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Temps de lecture estimé : 11 mn
16/04/05
Résumé:  Pierre se cherche
Critères:  hh inconnu volupté hsodo init
Auteur : Toutou

Série : L'initiation de Pierre

Chapitre 01 / 03
La première fois


Samedi, l’air est encore frais en ce début du mois de juin, cela fait déjà une heure trente que je trottine le long de la rivière. Encore quelques centaines de mètres après le pont, je rejoindrai ma voiture. J’ai très soif. J’ai oublié d’emporter ma gourde.


Depuis six mois, j’ai décidé de m’occuper de mon corps, il faut dire que mon boulot de comptable n’aide pas au maintien de la forme aussi je fréquente le club de sport deux fois par semaine et m’oblige à ce footing chaque samedi matin. L’effet se fait déjà sentir, mes muscles durcissent et je ressens une certaine fierté. J’ai trente ans et je n’ai pas encore déniché l’âme sœur. Je dois bien avouer que les conversations de mes collègues féminines me rebutent un peu et que je n’ai pas très envie de ressembler à ces maris qu’elles décrivent.


Depuis que je fréquente le club de sport, je me surprends à observer les autres mecs surtout quand ils sont au vestiaire. Il m’arrive parfois de devoir cacher une érection quand un beau gars se met nu et se douche. Je m’habille alors rapidement et rentre chez moi prendre ma douche.


J’arrive enfin au petit pont et je suis surpris de voir un pêcheur non loin de mon véhicule. C’est bien la première fois que j’en vois un surtout à cet endroit.

Je ralentis ma course et commence des mouvements respiratoires. Sa voiture est garée juste à côté de la mienne. Il est debout et tient sa canne dont le bouchon est à l’eau. Il porte un treillis vert.

M’arrêtant à côté de lui, je lui lance un :

« Bonjour, belle journée ! »

« Salut, il va faire chaud cet après-midi »

« La pêche est bonne ? »

« Je viens juste de m’installer d’habitude je vais plus haut, mais aujourd’hui je voulais tester l’endroit. »

« Bonne chance alors »


J’ouvre mon véhicule, me précipite sur la gourde et bois de longues rasades. Je m’asperge le visage avec ce qui reste. Mon tee-shirt est trempé, je le retire, m’essuie et enfile un marcel. Je me sens mieux.

« Vous êtes pêcheur » me demande l’homme.


« Non, je n’ai pas beaucoup de patience. »


« La patience ça s’apprend et la pêche est un excellent exercice. »


« Il faudra donc qu’un jour je m’y mette »


« C’est pas bien compliqué. »


Cet homme dégage un je ne sais quoi, j’ai envie de rester à bavarder alors que d’habitude je m’empresse de rentrer prendre une douche. Je m’assois sur le coffre et le regarde faire.

Il est grand, le treillis moule ses muscles mais ce qui m’impressionne le plus, c’est la bosse qui déforme le pantalon. Il doit en avoir une très grosse…

« Vous voulez essayer ? je m’appelle Alain et vous ? »


« Pierre, je dois partir et puis je ne veux pas vous déranger ! »

« Pas du tout en plus j’ai l’impression que je ne vais pas prendre grand-chose aujourd’hui, disons que c’est un entraînement. »


« alors ok. » Plus je m’approche de lui et plus je ressens un trouble, il dégage des ondes qui m’attirent.


Après quelques explications, je prends la canne à pêche en main. Mon premier lancé est minable, le deuxième pire.


« Laissez moi vous montrer »

Il se place derrière moi, pose ses mains sur les miennes, ajuste la canne dans mes paumes.

Je tremble, ce n’est pas le froid mais le contact de ses mains sur les miennes, de sentir son corps contre le mien et surtout cette bosse qui s’appuie sur mes fesses.

Il guide chacun de mes lancés, on ne fait plus qu’un sur cette canne à pêche.

Au bout de cinq ou six, il abandonne mes mains, remonte jusqu’à mes épaules. Ma peau enregistre à chaque millimètre la douceur de ce contact.

Ses mains s’insinuent dans les échancrures du marcel et se posent sur mes seins.

C’est un choc, mon corps manque de s’affaisser mais ses mains me soutiennent. Je refais un lancé espérant sans trop le vouloir qu’il se détachera de moi mais lorsque le bouchon frappe l’eau, je sens ses doigts se refermer sur la pointe de mes seins. Ils les roulent, les titillent, les pressent, les caressent….je ne sais plus où je suis.

Je renverse ma tête qui vient s’appuyer sur sa joue. Je me donne à lui.

Il ressort ses mains de mon marcel, et les descend doucement vers mon ventre. Elles pénètrent sous l’élastique de mon short. Lentement, elles le font descendre. Une main m’étire le pénis pendant que l’autre prend en charge mes couilles. Je suis là appuyé contre un homme, le laissant jouer avec mon sexe.

« Tu veux voir le mien » me susurre-t-il à l’oreille qu’il entreprend de dévorer. Sa langue la fouille, je sens son souffle dans mon cou. Mon sexe est tendu à l’extrême, j’en veux plus encore.


« Oh oui… »

Il me retourne et me fait mettre à genou devant lui, doucement, délicatement.

La bosse s’est accrue et je distingue très nettement une barre oblique qui remonte sur le côté, vers la ceinture. Il retire son ceinturon, déboutonne le pantalon et fait glisser la fermeture éclair, avec quelques efforts, il libère son sexe, non un bâton, un véritable gourdin qui n’a pas encore atteint toute sa raideur. Je n’ais jamais vu un membre aussi vigoureux, il est large et doit mesurer au moins 22-25 cm. La hampe laisse apparaître de grosses veines.


Il a dégagé son pantalon jusqu’aux genoux et retiré sa veste. Il a un torse velu, aux muscles bien dessinés, ses cuisses sont vigoureuses mais c’est surtout ce sexe qui lui arrive jusqu’à mi-cuisse qui captive mon regard.


« Goûte le, n’ai pas peur il ne mord pas » me dit-il en riant.


Je remonte une main vers ses couilles comme pour les cueillir, elles sont lourdes et ne tiennent pas entièrement dans la paume. Quand je saisis sa verge, je suis consterné de voir que mes doigts n’en font pas le tour. Puis ma bouche se pose sur le gland qui est fièrement sorti de sa tanière. J’ouvre grand la bouche et me saisis de lui comme si j’avais peur qu’il ne m’échappe. Mon inexpérience est vite remarquée par Alain.

« C’est la première fois ? »

Je lève les yeux vers lui, quitte son sexe et d’une petite voix que je ne me reconnais pas lui dit :

« oui »

Il me prend par les épaules, me relève et m’embrasse en pleine bouche, je laisse sa langue jouer avec la mienne, il me lèche les dents, les gencives, le palais, puis je me décide mû par je ne sais quoi, ma bouche se referme sur sa langue, la suce….c’est super…

« Vraiment la première fois, tu n’as jamais touché à un homme ? »

« Non, juste regardé au club de sport. »

Il me reprend la bouche avec plus de fougue encore, je m’abandonne complètement,ses mains me caressent le dos et descendent sur mes fesses.

« Je vais t’apprendre »

Sa bouche descend vers mes seins, s’en empare les pointes qu’elle mord, pinçe de ses lèvres, léche de sa langue. Ce n’est plus elle qui se déplace maintenant mais mon torse qui bouge amenant chaque sein à recevoir les caresses. Ma respiration devient plus forte.

Sa bouche poursuit son chemin, parcourant chaque cm de mon ventre, s’attardant sur le nombril qu’elle cherche à percer. J’entre dans un état second, mon corps frissonne au passage de ses mains, l’une d’elle s’attarde sur mon sexe tendu, elle alterne effleurement et masturbation lente. Elle est rejointe par la bouche qui lentement s’ajuste sur le gland….

Jamais je n’avais ressentis de pareilles sensations.

« Suis-moi ! »

Il me prend par la main. Passant près de la voiture il attrape une couverture.

« ici, nous serons tranquille »

dit-il, étalant la couverture derrière un bosquet, à l’abri des regards. Nous pouvons voir d’ici le chemin et les promeneurs éventuels.

Il me couche sur le dos et reprend ses caresses là où il les a laissées. Je fonds sous sa bouche et ses mains, je me prête à tous ses gestes. Il m écarte et relève les jambes. Sa langue s’amuse avec mes couilles, parcourt mon pénis. C’est incroyablement bon.

Un moment de lucidité, je m’aperçois que mon bassin se souleve, l’invitant à descendre plus bas vers mon anus. Je reçois comme une décharge électrique quand sa langue vient en frapper l’entrée, elle s’y attarde mesure sa résistance qui faiblit à chacun de ses coups.

Mû par je sais quel ressort caché, je prends mes jambes les tire vers ma tête, les écarte autant que je peux, dévoilant complètement l’intérieur de mes cuisses. Mon bassin ondule au rythme des sucions. Je suis complément distendu. Ses doigts remplacent sa bouche, ils massent ma corolle vierge, la tapotent, puis estimant que le chemin est prêt, l’un d’eux s’y enfonce lentement. S’il rencontre une résistance, il s’immobilise puis tournoie pour assouplir la parois.

Alain se déplace légèrement sur le côté. Il a un doigt dans mon anus et de l’autre main, me couvre un sein dont il emprisonne la pointe entre ses doigts. Il reprend sa progression à l’intérieur de moi-même tandis qu’il presse mon téton. Une onde de plaisir part de l’anus au sein. J’en veux plus, mes sphincters avalent maintenant ce doigt, je m’empale maintenant sur ce doigt qui est rejoint par un deuxième. Je m’empare de cette main, la force à aller plus loin en moi. Mon cul est devenu une chatte, je me comporte comme une femme en chaleur. J’ouvre les yeux. Alain à genoux me regarde le sourire aux lèvres.

« On dirait que tu aimes ça, je suis sûr que tu attendais depuis longtemps mais que tu n’osais pas faire le premier pas ? »

« Oui, c’est si bon… »

« Ce n’est rien comparé au plaisir que ma bite va te donner, regarde là elle n’attend plus qu’une chose, s’enfoncer en toi »

Je regarde son mandrin qu’il tient maintenant dans sa main. Ses doigts quittent mon cul.

Il s’assois sur mon torse et me présente son gland que je me mets à lécher comme on lèche une glace. Ma bouche a peine à se refermer sur lui. Je saisis sa bite à deux mains et me frotte le visage avec. Il passe mes deux jambes sous ses bras et ses deux mains s’occupent à m’élargir le cul encore plus. Les doigts s’y engouffrent, écartent ma corolle, la distendent.

« Tu mouilles sacrément ma salope, il va falloir passer aux choses sérieuses »

« Salope », oui c’est ce que j’suis devenu, j’allais lui appartenir, connaître les sensations d’une femme qui offre pour la première fois son cul à son mec, sauf que cette femme c’était moi, un mec.

Il me retourne sur le ventre, me souleve le ventre, je comprend que je devais me mettre à quatre pattes ; il s’agenouille derrière moi, écarte mes fesses et contemple son œuvre.

« Une vraie chatte bien ouverte, comme ma bite les aime ».

Il présente son gland, je retiens ma respiration.

« Détends toi, ça va aller » dit-il en effectuant une première poussée très lente. Le gland est entré, je sens mon cul distendu, j’ai un peu mal. Il poursuit sa progression la douleur est plus vive, je pose une main sur sa cuisse pour l’arrêter.

« Ok, je m’arrête, respire et à toi de bouger maintenant, prends ton temps ; quand ma bite est dans un cul elle ne débande que quand elle a craché sa purée.. »

Après quelques secondes, la douleur s’est estompée. C’est maintenant moi qui pousse, lentement mon cul avale le mandrin. Je m’arrête quand je sens ses couilles poilues contre mes fesses, je l’ai englouti en entier.

Alain reprend l’initiative, il recule puis avance d’abord lentement puis l’amplitude de ses mouvements augmente, il sort presque de moi laissant juste son gland dans l’entrée. À chaque intromission, j’émets des petits cris qui rapidement deviennent « oh ! oui »

Je sens le plaisir grandir en moi, je l’accompagne maintenant en faisant danser mes fesses fermement emprisonnées par ses mains. Je ne bande plus mais je sens la jouissance qui remonte de mes couilles et soudain, je me mets à éjaculer. Alain s’en aperçoit, s’arrête. Mon cul se contracte au rythme de mes jets de sperme. Ma tête se pose sur le sol.

Ma jouissance terminée, Alain reprend ses mouvements plus amples, plus forts plus rapide. Mon cul est en feu. Une deuxième onde me parcourt le ventre et je sens en moi les fortes contractions du mandrin qui lâche sa purée. Je ne peut retenir un cri de jouissance et m’affale sur le sol suivi d’Alain. Nous restons ainsi plusieurs minutes, le mandrin d’Alain toujours figé dans mes entrailles.

Il a perdu de sa vigueur et de sa dureté.

Je ne souhaite pas qu’il sorte et instinctivement, je me mets à contracter mes sphincters et à remuer lentement mes fesses autour de ce sexe. L’effet est presque immédiat, je le sens grossir en moi.

« T’en veux encore, ma salope mais cette fois c’est toi qui va mener le bal, tu vas t’enculer seul »

Tout en me maintenant par le bassin, il pivote. Je me retrouve assis sur son sexe et comprend d’instinct les mouvements à opérer. Son sexe a retrouvé toute sa grosseur. Je me relève lentement pour en mesurer toute la longueur puis avant qu’il ne sorte de son antre, je me rassois dessus. J’accélère la cadence projetant mon ventre d’arrière en avant, les premiers signes de jouissance arrivent. Mon sexe s’est dressé. Je me tourne sans quitter le mandrin et je regarde maintenant Alain les mains posées derrière la tête et qui savoure le plaisir que je lui donne. Je m’applique à le satisfaire guettant chacun des signes de son visage.

« C’est bon continue comme ça….. »

A chaque descente, je resserre mes sphincters et les relâche à chaque montée. Puis je fais le contraire. Alain savoure son plaisir

« Allez viens, viens, je vais partir » Il va au-devant de mes mouvements, les accélère. Une explosion dans ma tête annonce la jouissance, mon foutre s’écrase sur le torse velu d’Alain tandis que je sens les violentes contraction de sa bite dans mon cul. Je m’écroule sur lui.

Il me prend la tête entre les mains et m’embrasse fougueusement.


Nous sommes toujours allongés sur le côté, mes fesses en contact avec la bite d’Alain .

« Et bien tu viens de m’étonner, pour un puceau tu as de la ressource on dirait que tu a fait ça toute ta vie »

« C’est à cause de toi, jamais je n’aurai imaginé être capable de faire ça.. »

« Je vais être franc avec toi, t’es un mec mais dans ta tête t’es une femme en plus une femme salope faite pour le sexe… »

Je me retourne brusquement, le regarde dans les yeux, je voudrais hurler que je ne suis pas ce qu’il dit, mais devant son regard dominateur illuminé d’un sourire, je ne peux que fondre et lui dire :

« et tu aimes les femmes salopes ? »

« J’adore, surtout quand elle ont un corps de mec.. » et il se mit à rire.

« Il est temps de partir maintenant, ma femme m’attend, j’espère qu’elle n’attend pas après le poisson »

« Tu es marié ? »

« L’un n’empêche pas l’autre, il y a l’amour et le sexe, faut pas tout mélanger, ma femme n’accepterait jamais que je lui fasse ce que je fais avec les mecs »

« Et elle le sait ? »

« Bien sûr que non, et c’est pas plus mal comme ça »

Nous nous relevons, j’aide Alain à ranger ses ustensiles de pêche. Nous nous rhabillons.

Alain me prend la nuque et m’embrasse une dernière fois, il me demande :

« Tu as un téléphone où je peux te joindre.. »

« Oui mon portable, mais ne m’appelle pas sur le temps du boulot, les nanas pourraient jaser »

« J’ai commencé ton éducation, il faut que je poursuive, tu verras dans un ou deux jours t’auras envie de moi. Et pourquoi s’arrêter en si bon chemin ma petite salope.»

« Je ne suis pas une petite salope.. »

« Si… avant de devenir une grosse salope, tu verras tu ne pourras plus t’en passer et crois moi je parle par expérience. Au fait rase toi, je te veux aussi imberbe que le jour de ta naissance. »

Sur ces paroles, il entre dans sa voiture, démarre en m’envoyant un baiser de la main.


Je me mets au volant de ma voiture et sens une chaleur moite au niveau de mes fesses, c’est la mouille de mon cul et son foutre qui me rappelle le bon moment passé.