée, Andrea et Sandra partirent en ville. Quand elles revinrent, c’était pour installer alors de grands miroirs sur les portes de la garde-robe, miroirs achetés pas chers dans un magasin de meubles usagés.
Andrea sautait de joie, répétait ses pas de danses, lascivement ou avec une grande énergie.
Le soir venu, ce fut toute une fête. Nous étions tous là et tandis que je faisais à manger pour nous quatre, les filles discutaient en sirotant une bière. Les sujets furent très variés. Le coin natal d’Andrea, ses études – qui l’avait amenée en France, d’où son très bon français – la politique. (Je jouissais presque, rien que d’entendre une Américaine tempêter contre Bush et son gouvernement)
Puis, évidemment, tout ça s’en alla vers le sexe.
Elle parla très ouvertement de ses expériences sexuelles. Hommes et femmes. Pour une Américaine, elle était décoincée. Moi qui les croyais tous obèses, chastes et religieux…
À 24 ans, elle était seule depuis six mois, sortant d’une relation difficile d’un an avec une française, puis auparavant trois ans avec un homme. Elle n’avait eu que ces deux partenaires, qui la satisfaisaient très bien et qui lui avaient fait découvrir le sexe sous bien des angles, bien qu’elle en fût déjà curieuse.
Sandra parlait peu, apparemment gênée quand le regard brillant d’Andrea se posait sur elle. Tout le contraire de Marianne, qui lui rendait un regard attentif et curieux, peut-être un peu de désir caché. Marianne et Andrea se fixaient souvent, l’une d’un regard plein de désir devant de magnifiques courbes féminines, l’autre devenant de plus en plus chaude et allumée.
Je sentais que le courant passait bien et avec ce qui se passait dans cet appart, je me disais bien que quelque chose arriverait sous peu. Surtout quand, avec une voix pleine d’intérêt, Marianne demanda à Andrea :
Andrea ne parut ni surprise de la question, ni gênée. Elle prit quelques secondes de réflexion et dit, d’un français parfait mais au fort accent :
Marianne hocha la tête. Andrea, je le vis bien, la regardait avec un air glouton, prête à lui sauter dessus. Marianne en resta là et le sujet fut mis de côté par Sandra qui ne savait plus ou se mettre, mal à l’aise, bien qu’excitée elle aussi par cette conversation.
Le reste du souper se passa tranquillement, malgré les regards torrides que se lançaient Andrea et Marianne.
Cette partie-ci du récit me fut racontée par Andrea quelques jours plus tard. Je vous en fais part, parce qu’il fait partie de ma vie de colocataire. Je relaterai alors l’histoire à la troisième personne pour éviter de compliquer les choses.
C’était le surlendemain de notre souper d’accueil et Marianne arrivait alors de son boulot, vers midi. Elle se croyait seule, et se servit à dîner tranquillement. Une fois son dîner (déjeuner chez vous) terminé, elle descendit à sa chambre, avec l’intention de poursuivre la lecture de « L’insoutenable légèreté de l’être ».
Les deux portes des chambres de Marianne et Andrea étaient face à face. Quand Marianne arriva, elle ne put manquer de voir l’impudique Andrea.
En effet, probablement le fait qu’elle se change et se mette à nu constamment avait quelque habitué Andrea à être à son aise bien peu vêtue.
Son sexe était à peine couvert d’un bikini noir, son torse vêtu d’un t-shirt orangé très court, dévoilant largement le nombril. À ses pieds, de petits mocassins de danse.
L’esprit de Marianne se brouilla alors à la vue de ce corps offert et presque nu, ce corps qui, déjà habillé, l’attire. Andrea exerçait ses pas de danses, tournant le dos à Marianne, qui admira la cambrure délicieuse des fesses, le dos où cascadaient les cheveux roux de la danseuse. Ses cuisses bougeaient divinement bien, jouaient des muscles et appelaient une caresse langoureuse.
La jolie blonde commençait à sentir une certaine excitation, qui se fit plus importante quand Andrea se retourna, sans paraître surprise ou effarouchée d’offrir son corps. La rousse lança un regard ardent à Marianne, continuant de danser, plus lentement, et avec des caresses plus appuyées. Se dérobant à cette vue, la blonde se réfugia dans sa chambre, lançant un « bonjour » tremblotant.
Marianne, loin de la porte, prit alors appui au mur et expira lentement et le plus silencieusement possible. Tenter de se calmer ne fit en aucun cas baisser la tension de son sexe qui commençait à suinter doucement.
Elle réfléchit un instant. Andrea aimait les femmes sûres d’elle, sans culotte. Soit.
Marianne, qui pour son travail de vendeuse dans un magasin chic, portait encore une jupe courte grise moulant son cul, des bas autofixants noirs enlaçant ses cuisses, un chemisier gris à boutonnière, serrant sa poitrine. Elle passa les mains sous sa jupe, prit le string entre ses doigts et, pour se mettre dans l’ambiance, le descendit langoureusement, ondulant du bassin.
Puis, elle le lança dans un coin et se délia les jambes. Elle ne se promenait jamais le sexe libre et fut d’autant plus excitée de le faire pour attiser Marianne. Irrésistiblement, la pensée de la rousse, de son bikini qui ne cachait presque rien, de son regard de braise, fit ouvrir les jambes de Marianne pour qu’elle passe un doigt sur son sexe humide.
Elle frissonna de partout en tendant le cou vers l’avant. Fébrile, elle décida d’en rester là. Elle approcha de son lit, s’y étendit lentement, tremblante d’envie, et prit son livre, sur sa table de nuit.
Le lit de Marianne était en plein milieu de la pièce, mais un peu en retrait de la porte. D’un certain angle, il était parfaitement visible de la chambre d’Andrea. La blonde se plaça alors les fesses face à la porte, sur le côté, sa tête relevée guettant l’apparition de Andrea.
La belle rousse, toute à sa concentration, passait souvent sous le regard de Marianne, mais en dansant, elle gardait les yeux fermés, et elle ne la voyait. Frustrée, mais excitée par la vue, la blonde plantureuse se caressait doucement. Les pointes de ses seins en étaient d’ailleurs déjà dressées, elle les sentait frotter contre son soutien-gorge.
Puis, la musique qui rythmait la danse s’arrêta. Les yeux de Marianne étaient impatients.
Enfin, les formes voluptueuses de la rousse passèrent par le seuil. Elle venait dans sa direction. Andrea entra dans la chambre.
Marianne leva les yeux vers elle et remarqua que la rousse la détaillait, la désirait. Excitée, la blonde voulut se frotter les jambes pour accentuer le plaisir d’être ainsi mise à nu, mais elle était toute frissonnante et pétrifiée.
Andrea entra et s’approcha d’elle en souriant. Elle passa à la hauteur du visage de Marianne, qui voyait clairement son bikini, cherchant même à y déceler la fente chaude.
La rousse s’assit derrière la tête de Marianne, qui se contorsionna pour lui jeter un coup d’œil par-dessus son épaule.
Andrea avait posé sa main sur le lit, près des fesses, et gardait sa poitrine et sa tête redressées. Elle posa sa main sur l’épaule de Marianne, qui frémit.
La blonde sentit alors la rousse s’étendre dans son dos, sa tête devait voir ses fesses découvertes un peu par la jupe courte.
Quand la main d’Andrea se posa sur la fesse et tira la jupe plus haute, la blonde poussa un soupir de plaisir. Andrea colla son corps contre celui de la blonde, qui dut sentir contre ses reins les seins tendres de la danseuse.
Andrea, qui relevait la jupe, découvrit une fesse entière. Elle y déposa un baiser doux, déclenchant un autre soupir.
La main ferme d’Andrea poussa la blonde sur le ventre. Presque aussitôt, le livre tomba sur le sol et Marianne s’abandonna, attendant la prochaine étape, fiévreuse. Approchant son visage, Andrea remonta d’un coup la jupe jusque sur les hanches et commença de suite à lui lécher le cul, sa langue tombant dans la raie, la suivant et titillant le petit œillet.
Marianne se fit houle et ondula du bassin, remplissant la chambre de ses gémissements.
Andrea lui écarta largement les jambes et, voyant le sexe offert, y approcha un doigt. La blonde coulait sur son édredon tellement elle était excitée et dès que le doigt fut en elle, Marianne se tordit de plaisir, en réclamant un deuxième bien vite, puis un troisième.
Elle était si excitée qu’elle eut un orgasme fulgurant et inattendu, qui remplit Andrea de fierté.
La rousse retourna alors Marianne sur le dos, la jupe toujours remontée dévoilant son sexe et son triangle de poils blonds. Andrea remonta encore un peu la jupe, dévoilant le ventre, et s’assit à califourchon sur le sexe de la blonde, qui gémit de sentir la pression du bikini fin frottant sa fente. Andrea saisit alors les seins de Marianne à pleines mains, les pétrissant de toute la force de ses doigts, faisant cambrer de plaisir la blonde brûlante de désir. Marianne gémissait fortement, les mains serrant les cuisses d’Andrea.
Après de longues minutes de caresse, Andrea voulait découvrir de sa langue ce corps magnifique et commença à déboutonner le chemisier. Elle en écarta les pans pour découvrir le soutien-gorge noir cachant à peine la poitrine gonflée de désir et Andrea eut tôt fait de le rabattre dessous pour se pencher et prendre les mamelons en bouche.
Le corps de Marianne se convulsait, se couvrait de chair de poule et rougissait sous le plaisir. Les muscles de son cou se tendaient et sa tête s’enfonçait dans son lit, alors que ses seins fiers étaient bombés pour rejoindre les mains douces qui la comblaient de caresses.
Andrea enleva son t-shirt, découvrant sa belle paire de seins doux et se pencha sur Marianne pour joindre sa bouche à la sienne, frottant leurs seins ensembles. La bouche de Marianne était curieuse et volontaire et c’est elle qui prit goulûment les lèvres de la rousse pour y enfoncer la langue et caresser celle d’Andrea, qui prenait plaisir à se frotter ainsi sur le corps de la blonde excitée.
Leur baiser dura longtemps, mais Andrea, encore maîtresse de la situation, se releva pour prendre les bords du chemisier gris et le passer sur les épaules de Marianne, laquelle souleva son torse dans la manœuvre. Ensuite, Andrea put dégrafer le soutien-gorge et mettre nue la blonde, qui se trémoussa en plongeant son regard dans celui de la rousse.
Les seins lourds libérés se soulevaient au rythme de la respiration lente et profonde de Marianne, offrant leurs tétons dressés et attirants.
Andrea voulait tout de même quelques attentions et elle se glissa sur le ventre de Marianne, laissant le jus de son excitation couler sur le ventre hâlé pour venir nicher sa poitrine au-dessus de la bouche vorace de Marianne, qui n’hésita pas une seule seconde à s’en saisir pour les embrasser, les avalant presque en ouvrant grand la bouche. Puis, elle serra les lèvres et pinça les tétons pour les lécher de la pointe de sa langue. Ses mains, qui ne restaient pas inactives, avaient saisi le cul d’Andrea et, ne cessant de le caresser, le poussaient vers l’avant, faisant balancer ses seins.
Andrea, complètement offerte ainsi, fut envahie par une grande chaleur suffocante et jouit ainsi, puissamment. Elle poussa un râle intense et ses muscles se relâchèrent pour la faire s’écraser sur Marianne, qui, fière d’elle, passa sa main dans son dos pour la caresser.
Impatiente d’enfin savoir ce qui se cachait entre ces jambes féminines, Marianne repoussa Andrea sur le dos et se mit entre ses cuisses. Sans plus de procédure, elle retira vivement le bikini. Elle eut un moment de vide alors qu’elle voyait pour la première fois une chatte offerte, au pubis couvert de très courts poils roux. Elle minauda en passant ses mains sur les cuisses d’Andrea, se penchant entre ses cuisses écartées, mêlant leur regard. Andrea était envahie de plaisir et dégustait ce moment où elle n’avait pas le contrôle, se laissant dorloter.
La blonde avait maintenant la main sur le sexe complètement trempé et elle passa un doigt tout de même timide sur les lèvres glissantes. Elle sourit en voyant le bassin d’Andrea onduler à mesure que le doigt s’enhardissait pour entrer dans cette chatte rose. Andrea ronronnait sans relâche, se caressant les seins et pinçant les mamelons. L’Américaine n’en revenait pas qu’une novice ait autant d’audace et s’en émerveillait, alors que le plaisir montait rapidement en elle et qu’elle sentait un second orgasme la saisir. Elle ne put contrôler le flot de mouille qui inonda le doigt de Marianne, laquelle observa attentivement le phénomène avec des yeux enchantés.
C’est là qu’elle décida d’approcher sa bouche, trop gourmande pour attendre plus longtemps d’avoir sur la langue cette saveur inconnue. Elle lécha d’abord le haut des cuisses, recueillant le jus qui y coulait. Elle lapa avec vigueur et enthousiasme, progressant rapidement vers le sexe où elle enfouit une langue chaude et moelleuse. À nouveau, le corps d’Andrea se tendit sous cette pénétration, alors que le doigt n’avait pas quitté sa chatte qu’il branlait. Elle se remettait encore d’un orgasme qu’un suivant arrivait à grands pas.
Un deuxième doigt vint s’ajouter au premier pour entrer et sortir de la chatte. Les deux doigts s’écartèrent, prenant plus d’espace dans ce sexe mouillé, et secouèrent de soubresauts secs le torse d’Andrea. La langue avait fait sortir le clitoris d’un coup dur et elle le titillait doucement.
La jouissance revint alors et Andrea n’y tint plus. Elle releva le torse et plaqua la tête de Marianne sur sa chatte, criant sans relâche et répandant sa cyprine dans la bouche gloutonne, qui ne put tout avaler.
Andrea retomba sur le lit, complètement groggy. La rousse n’en revenait pas et elle fut d’autant plus heureuse de voir Marianne prendre l’initiative en passant une cuisse au-dessus de son visage pour l’écarter et ainsi ouvrir sa chatte à la bouche maintenant pleine d’appétit d’Andrea. Mais Marianne n’avait pas pour autant cessé de manger la chatte maintenant remplie de jus.
Dans le 69 torride qu’elles entamaient, Andrea avait tout de même une certaine avance. Elle reprit vite sa technique et entreprit un savant ballet, mêlant langue et doigts au cœur du sexe trempé de Marianne. La rousse continua même la feuille de rose qu’elle avait commencé, dilatant l’anus de Marianne qui dandinait son cul férocement. Mouillant deux doigts de salive et de mouille, elle écarta les fesses d’une main et approcha son index et son majeur, joints, du petit trou.
Quand elle sentit cette présence dans sa raie, Marianne tourna un visage luisant vers elle, gémissant fortement alors qu’Andrea agaçait son anus et commençait à s’y enfoncer. Elle cambra les reins, sa tête ballottante, tandis que les doigts écartelaient son fondement.
Puis, le pouce d’Andrea s’enfonça dans la chatte par-devant et commença lui aussi à branler Marianne. Les doigts et la langue s’activaient sans relâche, et alors que le corps de Marianne tremblait des prémisses d’un nouvel orgasme, quelque chose attira le regard de l’Américaine.
Sur le seuil de la porte, à demi dissimulée, Sandra observait la scène complètement troublée. Andrea ne s’empêcha pas pour autant de prodiguer avec brio sa branlette qui fit jouir longuement Marianne et celle-ci, dos à la porte, ne vit rien.
Andrea décida même de provoquer encore plus Sandra. Elle fit rouler Marianne sur le dos et, à quatre pattes, frottant son sexe contre la bouche encore engourdie de jouissance, continua de brouter la blonde sans cesser de fixer l’intruse.
Excitée par la présence de la voyeuse et comblée par la bouche de Marianne, Andrea se redressa lentement, frémissante de plaisir, pour s’asseoir sur le visage de la blonde. L’Américaine prit ses nichons à pleines mains et les caressa en se léchant les lèvres. Le plaisir monta très vite et elle jouit puissamment, exagérant même un peu pour déséquilibrer encore plus Sandra. Toute à son plaisir, elle posa les mains sur le ventre de Marianne et cambra les reins pour mieux ouvrir son sexe et faire durer la jouissance qui explosait en elle.
Sandra disparut alors qu’elle rouvrait les yeux. Elle eut un sourire satisfait et se laissa choir à côté de Marianne, toute fébrile. Côtes à côtes, elles échangèrent un long baiser, mêlant leur saveur, leurs langues et leurs lèvres. Andrea lécha le visage rouge de la blonde pour la nettoyer et elle la berça dans ses bras.
Fourbue, Marianne sombra dans un doux sommeil. Andrea en profita pour sortir doucement de la chambre et aller se laver, se rappelant sans cesse le visage de Sandra, qu’elle savait conquise.
Heureuse, elle souriait béatement en entrant sous la douche.