n° 08972 | Fiche technique | 15949 caractères | 15949Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/04/05 |
Résumé: Où André achève son voyage initiatique grâce à Sophie. | ||||
Critères: f fh ffh jeunes copains vacances piscine forêt campagne volupté voir fmast entreseins fellation cunnilingu anulingus pénétratio init | ||||
Auteur : Prof Sevy |
Épisode précédent | Série : L'été du bac Chapitre 08 / 08 | FIN de la série |
Mémoires Fantasmatiques et Imaginaires, hélas, d’un bachelier resté puceau, et Extraits du Journal Intime de la jeune Martine
Martine va chercher les maillots. Je ne pense pas qu’ils soient indispensables pour se baigner chez Sophie, mais il faut sauver les apparences. En passant près de moi, Martine qui porte une ample robe d’été un peu longue, boutonnée sur le devant, me souffle :
J’ai une pensée déjà émue pour le "tout ça".
Repas de midi sans histoire. Comme il fait très chaud, nous décidons de piquer une tête dans la piscine.
Voilà une maman qui connaît la vie. On court vers la piscine en semant nos vêtements derrière nous, et nous profitons de la délicieuse eau tiède.
Les deux filles sont accoudées sur le bord de la piscine, et discutent. Je les vois de dos, et leur chute de reins m’attire. Je m’approche d’elles sans bruit et les prends toutes les deux par la taille.
Je nage tranquillement, puis m’installe sur un matelas pneumatique, dérivant au fil de l’eau, et je regarde le ciel. Je pense que les deux filles doivent tout se raconter. Je surprends un regard de la maman de Sophie qui passe derrière la fenêtre ouverte de la cuisine. Mais je ne suis pas gêné de me montrer ainsi, tellement ce regard est naturel et bienveillant.
Et je m’engage dans une rêverie… "Vous êtes jeunes, vous êtes beaux, c’est maintenant qu’il faut vous découvrir". Elle doit avoir la quarantaine, et elle est terriblement rayonnante et séduisante. Je me surprends à penser que je ne serais pas mécontent de la découvrir elle aussi. Elle aussi est bronzée, et je pense que, comme sa fille, elle se fait dorer au soleil, complètement nue… Je l’imagine de plus en plus précisément. Au fil de mes pensées, mon sexe commence à se déployer un peu et, les rêveries étant ce qu’elles sont, je bande complètement. Elle passe à nouveau dans l’encadrement de la fenêtre, marque un temps. Elle sourit, puis prévient :
Elle me fait un petit signe de la main, puis s’efface, comme pour dire "Débrouille-toi avec les petites".
Les filles reviennent vers moi en nageant tranquillement, et prennent appui chacune d’un côté du matelas pneumatique.
Je fais un pieux mensonge :
Je ne peux pas lui dire que je pensais à sa mère ! Et lorgnant ses seins généreux, tout près de moi :
Et brusquement, les filles enfoncent le matelas dans l’eau, et s’éloignent en riant et en courant dans l’eau. Je manque boire la tasse et cours après elles. Je rattrape Sophie, la serre contre moi, ma verge contre ses fesses, mes mains sur ses seins. Ils sont effectivement superbes, fermes, denses…
Elle s’échappe, sort de l’eau, court dans l’herbe. Je la poursuis, réussis à la plaquer, la retourne, et me mets à califourchon sur elle. Elle se débat en riant. Martine me vient en aide en plaquant les épaules de Sophie au sol. Je mets ma queue entre les seins de Sophie, et les serre contre elle. C’est très doux. J’entame alors un mouvement de va-et-vient. Sophie ne rit plus, mais elle agrippe mes fesses pour accompagner le mouvement. Martine participe en se caressant elle-même les seins. J’explose assez rapidement, vu le cumul d’excitation. Alors Sophie, doucement, étale le sperme sur son menton, ses seins. Martine me fait reculer, prend ma verge dans sa bouche, comme pour aspirer les dernières gouttes, puis en caresse son visage et ses seins, et elle prend ma place sur son amie, se couche sur elle, frottant ses seins contre elle pour s’enduire également de sperme. Elles se séparent. On reste tous les trois un peu hébétés…
On batifole encore un peu dans la piscine, mais le soleil tape vraiment trop fort, et il faudrait un endroit plus frais. On se rhabille, on prend les vélos, et on part vers les bois. On laisse les vélos dans un fourré, et on s’engage à pied sur un sentier qui monte à travers bois. Il fait chaud, je suis torse nu depuis un moment. Martine a déboutonné presque tous les boutons de sa robe, et Sophie, elle, a enlevé son débardeur. Elle ne porte qu’un petit short bien moulant, laissant voir le globe de ses fesses. Nous arrivons dans une clairière. Il fait plus frais, on y sera bien.
Martine étale une couverture par terre. Les deux filles s’agenouillent l’une près de l’autre, m’appellent vers elles. Je m’approche. Elles font glisser mon short et mon slip. Et puis elles m’entreprennent à coup de petites caresses, petits baisers, petites lèchouilles sur ma verge qui réagit rapidement. Sophie la prend une fois complètement dans sa bouche, puis Martine. Pendant que Martine, toujours à genoux, enserre mes fesses d’un bras, la joue contre mon bas-ventre, l’autre main caressant doucement mes testicules, ou portant ma verge vers ses lèvres pour un petit bisou, Sophie se met nue en me regardant dans les yeux, s’étend par terre, cuisses largement écartées, genoux fléchis. Alors Martine se lève, me prend par la main, et me fait agenouiller devant le sexe ouvert qui m’appelle.
Elle-même enlève sa robe, et va s’agenouiller de part et d’autre de la tête de Sophie, et va doucement lui caresser les seins. Alors je me penche, et vais baisotter cette vulve largement offerte, l’explorer à petits coups de langue, m’insinuer jusqu’au bouton magique, puis remonter vers le petit triangle de poils délicatement taillé, revenir, remonter au ventre, un petit coup de langue au nombril, puis baisotter encore les seins.
Sophie se retourne brusquement, et je caresse et lèche son dos, ses fesses, elle dresse sa croupe et je la baise entre les fesses, baisotte et caresse son petit trou à petits coups de la pointe de la langue, à nouveau une vulve déjà trempée, et je l’embrasse comme une bouche, à pleine bouche, à pleine langue… Et elle reprend la position sur le dos, les cuisses écartées aux limites du possible, hanches et genoux fléchis.
Je me glisse entre ses cuisses, et tout naturellement mon gland se trouve à l’entrée de la grotte tant souhaitée, toute lisse, toute chaude, toute humide. Très doucement, comme pour déguster l’instant, je pénètre en elle, au plus profond que je peux, et je reste, à l’affût des sensations délicieuses. La base de ma verge est enserrée par son vagin, et je suis dans la douceur la plus extrême. Sophie m’enserre avec ses bras et avec ses jambes, elle serre fort, fort… Et puis l’étreinte se desserre, et j’entame le mouvement de va-et-vient, très lent, dégustant chaque parcelle de plaisir tout au long de mon sexe, elle a pris mes fesses, comme pour m’aider à enfoncer plus loin, plus fort… À chaque va-et-vient son vagin se resserre, comme pour me retenir. Et je continue. C’est si bon, que je voudrais que cela dure, dure… Sophie commence à gémir doucement, elle a l’air si bien, si heureuse… Martine, elle, toujours à genoux et cuisses largement écartées, se caresse, à deux mains, errant du clitoris au vagin, aux seins, au petit trou, aux fesses… Et moi, dans Sophie, je vais et je viens, lentement, voluptueusement. Et puis quand je sens la tension monter de façon inéluctable, j’accélère le mouvement presque avec violence, arrachant de petits cris étouffés à Sophie qui me serre à nouveau, serre, serre, me retient tout à coup au fond d’elle, puis est prise d’un grand frémissement qui me libère. J’explose en elle avec une jouissance comme je n’en n’ai jamais connue, en spasmes quasi convulsifs. Elle me serre avec ses bras, ses jambes - je comprends l’expression "ne faire plus qu’un" - et me serre encore et encore.
Je ne me souviens plus combien de temps après nous avons desserré notre étreinte.
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Journal de Martine - Jeudi soir
J’ai fait l’amour avec Sophie par André interposé. J’expliquerai tout à l’heure, mais parlons d’abord de la journée. On l’a passée chez Sophie. On n’avait même pas pris de maillot de bain, tellement c’est inutile chez elle, mais à cause de maman, on a fait semblant. Je n’avais même pas mis de culotte.
La mère de Sophie était là, et c’est elle qui nous encourage à vivre nus ensemble : vous êtes jeunes, vous êtes beaux, profitez-en… Si ma mère l’entendait, elle tomberait en syncope
Donc après le repas, on s’est plongé dans la piscine. Pendant que je discutais avec Sophie, André flottait sur le matelas pneumatique. Je suis presque sûre qu’il pensait à la mère de Sophie, qui regardait de temps en temps par la fenêtre. Toujours est-il qu’il avait une de ces triques ! Sophie l’a un peu agacé avec ses beaux seins, et on lui a fait boire la tasse. Après, Sophie lui a fait cadeau d’une branlette espagnole entre ses seins. J’ai regardé ça avec envie. Mes seins à moi ne sont pas vilains, ils sont tout mignons, même. Ceux de Sophie sont plus généreux, mais très fermes et bronzés. De voir cette queue complètement excitée aller et venir entre ces gros seins, ça m’a fait je ne sais pas quoi, et je me caressais les seins en même temps. Et quand il a eu éjaculé, trop vite, j’ai recueilli les dernières gouttes dans ma bouche, me suis caressée avec sa verge, et puis je me suis couchée sur Sophie pour caresser ses seins avec les miens et m’enduire du sperme d’André. C’était comme une sorte d’ivresse, j’ai fait tout cela vraiment sans réfléchir…
Je crois que dans ces moments là, il ne faut pas trop penser, il faut prendre les choses comme elles viennent.
Et puis après on est parti tous les trois en forêt, dans notre clairière, où je suis allée plusieurs fois avec Sophie, où Sophie l’a fait pour la première fois avec un garçon, l’an dernier. Pas top, paraît-il. Elle m’a dit qu’elle ne l’avait jamais refait depuis, qu’elle ne voulait pas le faire n’importe comment, ne pas être ratée comme la première fois. Je lui ai dit qu’André serait sûrement pas mal. On s’était mises d’accord pour emmener André pour essayer.
Une fois arrivés, on a déshabillé André, on lui a fait quelques mignardises sur le sexe avec nos lèvres et nos langues, et puis Sophie s’est déshabillée et s’est étendue, cuisses écartées, offerte. Je me suis mise nue moi aussi, et j’ai doucement amené André vers elle. À genoux, comme en adoration, il a commencé par en repaître son regard, puis il s’est penché vers elle. Il l’a embrassée, baisottée, caressée, gougnotée, et puis il lui embrassait la vulve à pleine bouche. J’avais deux doigts dans la mienne, complètement trempée. C’était la première fois que je voyais un couple comme cela, devant moi, presque avec moi. Et je les regardais, heureux pour André, pour qui c’était quand même l’aboutissement de notre apprentissage. Je n’osais pas intervenir, et c’était un peu frustrant.
Et puis il s’est glissé entre ses cuisses et, tout doucement, il est entrée en elle. J’ai presque eu moi-même la sensation physique d’une pénétration. J’aurais voulu me mettre à califourchon au-dessus du visage de Sophie pour qu’elle puisse me faire jouir avec sa langue, mais je ne voulais pas intervenir. Une autre fois, sûrement !
Il a commencé son va-et-vient en elle, doucement, voluptueusement. Le visage de Sophie était extraordinaire, presque extatique. C’était beau, mystique. Et ça durait, ça durait… Chaque fois qu’André s’enfonçait en elle, le visage de Sophie s’éclairait, s’épanouissait. Parfois elle laissait échapper un souffle de plaisir.
Et puis le va-et-vient s’est fait plus rapide, la scène s’accélérait. Et Sophie le serrait, le serrait, bougeait aussi en rythme, et il lui arrachait de petits gémissements, de petits cris de jouissance, et je la voyais, je voyais ses yeux qui ne me voyaient plus, ses seins qui bougeaient au rythme de leur plaisir, ses cuisses repliées et serrées sur André, je l’entendais gémir, j’entendais le plaisir, et je me caressais, me caressais, je ne savais plus où, puisque le seul endroit qui m’aurait satisfait était mon propre vagin, et que mes seins, mes fesses, mon petit trou, rien ne pouvait le remplacer. Je pensais à ma jouissance de l’autre jour, dans la grange. À genoux, les fesses sur mes talons, les cuisses écartées au-delà du possible, d’une main je caressais mon clitoris, de l’autre le reste de ma vulve, l’entrée de mon vagin, mon anus…
Et Sophie et André continuaient, la scène devenait presque violente, leurs deux corps se donnaient complètement et entièrement et c’était à la fois magnifique et presque effrayant, l’impression d’une machine lancée et qui ne s’arrêterait qu’une fois disloquée.
Sophie a poussé un cri, s’est raidie, a eu quelques spasmes, et tout de suite André a eu quelques spasmes aussi, accompagnés de longs coups de reins plus espacés. Ils sont restés un long moment immobiles, presque en suspension, et puis ils sont retombés, épuisés, alanguis, heureux, lui toujours en elle.
J’ai caressé les cheveux de Sophie, mouillés par la sueur, et je l’ai embrassée sur le front.
Si ça se passe comme ça, moi, je veux bien essayer…