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Temps de lecture estimé : 6 mn
16/04/05
Résumé:  Où Martine commence à trouver des réponses satisfaisantes et fait découvrir des trucs à son cousin.
Critères:  fh cousins vacances douche volupté facial fellation jeu init
Auteur : Prof Sevy

Série : L'été du bac

Chapitre 04 / 08
Fantaisie domestique

Mémoires Fantasmatiques et Imaginaires, hélas, d’un Bachelier resté puceau, et Extraits du Journal Intime de la jeune Martine






Le lendemain matin, je suis à nouveau réveillé par le bruit de la porte. J’ouvre un oeil : grand beau temps. Martine passe sa tête par l’entrebâillement.



Elle porte une sage chemise de nuit qui arrive largement au-dessous du genou. Elle la fait voler et se glisse toute nue contre moi, en chien de fusil. Je sens ses seins contre mon dos, ses poils contre mes fesses, ses cuisses contre les miennes.



Elle prend doucement mon sexe dans sa main.



Et elle poursuit ses caresses, doucement, presque avec nonchalance. Mais je développe déjà une belle érection. Elle regarde.



Elle se met à califourchon sur moi, un genou de chaque côté de mon bassin. Je vois ses seins dressés et les prends. Et puis je sens sa vulve entrouverte tout contre mon sexe et elle entreprend un doux va-et-vient. Elle pose ses mains sur les miennes et se caresse les seins par mains interposées. Je lui agrippe les fesses pour accompagner le va-et-vient, les écartant comme pour les déchirer. Et puis elle accélère le mouvement, penchée en avant, prenant appui sur le lit avec ses mains, je vois ses seins juste au-dessus de mon visage, je les prends, puis reprends ses fesses, convulsivement, un doigt presque dans son petit trou et c’est l’explosion, en jet tellement vigoureux que j’en ai jusqu’au menton et qu’elle en a sur les seins..! Elle se redresse, me regarde, étale le sperme sur ses seins et s’affale sur moi, écrasant sa poitrine sur la mienne… Je reste inerte sur le dos.



Et puis nous passons sous la douche : il faut bien ça.



Je la douche donc bien consciencieusement, je remplis mes paumes de gel douche et la savonne, très soigneusement. J’en profite sans vergogne : on est là pour ça ! Ses seins : c’est l’occasion d’en bien apprécier la douceur, la fermeté. J’insiste sur les mamelons, je les sens durcir. Et puis je descends sur le ventre, le dos, les fesses. Je m’attarde longuement, elle écarte un peu pour me laisser passer jusqu’à son intimité, jusqu’à son petit trou, tout mignon, tout doux.


Et puis je passe aux pieds, aux jambes et remonte aux cuisses, l’extérieur d’abord puis l’intérieur et remonte. Elle écarte à nouveau et je vois ce que je caressais et n’avais qu’entraperçu la veille au soir. C’est la première fois que je vois un sexe de femme. Au-dessous du triangle de poils, sa fente bordée par deux lèvres épaisses. Vers le milieu, deux charmantes petites nymphettes roses dépassent un peu, donnant envie de les baisotter. Je lave le tout très soigneusement. "Il faut faire aussi l’intérieur", me souffle-t-elle à l’oreille… Je suis à genoux devant elle. Elle écarte ses lèvres avec deux doigts : "Tu vois, me dit-elle, il faut laver tous les replis…" Je retrouve le petit capuchon, surmontant le fameux bouton magique et, au-dessous, l’entrée toute rose du vagin. Entrée d’une grotte fermée, évoquant mille félicités…


Je m’exécute très soigneusement, lavant chaque pli, chaque recoin avec conscience. Je pense qu’elle n’a jamais été aussi propre. Je rince bien avec la douche et j’ai une furieuse envie d’embrasser ce sexe qui est là, juste à portée de mes lèvres. Mais Martine me fait relever. Je suis bien congestionné, avec une érection à la mesure de l’émotion que j’ai ressentie.



Elle entreprend alors de me laver tout le corps avec une vigueur de matrone et ma queue prend un peu de repos. Et puis :



Elle s’agenouille à son tour devant moi. Elle prend du savon dans ses mains, et me savonne doucement. Elle décalotte, remet du savon, puis rince soigneusement avec la douche, tout cela doucement, consciencieusement. Puis elle dépose des petits baisers sur le gland, puis sur le fourreau… Et puis elle se met à le lécher à petits coups de langue… Et puis elle le prend dans sa bouche, fait du va-et-vient, le ressort, le lèche, le reprend dans sa bouche et recommence… La sensation est divine. Pendant ce temps, son autre main me caresse les testicules et en arrière jusqu’à mon anus. Je fais aussi longtemps que possible des efforts désespérés pour retarder la fin, et puis je lâche tout. Je l’ai prévenue trop tard et elle reçoit tout dans la figure. Elle se lève. Des traits de sperme sur son visage, son menton, ses mains, ses cheveux même. Malgré l’état second où je me trouve, je suis tout embêté. Mais elle me regarde en souriant et dit simplement en se léchant les doigts :





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Journal de Martine - Lundi soir


J’avais décidé de prendre l’initiative et le contrôle. Ce matin je suis allé le retrouver dans sa chambre. Je l’ai un peu fait démarrer à la main et puis je me suis mise à califourchon sur lui, les cuisses bien écartées pour ouvrir un peu ma minette et je me la suis bien frottée contre son sexe. Il m’a pris les seins, les fesses, est encore allé vers mon petit trou (Il a l’air de bien l’aimer), et puis on a bien fait les choses ensemble cette fois. À certains moments, je sentais même son gland dans ma fente et il s’en est fallu de peu que je me fasse carrément pénétrer, d’autant plus que j’étais tellement mouillée que ça glissait trop bien ! Mais je suis arrivée à bien contrôler la situation et quand il a joui, je le serrais contre moi et là, de sentir son sexe vibrer contre le mien, presque contre mon clitoris, ça m’a faite jouir aussi. Pas le grand frisson, non, mais c’était déjà beaucoup mieux que jusqu’ici.


Et puis après on est allé sous la douche et là, je me suis bien laissée savonner : c’était très agréable et il en a bien profité. Et puis je lui ai donné une bonne leçon d’anatomie intime. Au moins, maintenant, il sait comment c’est fait. Il n’en pouvait plus le pauvre. Alors je l’ai bien frictionné pour ralentir ses ardeurs.


Et puis je me suis occupé de son sexe : à genoux devant lui, j’ai eu tout le loisir de voir également comment c’était fait. Et de le voir tout joli, tout propre, relevant la tête sous mes caresses, juste devant mon visage, je l’ai trouvé craquant, et j’ai déposé un petit mimi sur son sommet. Cela a eu l’air de l’électriser et m’a fait tout drôle. Embrasser le sexe d’un garçon, ça me semblait un truc dégoûtant et je ne l’avais jamais trop imaginé. Et puis là, c’était au fond bien agréable, bien doux. Alors j’ai donné encore des petits baisers depuis le haut de la verge et puis en descendant, jusqu’à ses bouboules. Et puis je suis remontée avec des petits coups de langue et puis, tout naturellement, je l’ai pris dans ma bouche. Il avait repris toute sa vigueur et j’avais du mal à le contenir dans ma bouche sans le mordre. Alors je l’ai enserré entre mes deux mains et j’ai léchotté son gland et puis je l’ai repris. Ce gros sexe dans ma bouche, c’était une sensation extraordinaire et surprenante. C’était très agréable à léchotter et baisotter aussi, à pomper, à caresser… J’aurais voulu que ça dure longtemps, longtemps… Mais tout d’un coup, il a crié "Attention !", je l’ai enlevé de ma bouche et j’ai tout pris dans la figure ! Ca aussi, c’est une sensation bien spéciale ! Mais pas plus son sexe dans ma bouche que son sperme sur ma figure je n’ai trouvé cela sale. C’est venu tout seul, tout naturellement. Cela fait partie du truc.


J’aurais bien voulu qu’il éjacule dans ma bouche, j’aurais eu l’impression de finir complètement ce que j’avais commencé.