n° 08989 | Fiche technique | 15097 caractères | 15097Temps de lecture estimé : 10 mn | 29/04/05 |
Résumé: Quand l'envie prend le dessus | ||||
Critères: ff fhh 2couples fbi hbi extraoffre copains vacances caférestau douche noculotte fmast hmast intermast facial fellation cunnilingu anulingus 69 double sandwich fdanus | ||||
Auteur : Alain_F Envoi mini-message |
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Le cadre et le style très chic du restaurant nous ont un peu calmés. Et c’est en couples tout à fait ordinaires que le début de repas s’est déroulé. L’un ou l’autre avait, de temps en temps, un clin d’œil appuyé en direction d’un autre, mais rien ne pouvait laisser supposer l’après-midi coquin que nous avions passés. Les amuses-bouches, l’entrée, les entremets et le plat principal étaient maintenant derrière nous. Nous attendions avec impatience le dessert, ayant choisi de sauter le chariot des fromages.
Soudain, alors que la discussion battait son plein, j’ai senti la pointe d’un pied, déchaussé, qui s’appuyait contre mon tibia. Trop nettement pour ce que soit le fruit du hasard. Tout en parlant, et en faisant comme si de rien n’était, j’essayais de savoir à qui appartenait l’intrus ? Mais impossible de deviner ! J’avais beau scruter les attitudes des deux filles : rien ne transpirait. Un sentiment d’autant plus étonnant qu’au fur et à mesure, ce pied remontait entre mes deux genoux. Au moment où il attaquait mes cuisses, alors que je regardais Philippe, tandis qu’Alexandra nous racontait je ne sais trop quelle anecdote, il me décrocha un clin d’œil très expressif. Non, je ne pouvais pas croire que ce soit son pied qui était en train de franchir mes genoux. Il a du sentir mon étonnement et à commencer un ménage inquiétant avec ses yeux. Allant d’Alexandra à lui, de lui à Marie et de Marie à moi… Il m’a fallu quelques poignées de secondes pour intégrer ce qu’il me « disait ». Et imaginer le scénario qui se jouait sous la nappe.
Cette courte phase d’imagination m’avait tellement absorbé que j’ai mis quelques secondes de plus à m’apercevoir que toute la table me regardait avec des yeux chargés de lubricité. Ainsi, Alexandra avait envoyé son pied entre les cuisses de Philippe qui lui-même s’était aventuré entre celles de Marie qui avait entrepris en venant vers moi de boucler la boucle. D’ailleurs, depuis quelques secondes, son pied s’était fait moins énigmatique et je sentais désormais sa cheville progresser au contact de ma cuisse gauche tandis que son pied approchait de son objectif : mon entrejambe ! Ma queue n’était pas restée insensible à ce petit jeu et je commençais à me sentir à l’étroit dans mon pantalon. Pour ne pas m’exclure de cette partie de jambes en l’air souterraine, et devant les yeux remplis d’attente d’Alexandra, je me déchaussais discrètement pour envoyer à mon tour mon pied rejoindre l’intimité de ma douce.
Ma progression n’a pas été très difficile – en tous cas sans doute plus aisée que celle de Philippe sur Marie – tant la saharienne d’Alexandra était « ouverte ». Ma chaussette légère n’a pas résisté longtemps à l’inondation qui débordait de la chatte d’Alexandra. Mon orteil trouva rapidement sa place et je me mis à agacer tout doucement son clito tout tendu. Je devais apprendre par la suite qu’elle et Marie s’étaient entreprises très rapidement et qu’elles avaient passé le repas à se caresser leur fente de leurs pieds. Le cercle vicieux était donc fermé et c’est l’instant où les desserts sont arrivés avec leur cohorte de serveurs. Comme il se doit dans ce type d’établissements, il y avait un serveur par convive. La sensation était grisante. Marie ne cessait de me masturber de son pied, le mien explorait les moindres replis de la chatte d’Alexandra lorsque les serveurs ont commencé à nous décliner les choix de chacun. C’était surréaliste. Nos caresses, tout en continuant ont perdu un peu d’intensité alors que nous mangions nos desserts. D’un commun accord, nous avons ensuite choisi de ne pas prolonger le supplice plus que de raison et de ne pas prendre de café. L’addition, nous annonça Philippe, était déjà réglée, il ne nous restait plus qu’à filer.
C’est donc à regret que j’ai senti le pied de Marie abandonner ma queue et qu’à mon tour, je quittais l’entrecuisse d’Alexandra. Au moment de se lever, elle se pencha vers moi pour me demander de lui prêter ma veste au prétexte que le froid commençait à tomber. Je lui tendis avec plaisir mais elle ne peut cacher, en la passant, la vraie raison de sa demande. Assise tout au long du repas sur sa saharienne, celle-ci était littéralement détrempée, imprégnée de toute la mouille qui avait coulé de sa chatte, arborant une auréole qui illustrait son état d’excitation extrême. C’est à ce moment que Marie me frôla pour me glisser à l’oreille – « C’est l’inconvénient des vêtements clairs… ». C’était effectivement moins visible que sur Alexandra mais, pour un œil averti, sa robe fuseau noire laissait tout de même nettement deviner son trouble.
Une fois arrivés à la voiture, d’autorité, les filles se sont installées à l’arrière. Sans aucune retenue, elles ont commencé à s’embrasser et à se caresser. À l’abri des vitres fumées du 4x4, Philippe et moi les avons regardées un moment avant de nous retourner. Je dis « nous » car j’ai choisi d’être solidaire de Philippe qui était bien obligé de conduire ! La saharienne d’Alexandra était déjà entièrement déboutonnée découvrant son corps laissé libre de tout sous-vêtement et la robe de Marie était retroussée au-dessus de ses hanches, livrant sa chatte aux regards de tous. Tandis que leurs langues se mêlaient, les mains de l’une ne cessaient de parcourir le corps de l’autre, pelotant les seins, titillant les tétons, effleurant le clito, s’enfonçant un instant entre les lèvres ouvertes et luisantes, filant rapidement jusqu’à l’anus pour l’effleurer. C’est avec de grandes difficultés que Philippe et moi nous sommes arrachés à ce spectacle envoûtant pour nous retourner. Ma queue, tout comme la sienne dans le sien, déformait largement mon pantalon. La route du retour me parut interminable tant je mourais d’envie de me joindre aux filles dont les soupirs, les gémissements et autres petits cris emplissaient la voiture. Profitant d’un des rares feux tricolores présents sur l’itinéraire, nous nous sommes retournés pour découvrir que les deux filles étaient maintenant intégralement nues, installées tête-bêche sur la large banquette arrière.
Une fois la voiture stoppée au pied du perron de la villa, c’est sans aucune pudeur que les filles sont descendues intégralement nues. Récupérant leurs vêtements à l’arrière du 4x4, nous leur avons emboité le pas. À l’intérieur, j’ai jeté ma veste, la saharienne et la robe fuseau sur le dos d’un canapé et j’ai entrepris sans trop me poser de questions de me déshabiller. Très rapidement, Philippe m’a imité et tous les deux, nus, la queue au garde à vous, nous avons rejoint les filles qui nous avaient précédées dans la salle de bain.
En son centre trônait une très grande baignoire jacuzzi. Tandis qu’Alexandra s’affairait à régler les bulles et la température de l’eau, Marie s’était assise sur le bord et, les cuisses écartées, se caressait doucement la chatte. Rapidement, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’eau et avons commencé à nous caresser les uns les autres. J’étais à genoux, Marie collée contre moi dans mon dos. Les mains autour de mes hanches, elle me masturbait doucement. À quelques centimètres de nous, Alexandra, la tête posée sur un coussin, le corps flottant entre deux eaux, les jambes écartées, offrait son minou aux doigts de Philippe. À un moment, Marie a pris ma main et l’a dirigé vers la queue de Philippe… À un autre moment, j’aurais probablement réfléchi à deux fois avant de la prendre en main, mais là, c’est sans aucune réticence que j’ai entrepris de branler mon copain. Une première. J’avais certes déjà frôlé des queues ou senti des queues me frôler dans les clubs ou autre soirées coquines où j’avais été avec ma précédente copine mais jamais, je n’avais volontairement branlé une queue. La sienne était très dure et m’a semblé beaucoup plus grosse que lorsque je l’avais vu, l’après-midi même, sur le bateau. Cette prise en main n’a produit chez lui aucune réaction particulière. Il faut dire qu’avec les bulles, il lui était difficile de se rendre compte de qui lui branlait la queue.
C’est au moment où Marie est venue derrière lui, poser ses deux mains sur ses yeux que Philippe a percuté. Il a tourné la tête et m’a souri. Alexandra aussi a aussitôt compris l’intrigue et m’a jeté un regard profond tout en passant sa langue sur ses lèvres d’une façon odieusement perverse. Abandonnant la chatte d’Alexandra, Philippe s’est redressé restant comme moi à genoux. Dans cette position, nos queues étaient entre deux eaux, prises dans les bulles. Il a tendu sa main et l’a posé sur ma queue. J’étais tendu comme rarement je l’avais été. Face à nous les filles étaient assises, l’une contre l’autre. On devinait le mélange de leurs jambes. On pouvait imaginer la position de leurs mains. Elles nous regardaient, d’un air vicieux. Nous, nous nous branlions ! La tension accumulée au restaurant, dans la voiture et depuis que nous étions rentrés n’a pas tardé à faire son effet et rapidement, j’ai senti sa queue qui commençait à se gonfler. De mon côté, je sentais aussi que je n’allais pas tenir bien longtemps à ce rythme. On a continué à se branler mutuellement comme on se serait branlé tout seul. Les filles, qui avaient saisi que le feu d’artifice n’allait pas tarder, s’étaient sensiblement rapprochées de nous, nous signifiant d’une invite muette qu’elles voulaient qu’on les arrose de nos semences. C’est donc avec la plus grande application que j’ai dirigé vers leurs poitrines le sperme que j’ai senti remonter, sous mes doigts, dans la queue de Philippe. Quelques secondes après, il faisait de même avec le mien. La poitrine zébrée de notre plaisir, les filles ont entrepris de se frotter l’une contre l’autre, étalant nos foutres sur leurs seins. Philippe et moi, nous les regardions, dégustant chacun de notre côté le plaisir que nous venions de nous donner l’un à l’autre.
Quelques minutes après, nous avons quitté la salle de bain, pour rejoindre notre chambre. Les choses en ont profité pour rentrer un peu dans l’ordre, Alexandra se retrouvant plus près de moi que de Philippe et lui récupérant sa Marie. Chacun, nous avions la tête enfouie entre les cuisses de nos chères et tendres. C’est avec un certain plaisir que je retrouvais le goût familier de la chatte d’Alexandra. Je prenais mon temps pour aller et venir le long de ses lèvres, les écartant de ma langue, descendant jusqu’à son petit trou pour remonter titiller son clito… Elle, les deux mains dans mes cheveux, dégustait mes caresses en les guidant de douces et tendres pressions. Au souffle court qu’elle avait, on devinait Philippe moins patient et que Marie n’allait pas tarder à atteindre un nouvel orgasme. Nous, « isolés » dans la bulle du plaisir que je m’appliquais à donner à Alexandra, nous avons à peine entendu les gémissements qui ont accompagné la nouvelle petite mort de Marie.
A un moment malgré tout, Philippe est venu se joindre à nous, parcourant le corps d’Alexandra, caressant ses seins, pinçant ses tétons, l’embrassant à pleine bouche, lui arrachant en alternance avec ma langue des petits cris de plus en plus plaintifs. Je la sentais d’ailleurs qui coulait de plus en plus dans ma bouche. À un moment, Alexandra m’a attrapé par le bras pour m’attirer plus haut vers elle. En remontant, j’ai constaté l’absence de Marie. Alexandra nous a regardé Philippe et moi et avec un regard que je ne lui connaissais pas et nous a dit : - « Je vous veux tous les deux dans mon corps »…
Philippe s’est allongé sur le dos, Alexandra l’a enjambé, j’ai saisi sa queue tendue pour la guider entre ses lèvres et l’aider à s’immiscer dans cette chatte que je n’ai jamais vue remplie que par ma queue. Au fur et à mesure que Philippe avançait, Alexandra poussait de petits soupirs d’extase. Une fois entièrement fichée sur lui, elle a commencé à onduler du bassin pendant que je titillais sa pastille du bout de mon doigt. Trempée comme elle l’était, c’est sans mal que ce dernier s’est engouffré dans son petit trou. J’ai alors entrepris d’y glisser un second, puis de bien assouplir son fion. Je voulais la pénétrer sans mal, afin qu’elle ressente le maximum de plaisir de cette première double pénétration que nous réalisions ensemble. Elle devait y penser aussi car lorsque j’ai posé mon gland sur son anus, qu’il s’est ouvert comme par enchantement pour avaler mon membre, elle a poussé un feulement duquel s’est échappé un « oh oui » qui traduisait la réalisation d’une envie très forte. Dès que j’ai été bien au fond de son cul, Alexandra a repris ses ondulations du bassin, nous invitant à bouger tant que nous le pouvions dans son corps. C’est alors que j’ai senti la queue de Philippe qui coulissait contre la mienne, tout juste isolée par la fine membrane interne d’Alexandra. Cette sensation a produit chez moi une violente onde de chaleur. Nous limions donc les deux orifices d’Alexandra depuis quelques minutes quand Marie a fait son retour dans la pièce. Elle avait à la main un superbe gadget.
Un double dong couleur chair, d’une belle longueur mais d’une taille tout à fait raisonnable. Elle s’est allongée à côté de nous et sans nous interrompre, a commencé à se caresser. Ses jambes écartées à outrance nous livraient une vue imprenable sur les moindres détails de sa chatte. Ses doigts allaient et venaient. Ses lèvres luisaient sous les flots de cyprine qui depuis des heures coulaient de son minou. Elle a ensuite commencé à promener l’un des glands de son double dong un peu partout. De son clito à son anus, s’attardant en passant de manière appuyée le long de ses lèvres, le faisant tout juste pénétrer pour le lubrifier à souhait. Quand elle a eu l’air satisfaite de son état, elle a commencé à peser avec le gland trempé sur sa pastille, et sans effort aucun, son anus s’est ouvert sous cette douce caresse pour laisser pénétrer l’intrus. Elle a enfoncé un peu plus d’une quinzaine de centimètres et a ensuite courbé la bête pour guider l’autre extrémité et donc l’autre gland à l’entrée de sa chatte. Là encore, son état d’excitation avancé n’a pas fait dans la demi-mesure et le gode a disparu entre ses lèvres. Seule, allongée à côté de nous, elle se retrouvait à partager les mêmes plaisirs qu’Alexandra : être remplie des deux cotés.