n° 08845 | Fiche technique | 10384 caractères | 10384Temps de lecture estimé : 6 mn | 12/04/05 |
Résumé: Les choses se précisent. Petite main pour grosse affaire. | ||||
Critères: fh cousins vacances forêt campagne volupté intermast init | ||||
Auteur : Prof Sevy |
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Mémoires Fantasmatiques et Imaginaires, hélas, d’un bachelier resté puceau, et Extraits du Journal Intime de la jeune Martine
Quelques jours après, Martine me propose un tour en vélo.
Nous roulons quelques minutes, sans un mot.
Au début, Martine roule sagement, assise sur sa jupe, comme il sied à une jeune fille bien élevée.
Au premier virage, elle se soulève pour dégager sa jupe et lui permettre de voler autour d’elle, dévoilant parfois un éclair de coton blanc. Je prends soin de rester derrière elle, ce qui ne lui échappe pas. Elle pédale parfois en danseuse, sans autre raison vraiment évidente que de m’offrir un gentil spectacle. Je ne sais pas exactement où elle veut en venir, à m’allumer ainsi. Et déjà, je ressens une certaine émotion.
On rentre. Il y a là de la paille, des vieilles machines agricoles, quelques outils, et une échelle qui monte à l’étage où reste un peu de foin.
Et elle grimpe à l’échelle.
Je profite sans vergogne de la contre-plongée qui m’est ainsi offerte. Ce ne sont plus les cuisses de petite fille que j’entrevoyais il y a quelques années lorsque nous grimpions aux arbres, mais des cuisses de femme, et le petit ruban de culotte cache maintenant bien autre chose qu’autrefois… Je m’engage derrière elle, le cœur un peu battant.
Nous sommes maintenant dans la grange, debout l’un en face de l’autre. Et maintenant ? je me demande…
Je déboutonne son chemisier, un peu tremblant et maladroit, fais glisser un bras, l’autre. Elle est en soutien-gorge devant moi, et c’est déjà quelque chose de très innovant pour moi !
J’hésite un instant entre continuer par la jupe ou par le soutien-gorge. Je trouve la fermeture Eclair de la jupe, l’ouvre, fais glisser le vêtement aux chevilles. Ma gorge devient un peu plus sèche.
Elle se retourne, je dégrafe le soutien-gorge, en évitant de toucher sa peau avec mes doigts, comme si ce contact devait m’électrocuter. Elle se retourne à nouveau face à moi.
Je fais glisser les bretelles sur ses épaules, dégage les bonnets et découvre ses seins, tout blancs, avec des aréoles gonflées, des pointes brunes et dures. Je reste interdit, et regarde. Martine est fière de l’effet produit.
Je m’agenouille devant elle et descends sa culotte autour de ses cuisses, trop vite, sans ménagement. J’apprendrai par la suite à faire cela de façon beaucoup plus suave… Je me trouve nez à nez - si je puis dire - avec le triangle de ses poils, endroit mystérieux et ô combien imaginé. Je ne bouge pas, fasciné. Elle se recule d’un pas.
Et elle tourne lentement sur elle-même pour me faire profiter de tous les angles : le profil montrant le galbe de son buste et de sa croupe, le dos qui révèle la forme du corps : des épaules juste assez larges, un buste qui va s’amincissant jusqu’à la fine taille. Et puis la chute de rein, la rondeur du derrière, les fesses, avec ce sillon qui semble cacher pudiquement quelque trésor et, en bas, cette zone d’ombre encore si mystérieuse pour moi… Et les cuisses, objets quasi sexuels, tant elles ont le pouvoir de protéger et interdire ou au contraire dévoiler et offrir… Et, devant, ces seins pour lesquels on imagine mille caresses et mille douceurs, la taille, le ventre et sa fin, en bas, avec ce triangle presque trivial de poils, dernier rempart contre l’inaccessible.
Martine est nue, pour moi. Je ne vois pas Martine, je vois la Femme. Je regarde, elle voit que je regarde, elle me l’offre. Je bande. Mon érection est à la mesure du cadeau.
Et elle entreprend de me déshabiller à son tour. Sans hésiter, elle me retire ma chemise, mon short. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Elle marque à peine un temps devant mon slip bien déformé par une monstrueuse érection. Elle commence à le descendre, en faisant bien attention de ne rien accrocher : crainte du contact, ou bien de me faire mal ? Elle marque un nouveau et bref temps d’arrêt devant l’objet qui se libère du sous-vêtement. C’est à ce moment qu’on entend une mobylette s’arrêter devant la porte.
Nous nous jetons sur le plancher, terrorisés à l’idée de nous faire surprendre. La porte s’ouvre et on entend des chuchotements. Martine risque un regard :
Heureusement, ils sont bien trop pressés pour monter. De là où on est, on ne voit rien, mais on entend des froissements de vêtements, des cris et des rires étouffés, puis des sortes de petits cris rythmés, comme des cris de douleur. Martine a pris ma main et la serre, très fort. Nous sommes trop pétrifiés pour faire quoique ce soit.
Finalement, silence, puis de nouveau des bruits de corps sur la paille, et on aperçoit la jeune fille qui remet sa culotte, rajuste sa blouse sur ses seins et Fabien, de dos, qui remonte son pantalon. Ils sortent, la mobylette démarre.
Nous restons là… congestionnés, mais déconcertés. Nous nous regardons. Avec mon slip autour des cuisses, je suis ridicule. Nous faisons semblant d’en rire, mais la scène non vue a quand même été excitante, et mon reste d’érection reprend de la vigueur devant la nudité de Martine.
Je me dégage de mon slip.
Elle esquisse le geste, mais à peine l’a-t-elle touché, qu’elle retire sa main.
Elle le prend. La fraîcheur et la gracilité de sa main me surprennent et me fouettent. J’entoure sa main avec la mienne pour la guider, reste un long moment sans bouger, et j’entame le va-et-vient salvateur. Brusquement, elle retire sa main à nouveau.
Je reprends sa main, parviens doucement à vaincre sa résistance, et dispose à nouveau ses doigts autour de ma verge, enserrés par ma propre main. Je reprends le va-et-vient. Cette fois, elle se laisse faire et, bientôt, elle n’a plus besoin d’être guidée. Son mouvement est moins hésitant, prend de la fermeté et de l’ampleur, jusqu’à ce que de longs jets de sperme giclent et se perdent dans le foin.
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Journal de Martine - Jeudi soir
Quelle aventure ! Je ne sais pas trop que penser. J’ai emmené André dans la grange, je voulais "essayer", pour voir. Essayer quoi, je ne sais pas trop, je ne savais pas du tout ce qui allait se passer, ni comment.
Je l’avais déjà bien allumé sur le trajet en vélo, en lui faisant des effets de culotte. Je lui ai demandé de me déshabiller. Il tremblait, je prenais l’air très assuré mais je n’en menais pas large non plus.
Quand j’ai été toute nue, il m’a regardée, carrément zyeutée ! Il en a pris plein les mirettes. Je me suis tournée pour qu’il me voie sous toutes les coutures. C’est pas pour dire, mais il avait l’air drôlement admiratif. Il est vrai qu’il manque de points de comparaison…
Et puis je l’ai déshabillé aussi, mais au moment où je lui baissais son slip, j’ai à peine eu le temps de voir son sexe déjà bien grossi tout près de moi : Fabien est arrivé avec une fille et ils ont fait l’amour dans la paille, sans même se déshabiller. Ça m’a fait une drôle d’impression, je n’avais plus envie de continuer à jouer avec André.
Mais lui, ça l’avait mis dans un état pas possible. Il a voulu que je prenne son sexe dans ma main. Je n’ai pas voulu, mais il a pris ma main et l’a posée dessus. En fait, ça fait drôle : c’est drôlement chaud, à la fois dur et très doux. Mais quand on sent qu’il s’excite, ça fait peur, on se demande ce qui va se passer.
J’ai enlevé ma main. Mais il a insisté encore et, finalement, je l’ai repris et j’ai fait aller et venir ma main comme il m’avait montré. Je le sentais devenir encore plus dur, et je l’ai carrément masturbé jusqu’à ce qu’il éjacule dans le foin. Il avait l’air bien soulagé. Moi, ça m’a quand même fait tout drôle, mais ça ne m’a pas donné vraiment du plaisir comme quand je me caresse.
J’aurai toujours vu ce que c’est.