n° 08898 | Fiche technique | 20103 caractères | 20103Temps de lecture estimé : 12 mn | 19/04/05 |
Résumé: L'initiation de Pierre se poursuit | ||||
Critères: hhh collègues hépilé travail volupté hsodo | ||||
Auteur : Toutou |
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Pierre est maintenant initié.
Il est 20 heures, le téléphone sonne, je décroche.
Surpris et intimidé, je laisse un blanc dans la conversation…
Et il raccroche.
Il me faut quelques minutes pour me ressaisir. Je revois en image les moments passés avec lui samedi dernier. J’ai honte de ce qui s’est passé, mais une force intérieure me rappelle le plaisir que j’en ai tiré, oui j’ai envie de son corps, j’ai envie de son sexe, je dois le rejoindre.
Je me précipite vers la salle de bain, retire mes vêtements, passe sous la douche. Ma main se saisit du rasoir et de la mousse à raser et sans hésitation, je m’applique à retirer les poils que j’ai sur le corps. Tout y passe, j’use trois lames la dernière s’insinuant entre mes fesses. Je suis aussi glabre qu’un poupon. J’enfile un jean et un marcel, il fait doux ce soir. Un dernier coup d’œil dans la glace, le marcel moule mes pectoraux, je ne peux m’empêcher de passer la main sur les pointes qui saillent. Je suis déjà excité.
Alain est devant la porte, vêtu d’une combinaison noire et chaussé de Rangers. Il est garde de sécurité dans ce supermarché.
Je suis à peine descendu qu’il m’attrape le visage et m’embrasse fougueusement.
Il a toujours cet air dominateur. Il m’enlace et m’entraîne à l’intérieur. Nous arrivons dans une petite pièce que je devine être le poste de contrôle de la sécurité. Nous ne sommes pas seuls. Un grand gaillard, en combinaison lui aussi, se tourne à notre arrivée.
Je m’approche de lui pour lui serrer la main, il s’en saisit et avant que je n’ai le temps de réagir, il m’attire à lui, se saisit de ma tête et plaque sa bouche sur la mienne. Je ne m’attendais pas à ça et je le repousse.
Alain se place derrière moi, place ses mains sur mes seins et appuie sa bosse contre mes fesses, je retrouve les frissons de samedi.
Il me chuchote à l’oreille :
Ses mains continuent de me caresser.
J’étais pris au piège, ses caresses avaient réveillé mon corps.
Je tourne la tête vers son oreille :
Abdou s’était assis dans un vieux fauteuil. Il avait allongé ses jambes mettant en évidence le paquet qui gonflait son pantalon.
Abdou a un beau visage, je me penche dessus et commence à le lécher, sa peau est douce et a un goût légèrement salé, je m’approche de sa bouche, lui caresse les lèvres de ma langue. Puis ma langue se fraye un passage, elle force les dents à s’ouvrir puis prend possession de la bouche. Abdou prend maintenant l’initiative, il me roule un patin d’enfer. Une de mes mains s’active à faire glisser la fermeture de sa combinaison. Son torse est nu en dessous. Je me mets à le caresser, sa peau est très douce, imberbe.
Alain nous rejoint, il frotte son bas ventre contre mes fesses.
Alain s’attaque à mon jean, il le déboutonne, fait glisser la fermeture puis doucement le fait descendre le long de mes jambes.
Abdou s’empare de ma queue, soupèse mes couilles.
Il me retire le marcel et pour se faire, je lève les bras, Abdou poursuit l’exploration de mon corps, sa main court sur mon ventre, s’attarde sur mes seins et finit sa course sur mon aisselle.
Ainsi Alain avait tout manigancé et c’est pour le plaisir d’Abdou qu’il m’avait demandé de me raser.
Alain me retourne et m’embrasse fougueusement, Abdou en profite, ses mains s’emparent de mes fesses, il en apprécie les rondeurs, la fermeté mais surtout leur douceur. Il les écarte et insinue ses doigts près de mon orifice.
Alain n’a plus la toison épaisse qui lui couvrait le torse, sa peau est lisse, mes doigts se referment sur ses tétons que je presse pour lui exprimer mon contentement.
Je lui retire le haut de sa combinaison, il est encore plus beau, sa puissante musculature brille. Je ne peux m’empêcher de parcourir son torse avec ma langue et je descends lentement vers son sexe qui tend la toile ; je finis de faire glisser la combi.
Je m’empare de sa bite avec avidité, ma bouche semble avoir appris de ce samedi, elle épouse la forme de ce vit, mes lèvres l’enserrent et doucement je le fais glisser au plus profond de ma gorge, je manque de suffoquer… Elle remonte lentement vers le gland que ma langue titille, elle cherche à s’enfoncer dans le méat, puis c’est à nouveau la descente. Son gland frotte mon palais, il semble entrer en communication avec mon cerveau. Alain m’a pris la tête entre les mains, il guide à présent mes mouvements.
Abdou n’est pas en reste, il est en train de me lécher la rosette. Sa langue est soit un dard qui cherche à la percer, soit une caresse. Ses lèvres aspirent ma corolle, la pressent. Je sens que je m’ouvre à elle.
Abdou finit de se déshabiller, son sexe est fièrement dressé, il est plus long encore que celui d’Alain, il se termine par un gland très large presque aplati.
Dès qu’il est à la hauteur de ma bouche, Alain se retire, saisit la bite d’Abdou et l’accompagne jusqu’à ma bouche. Je lui applique le même traitement qu’à Alain bien que son gland emplisse ma bouche davantage. Le reste de la verge est plus fin, moins large que celle d’Alain.
Abdou imprime un mouvement de bassin, c’est lui maintenant qui prend l’initiative, il me baise la bouche, comme il baiserait sa femme.
Alain approche sa bite à nouveau, je laisse Abdou et me saisis de son gland, je les regarde prendre leur plaisir dans ma bouche, c’est moi qui dirige maintenant leur jouissance.
Alain me fait un signe, j’alterne les allers et retours sur chacun de ces mâts maintenant parfaitement érigés. Mon attention se porte maintenant plus sur celui d’Abdou, il gémit.
La main d’Alain s’égare sur le torse d’Abdou, il le caresse, se saisit d’un téton, j’accélère mes mouvements. Abdou a rejeté sa tête en arrière tout abandonné à son plaisir. Alain lui suce maintenant les seins. Abdou émet des petits grognements.
Les mouvements tournant d’Abdou me font comprendre qu’une des mains d’Alain est partie à la rencontre de ses fesses. Il a l’air d’apprécier le bougre, est-ce la première fois ?
Sans un mot, Alain nous abandonne, il se dirige vers le bureau, repousse les rares papiers qui s’y trouvaient.
Je me dirige vers le bureau, m’y couche et relève les jambes contre mon torse. Mon cul est largement ouvert et dévoile ma rondelle assouplie.
Abdou est debout, il se passe une main sur les seins et se masturbe de l’autre. L’intervention d’Alain a eu son effet, Abdou se pince tour à tour les tétons comme s’il venait de découvrir le plaisir qu’ils pouvaient lui procurer.
Les doigts d’Alain se sont mis à l’ouvrage, ils achèvent les travaux d’agrandissement de mon cul, commencés par Abdou. Je retrouve tout le plaisir d’être ouvert et je n’attends plus que l’entrée de sa verge.
Abdou s’approche, ses doigts s’enfoncent dans mon cul, il en apprécie la douceur et son humidité, c’est fou ce que je mouille.
Lentement il s’enfonce en moi, la taille de son gland m’étire la corolle au maximum, j’ai peur qu’elle ne cède. Finalement il est passé, je sens la bête fouiller mes entrailles. Elle en touche le fond, puis, satisfaite, refait le chemin à l’envers. J’ai l’impression que mes parois sont accrochées à son gland. Il reste quelques instants à l’entrée, découvrant à peine son énorme gland, il a l’air d’apprécier les signes de plaisir que lui renvoie mon visage. Il s’enfonce à nouveau plus brusquement et commence alors sa chevauchée.
Mon corps s’amollit. J’ai resserré mes jambes comme pour mieux retenir ce sexe en moi.
Mes yeux se ferment à moitié. Mon corps est envahi d’ondes qui remontent à mon cerveau.
Le mouvement s’arrête, j’ouvre les yeux. Abdou s’est arrêté à l’entrée de mon trou, il imprime maintenant un mouvement circulaire, comme s’il souhaitait encore m’ouvrir davantage.
Abdou a les yeux fermés. Je relève la tête. Alain me fait un clin d’œil. Une de ses mains pétrit les pectoraux d’Abdou, l’autre semble occupée sur ses fesses.
« Pompe-le » me dit-il d’une voix presqu’inaudible, ne souhaitant pas rompre le charme sous lequel se trouve Abdou. J’avance les fesses, le gland est à nouveau en moi. Je serre et desserre ma corolle à sa base. Les soupirs d’Abdou me font comprendre qu’il apprécie.
Alain change de position, il est maintenant derrière Abdou, lentement il le fait se pencher sur moi. Je prends la tête d’Abdou entre mes mains et lui plaque la bouche sur l’un de mes seins qu’il se met à aspirer, à téter.
Le regard d’Alain me dit de regarder sur la droite. Un tube de vaseline est sur le sol, presque vide. Je comprends qu’il en a mis un paquet dans le cul d’Abdou et qu’il va le sodomiser.
La brusque contraction du corps d’Abdou ne laisse aucun doute. Alain l’a pénétré de sa grosse bite. Son sourire trahit la joie qu’il a de pénétrer ce corps. Abdou pèse de tout son poid sur moi. Il se laisse aller à cette sodomie. Je sens son vit qui perd de sa vigueur. Je redouble alors mes contractions au rythme des poussés d’Alain.
Abdou sort de sa torpeur. Il redevient acteur, mais acteur de son propre plaisir. Il s’enfonce plus brutalement en moi émettant à chaque poussée, des grognements de satisfaction.
Alain me baise au travers du corps d’Abdou.
Je m’attrape le sexe à moitié bandé et le secoue comme pour en accélérer la montée du plaisir.
De larges traits de sperme s’abattent enfin sur mon ventre. Je jouis rapidement rejoint par Abdou qui m’inonde le cul de sa semence et s’écroule à nouveau sur moi.
Alain le quitte et s’approche de moi.
Je me saisis du mandrin d’Alain, en dessine les contours avec ma langue et me met à le sucer avec frénésie.
Abdou appuyé sur ses bras nous regarde. Son regard est sombre.
Abdou se place derrière Alain, ses mains courent sur son torse, ses doigts agacent les tétons qui durcissent. Quant à moi, je reprends le sexe d’Alain entre mes lèvres. Alain soupire, ses fesses se frottent contre le vit d’Abdou, lui aussi a envie.
Abdou se saisit de mon sexe qu’il commence à masturber. Très vite il durcit, certes sa taille n’a rien de comparable avec le sien ni celui d’Alain, il est long mais n’est pas très large.
Il avait accentué sa pression en disant cela, j’avais compris que je lui préparerai le cul d’Alain, j’allais connaître le plaisir de m’enfoncer dans le cul d’un mec, cela sera aussi une première.
J’abandonne la table, Abdou s’y adosse puis appuyant sur le crâne d’Alain l’invite à le sucer. Alain est maintenant penché sur la bite qu’il a presque engloutie. Je lui écarte les fesses et ma langue s’attaque à sa rondelle. Elle est serrée, je m’applique autant que je peux en salivant abondamment. Elle semble se relâcher car ma langue arrive à pénétrer le lieu jusqu’alors inviolé. Je m’aide d’un doigt puis deux. Alain bouge le cul ce qui est bon signe, il aime ce que je lui fais. Une de mes mains s’est emparée de ses couilles. Elle les masse, les soupèse, les caresse. J’ai trois doigts dans son fion, lui aussi mouille du cul. Je me redresse, saisis ma bite fortement érigée, l’approche de l’œillet et je m’enfonce lentement dans son cul. Quelles sensations, c’est doux, chaud et humide. Sa rondelle m’enserre maintenant la base du pénis, elle se contracte cherchant à m’avaler plus encore. Je m’arrête un instant pour savourer ce moment. Alain me sort de ce plaisir, il tortille son cul autour de mon vit. Je me mets à le limer, doucement d’abord puis de plus en plus fort. Alain se déchaîne, c’est lui qui vient maintenant à la rencontre de mes coups, il est plus violent, j’ai l’impression que son cul en réclame plus.
Je me retire d’Alain et change de place avec Abdou. Il s’enfonce d’un coup. Alain ne peut s’empêcher de pousser un cri, puis, sans ménagement, il amorce de longs va-et-vient. À chaque fois que son gland retrouve l’entrée, Alain émet des petits « oui, c’est bon ».
Je me place derrière Abdou, son cul est encore enduit de vaseline, je m’enfonce en lui sans difficulté, j’accompagne chacun de ses mouvements.
Abdou s’arrête brusquement, il se couche sur Alain et ma bite ressent les violentes contraction de son cul. Il jouit. Ma queue, comme aspirée, lui décharge son foutre dans le cul. Je m’affale sur lui à mon tour. Alain se secoue une dernière fois la bite qui se met à cracher sa purée. C’est l’extase totale qui s’empare de nos corps. Alain tourne la tête, sa bouche s’empare de celle d’Abdou. Sans un mot, nous abandonnons nos corps.
Très vite les vêtements recouvrent nos corps, c’est le moment de partir.
Alain me tend une boite, c’est une pompe à faire grossir le pénis….
Je souris en la prenant.
Et ça c’est une autre histoire……