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Temps de lecture estimé : 21 mn
20/02/05
Résumé:  Ma femme et moi aidons à un déménagement. Nos amis retardés ne sont pas à leur nouvel appartement. Un palier tranquille sera à l'origine d'un après-midi à les attendre qui passera très vite.
Critères:  fh 2couples couplus inconnu ascenseur photofilm fellation cunnilingu anulingus fist pénétratio fsodo
Auteur : Bernard Nadette  (Bernard)      Envoi mini-message

Série : Nadette m'étonne

Chapitre 01
Les surprises de Nadette



Pour aider des amis qui quittaient Paris pour Pithiviers, Nadette et moi nous laissâmes notre fils chez sa mamie et chargeâmes notre voiture des cartons laissés en dépôt dans notre cave. Arrivés vers midi devant chez nos amis, nous montâmes au troisième étage et trouvâmes porte close. Nous les avons appelé vers leur mobile.



Nous allâmes déjeuner dans un restaurant sympa près de la gare. En attendant le plat principal, je profitai du coin tranquille et de la longueur de la nappe pour retirer une chaussure et faire du pied à ma chérie sous la table. Je remontais doucement le long de ses jambes. Malgré quelques « soit sage, on va nous voir », Nadette ne s’opposa pas à la progression. Mon pied s’insinua sous sa jupe entre ses cuisses, qu’elle écarta en s’asseyant plus au bord de la chaise. À l’arrivée de la serveuse, Nadette se renfonça sur son siège en disant :



Comme nous attendions le dessert, je me préparais à reprendre les opérations, quand je sentis le pied de Nadette le long de ma jambe tandis qu’elle disait :



Elle glissa son pied entre mes jambes et le passa sur ma braguette, donnant de petits coups d’orteils à mes bourses, frottant ma queue de la plante du pied, l’aidant à se redresser dans mon pantalon, tout en parlant l’air détaché de choses et d’autres. À l’arrivée du dessert, elle retira son pied. En quittant le restaurant j’avais quelques idées coquines mais Nadette me convainquit de monter courageusement les cartons au troisième étage, à pied car il n’y a pas d’ascenseur. À 3h00 je déposais le dernier carton. Comme Nadette s’apprêtait à redescendre, je l’enlaçai et l’attirai contre moi avant de lui donner un baiser ou nos langues se retrouvèrent. Sans rompre le baiser je m’assis entraînant Nadette sur mes genoux pour la caresser. Ses vêtements me gênaient, je ne parvenais pas à dégrafer son soutien-gorge, son collant faisait obstacle. Je lui murmurai à l’oreille :



Cela me convenait tout à fait. Je la renversai sur les cartons, après y avoir étalé nos manteaux et mis ses jambes sur mes épaules. Je commençai à lui dévorer la chatte qu’elle avait déjà baveuse à souhait. Je lui embrassai ses lèvres du bas, de la langue je parcourus sa fente et lui titillai son petit bouton. Après quelques temps, comme je relevais la tête pour reprendre mon souffle, Nadette se redressa me repoussant doucement et sauta sur ses pieds. Elle s’agenouilla sur le tapis et entreprit d’ouvrir mon pantalon et de libérer ma queue du slip où elle se trouvait à l’étroit. Nadette entreprit une pipe avec tant de conviction qu’après quelques minutes de ce traitement j’étais au bord de l’explosion. J’en avertis Nadette, mais elle continua de plus belle. Je me répandis dans sa gorge. Après avoir avalé, ce que d’habitude elle ne faisait pas, elle ne cessa pas de me sucer tout en caressant mes bourses (plus tard quand je lui ai demandé pourquoi ce jour là elle avait avalé, elle me fit cette réponse magnifique : sinon ça aurait été sur le tapis !!!). Quand elle fut assurée que je ne perdais pas consistance, elle se redressa et nous échangeâmes un long baiser. Elle s’agenouilla sur les cartons levant bien haut la croupe. Je lui caressai et embrassai les fesses, la fente, le clito. Elle ondulait, je m’enhardis à lui masser un peu son petit trou. En temps normal elle n’apprécie pas que je m’occupe de cette partie de son intimité, mais là aucune protestation, aucun mouvement de recul, au contraire. J’enfonçais un, puis deux doigts dans sa fente juteuse et avec le pouce j’entrai par sa porte étroite. Je la pistonnais alternativement des doigts et du pouce. Nadette haletait. J’introduisis un troisième doigt dans sa chatte, Nadette continua à accompagner les mouvements de mes doigts. Mon petit doigt se risqua à rejoindre ses frères. Nadette eut un petit sursaut, frissonna mais ne se déroba point. Elle se cambra encore plus et écarta davantage les genoux pour s’ouvrir encore plus. D’une voix rauque elle souffla « continue ». Une première. Habituellement elle n’acceptait que deux doigts, quelques rares fois trois, jamais encore elle n’en avait accueilli quatre. Je profitai de ses bonnes dispositions pour introduire délicatement deux doigts de mon autre main dans son cul déjà bien ouvert. Doucement je recommençai un petit mouvement de va-et-vient dans sa chatte écartelée. Au début seuls trois ou quatre centimètres entraient. Mais petit à petit ma main s’enfonça plus profondément. À la fin toute ma main jusqu’à la base du pouce disparaissait. Nadette accompagnait mes mouvements, Nadette était déchaînée comme jamais je ne l’avais vue. Aussi décidai-je d’aller encore plus loin. Comme je sortais ma main de sa vulve, j’en profitai pour rabattre mon pouce le long de ma paume. Puis doucement je commençai à réintroduire mes quatre doigts. Mon pouce arriva bientôt à l’entrée de sa chatte, je continuai ma progression sans que Nadette ne proteste. Ma main s’insinua lentement en elle, reculant de tant en temps pour mieux revenir à l’assaut. Finalement à ma surprise elle m’absorba jusqu’au poignet. Doucement j’entrepris à nouveau un petit mouvement de va-et-vient. Nadette suivit mes mouvements. J’étais fasciné de voir ses fesses aller et venir, se ruant au-devant de cette main qui la fouillait, qui écartelait ses lèvres congestionnées. Je n’aurais jamais cru cela possible de voir Nadette accepter un fist, avec autant d’enthousiasme surtout. C’était extraordinaire de voir à chaque fois ma main disparaître jusqu’au poignet dans son sexe. Finalement Nadette eut une série de spasmes dont les contractions chassèrent ma main de son intimité. Après être restée quelques secondes sans bouger, elle se redressa doucement, se retourna, se leva un peu vacillante, s’accrocha à mon cou et m’embrassa avec passion. Nadette s’écarta ensuite légèrement de moi, elle regarda ma queue tendue à bloc et dit en la caressant :



Elle s’allongea sur les cartons (heureusement c’étaient de solides cartons de livres), les fesses au ras du bord. Elle amena ses genoux sur ses épaules en écartant les cuisses et me fit un petit clin d’œil coquin. Je m’approchai et pénétrai sa chatte béante. Tandis que je la baisais une idée me traversa l’esprit. Peut être aujourd’hui Nadette, vu ses dispositions accepterait de m’accueillir là où elle n’avait jamais voulu que je m’introduise, dans son petit cul. Je me retirai de sa chatte, me baissai pour lui faire une petite léchouille sur son clitoris, puis descendis le long de fente pour finir par lui faire une feuille de rose, ma langue forçant légèrement son anus. Nadette ne protesta pas. Bientôt je me relevai et pris ma queue en main. Je la passai tout le long de sa fente, glissai jusqu’à l’anus, remontai, renouvelai l’opération plusieurs fois, Nadette l’arrêta devant sa porte étroite et me regardant droit dans les yeux et dit :



Je poussai donc. Nadette y mis du sien, elle passa les mains sous ses jambes pour écarter ses fesses afin de permettre un meilleur accès. Je n’eus pas à forcer, j’entrai très facilement. Pour une inauguration cela se passait plutôt bien. Il faut dire que Nadette était particulièrement détendue. J’entrai en elle jusqu’au couilles sans que cela la fasse souffrir. Elle me sourit et dit :



Elle détendit ses jambes et m’emprisonna la taille. Je l’enculais avec douceur depuis quelques minutes quand, par hasard, je tournai la tête. Je me figeai. Je venais d’apercevoir deux bustes, dans le tournant de l’escalier. Nadette ne m’aurait pas tenu je me serais écarté. Un couple entre 25 et 30 ans nous regardait. Voyant que je les avais repérés, l’homme qui était derrière sa compagne me fit un signe de connivence en levant le pouce. Je remarquai alors le mouvement rythmé qui les animait et qui me révélait que monsieur était en train d’honorer madame. Nadette qui n’avait rien remarqué, surprise de mon inaction me rappela à l’ordre d’un «ne t’arrête pas » enroué. Après hésitation, sans rien dire à Nadette (je sais c’est vilain, mais j’ai craint ses réactions) je me remis en action. Je n’étais plus très vaillant, mais rapidement la forme revint. J’ai fait un petit geste au couple de se montrer discret en mettant un doigt sur ma bouche. J’étais à la fois gêné et fier que des témoins me voient enculer ma chérie. Je ne sais pas depuis quand ils nous regardaient. Mais le spectacle leur avait plu et les avait inspirés. L’homme dégrafa sa compagne et mit ses seins à l’air qu’il commença à triturer. Ils étaient entrain de prendre leur pied. Quand ils eurent fini, ils me firent un petit geste de la main et s’esquivèrent discrètement. Plus à l’aise malgré tout après leur départ, je finis par me répandre dans ma chérie. Après nous être rajusté nous commençâmes à descendre l’escalier quand une porte du deuxième s’ouvrit, je reconnus le couple témoin, en peignoir. Madame proposa gentiment :



Nadette bredouilla en rosissant :



Nadette à ma grande surprise (décidément c’était le jour) bien qu’étant devenue écarlate accepta l’offre au lieu de s’enfuir comme je m’y attendais et nous nous présentâmes à ce couple si accueillant. Renaud et Valérie nous conduisirent à la salle de bain. Ils nous donnèrent des peignoirs. Nous nous prélassâmes un peu sous la douche. À peine avions nous fini nos ablutions que Valérie frappa à la porte et dit :



Nous nous rendîmes au salon tous quatre en peignoir. Le salon était une grande pièce, donnant d’un côté sur la salle à manger par une large ouverture. Autour d’une table basse, il y avait deux canapés se faisant face et trois grands fauteuils, deux d’un côté et un de l’autre. Chaque couple s’installa sur un canapé. Une fois le thé servit, Nadette demanda alors d’une petite voix :



Ce fut Valérie qui répondit



Nadette marqua une pause, J’étais sidéré de l’entendre parler ainsi, mais elle n’avait pas fini de me surprendre. Elle enchaîna,



Valérie rosit et bredouilla un « tu crois ? ».



Valérie n’était pas convaincue à cent pour cent, mais elle ne voulait pas avoir l’air de se dégonfler. Je pense que c’est pour trouver une échappatoire honorable, pensant qu’après les exercices qu’elle venait de voir, Nadette refuserait de remettre ça, qu’elle proposa :



Nadette eut une hésitation imperceptible, que je dus être seul à remarquer, car je la connais fort bien, avant de répondre :



Ni Renaud, ni moi n’avions placé un mot, peut-être était-il aussi surpris que moi du comportement de nos chères et tendres. Valérie se tourna vers son mari et dit :



Ils se levèrent et il rabattit le dossier du canapé pour mettre celui-ci en position lit. D’un geste lent, peut-être hésitant, Valérie laissa tomber son peignoir. Elle était nue en dessous. Elle est assez mince, avec des hanches plutôt larges. Sa poitrine sans être forte, montre deux seins ronds, aux aréoles rose vif, qui se tiennent bien. Ils sont juste de la bonne taille pour tenir dans la main, comme ceux de ma chérie. Sa broussaille très fournie est, comme ses cheveux, châtain clair. Elle nous fit signe d’approcher. Nous nous levâmes et contournâmes la table. Nadette laissa elle aussi tomber son peignoir. Elles ont à peu près la même taille, la même morphologie élancée et leur toison aussi drue, mais celle de Nadette est brune, à bientôt trente-huit ans son corps n’a rien à envier en grâce et en fermeté à celui de Valérie qui a vingt-cinq ans . Elles étaient à croquer. Comme plus personne ne bougeait plus, je pris l’initiative de pousser légèrement Nadette vers le canapé déployé. Elle y tomba assise. Je m’agenouillai devant le canapé, écartai les genoux de ma chérie en les soulevant pour la faire basculer en arrière. Je passai un doigt le long de sa fente. C’était doux, chaud, glissant, ses lèvres congestionnées s’écartaient toutes seules. J’avançai la tête entre ses cuisses, jusqu’à ce que mes lèvres rencontre les siennes. Je léchais, mordillais, enfonçais un peu la langue, aspirais son petit bouton qui pointait fièrement, m’arrêtant de temps en temps pour regarder sa vulve ouverte, où ma salive se mêlait à sa cyprine. Valérie s’était allongée à côté et se faisait aussi bouffer la chatte. On entendait que sucions, léchouilles et glouglous et en basse la respiration un peu hachée de ces dames. Une idée me traversa l’esprit. Le sac photo. Il faut dire je suis un mordu de la photo. Surtout d’architecture (châteaux, abbayes, église, hôtels particuliers, maisons). Mais de temps en temps, aussi, des séries coquines avec Nadette. Je trimbale, presque en permanence en déplacement un gros sac (trop gros selon Nadette) contenant deux appareils, des d’objectifs, des flashes et un pied. Et le sac était dans l’entrée. Je relevai la tête et dis :



Tout le monde la rassura, elle se détendit un peu et se décida à se redresser un peu pour regarder son intimité envahie. Après avoir contemplé le spectacle quelques secondes, elle déclara :



Je revins à ma chérie et m’occupai d’elle activement. Sa respiration haletante, les mouvements de sa croupe et quelques soupirs m’apprirent que l’envahissante caresse que je lui prodiguais était appréciée. Après quelques minutes, Nadette se tourna vers Valérie :



Après quelques minutes je proposai :



Vos voisins du dessous nous ont invités à attendre chez eux votre retour en prenant le thé, on montait voir de temps en temps, mais là on a été pris par la discussion et nous n’avons plus vu le temps passer. Nous les avons aidés à rentrer les cartons et à décharger la camionnette. Heureusement cela a été assez rapide, car Nadette et moi étions un peu flagada. Nos amis nous invitèrent ensuite au restaurant. Nous les avons raccompagnés jusqu’à chez eux, afin que je puisse récupérer mon sac à photo qui j’y avais malencontreusement oublié. Cela nous permit de récupérer en descendant, sous le paillasson de Renaud et Valérie les copies qu’ils y avaient déposées.


Sur le chemin du retour. Je dis :



Première surprise. Tu as accepté sans sourciller de faire des galipettes sur ce palier, alors que je ne m’attendais qu’à un petit câlin.


Deuxième surprise. Tu as accepté que je rentre toute ma main, d’habitude tu es plutôt réservée et tu n’acceptes que je te branle qu’avec deux ou trois doigts au plus.


Troisième surprise. Non seulement tu t’es faite enculer, mais en plus c’est toi qui l’as demandé, toi qui étais plus que réticente lors de nos deux ou trois précédentes tentatives.


Quatrième surprise. Quand Renaud et Valérie nous ont invités, tu as accepté, alors que je m’attendais à te voir fuir en devenant écarlate.


Cinquième surprise. Tu as accepté de refaire notre partie de jambes en l’air, si peu de temps après la première et en compagnie d’un autre couple qui plus est.


Sixième surprise. Tu as roulé une pelle d’enfer à Valérie. Alors que tu as toujours proclamé bien haut que toi les filles…



Pour ton premièrement, depuis le restaurant, je me sentais chaude, j’ai songé à un petit hôtel. Mais quand tu as commencé à me câliner, j’ai eu vraiment envie. Je ne nous voyais pas partir à la recherche d’une chambre pour deux ou trois heures. Alors, autant rester où nous étions, je pensais que nous y serions peinards.


Pour ton deuxièmement, comme je l’ai expliqué quand Valérie a posé la question, je ne pensais pas que tu allais faire entrer toute ta main, aussi je n’avais pas d’appréhension. Et quand j’ai réalisé que c’était fait, il n’était plus temps d’avoir peur.


Pour ton troisièmement, j’avais senti que tu me titillais la pastille, je n’avais pas trouvé cela si désagréable, comme les fois précédentes. Aussi quand tu as promené ta queue dans la zone, comme ma chatte avait été comblée, j’ai pensé que c’était le moment d’essayer de ce côté là. Et bingo c’est rentré sans que j’aie mal au cul.


Pour ton quatrièmement, j’ai effectivement pensé à fuir, mais je crois que j’aurais eu encore plus de mal à sentir leurs regards sur notre dos en partant tout de suite que de les affronter en face. En jamais plus je n’aurais alors osé revenir, pour voir nos amis de crainte de les croiser dans l’escalier.


Pour ton cinquièmement, hé bien Valérie m’agaçait un peu avec toutes ses questions. J’ai pensé que la faire agir, calmerait sa curiosité. Quand j’ai vu qu’elle essayait de se dérober et que pour lui faire bouger son cul il fallait l’accompagner et bien je me suis fait une douce violence.


Pour ton sixièmement. C’est la solution que j’ai trouvée pour l’immobiliser pour que Renaud puisse conclure, sinon on risquait de ne pas en sortir. Et puis je vais te dire je voulais un peu me venger, car lorsqu’ils nous ont abordé, je n’avais jamais eu autant la honte, comme dirait notre fils. J’ai eu envie de disparaître dans un trou de souris, de m’évaporer dans l’air. Et je pense que c’est elle, par curiosité, qui a poussé à nous aborder dans l’escalier. C’est pour ça que j’ai aidé Renaud à forcer le passage. Et si tu veux mon avis, au début au moins elle a dû avoir un peu de mal à digérer la potion, même si après ça a été mieux. Je sais, je sais c’est très vilain d’aider un horrible mâle à forcer une malheureuse femelle, mais bon, elle était d’accord. Mais je vais t’avouer, une petite circonstance aggravante en plus. Tu sais je me suis doutée que Valérie aurait plus de mal que moi à prendre la main de son mari dans le con. Je ne sais pas si tu as remarqué les mains de Renaud. Ce sont de véritables battoirs, les tiennes à côté ont l’air toutes menues, alors évidemment c’était normal que ça coince un peu. Elle va être guérie de sa curiosité pendant quelques temps je pense.