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Temps de lecture estimé : 7 mn
29/04/05
Résumé:  Deux amants et une belle mère
Critères:  fh plage cunnilingu pénétratio
Auteur : Balou  (amoureux des femmes)            Envoi mini-message

Série : La Dolce Vita

Chapitre 05 / 08
Suite des amours de Balou


Le silence encore et toujours.


Bettina avait été aspergée par les torrents de sève de Balou, elle était assise par terre, adossée au mur de la cuisine. Son peignoir était dénoué, laissant voir sa généreuse poitrine dépasser de sa nuisette. Le sperme imprégnait sa chevelure blonde, de grasses taches maculaient également son peignoir, mais elle avait réussi à en avaler la majeure partie. Elle souriait béatement, ravie d’avoir bu le nectar d’amour de son gendre et évidemment heureuse de l’orgasme gigantesque qu’elle avait provoqué. Elle avait joui toute seule, sans se toucher, juste en suçant Balou, agenouillée devant lui dans la cuisine. Elle se dit que ce petit déjeuner fut fabuleusement jouissif. La prochaine fois elle se promit qu’elle aimerait bien le faire hurler entre ses seins majestueux.



Bettina pris enfin conscience de son état, elle se leva rapidement et s’en alla se débarbouiller.


Balou, lui, essayait de reprendre ses esprits. Il revenait de l’enfer, il en était maintenant certain. Cette femme l’avait envoûté, il se demandait comment il allait gérer cette situation entre Angela et sa mère.

Sa verge ramollie et gluante pendouillait entre ses jambes, il se mit en devoir de se nettoyer si d’aventure Angela désirait y goûter.


Les huit coups sonnèrent à la pendule du salon. Le soleil brillait de mille feux dans un ciel azur.


Balou se promenait sur la plage, seul pour faire le point avec lui-même, fumant cigarette sur cigarette. Au loin, au port du village, les pêcheurs vendaient les poissons et crustacés péchés la nuit passée.

Il se dit que la vie était vraiment belle, mais surtout mal faite.


Bettina se doucha longuement, elle savourait les souvenirs des moments passés avec son gendre. Elle se rappelait le parfum de son sperme qu’elle avait bu goulûment, cette semence chaude et grasse au goût légèrement iodé. Elle se sentait également très femme capable de séduire un gamin de 30 ans, et cela l’excitait divinement. Elle se dit aussi qu’elle devait absolument rassurer ce garçon, car sinon ils couraient tous les trois à la catastrophe.


En arrivant à la cuisine Bettina vit sur la terrasse que sa fille et Balou s’embrassaient tendrement:quel beau couple ils formaient ainsi. Une légère pointe de jalousie lui traversa l’esprit, mais elle la chassa aussitôt.



Balou confirma effectivement avoir trop bu et que la promenade au marché ce matin allait lui remettre l’estomac en place.


Le petit déjeuner se déroula sans encombre et fut vite avalé. Bettina laissa les jeunes partir au marché, d’autant plus que sa femme de ménage n’allait pas tarder.


Angela et Balou passèrent la matinée à flâner sur le port. Ils achetèrent un peu de poisson et des légumes.

Plusieurs personnes s’arrêtèrent pour les saluer et discuter avec eux, surtout avec Angela qui connaissait presque tous les habitants du village. Vers midi ils s’installèrent au comptoir du seul café existant pour prendre un verre. Evidemment toute la faune locale s’y retrouvait en ce jour de marché. Les discussions allaient bon train. Accoudé au bar, Balou laissait vagabonder son regard. Des mères de familles et leur marmaille, des vieux messieurs, le mégot collé au bec, un vieux beau avec son écharpe de soie et stetson, de jeunes garçons et filles, des pêcheurs et des ouvriers, constituaient une palette représentative des habitants. Le café était bruyant, ça courait dans tout les sens. Balou ne parlant pas italien, il se retrouva vite largué. Angela tentait bien de traduire mais elle se lassa vite de répéter sans cesse les réponses. Bref Balou tapa le crachoir au patron du lieu qui était bien le seul à comprendre un peu l’anglais.

Au bout de deux verres de vin, Balou se sentit mieux et revigoré, mais l’heure tournait, il fallait retourner à la propriété.


Sur le chemin du retour, Balou fit part à Angela du bon moment qu’il avait passé à découvrir le port de pêche et ses habitants, excellente matinée aussi pour Angela qui avait revu ses amis et connaissances.



Ce mois de mai était un des plus chaud, la température oscillait constamment vers les 30° à l’ombre. Heureusement que la brise du large donnait un semblant de fraîcheur. Cette douce vie convenait parfaitement aux deux amoureux.


Le déjeuner fut très calme pour Balou, Bettina n’engagea aucune approche à son égard. L’après-midi Angela et son amant se retrouvèrent à la plage privée de la propriété. Ils se prélassaient tous les deux au soleil, tels des lézards.

Balou admirait son amie qui ne portait qu’un léger string de bain. Ses fesses rondes callipyges, ses cuisses interminables, sa peau bronzée, ses seins lourds mais fermes, son ventre plat, ses hanches de déesse, sa brune et soyeuse chevelure, elle ressemblait vraiment à Monica Belluci, sans aucun doute.

Angela remarqua le manège visuel de Balou.



Elle était allongée sur son drap de bain, Balou se rapprocha d’elle, leur lèvres se touchèrent pour se donner un fougueux baiser.

La plage était déserte, une douce brise caressait leur corps surchauffé par le soleil.

Balou quitta cette vorace bouche. Ses lèvres descendirent progressivement entre le sillon de la poitrine d’Angela, puis sa langue titilla les bouts durcis couleur caramel. Ensuite Angela senti la bouche de son amant continuer son chemin vers son mont de Vénus. Balou ôta délicatement le string, il se coucha entre les cuisses écartées de son amie. Il dégagea le bourgeon dressé, admira les roses lèvres gonflées de désir, il huma ce parfum marin.

La bouche de Balou était maintenant soudée au centre du plaisir d’Angela, sa langue pénétrait profondément en elle en dansant une sarabande endiablée. Angela gémit, une exquise chaleur embrasait tout son être, elle s’abandonna à la caresse buccale de son ami.

Les doigts de Balou carrèrent les cuisses, le ventre doux. Sa bouche aspira le pistil ce qui provoqua un râle interminable à Angela. Elle n’en pouvait plus, elle désirait que Balou la prenne là, immédiatement ,avec force, mais Balou n’en avait cure, il continuait inlassablement sa caresse.

Angela le suppliait de venir la couvrir, son ventre se crispait, ses mains griffèrent la sable, elle n’en pouvait plus, elle voulait qu’il soit en elle, que son pieu la pénètre profondément.

Plusieurs vagues de plaisir la submergèrent, elle cria et supplia. Son ventre brûlait d’un feu qui se répandait dans tout son corps. Elle hurla à nouveau encore et encore.

Balou prit un malin plaisir à continuer ainsi. Sa bouche, ses joues, son nez, étaient humides du nectar d’amour d’Angela. Il aimait prodiguer cette caresse, il adorait écouter le chant d’amour de son amie, il ne se lassait pas d’embrasser cette brune toison d’amour.



Balou se redressa. Angela le vit beau et majestueux, agenouillé entre ses cuisses tenant sa hampe érigée entre ses mains. Elle voyait ce dard gonflé de désir pour elle, son gland violacé. Cette vision lui arracha un autre râle. Mais Balou toujours agenouillé, frottait simplement son gland à l’orée du fruit d’amour mielleux, en le faisant pénétrer, puis en le retirant. Ce contact, cet attouchement délicieusement agaçant excita encore davantage Angela qui maintenant cria sa frustration.

Balou sentait que le moment était arrivé, il se coucha sur son amante et la pénétra d’un seul coup jusqu’à la garde.



Elle se sentait remplie, pénétrée entièrement. Elle jouit ainsi à plusieurs reprises abandonnée aux va-et-vient surpuissants de son amant. Ils se regardaient tous les deux, les yeux dans les yeux, en ahanant. Puis une autre vague de bonheur emporta Angela qui ferma ses paupières en se mordillant la lèvre inférieure. Balou lui continuait inlassablement, il voulait que ces instants durent une éternité car la jouissance qu’il donnait à Angela faisait vibrer son âme.


A l’ombre d’un olivier, Bettina les observait depuis le début. Elle avait ôté sa culotte et elle avait introduit deux doigts en elle qu’elle faisait coulisser en imaginant le pieu de son gendre qui la prenait.

La jouissance, également à plusieurs reprises, l’entraîna vers la nirvâna. Elle entendait sa fille gémir de bonheur, elle la voyait se tortiller sous Balou. Bettina admira la hampe puissante qui entrait et sortait du ventre de sa fille. Cette vision lui arracha à nouveau un orgasme.

Bettina redressa la tête juste à temps pour voir les deux amants jouir ensemble dans un tourbillon de cris et de gémissements. Elle vit le visage de sa fille se crisper, sa bouche ouverte, les lèvres retroussées comme si elle criait de douleur, elle la vit s’arc-bouter avant qu’elle ne lâche un grognement de lionne à l’apogée du plaisir.

Balou la vit aussi ainsi, et cela provoqua le déferlement de lave en fusion dans le ventre de son amie. Il avait le sentiment de se vider interminablement, l’impression que son orgasme n’allait jamais s’arrêter. Lui, rugit à son tour et éjacula longuement.


A suivre