n° 08901 | Fiche technique | 24487 caractères | 24487Temps de lecture estimé : 15 mn | 19/04/05 |
Résumé: Pierre vient en aide ( involontaire) à deux couples | ||||
Critères: hh 2couples grp hbi collègues hépilé fête volupté cérébral voir hsodo aliments | ||||
Auteur : Toutou |
Épisode précédent | Série : L'initiation de Pierre Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Cela faisait maintenant six mois que je n’avais pas revu Alain.
Il ne m’avait pas appelé. À plusieurs reprises, je suis allé dans ce supermarché espérant qu’il m’apparaîtrait au détour d’une allée, mais en vain. Il ne m’avait pas laissé son numéro de téléphone et je ne connaissais que son prénom.
« Alain », Le plaisir des sens qu’il avait éveillé en moi se transformait-il en amour. Je voulais le revoir, qu’il me prenne dans ses bras et qu’il me redonne le plaisir qu’il m’avait si bien offert. Je me sentais femme en évoquant son prénom. Chaque soir, je prenais le cadeau qu’il m’avait donné. C’était sûr, il voulait que mon sexe soit aussi fort que le sien et chaque soir j’appuyait sur la pompe. Elle aspirait mon sexe le gonflait jusqu’à ce qu’il devienne rouge puis je terminai par une masturbation solitaire me remémorant les caresses d’Alain.
Il avait gagné en épaisseur, effet de la pompe ou fruit de ma masturbation quotidienne ?
Il est déjà 20 heures.
Le téléphone sonne et comme chaque fois je me précipite dessus espérant entendre la voix d’Alain.
« Bonsoir, je suis bien chez Pierre l’ami d’Alain ? »
« Euh ! oui »
« Bonsoir Pierre, je suis Annie la femme d’Alain, il m’a beaucoup parlé de vous et de votre rencontre à la rivière »
Je sentais le sang empourprer mon visage. La honte ou l’émotion.
« Samedi nous fêtons son anniversaire avec quelques amis et j’aurai aimé que vous vous joigniez à nous, Alain sera très content, ce sera pour lui comme un beau cadeau, vous êtes libre ? »
Avec difficulté, je pu répondre « Oui »
« C’est une petite sauterie entre amis, nous ne serons pas nombreux, juste un autre couple d’ami, Abdou vous connaissez ? »
Ainsi elle savait tout.
« Oui je l’ai rencontré une fois avec Alain. »
« Donc vous serez bien là samedi à 19 heures, vous avez de quoi noter ? »
Fébrilement je pris un crayon et notait l’adresse d’Alain.
« Alors à Samedi, si vous rencontrez Alain ne lui en parlez pas c’est une surprise. Bonsoir. »
Je raccrochai tout hébété de cette conversation.
Samedi 19 heures, je reconnais Abdou sur le seuil de la porte, il s’avance vers moi, la main tendue.
« Salut Pierre, toujours à l’heure à ce que je vois, bon dépêchons nous Alain n’arrive que vers 20 heures, on a juste le temps de tout installer. »
Il ouvre la porte.
« Annie, Maria, Pierre est arrivée »
Les deux femmes sortent de la cuisine.
« Bonjour Pierre je suis Annie, Maria la femme d’Abdou » tendant sa main vers une superbe créature d’un noir d’ébène. Toutes les deux sont superbes mais elles m’intimident.
« Abdou, montre lui la chambre et aide le à se préparer avant l’arrivée d’Alain. »
Ses paroles étaient un ordre.
« Abdou et Alain nous ont raconté le bon temps que vous leur avez fait passer, une nuit au supermarché. Ils en parlent sans arrêt alors on voudrait qu’Alain nous fasse revivre cette histoire. On n’aurait jamais pensé que nos étalons s’envoient un mec, une nana on aurait mieux compris, allez le temps passe. Vas te préparer, je peux te tutoyer ? »
« Oui madame »
Elle se mit à rire. « Annie et Maria » ça suffira »
J’entre avec Abdou dans une chambre.
« Tu sais Pierre, pour Alain et moi on ne leur a rien dit, on a juste raconté comment Alain t’avais connu et le pied qu’on avait pris à te baiser. Alors s’il te plait n’en parle pas. »
« Vous êtes des salauds à me faire passer pour un PD »
« Pas pour un PD, Pierre mais comme une petite salope qui aime se faire baiser par des grosses bites. D’ailleurs regarde sur le lit, c’est une idée des femmes, elles veulent te voir en femme ce soir. »
Qu’est-ce-qui me retenait de ne pas partir ? J’avais les yeux rivés sur le lit sur lequel était posé une mini jupe, des jarretelles, un string et un boléro blanc.
Sans un mot, je me déshabille.
« Attends ! »
Abdou est derrière moi et me caresse.
« T’es toujours aussi bandant, C’est Alain qui va être gâté. »
J’enfile l’un après l’autre les vêtements de femme. Ils me moulent le corps. J’entre dans les escarpins. J’ai l’impression de franchir le pas à de nouvelles voluptés. Je me regarde dans la glace et suis content du résultat.
Annie fait irruption dans la chambre.
« Pas mal je comprends pourquoi Alain a craqué, tu as vraiment un beau petit cul. Un peu de maquillage et tu seras encore plus femme, assieds-toi ! »
Annie en un tour de main modifie les traits de mon visage, elle en accentue la finesse et agrandi mon regard.
« Je vois que tu n’as pas un poil, tu es vraiment beau. »
« Abdou dès que tu entends la porte, tu entres au salon avec Pierre, je vais préparer la caméra pour filmer la tête que fera Alain en apercevant Pierre, Ca va lui faire un choc » dit-elle en sortant.
Abdou a les yeux fixé sur moi, je sens le désir qui monte en lui, la bosse de son pantalon n’en laisse aucun doute.
« Juste un détail » Abdou me relève la jupe, saisit mon sexe qu’il repousse entre mes jambes ajuste le string et me replace la jupe.
« Voilà c’est mieux comme ça, on voyait trop la bosse, en tout cas le cadeau d’Alain t’as beaucoup servi je crois. Ta bite est bien plus épaisse qu’avant. »
Je n’ai pas le temps de répondre qu’on entend la porte s’ouvrir. Est-ce mon sexe entre mes jambes, les escarpins aux pied ou la femme qui est en moi, j’adopte instinctivement une démarche féminine.
« Joyeux anniversaire….. » Tous trois entonnent la chanson dès l’arrivée d’Alain, Abdou s’écarte permettant à Alain de me voir.
« Pierre ? »
« Bonsoir Alain »
« Ton cadeau Alain, je suis sûr que tu mourrais d’envie de le revoir tu nous montreras tout à l’heure comment ça marche, pour l’instant l’apéro est servi et on passe à table. »
Etais-ce volontaire, Annie prend Maria par la taille et la conduit vers le canapé. Alain et Abdou ne sont pas en reste, ils me prennent chacun une main et me dirige vers le sofa . Alain est à ma droite, Abdou à ma gauche. J’ai l’impression d’être le centre d’intérêt. Tous les regards convergent vers moi. Je ne peux m’empêcher de rougir. Annie est la première à remarquer mon trouble.
« Alain tu n’as pas embrassé notre invité ?, ne me dis pas que tu n’en a pas envie ? »
Alain venait de comprendre que sa femme me donnait à lui.
« Comment as-tu fait Annie pour le retrouver ? »
« Le numéro de téléphone que tu pensais perdu, c’est moi qui l’avait, j’ai eu du mal à digérer et Maria aussi qu’Abdou et toi prennent du bon temps au boulot, surtout avec un mec. On ne voulait pas que vous preniez de mauvaises habitudes.»
« Alors pourquoi l’avoir fait venir ce soir ? »
« Parce que j’ai bien senti que ça n’était pas seulement sexuel, tu éprouves des sentiments pour lui, vous n’arrêter pas Abdou et toi d’en parler car Abdou aussi en pince pour lui, regarde le comme il est serré contre lui. »
Effectivement Abdou appuyait sa jambe contre la mienne.
« On voulait vous dire après le repas… mais puisqu’on a entamé la conversation sur ce sujet, allons jusqu’au bout….Maria et Moi nous comprenons qu’on puisse avoir du sentiment et des relations avec une personne du même sexe, car elle et moi nous nous aimons comme nous vous aimons et puisqu’on n’a pas d’enfant, on pouponne comme on peut »
Après un moment de silence qui parut durer une éternité, Alain se mit à rire.
« tu n’as pas d’autres réactions ? »
Abdou se mit à rire également.
« Abdou ça te fait rire toi aussi ? » dit Maria qui ouvrit la bouche pour la première fois de la soirée.
« On ne se moque pas, Annie, mais tu nous retire un sacré poids de la conscience, Abdou et moi on savait que vous vous aimiez, je vous avais vu faire l’amour ici, un après midi on s’attendait au pire. J’espère que vous n’avez pas envie de nous quitter, on est si bien ensemble. »
D’un même élan, Abdou, Alain Annie et Maria se lèvent et s’étreignent. Leur bouche se rencontre. On ne voit plus qui embrasse qui. Maria se saisit de la bouche d’Annie, Elle l’embrasse avec fougue, libérée d’une tension trop forte.
Alain regarde Abdou qui réalise à l’instant que sa femme en aime une autre. Alain s’approche de lui, lui prend la tête et presse ses lèvres sur les siennes. Abdou s’abandonne à ce baiser. Ils ont fermés les yeux et ne remarquent pas que Maria et Annie les regardent avec stupéfaction.
« Alain, Abdou mais…. »
Ils s’arrachent enfin de cette étreinte et d’une même voix
« Ba nous aussi on aime… On vous avait parlé de Pierre mais on vous avait caché qu’on s’était l’un et l’autre envoyé en l’air, on a d’ailleurs refait ça pendant nos gardes et maintenant on ne peut plus se passer l’un de l’autre.»
« On ne se cachera plus rien maintenant ? » demande Annie
« Plus rien, car il n’y aura plus rien à cacher, Abdou, Moi et seulement Pierre »
Alain me fait signe de me lever et de m’approcher, il me prend par la taille et pendant que ses mains errent sur mes fesses, il enfonce profondément sa langue dans ma bouche. Je m’abandonne, cela fait si longtemps que j’attends ce moment. Abdou nous rejoint. Sa langue entre elle aussi en action, il lèche nos lèvres, happe nos langues. Nous sommes transportés par le tourbillon des sens. Nos mains caressent nos corps, nos sexes gonflent.
« Laissez en pour le dessert à table. »
Maria s’est placé à côté d’Annie, je me retrouve entre Alain et Abdou. Une seule idée nous obsède. « Que le repas soit rapide »
Annie a eu la bonne idée de préparer une fondue, le repas est l’occasion d’exacerber nos sens, on se passe le pain de bouche en bouche. Je n’avais pas eu l’occasion de baiser les lèvres d’une femme, Annie me dépose un morceau entre les lèvres, c’est doux et je me mets à fantasmer. Ce soir je vais peut-être connaître le plaisir de m’enfoncer dans le corps d’une femme….
Annie et Maria se lèvent et retourne sur le canapé.
« Vous débarasser la table et vous nous montrerez ce que des mecs peuvent faire entre eux, pendant 6 mois on a eu le son maintenant on veut l’image. »
A trois la table est vite desservie, même si dans la cuisine Alain et Abdou en profitent pour me caresser. Ma poitrine retient plus particulièrement leur attention, ils ne cessent d’agacer mes tétons au travers du fin boléro qui les couvre.
« A toi l’honneur Alain, c’est ton cadeau alors déballe le. »
Abdou s’assoit à côté de Maria. Alain m’entraîne sur le sofa en face d’eux, je suis le spectacle, leur spectacle.
Après avoir placé un CD dans le lecteur, il m’entraîne dans un slow, ses mains caressent mon dos et mes fesses, lentement il me remonte la jupe, découvrant mes fesses imberbes. Il les présentent aux spectateurs qui ne peuvent s’empêcher de les caresser, puis il m’enlève le boléro, se place derrière moi et commence à caresser mes seins comme s’ils étaient ceux d’une femme, ses doigts se referment sur leur pointe, il les pince, les effleure. Mon corps s’électrise, je frotte mes fesses sur la bosse qui déforme son pantalon.
Mon sexe me fait mal toujours coincé entre mes jambes par le string. Alain à ouvert la fermeture de la jupe qui tombe à mes pieds, puis il fait glisser lentement le string à la manière d’une stripteaseuse et libère soudainement ma verge de sa prison.
Content du spectacle, Annie et Maria frappent dans leurs mains, elles font des remarques obligeantes sur mon sexe, semblent en apprécier la taille et la forme. Alain me pousse vers elles. Annie s’empare de mon sexe le caresse, le soupèse. Après avoir reçu l’assentiment d’Abdou, Maria s’enhardit et s’en saisit elle aussi. Les mains des deux femmes partent à la découverte de mon corps, l’une d’elle s’insinue entre mes cuisses, elle est douce et caressante.
« Tu vois Annie, pas un poil, je te l’avais bien dit, son corps est aussi doux que le tien.
Quant à son sexe, il n’a plus rien à envier du mien, il a su se servir de la pompe.
Je suis stupéfait, Annie s’empare de ma verge, Alain comprend son désir, il me pousse un peu plus vers elle, Annie approche sa bouche. Aussi rapide que la murène attrapant sa proie, elle engloutit mon vit. La suite est indescriptible, quelle extase, c’est la première fois que la bouche d’une femme se referme sur mon sexe, elle aspire le gland, l’agace de la langue puis lentement le lèche. Alain en profite pour retirer ses vêtements. Abdou en fait autant. Seules les femmes restent vêtues…pour combien de temps ?
Le visage d’Annie s’est empourpré, elle m’offre à présent à la bouche de Maria qui cherche une fois de plus l’assentiment d’Abdou. Le clignement des yeux donne son accord.
Maria enfonce ma verge très profondément dans sa bouche, puis elle la fait ressortir lentement, les lèvres délicates enserrent la hampe avec douceur et légèreté. Après une dizaine de mouvement je vais défaillir, ma bite est prête à jeter sa semence.
Abdou s’en aperçoit, il attrape la tête de Maria et l’amène sur son sexe. Maria le prend goulûment.
Alain m’entraîne maintenant vers le sofa, il s’y assoit, écarte les jambes le sexe fièrement dressé. Je m’agenouille devant lui. Ma bouche ne peut plus se retenir, cela fait si longtemps qu’elle attend, elle se précipite sur le gland, se referme sur lui et par une succession de sucions, en prend toute la saveur. Elle repart à la découverte de chaque cm de ce sexe. Par une dextérité qu’elle a acquise, elle l’avale entièrement, les lèvres touchent maintenant la toison qui couvre encore le pubis d’Alain, c’est le signal pour refaire le chemin à l’envers. Je salive abondamment. De temps en temps je lève les yeux vers le visage d’Alain, celui-ci me renvoie le plaisir que je lui donne. Ses mains posées sur ma tête ne font qu’accompagner mon mouvement. « J’ai appris à te faire jouir Alain » ma tête me parle puisque ma bouche est occupée.
Je n’ai pas entendu l’arrivée d’Annie, elle s’agenouille à côté de moi, saisit la hampe d’Alain, me la retire de la bouche et part à son assaut avec la sienne. Je ne peux que me soumettre, c’est sa femme. Si je lui laisse à regret la queue, ma main part à la rencontre des bourses, elle les caresse, les effleure du bout des doigts, puis naturellement se dirige vers la vallée qui cache le lieu où ma verge s’est déjà engagé. Alain respire de plus en plus fort, Annie amplifie ses mouvements.
Annie se redresse soudain, elle tourne son visage vers moi et d’une voix suppliante me dit :
« Fais moi ce que tu faisais à Alain, fais moi jouir avec ta bouche. »
sans un mot de plus, elle reprend sa fellation. Elle est nue, ses fesses de la blancheur du lait largement écarté, ne cache rien du sexe féminin ouvert devant moi. Je m’insinue entre ses jambes en me couchant sur le sol. Elle a le sexe rasé qui ne cache rien de ses détails. C’est la première fois que je suis devant le sexe d’une femme. Mes doigts le caresse et sentent les palpitations qui l’animent. J’approche ma bouche doucement comme si je craignais que ce sexe ne me morde. Ma langue timidement l’effleure. Il sent bon, c’est une autre odeur que celle d’un mec. Ma langue s’enhardit, elle lèche, toujours prudemment, ces lèvres qui s’entrouvrent et découvre une petite protubérance placée près du pubis. Instinctivement, elles l’aspirent, le roulent, le pincent. Annie montre le plaisir qu’elle en tire, elle ondule ses fesses forçant ma bouche à rester au même endroit. Je viens de comprendre l’importance du clitoris chez une femme. Ma bouche devient avide et moleste ce micro pénis. Je viens de comprendre la sexualité de la femme pour la première fois . Le plaisir que j’ai donné à Alain, je peux le donner aussi à sa femme. Je m’excite sur ce sexe alternant tour à tour mes efforts sur le clitoris et forçant de ma langue le vagin qui s’offre à moi.
Nos râles s’accentuent, j’ai envie de plus, mon sexe réclame, mon cul aussi. C’est Alain qui rompt le premier. Il se retire de la Bouche d’Annie qui se relève me laissant sur le sol.
Il place Annie sur le sofa, jambes écartées, le sexe béant déjà rougi par le plaisir.
Il me place devant elle, m’attrape le sexe et me le place devant l’entrée. Il veut que je baise sa femme. Je n’ai plus conscience de la réalité de la situation. Je présente mon gland, pour la première fois devant le sexe d’une femme. Par instinct, il pèse sur l’entrée pour atteindre le nirvana. Je suis dans Annie, c’est doux, c’est chaud, c’est vivant. Je m’enfonce et en frappe le fond, je dois ressortir mais au bord des lèvres une hésitation, je dois repartir au fond, c’est trop bon.
Après quelques aller et retour, je sens des mains qui emprisonnent ma taille. Je m’arrête. Des doigts s’insinuent et écartent ma corolles. Je sens une chaleur qui force mon anus. Un soupir, Alain est entré en moi comme je suis entré dans sa femme. J’attends le signal. Alain pousse, je pousse, Alain se retire, je me retire. Nous sommes à l’unisson.
Nos mouvements s’accélèrent, ma tête explose., tous mes sens sont attisés, il me semble que je crie, je regarde derrière moi, Abdou et Maria tête contre tête assistent à nos ébats, la main de Maria enserre le vit d’Abdou tandis qu’une main d’Abdou caresse la poitrine de Maria. Ils semblent attendre quelque chose.
La jouissance s’annonce, je voudrais sortir du corps d’Annie, n’ayant pas mis de préservatif.
Alain comprend mes intentions et redoublent ses coups de boutoirs. Je n’en peux plus. Je suis au bord de l’orgasme, je vais lâcher ma semence….Je pousse un cri….je jouis dans Aline et soudain je me rends compte qu’Aline jouis également. Son vagin se contracte à plusieurs reprise. Il semble aspirer mon vit et surtout ma semence. Je n’ai pas le temps de réaliser que je sens le plaisir gagner mes fesses. Alain éjacule ne moi et les contractions que je ressens doivent se répercuter chez Annie qui répète s ans cesse :
« Oh ! Alain c’est bon, c’est trop bon. »
Nous nous écroulons l’un sur l’autre.
C’est Abdou qui intervient : « un petit remontant ? , gin, rhum, whisky ou liqueur ? »
On ne peut s’empêcher de rire.
Après un moment, je sens le regard d’Abdou fixé sur moi, ce regard me gêne. Je suis venu pour Alain. Annie a rejoint Maria, elle l’embrasse et commence à la déshabiller.
C’est vrai nous sommes 4 à s’être dénudés, seul Maria a gardé ses vêtements !
« Alors Pierre, tu as aimé faire l’amour à Annie ? »
« Oui » bredouillé-je
« J’espère qu’elle n’est pas trop déçu ? »
« Tu as été à la hauteur Pierre » réponds Annie
La main d’Alain se pose sur mon sexe et commence à le masturber. Malgré la jouissance précédente, celui s’éveille et reprend du volume.
« T’es OK pour recommencer la même chose avec Maria, je crois qu’elle en meure d’envie mais elle est plus timide qu’Annie, et moi j’ai envie de toi. »
La main d’Alain a abandonné mon sexe et rejoint ma nuque, elle me pousse à répondre oui à Abdou. J’ai envie de retrouver les sensations provoquées par le sexe d’Annie pendant qu’Alain me sodomisait.
Je me lève, la queue basse et m’approche du canapé, Annie se lève et part rejoindre Alain.
Je suis surpris par Abdou qui m’attrapant le sexe, le porte à sa bouche. Il se l’enfonce jusque dans la gorge. J’ai l’impression qu’il est avide mon sexe, il entreprends alors de longs mouvements de va-et-vient. Je me remets à bander dur. Maria observatrice d’un instant, se joint à son mari. Alternativement il s’empare de mon sexe, l’excite puis l’abandonne pour un long baiser entre mari et femme. Je vais exploser… Abdou se ravive, se lève. Il m’invite par une main posée sur la tête à m’occuper du sexe de sa femme.
Quelles différences !
L’odeur du sexe de Maria est plus suave, plus poivré que celui d’Annie, il est d’un noir d’ébène même si l’intérieur est d’un rouge carmin. Je me plonge en lui et l’expérience acquise avec Annie, je trouve instantanément le bon rythme de la langue. Maria gémit sous mes caresses. Abdou n’est pas en reste, sa langue s’égare sur ma corolle qu’elle titille, il l’humecte de sa salive, je m’ouvre à lui.
Les cris poussés par Maria sont révélateurs, elles n’en peut plus, elle en veut plus. Je décide de m’enfoncer en elle. La main d’Abdou posée sur mon ventre souhaite contrôler mes mouvements, elle me retient, me laisse avancer.
Pour la deuxième fois je vais baiser la femme d’un homme pour qui je serai la femme.
J’ai à peine franchi le seuil du sexe de Maria que je sens celui d’Abdou s’enfoncer dans mon anus . Celui-ci observe le même rythme que celui adopté par Alain, je m’enfonce, il s’enfonce, je me retire, il se retire.
Maria crie « Oh c’est bon, continue Abdou, continue mon amour »
Je suis un peu frustré, c’est moi qui la baise et pour elle c’est Abdou.
J’arrive très rapidement à la jouissance en même temps qu’Abdou qui m’inonde le corps de sa substantifique moëlle. Maria hurle, son vagin aspire le foutre que je viens d’éjaculer .pendant que mon cul reçoit celui d’Abdou.. Quelle similitude avec Alain et Annie.
Après quelques minutes, Annie sonne l’heure du repli. « Maria et moi allons nous coucher, bonne nuit, vous dormirez dans la chambre d’ami. »
Je me retrouve seul avec Alain et Abdou, ce dernier nous sert un cognac.
« Pierre, je crois que nos femmes sont comblées ce soir, j’espère que ça a marché ? »
Alain et Abdou recommence à me caresser.
« Apparemment ça a marché » dit Abdou, « Elles sont crevées, c’est peut-être bon signe ? »
« Signe de quoi ? » ne pouvant m’interdire d’intervenir
« Elles sont peut-être enceinte ? » me répond Alain
« De qui ? »
« De toi ! »
« De moi ? »
« Te plaçant entre notre femme et nous, nous avons conçu l’enfant qui nous est refusé depuis tant d’année, sans nous, sans toi, ils n’auraient pas vu le jour.Si comme nous l’espérons Maria et Annie sont enceintes, c’est à travers toi que les bébés auront été conçus. Comprends nous, on a trop galéré toutes ces années. Maintenant tu fais parti de nos familles, on t’aime. »
Sur ce Alain et Abdou m’entraîne dans la chambre d’ami, il n’est pas question que je parte ce soir.
9 mois après…..
M. et Mme ……..ont le plaisir de vous annoncer la naissance de notre fils ….Pierre.
M. et Mme ……..ont le plaisir de vous annoncer la naissance de notre fille ….Pierrette.
J’étais heureux pour eux, nous ne nous sommes plus rencontrés, marié avec une collègue de bureau, j’ai deux enfants Alain et Maria.