Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08718Fiche technique9159 caractères9159
Temps de lecture estimé : 6 mn
23/03/05
Résumé:  Une ancienne collègue, Nadette, que j'avais un peu dépannée dans son nouveau poste où elle se trouvait fort isolée, m'avait invité à dîner.
Critères:  fh collègues 69 pénétratio
Auteur : Bernard Nadette  (Bernard)      Envoi mini-message

Série : Nadette m'étonne

Chapitre 02
Un Scrabble chez Nadette


Une ancienne collègue, Nadette, que j’avais un peu dépannée dans son nouveau poste où elle se trouvait fort isolée, m’avait invité à dîner. Ensuite, une partie de scrabble avec un ami qui devait arriver après le repas était au programme.


Nous dînâmes parlant surtout « boutique », évoquant les problèmes que Nadette rencontraient. Le repas fut achevé vers 21h00, heure à laquelle notre partenaire devait arriver. En l’attendant, nous discutâmes de choses et d’autres. Comme il n’arrivait toujours pas, Nadette me proposa ses albums photos. Nous nous installâmes sur le canapé pour les ouvrir sur nos genoux, la table étant occupée par le jeu.


Nous étions fort serrés, pour que l’album ne tombe pas. Comme je tournais les pages, mon bras frôlait sa poitrine. Nadette loin de se reculer, bombait plutôt le torse. Lorsque nous changeâmes d’album, je passais mon bras droit derrière elle sur le dossier du canapé. Ce fut elle alors qui tourna les pages.


Je laissais glisser mon bras sur ses épaules en l’attirant encore plus près, jusqu’à ce que sa tête se pose sur ma poitrine. De ma main gauche, je lui levais le menton, et nous échangeâmes notre premier baiser. Ma main laissant son menton que je n’avais nul besoin de lui soutenir à présent, déboutonna le haut de sa robe. Cela me permit d’introduire ma main droite dans le décolleté ainsi ouvert et de me lancer à la découverte de ses seins. Elle, de son côté avait déboutonné ma chemise et me caressait le torse. Mais je fus bien vite gêné dans mon exploration par le soutien-gorge. J’achevais donc de lui déboutonner le haut de sa robe que je fis tomber de ses épaules. Le gêneur fut bientôt dégrafer et vola sur la table d’où fit tomber quelques lettres du jeu. Personne ne s’en soucia. Je pus alors admirer et m’occuper de ses seins.


Je les caressais doucement, partant de l’attache pour remonter lentement vers le mamelon. Bientôt ma bouche rejoignit mes mains, embrassant, léchant, mordillant délicatement. De petits soupirs répondaient à ce traitement. Je la fis se lever pour la serrer contre moi et sentir contre mon torse ses seins aux tétons turgescents, et échanger un long baiser. Comme elle était debout, sa robe glissa jusqu’à terre. Lorsque nos bouches se séparèrent, je me lançais dans une série de baisers, partant du cou, descendant petit à petit vers les seins, puis le nombril. Nadette me caressait les cheveux.


Mes mains se saisirent de l’élastique de sa culotte afin de retirer ce dernier voile. L’entrejambe en était trempé et presque transparent. Il lui collait à la peau et aux poils, ne cachant presque plus rien. Pourtant Nadette essaya de retenir cet ultime rempart. Ma bouche remonta alors à ses seins, je happais un téton, le serrant un peu plus fort entre mes lèvres, tandis que ma main effleurait sa fente à travers le tissu. Nadette étouffa un gémissement et lâcha son slip que je pus alors faire glisser sans peine, il rejoignit la robe sur le plancher. Je poussais Nadette vers le canapé. Elle s’y laissa tomber et s’y allongea. Je m’agenouillais devant elle, couvrant son corps de baisers et de caresses qui se rapprochaient de plus en plus de sa toison. Je lui faisais petit à petit écarter de plus en plus les cuisses. Je pus ainsi investir son intimité.


Quelques temps, Nadette se contenta de subir, puis elle se pencha un peu sur le côté et je sentis sa main s’affairer sur les boutons de mon pantalon qui cédèrent un à un, et elle sortit mon sexe de mon slip où il se sentait bien à l’étroit. Nous nous lançâmes alors dans un 69 échevelé. Après quelques temps, je sentis que je ne pourrais résister à pareil traitement très longtemps encore. Je voulus donc, à regret, interrompre ce délicieux exercice, pour reprendre un peu mes esprits, mais Nadette ne l’entendit pas de cette oreille et ne lâcha pas ce qu’elle tenait dans sa bouche, une de ses mains s’accrochant fermement à mes couilles. Je repartis donc à l’assaut de mon côté, lui broutant le clito, lui enfonçant le pouce dans sa fente et même un doigt dans son petit trou. Le premier, je me répandis sur sa bouche. Elle jouit peu après en s’arc-boutant, son corps secoué de frissons. Elle émit un feulement qui a du intriguer les voisins. Nous restâmes serrés l’un contre l’autre.


Le téléphone sonna. C’était notre partenaire qui appelait pour s’excuser de nous avoir fait faux bon et de ne pas avoir pu nous avertir plus tôt. Il espérait que cela n’avait pas gâcher la soirée et qu’on ne lui en voulait pas trop. Nadette, qui était encore en tenue d’Eve lui répondit :



Quand elle eut raccroché, nous décidâmes d’aller prendre une douche. Quand nous fûmes sous la douche, nos lèvres se soudèrent et nos langues se trouvèrent. Après un long baiser, je prenais un peu de gel douche dans la main et commençais à savonner lentement Nadette. D’abord le dos, puis les jambes, le ventre, avant de m’attarder sur les seins et les fesses. Enfin je m’occupais de sa petite toison. Elle me rendit la pareil en s’attardant particulièrement sur ma queue qui se dressait vers le ciel.


Nous nous rinçâmes et nous essuyâmes mutuellement, avant d’échanger un nouveau long baiser. Quand nos bouches s’éloignèrent, je la fis s’appuyer sur le bord de la baignoire et m’agenouillais derrière elle, lui écartais doucement les jambes pour pouvoir lui faire un baiser sur ses lèvres du bas. Elle se cambra, me permettant de mieux accéder à son intimité. Sa chatte s’épanouissait sous les caresses. Après l’avoir léchée et embrassée un long moment, je me redressais. Je la saisis par les hanches et pointais mon sexe vers sa chatte où je pénétrais lentement, glissant à l’intérieur du doux fourreau avec une grande facilité.


Je lâchais ses hanches et me penchant en avant, je pus m’emparer de ses seins, les caressant de la base vers la pointe. Parfois je faisais rouler, entre mes doigts, les bouts qui bientôt pointèrent fièrement. Je finis par abandonner ses tétons pour la reprendre par les hanches. Je la pilonnais de plus en plus fort. Elle se cramponnait au bord de la baignoire pour résister à l’assaut. J’étais sur le point d’exploser, fiché dans le chatte de Nadette quand tournant la tête, elle me dit d’une voix haletante :



J’ai juste eu le temps de me retirer pour cracher ma semence sur ses fesses. Nous reprîmes une douche rapide. Quand nous fûmes sec, Nadette se lova contre moi, debout dans la salle de bain. J’étais un peu hésitant, devais-je rester, au risque de paraître trop m’imposer, ou rentrer dans mes foyers et paraître vouloir fuir après avoir tiré mon coup. Je ne voulais rien gâcher et décidais de ne rien décider immédiatement pour essayer de sentir d’où venait le vent.

Je dis :



J’optais pour la deuxième solution. Nadette en fut ravie, elle m’entraîna dans sa chambre, alluma au passage la télé. Nous glissâmes nus dans le lit et elle vint se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Nous ignorâmes superbement la télé qui bientôt fut éteinte et nous nous endormîmes serrés l’un contre l’autre.


Le lendemain matin, je réveillais Nadette avec des petits bisous, partant du cou, m’attardant ensuite un peu sur ses tétons que j’embrassais, aspirais, mordillais, titillais de la langue, les sentant gonfler et durcir sous la caresse. Puis je continuais de descendre, couvrant de baisers son ventre, avant d’arriver à la toison et à son petit bouton que j’honorais comme ses tétons, avec le même résultat. Nadette poussa un soupir satisfait.


Elle s’empara de ma queue qu’elle gratifia de quelques baisers légers. Mais hélas, il était déjà tard et il fallut se lever pour aller là où le devoir nous appelait.

Comme nous nous séparions devant son immeuble sur un dernier baiser, je lui dis :



Elle vint et depuis nous ne nous sommes plus quittés.