n° 08907 | Fiche technique | 12936 caractères | 12936Temps de lecture estimé : 8 mn | 20/04/05 |
Résumé: Dans lequel André a compris qu'il ne fallait pas aller trop vite. | ||||
Critères: fh jeunes cousins vacances bain volupté voir exhib nudisme intermast cunnilingu init | ||||
Auteur : Prof Sevy |
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L’ETE DU BAC - 5
Mémoires Fantasmatiques et Imaginaires, hélas,
d’un Bachelier resté puceau,
et Extraits du Journal Intime de la jeune Martine
Chap V – FANTAISIE AQUATIQUE
Cinq minutes plus tard, on prend les vélos. Martine a une petite jupe bien affriolante et un petit débardeur. Elle ne porte pas de soutien-gorge aujourd’hui, et je trouve cette vêture légère d’excellent augure. Je crois apercevoir qu’elle n’a pas le même maillot que l’autre jour. On pédale un bon moment, sous la chaleur.
En fait, on s’arrête bientôt et on cache les vélos dans un taillis. On prend un petit sentier qui monte dans le bois. Au cours de la montée, je mate furieusement le petit maillot sous la mini-robe. Qui donc a dit que le meilleur moment, c’était en montant l’escalier ?
Au bout de quelques minutes, on quitte le sentier et on s’enfonce à travers bois, au milieu des ronces et des taillis, et puis on arrive tout d’un coup dans une trouée verdoyante, au bord d’une petite rivière, un peu en aval d’une cascade. La rivière est assez large à cet endroit, calme… Malgré la chaleur, l’endroit donne une impression de fraîcheur incroyable.
Elle fait glisser sa jupe, montrant un ravissant bikini à fleurs, noué sur les côtés. Elle enlève son débardeur. Ses seins sont nus.
Et nous rentrons dans l’eau. C’est une eau de rivière, froide et qui fouette, mais cela fait du bien. Nous nageons un moment et je suis Martine jusqu’à une sorte de lagon presque isolé du cours de l’eau, au bord d’un grand rocher plat. Tout de suite, la température de l’eau est montée et donne une impression de tiédeur, pas tropicale, mais avec un peu d’imagination…
Nous jetons nos maillots sur le grand rocher et recommençons à nager. C’est vrai que l’impression est très agréable, surtout en compagnie d’une belle fille nue… On s’amuse à monter sur le rocher, à sauter, à plonger. Merveilleux plaisir sensuel au vrai sens du terme, sensation physique de l’eau, du froid, du chaud, spectacle magnifique du corps de Martine…
Au bout d’un moment, fatiguée, elle s’accoude à plat ventre sur le bord du rocher, laissant son corps flotter et esquissant les mouvements de la brasse avec ses jambes. Je suis derrière elle, mon sang est fouetté par le spectacle de ses fesses et de ses cuisses qui, alternativement, s’écartent et se resserrent aussitôt, alternant offre et frustration. Bientôt, n’y tenant plus, je m’avance entre ses cuisses, j’écarte ses fesses, les resserre sur mon sexe durci et entame un va-et-vient… Elle s’esquive doucement et se retourne.
Elle a raison. Je retourne nager un peu en eau froide pour me calmer. Et puis on recommence à jouer dans l’eau, à se poursuivre, à se frôler, se toucher furtivement, s’attraper, se regarder. Elle sait que je la regarde, partout, elle m’a amené ici pour cela. Je regarde sans vergogne et essaye de m’en gorger les yeux et les souvenirs, de ce corps de femme. Tantôt un éclair blanc glissant dans l’eau, tantôt ses seins lorsqu’elle saute hors de l’eau en levant les bras, son dos et ses fesses lorsqu’elle plonge, son ventre, son intimité, parfois furtive, parfois bien exposée, et son visage toujours riant.
Elle s’accoude à nouveau sur le bord du rocher, sur le dos cette fois, fermant les yeux à cause du soleil, écartant les jambes pour goûter la caresse de l’eau. Je la regarde, encore et encore, m’avance à nouveau vers elle, replie ses jambes largement écartées, me plaque contre ce sexe qu’il m’est interdit de pénétrer, lui caresse doucement les seins.
Je me penche sur ses seins pour les baiser. Je prends les pointes entre mes lèvres, les sens durcir encore.
Et je les caresse encore, me repaissant de la douceur exquise de sa peau. J’arrive à ne plus être fébrile, à me contrôler. Et je caresse ses fesses, tout doucement, son ventre, reviens à ses seins, puis ses fesses, que j’écarte pour la caresser autour de son petit trou.
Mon sexe, complètement érigé, toujours plaqué contre le sien, commence à crier au secours.
Alors je m’écarte un peu d’elle, pour la caresser dans l’eau, entre ses cuisses, tout en haut, là où la peau est si douce, m’insinuer vers son petit bouton, errer vers l’autre petit trou et appuyer dessus comme pour faire mine de le forcer -elle frissonne - caresser l’entrée de son vagin, y lancer furtivement un petit coup de langue, déposer un petit baiser sur ses nymphettes et les serrer furtivement entre mes lèvres, revenir au bouton et caresser, caresser, caresser. Elle pousse sur ses cuisses, comme pour mieux s’ouvrir. Et, la tête à moitié dans l’eau, respirant de temps en temps, je léchotte et suçotte le petit bouton, le bout de ma langue s’active de plus en plus vite. Et soudain elle commence à se tortiller comme pour se dégager, à essayer de serrer les cuisses que je tiens bien écartées, elle ferme les yeux, se cambre.
Le visage dans l’eau, je ne peux plus respirer. Je me redresse, continue à exciter sans pitié le petit bouton avec mon doigt. Elle se tortille de plus belle, gémit, se cambre, elle empoigne ses seins à deux mains, écarte ses fesses, elle empoigne au passage ma verge, la branle douloureusement et, soudain, au moment même où j’éjacule, elle se cabre, complètement, immobile, comme tétanisée. Elle reste ainsi un temps qui me paraît très long et puis retombe doucement.
Et puis bientôt on va s’étendre sur le grand rocher plat… Nous sommes tous les deux à plat ventre, lézardant, nus au soleil.
C’est la surprise. On pensait être tranquille : "Il ne vient jamais personne ici" ! Et mon maillot qui gît par terre à cinq mètres d’ici ! On relève la tête. Deux jeunes filles en mini robe sont là, sur notre rocher, les sandales à la main, mouillées jusqu’à mi-cuisse. Je ne sais pas depuis combien de temps. Je me demande s’il n’y a pas un petit sourire sur leurs lèvres.
Elles ont un petit accent nordique tout à fait charmant. Nous n’avons pas le temps de répondre. Déjà elles ont fait voler leurs robes par-dessus leur tête, fait glisser leurs slips et, complètement nues, plongent dans l’eau.
Toujours à plat ventre, le menton sur nos bras repliés, nous regardons. Les deux filles s’ébattent dans l’eau, jouant à s’asperger en riant, comme des gamines. Elles nagent, se poursuivent, s’attrapent, elles jouent. Et puis, debout dans l’eau jusqu’aux épaules, elles se rapprochent, s’enlacent et s’embrassent sur la bouche, d’abord tout doucement, puis bientôt goulûment. Puis l’une d’elles se retourne et, à travers l’eau très claire, on devine les caresses sur les seins, le ventre, le sexe… Cela devient énervant. On ne devrait pas regarder, mais on ne peut pas s’en empêcher. Je suis obligé de me soulever un instant pour mettre mon sexe vers le haut pour bander tout mon saoul, sans perforer le rocher. Martine m’a dit l’autre jour que ce n’était pas trop son truc, mais elle a l’air quand même bien scotchée.
Les deux filles nagent vers nous, remontent sur le rocher, sans gêne aucune et s’assoient à côté de nous, le menton sur les genoux repliés. Derrière les pieds j’aperçois des grandes lèvres fermées, très appétissantes, bordées de longs poils blonds et frisés. J’ai du mal à en détacher les yeux. Ce n’est pas avec ça que mon émoi va se calmer…
Martine reste interdite. On se regarde, un peu paniqués. Elle prend l’initiative :
Elle se lève, ramasse son maillot et, sans même, l’enfiler plonge dans l’eau et nage vers la rive. Je la suis et comme elle, récupérant mon slip au vol sans penser à cacher mon émoi, je plonge précipitamment à mon tour. Les deux filles éclatent de rire.
Nous finissons de nous rhabiller sans même nous sécher et sommes pris d’un fou rire qui nous tiendra jusqu’aux vélos.
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Journal de Martine - Mercredi soir
L’apprentissage commence à porter ses fruits. Finalement, André ne se débrouille pas mal.
Je l’ai emmené se baigner vers la cascade, là où je suis allée plusieurs fois avec Sophie. Dans le "lagon", l’eau était très chaude et on s’est mis tout nu. Il a commencé à s’énerver un peu vite et j’ai dû le rembarrer. Mais là aussi, il en a pris plein les mirettes à force de me regarder. Je l’ai d’ailleurs bien regardé aussi. Il est beau gars, assez musclé. Mais c’est sûr que la zigounette qui ballotte au gré des mouvements, ça nuit à l’image.
Et puis je me suis installée, appuyée sur les coudes sur la grande pierre, le reste du corps dans l’eau, les cuisses bien écartées. Il a commencé à m’entreprendre, mais cette fois tout en douceur. Il est venu appuyer son sexe contre le mien et m’a caressé les seins, tout doucement. Il est resté longtemps très calme, ses caresses étaient très douces, j’en frissonne encore. Et puis il m’a caressée partout, toujours son sexe tout dur contre le mien, et ça a commencé à me chauffer aussi.
Et puis il s’est écarté de moi et m’a entreprise avec sa langue, ses mains, ses doigts. Il est arrivé à me baisotter la minette la tête dans l’eau. Il doit être amphibie… Il s’est bien intéressé à mon petit trou aussi et j’ai bien cru qu’il allait y aller.
Et puis quand il m’a sentie bien chaude, il a tout doucement attaqué le clitoris et ce coup-ci, il n’a rien massacré du tout. Il a eu un doigté de doigts et de langue sublime, j’ai cru que j’allais en crever. Je me tordais dans tous les sens et, heureusement, il n’a pas arrêté. J’ai cru que j’allais m’arracher les seins, les fesses. Quand j’ai senti que j’allais jouir, je lui ai attrapé la queue et l’ai bien branlée pour qu’on jouisse ensemble. Je n’avais jamais eu d’orgasme comme celui-ci ! C’était vraiment la "petite mort" !
Après, on était tranquille sur la grosse pierre, et deux Hollandaises sont arrivées. Elle se sont baignées à poil devant nous, en se faisant des mignardises et puis sont venues près de nous. André ne pouvait pas détacher son regard de la fente de l’une d’elle, une grande fente à peine brunie, cernée de poils blonds et frisés… Elles voulaient qu’on joue avec elles, et commençaient même à me caresser les fesses. J’ai pris peur et on s’est enfui à poil en courant.