n° 08956 | Fiche technique | 7874 caractères | 7874Temps de lecture estimé : 5 mn | 26/04/05 |
Résumé: Martine veut rester vierge ? pas de problème. | ||||
Critères: fh jeunes cousins vacances volupté fsodo init | ||||
Auteur : Prof Sevy |
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Mémoires fantasmatiques et imaginaires, hélas,
d’un bachelier resté puceau,
et extraits du journal intime de la jeune Martine
Quelques jours après, nous avons réussi à nous échapper à nouveau avec les vélos. Cette fois, c’est moi qui demande:
Une fois arrivés, on prend soin de bloquer la porte, et on se déshabille fiévreusement mutuellement. Nous sommes très vite nus, je la prends dans mes bras, la caresse, pétris ses fesses. Elle s’échappe, et monte dans la grange. Je profite du rare spectacle d’une femme nue qui monte une échelle, et la rejoins. Elle est déjà couchée dans le foin, elle a écarté les jambes :
Je m’agenouille entre ses cuisses, prends son bassin et le tire vers mois. Ses fesses sont posées sur mes cuisses. Mon sexe est dressé, tout contre son sexe à elle. Je me plaque bien contre elle, caresse son visage, ses épaules, son buste, ses seins, son ventre.
Je lui demande:
Elle se met à plat ventre, et je m’agenouille de part et d’autre de ses cuisses, et commence à lui caresser le cou, à la racine des cheveux, les épaules, puis le dos. Je lui fais une longue caresse en descendant du cou à la raie des fesses. Puis la taille et le bord des seins écrasés sur le sol. Elle est étendue, la tête de côté sur ses bras repliés. Elle sourit…
Je m’intéresse à ses fesses. Je les caresse, insinue mon doigt dans le sillon, les écarte, aperçois son petit trou, et je caresse. Mon sexe est posé dans le sillon entre ses fesses. Je les écarte un peu et en enserre mon membre. Une bien douce rampe de lancement. Mais depuis l’autre soir je suis complètement obsédé par son cul, et j’ai une autre idée en tête. Je me dégage sur le côté :
Elle obéit, j’insinue le tranchant de la main contre son sexe.
Elle se met dans la position de l’autre soir avec Sophie, la croupe en l’air, les genoux un peu écartés, la tête sur ses bras repliés. C’est la position du sexe triomphant qui se montre glorieusement dans la plus totale indécence. Mais cette fois, c’est pour moi, et je ne suis plus du tout gêné. Je me repais du spectacle, cette vulve largement ouverte, et ce petit trou entouré de cette peau si douce.
Je me place derrière elle, l’enserre de mes bras, mes mains vont chercher ses seins. Elle frémit.
Je prends un peu de recul, regarde encore, donne des petits baisers sur sa vulve, et puis je commence à prendre doucement possession des lieux, comme Sophie. Tout doucement, je caresse son petit trou, et tout autour. La peau est si douce, si douce… Je lui donne de petits coups de langue, comme pour l’apprivoiser. Puis je le lèche à grands coups, sans retenue.
Tout doucement, je pose mon doigt sur l’orifice. Je n’ose pas appuyer. Je fais comme j’ai vu faire Sophie: je mouille mon doigt et le fait pénétrer, très délicatement. Mon cœur bat à tout rompre. J’imprime quelques mouvements de va-et-vient, mais ça glisse mal.
Je ressors, mouille bien le petit trou avec ma langue, remouille mon doigt cette fois à la source de son vagin. Petit à petit, l’anus devient plus tolérant, mon doigt s’y glisse sans difficulté, tout surpris de ce contact nouveau. Au bout d’un moment je peux même le distendre un peu. Je risque alors un deuxième doigt. Martine a un petit mouvement d’arrêt, je continue, de plus en plus facilement. Alors j’approche mon sexe érigé du petit trou, et le pose à l’entrée. Mais je n’ose pas forcer, peur de lui faire mal, de me faire mal.
Je pose mon gland à l’entrée de son vagin pour bien le lubrifier, et je me représente à la petite porte. Cette fois, elle va s’ouvrir et je la pénètre, sans y croire. Martine gémit, un gémissement aussi bien de douleur que de plaisir. Je reste immobile un moment, puis c’est elle qui amorce un mouvement de balance de son bassin. Alors, j’y vais, j’empoigne ses hanches, et prends possession de son cul, d’abord doucement, et puis la mécanique s’affole, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle ne geint plus, elle crie. Elle s’est relevée sur ses mains, et se déplie, agrippant une botte de foin. Je prends ses seins, les pétris, les malaxe, ses hanches, ses épaules, ses seins, je laboure, sans retenue, elle crie encore, se tord, je veux croire qu’elle crie "encore". Ma queue me fait mal, mais la douleur est noyée dans le plaisir, et je laboure encore, elle crie encore, elle crie "encore", son corps se convulse, mes mains s’affolent encore, les seins, les épaules, le cou, les hanches, et soudain, trois ou quatre coups de boutoir encore plus violents, et j’éclate en elle. Je m’affale sur elle, et nous roulons sur le côté, pendant que je me dégage d’elle.
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Journal de Martine - Lundi soir
Il m’a complètement défoncée ! J’en ai encore mal. C’est lui qui a voulu aller dans la grange. Je sentais bien qu’il avait une idée derrière la tête, et moi aussi d’ailleurs.
On s’est déshabillé, il m’a fait quelques caresses, et quand il m’a dit "retourne toi", j’ai su que j’allais y avoir droit. Je n’étais d’ailleurs pas contre, et je lui ai carrément offert mon cul. Comme il a bien su apprivoiser mon petit trou, à petits coups de langue, petites mignardises et caresses délicates. Quand il y a enfoncé le doigt, ça m’a fait un frisson. Et puis il est allé lubrifier son doigt à la source de ma vulve complètement trempée, et il est rentré facilement. Il a mis deux doigts, je n’aurai jamais cru. Quand il a appuyé son gland contre mon anus, j’ai eu peur, peur d’avoir mal, peur de la suite, mais j’avais trop envie qu’il vienne… Il a lubrifié son gland à l’entrée de mon vagin, et puis il est revenu sur mon anus, et il est entré, doucement, presque facilement. Je crois qu’on était aussi surpris l’un que l’autre. En fait, sur le moment, je n’ai pas eu mal. Alors, j’ai commencé à bouger, et il a suivi le mouvement, et puis quand on a vu que ça marchait bien, il m’a complètement pilonnée, de plus en plus fort. Alors là, j’ai eu mal, mais que c’était bon ! J’ai cru que je devenais folle, je criais, je me démenais, je ne savais plus si je criais de douleur ou de plaisir. Je n’aurais jamais cru que ces deux sensations puissent se mêler comme ça. Il me malaxait les seins, les hanches et les fesses pendant que je me caressais furieusement le clitoris. Je n’ai pas senti l’éjaculation, mais j’ai senti son plaisir, ses grands coups de reins, ses cuisses contre mes fesses. J’ai eu un orgasme gigantesque. Mais j’ai encore mal au derrière.
A noter que je suis encore vierge et entends le rester encore un moment.