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Temps de lecture estimé : 7 mn
27/04/05
Résumé:  Les aventures en Sicile.
Critères:  fh fplusag alliance vacances voir exhib fellation
Auteur : Balou  (Amoureux des femmes)            Envoi mini-message

Série : La Dolce Vita

Chapitre 04 / 08
La Dolce Vita 4


Balou plongea dans la mer. L’eau était fraîche, mais il lui fallait d’abord évacuer le sable qui l’irritait, et ensuite reprendre ses esprits, après la folle étreinte avec Bettina.

Mon dieu qu’avait-il fait? Etait-ce dû aux effets éthyliques de l’excès de vin ou avait-il plongé dans la débauche la plus totale ? Le fait de se baigner dans l’eau froide devrait lui permettre d’y voir plus clair, du moins l’espérait-il.

Bettina était restée sur la plage. Elle admirait son gendre-amant et ses brassées très coulées qu’elle devinait au clair de lune.

Enfin, Balou regagna la terre ferme, nu devant sa belle-mère.



Bettina admirait son gendre, ses petites fesses rebondies, ses cuisses musclées, sa poitrine velue, son ventre un peu rond entouré de poignées d’amour, sa démarche féline. Elle répondit :



Balou épousseta ses vêtements et s’habilla à la hâte.



Son gendre ne dit rien. Tous les deux quittèrent la plage pour remonter vers la maison familiale.

A pas de velours, Balou regagna leur chambre, où Angela devait dormir. Il prit une douche et se glissa délicatement dans les draps.

Une main toucha son épaule, il sursauta.



Angela ne dormait pas.



Balou réfléchit à ce qu’il devait répondre.



Un ange passa….



Balou passa une mauvaise nuit. Il devait absolument parler à Bettina demain matin, avant qu’Angela ne pose trop de questions à sa mère.


Allongée dans son lit, Bettina souriait toute seule. Quelle superbe soirée elle avait passée ! Elle se remémora l’épisode sur la plage avec son gendre. Quel bel homme, se dit-elle, en s’endormant en chien de fusil, une main entre ses cuisses.


Un petit rai de lumière filtrait à travers les volets. Il glissait sur le plancher, remontait vers le lit, puis vers le visage de Balou.

Balou se réveilla. Il avait somnolé quelques heures sans vraiment sombrer dans le sommeil. La bouche pâteuse, il se leva et se traîna vers la salle de bain. Le miroir au-dessus du lavabo lui renvoya l’image d’un trentenaire aux yeux globuleux, les cheveux hirsutes, la mine déconfite et pâle.

Il était 6h30, heure matinale qui lui convenait. Il se dépêcha de vaquer à sa toilette, pour pouvoir discuter avec Bettina seul à seule.


La maison était silencieuse. Balou rejoignit la cuisine et se fit un double expresso bien serré sans sucre. Il gagna la terrasse et s’assit dans un fauteuil, en allumant une cigarette. La caféine lui fouetta le sang, la nicotine elle, apaisa ses pensées.



Il se retourna et vit Bettina en peignoir, son chignon défait, ses blonds cheveux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle portait des mules horribles surmontées d’une coccinelle, kitsch à souhait. Aux yeux de Balou, cette dame perdait toute sa grâce, ainsi fagotée. Mais il se dit qu’au saut du lit, personne ne pouvait faire mieux.



Balou se racla la gorge, tira une bouffée sur sa cigarette et se lança en disant :



Un ange passa… Balou se maudit d’avoir lâché cette phrase.



Devant la table de la cuisine qui avait vu les ébats d’Angela et de Balou, Bettina s’affairait à préparer le café et une salade de fruits. Balou la regardait faire. Il accentua son regard sur cette femme-sorcière qui lui avait procuré un plaisir jamais éprouvé avec aucune autre.

Bettina ressemblait à ces vieilles dames qu’on remarquait sur la Côte d’Azur, une rombière bourrée de fric. Elle savait qu’il l’observait, elle se doutait de ce qu’il pensait.



Son gendre rougit d’être ainsi découvert.



Balou ne sut que répondre, il restait là les bras ballant devant Bettina.


Elle s’essuya les mains, se rapprocha de son gendre.

Ils étaient face à face. Balou était tétanisé, il ne pouvait plus bouger, ou ne voulait pas réagir, il ne savait plus. Son coeur battait la chamade. Il craignait sa belle-mère mais une petite voix lui soufflait que cette dernière voulait encore abuser de lui. Cette pensée, aussi furtive fut-elle, lui provoqua instantanément une érection douloureuse qu’il ne put masquer à la vue de Bettina.

Cette dernière ne pipa mot. Elle s’agenouilla devant son gendre.

Balou voyait les doigts de sa belle-mère déboutonner un à un les boutons de son pantalon. Elle laissa celui-ci tomber aux pieds de son gendre. Ses deux mains baissèrent le caleçon.


Le souffle chaud de Bettina s’abattit sur le bas-ventre de Balou. Elle prit ses blonds cheveux longs et entreprit de caresser ainsi la verge dressée devant elle, en veillant à ne pas la toucher avec ses doigts. Ce contact soyeux provoqua un gémissement de Balou.



Sa diabolique belle-mère, agenouillée à ses pieds, le regardait par en-dessous, elle se léchait les lèvres, prête à offrir à son gendre chéri une fellation digne d’une Sicilienne de 55 ans.



Balou sombra à nouveau dans cette folie de luxure qui l’avait animé la nuit dernière.



Il n’en fallait pas davantage à sa belle-maman pour débuter sa caresse. Elle admira d’abord la finesse du gland violacé. Le fait que Balou soit circoncis donnait encore plus de beauté et de cachet à ce membre. Ensuite son regard se posa sur le tronc gros et long, où la fine peau laissait transparaître des veines bleues tendues à l’extrême. Plus bas, les lourdes bourses se balançaient devant ses yeux.

Bettina était excitée comme une pucelle, elle sentait la moiteur envahir son ventre, le feu grégeois se rallumait. Elle soupira en engloutissant le gland de Balou.

Son gendre se vit disparaître dans la bouche aux commissures de lèvres ridées. La bouche était chaude et accueillante. Il sentait la langue jouer avec lui. Il s’agrippa à la table de la cuisine pour ne pas tomber à terre, car la blonde chevelure avait commencé à aller et venir.

Bettina l’engloutissait au fond de sa gorge. Il se demandait comment elle faisait pour de pas hoqueter. Ses poils pubiens chatouillaient les narines de sa belle mère, il ferma les yeux et disparut dans une autre dimension.


La cuisine était toujours silencieuse, Angela devait dormir profondément. Seuls des râles et des bruits de succion remplissaient l’atmosphère.

Le soleil continuait à se lever. On entendait au loin le bruit des vagues s’écraser sur la plage, et dans une maison sicilienne, une belle-mère était en train de pomper allègrement son gendre, agenouillée en peignoir aux pieds de celui-ci.


Soudain un cri.

Un long gémissement, presque inhumain, comme on devait en entendre en enfer.

Puis plus rien pendant de longs instants.



A suivre…