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n° 09038Fiche technique6234 caractères6234
Temps de lecture estimé : 4 mn
07/05/05
Résumé:  L'excitation poussée à son comble mène à tout.
Critères:  f 2couples hbi couplus copains vacances voir exhib fmast intermast fellation 69 fgode hdanus hgode hsodo échange
Auteur : Alain_F            Envoi mini-message

Série : L'effet des tropiques

Chapitre 04 / 04
Quand les femmes nous emmènent au bout de leur fantasme


L’orgasme n’a pas tardé à tous nous submerger. Philippe et moi avons tous les deux joui en même temps, inondant de notre semence le cul et la chatte d’Alexandra. Un spectacle qui a déclenché la petite mort de Marie, qui, au moment ultime, a enfoncé comme jamais ses deux glands dans ses intimités. Dans un suintement, nous avons quitté les orifices d’Alexandra pour nous affaler sur le lit, tandis que Marie, les bras ballants, laissait les dernières contractions de son plaisir expulser le double dong.


Il nous a fallu quelques très longues minutes pour reprendre nos esprits. Comme souvent, ce sont les filles qui ont récupéré le plus rapidement. Alexandra est venue se lover contre moi. Saisissant ma main, elle l’a amenée entre ses jambes. Son entrecuisse était glissant de son plaisir et collant de nos deux spermes qui coulaient de sa chatte et de son anus. Elle m’a jeté un regard plein de tendresse et m’a glissé :



Touché par ce compliment, c’est tout juste si j’ai réalisé que Marie, penchée sur mon oreille, me susurrait :



Joignant le geste à la parole, elle a commencé à caresser mon corps de ses doigts. Elle a parcouru ma colonne vertébrale, zigzaguant sur mes vertèbres. Elle a peloté mes fesses. Effleurant mon pubis, elle est remontée sur mon ventre, contournant mon nombril, atteignant mon torse. Un instant, elle a pincé mes tétons, m’arrachant de petits couinements de plaisir.


C’est le moment que Philippe a choisi pour sortir de sa torpeur. Doucement, il a pris Marie par les épaules, l’a allongé sur le dos, à quelques centimètres de nous et s’est installé sur elle, entamant un tendre 69. Alexandra et moi sommes restés calmement l’un contre l’autre, à les regarder, pendant un bon moment. Mais naturellement, la vue de ces deux corps, les bruits de succions qu’ils émettaient, l’odeur de sexe intense qui flottait dans la chambre, n’ont pas tardé à aiguiser à nouveau nos sens. C’est presque naturellement que nous avons commencé à nous caresser, chacun pour soi et mutuellement à la fois.


Allongeant le bras, Alexandra a fini par mettre la main sur le double dong de Marie qui gisait là, sur le lit, abandonné par sa propriétaire. Sans en avoir l’air, Alexandra a commencé à promener un des glands le long de ses lèvres. L’excitation montant et sa cyprine inondant de nouveau ses chairs, c’est sans difficulté qu’elle le faisait entrer et sortir de sa chatte. De son autre main, alternativement, elle branlait ma queue, malaxait mes couilles et glissait jusqu’à mon petit trou qui, sous l’action de ses doigts trempés de sa mouille, n’opposait aucune résistance à son exploration.


A ce moment-là, Philippe a poussé un grognement plus prononcé que les autres. Il faut dire que Marie venait de faire pénétrer un deuxième doigt dans son anus. Elle les faisait aller et venir et on voyait bien que le petit trou de Philippe se distendait. Alexandra s’est alors approchée. Elle a fait aller et venir le gode dans sa chatte. Il était luisant de mouille quand elle l’a posé sur l’anus de Philippe. Marie arborait un regard ravi. Philippe a légèrement sursauté, mais la langue agile de Marie sur sa queue a eu raison de ses réticences. Après quelques minutes de travail, j’ai vu disparaître le gland de latex entre ses fesses.

Leur petit manège a duré de longues minutes et soudain, Marie a adressé un regard convenu à Alexandra. Je n’ai pas mis longtemps à en comprendre le sens.


Alexandra s’est en effet tournée vers moi, attrapant ma queue toute tendue. De son autre main, elle faisait aller et venir le gode dans le ventre de Philippe. Sous la direction d’Alexandra, qui m’attirait par le sexe, je me suis retrouvé à genoux, quelques centimètres derrière Philippe. Marie a alors ouvert la bouche et a avalé ma queue. Elle l’a bien salivée avant de la relâcher. Comme dans une chorégraphie bien maîtrisée, Alexandra a saisi ma queue, a ôté le gode du cul de Philippe dans un bruit de ventouse, Philippe a poussé un gémissement. C’est alors qu’elle a approché mon gland du petit trou de mon copain. J’étais dans un état second, submergé par l’excitation.


Ma queue guidée par Alexandra, je me suis vu poser mes mains sur les hanches de Philippe qui, surpris, s’est retourné pile au moment où mon sexe s’enfonçait dans son cul ouvert. Il a lâché un feulement en sentant ma bite lui remplir le ventre. Alexandra, de son coté, a planté ses ongles dans ma fesse, tellement elle était excitée. La première tension passée, j’ai commencé à limer tranquillement le cul de Philippe. Alexandra avait déjà renvoyé ses doigts travailler mon petit trou à moi et très rapidement, j’ai senti le gode peser sur ma rondelle. Instinctivement, j’ai poussé sur mon sphincter pour faciliter la pénétration et j’ai perçu ce membre de latex qui remplissait mon fondement.

Le gode bien en main, Alexandra lui imprimait des va-et-vient qui me ramonaient l’intestin profondément. Bien en rythme, je répercutais ces mouvements dans le ventre de Philippe.


Une fois de plus, nos corps à vif nous ont procuré un orgasme dantesque. J’ai soudain senti mon plaisir envahir ma queue. C’est presque comme si j’avais pu suivre le sperme tout au long de son trajet. J’ai perçu ma queue qui se gonflait et les giclées qui, l’une après l’autre, s’écoulaient au fond du cul de Philippe. Cette sensation ne lui a pas échappé et il a explosé simultanément dans la gorge de Marie.


La nuit a ensuite été plus calme. Philippe et moi, nous devions notamment récupérer un peu vigueur, après de telles émotions. Cependant, nous avons été au bout du fantasme imaginé par nos deux compagnes et, à mon tour, j’ai offert mon cul à mon copain.

Nous nous sommes quittés au petit matin en nous promettant de nous revoir aussi souvent que possible.


FIN