n° 09144 | Fiche technique | 32340 caractères | 32340Temps de lecture estimé : 19 mn | 22/05/05 |
Résumé: Didier découvre Elisabeth et bien d'autres choses... | ||||
Critères: fhh fplusag jeunes hmast fellation init | ||||
Auteur : Amenophis |
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Vincent, jeune homme un peu timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique
par deux femmes plus âgées que lui: Elizabeth, chez qui il loge avec deux autres étudiantes, et Denise, une amie d’Elizabeth qui, elle, héberge Didier, étudiant comme Vincent .
Depuis, il continue son éducation en explorant toutes les possibilités du sexe.
Il a d’abord eu recours aux services d’une prostituée.
Puis, il fait l’amour avec Sophie, une amie qui lui raconte comment elle a été dépucelée à la campagne et qui lui parle de ses exploits au pensionnat d’où elle a été renvoyée.
Après avoir tenté un début d’expérience homo, il retrouve son initiatrice
qui lui propose d’organiser une véritable orgie.
Dès le lendemain, il invita Didier (son copain de fac qui logeait chez Denise) à venir écouter les derniers tubes à la mode. Conformément au plan établi avec Elizabeth, il avait l’intention d’amener son copain à participer à leurs ébats, puis à à rester pour la petite fête qu’ils avaient décidé d’organiser. Pour bien amener son copain sur le terrain souhaité, il avait laissé sur sa table de nuit le fameux cahier noir dont il se servait lorsqu’il en était encore à se masturber après avoir maté sa logeuse à poils dans la salle de bains. Ce cahier contenait une bonne cinquantaine de photos, toutes plus pornographiques les unes que les autres. Les deux garçons se connaissaient suffisamment pour que Didier soit très à l’aise et c’est tout naturellement qu’il prit le cahier et l’ouvrit. À la vue d’une fille nue en train d’emboucher une verge fièrement dressée dont elle avait un mal fou à faire le tour avec la main, il s’enflamma instantanément.
Vincent sortit et alla retrouver Elizabeth au salon.
Dans la chambre, Didier feuilletait fébrilement le cahier. Son excitation montait à chaque photo. Bientôt, il n’y tint plus. Il s’allongea sur le lit, posa le cahier près de lui, sortit de son pantalon sa verge déjà dure et entama une masturbation frénétique.
Qui Vincent pouvait-il bien se taper ? En plus il avait parlé de pipes. C’était sans doute pas des débutantes. En tout cas lui, Didier, baiserait bien les filles logées dans cette maison. Il les avait croisées et un peu côtoyées. Pour lui, Agnès ou Isabelle, peu importait, il n’était pas sectaire. Et même la belle Elizabeth, dont il avait reluqué furtivement les cuisses qu’il avait vues généreusement découvertes tout à l’heure, en passant dans le salon.
Il soupira. Pour l’instant il fallait se contenter de la «veuve paluche».
Elizabeth l’observait par la porte entrebâillée. Elle l’avait vu libérer son sexe, et s’était délectée de le voir se masturber les yeux rivés sur les photos pornos. Excitée par ce qu’elle voyait, elle avait porté sa main entre ses cuisses, écarté le bord de son string pour se flatter légèrement le clitoris et s’assurer d’un doigt inquisiteur qu’elle avait bien commencé à mouiller. Elle était fascinée et s’attarda à contempler la scène. C’était pour elle très érotique que de mater un jeune mec en train de se masturber.
Consciente de devoir se montrer avant qu’il n’éjacule, elle finit par ouvrir la porte et par pénétrer dans la chambre presque sans bruit.
Didier tout à ses photos et à sa masturbation ne prêta pas immédiatement attention à l’intrusion. Mais sentant venir l’éjaculation, il releva la tête et, à sa profonde stupeur, il vit Elizabeth. Elle s’était dévêtue, ne gardant qu’un minuscule string d’où s’échappaient quelques poils noirs et un soutien-gorge en dentelle transparente qui ne cachait rien de sa magnifique paire de seins, mais les soutenaient simplement. Ils étaient un peu lourds certes, mais généreux et veloutés à souhait.
La surprise et l’intensité de l’excitation firent que Didier perdit son contrôle. Une superbe giclée toute blanche s’échappa de sa verge et vint maculer son polo.
Elizabeth réagit aussitôt. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle fut sur le lit et sa bouche couvrit le gland avant qu’une deuxième goutte de sperme n’ait le temps de jaillir. L’essentiel étant assuré, elle écarta la main du jeune homme, qui, abasourdi, se laissa faire. D’autant que la jeune femme lui caressait les couilles et passait consciencieusement sa langue sur les terminaisons nerveuses à la base du gland, augmentant notablement son plaisir. Les gouttes de jute se succédèrent, rapides et violentes, mais elle ne cessa sa succion que lorsque la source fut tarie.
Enfin elle releva la tête.
Didier, ahuri, ne savait que répondre. Il ne songea même pas à refermer le cahier ou à cacher ses attributs. Il regardait la jeune femme, les yeux ronds, infiniment surpris, mais pas encore gêné. Elizabeth profita de cette sorte de stupeur pour parler avant qu’il ne réagisse.
Cette fois Didier eut une réaction de gêne. Elizabeth ôta doucement les mains qui tentaient de cacher le sexe en pleine déroute. Elle le prit délicatement entre les siennes, découvrit le gland de sa gaine de peau, et commença à exciter les terminaisons nerveuses, des doigts et de la paume.
Elizabeth, en un tournemain, retira le pantalon et le slip déjà descendus à mi-mollets et fit rapidement passer le polo du jeune homme par dessus sa tête, avant de s’attaquer à ses propres sous-vêtements. Soutien-gorge et slip furent rapidement ôtés. Gêné, Didier n’osait pas regarder le corps nu à demi-allongé sur le lit. Ce fut Elizabeth qui l’attira.
Didier ne répondait pas. Son souffle se faisait court. Ses mains avaient pris possession du corps d’Elizabeth, s’émerveillant de la chaleur de l’entrecuisse, de la douceur de la peau, des formes pleines et des seins arrogants. Malgré cela, Elizabeth dut mettre beaucoup de science et de douceur pour redonner de la vigueur au sexe du jeune homme qui s’obstinait à rester plutôt flasque. Ah, les inhibitions des hommes ! « La bandaison, papa, ça se commande pas » chantait Brassens. Elizabeth savait combien c’était vrai et quels trésors de patience, de douceur et de remise en confiance il fallait déployer pour arriver au miracle du sexe qui bande quand le cerveau se met à tourner au questionnement ou à l’émotion. Petit à petit, elle y parvint, usant de ses mains et de sa langue, offrant ses trésors à l’exploration du jeune puceau. Par contre, la première inhibition passée, elle se rendit compte qu’il s’excitait trop vite, et qu’elle risquait une nouvelle éjaculation intempestive. Elle cessa donc d’astiquer la jeune verge toute neuve et attira le jeune homme sur elle.
Le garçon, obéissant commença à aller et venir lentement dans la grotte brûlante qui enserrait son membre. C’était une incroyable impression de douceur et de chaleur qui irradiait de son sexe à son ventre. Elizabeth lui fit empaumer un sein dont le mamelon se durcissait de désir. Elle lui fit glisser son autre main sous ses fesses rebondies. Puis elle se trémoussa sous lui. Creusant son ventre pour faire saillir son mont de Vénus et darder un peu plus son clitoris qu’elle aimait sentir écrasé par le pubis de son partenaire. Répondant aux coups de boutoir, en lançant son bassin vers le pieu qui l’emmanchait pour mieux en profiter. Elle commentait toujours le match, excitant de plus en plus le garçon. Les oreilles de Didier étaient pleines de mots crus: « seins, cul, bite, con, chatte, vagin, pine »… Sa tête en feu réagissait à chacun des commentaires. Il ne sut comment cela lui arriva, mais d’un coup le plaisir lui brûla les reins. Il sentit sa verge se gonfler et brutalement sa semence jaillit hors de lui. Il se crispa, puis s’affala sur sa partenaire, complètement anéanti, laissant couler sa semence par saccades dans le vagin si accueillant. Elle lui caressa gentiment la tête jusqu’à ce qu’il reprenne ses esprits.
Ils se séparèrent. Elizabeth se leva et appela Vincent qui attendait derrière la porte.
Vincent entra et se déshabilla en un clin d’oeil. Il regarda la jeune femme, le sperme lui coulait entre les cuisses en longues traînées luisantes.
Il rejoignit sa maîtresse, la verge dressée vers le ciel, déjà prête.
Lorsqu’Elizabeth fut installée, les fesses cambrées, la chatte entr’ouverte prête à l’hommage de son jeune amant, Vincent appela Didier qui le rejoignit, le sexe ballant.
Vincent abaissa son membre à l’horizontale et présenta le gland juste à l’entrée du vagin. Puis, lorsque le bout eût écarté les grandes lèvres et commencé à pénétrer le sexe de la jeune femme, il la prit aux hanches et s’enfonça d’un violent coup de reins jusqu’à ce que ses testicules viennent frapper contre les poils du mont de Vénus. Sans attendre il se mit à baiser en donnant de grands coups de boutoir. Son membre s’enfonçait en entier dans la crevasse bien juteuse et son ventre s’écrasait contre les superbes fesses offertes. Puis il ressortait presque complètement, ne laissant que le bout de son gland dans l’antre d’amour pour mieux s’enfoncer à nouveau et pénétrer bien à fond. Elizabeth, la tête entre les bras, les seins oscillants au rythme imprimé par Vincent, sentait le foutre qui bouillonnait en elle, prêt à jaillir de sa chatte en chaleur.
Didier très intéressé regardait de tous ses yeux. Sous cette vision érotique son désir renaissait d’autant mieux, qu’ Elizabeth avait repris son délire verbal.
La jeune femme, dans un râle de bête blessée, jouissait follement. Le foutre coulait à flots de son vagin qui palpitait, enserrant plus fort le sexe mâle dans ses chairs chaudes. Vincent de son côté, faisait des efforts pour se retenir et ne pas éjaculer trop vite. Il avait l’intention de faire jouir Elizabeth plusieurs fois avant de rendre les armes. Il subit donc l’avalanche de mouille sans broncher, mais sa verge était soumise à rude épreuve, par les mouvements du vagin en pleine jouissance. L’orgasme dura longtemps, la cyprine coula, abondante. Didier de plus en plus excité, avait les yeux rivés sur la verge admirablement raide et couverte de liquide luisant qui entrait puis ressortait d’entre les lèvres du con toujours sur un rythme soutenu. Enfin, petit à petit, le calme revint sur le visage et dans le corps d’Elizabeth.
Vincent donna encore quelques rapides coups de bite, puis se retira lentement, comme à regret, du vagin si accueillant. La chatte restait un peu béante, prête à recevoir un nouvel hommage. Elizabeth gémit:
Didier venait de remplacer Vincent dans la chatte toute chaude et toute excitée de la baise de son copain. Sa verge était entrée d’un coup, glissant parfaitement dans les chairs bien lubrifiées par le foutre et les restes de son propre éjaculat. Vincent, de son côté, contourna le lit et vint présenter sa virilité à la jeune femme. Elle ouvrit les lèvres en forme de O et les posa délicatement sur le bout tout congestionné. Le membre se redressa sous la douceur de la caresse, manquant de lui échapper. Elle ouvrit la bouche plus largement et le gland tout entier disparut entre les lèvres pulpeuses. Vincent ressentit une onde chaude courir le long de son sexe jusque dans ses reins. Qu’elles étaient bonnes ces lèvres qui savaient si bien insister sur les points sensibles. Qu’elle était mutine cette langue qui lui léchait la base du gland. Elizabeth était décidément très douée pour les pipes.
La jeune femme, emmanchée par les deux membres, rythmait sa succion en fonction des coups de boutoir de Didier. Elle ne pouvait plus exprimer verbalement ses sensations, mais elle jouissait intensément de se faire mettre par deux hommes si jeunes et si bien pourvus en attributs virils. La situation la stimulait au plus haut point. Se faire embrocher par deux jeunes verges lui donnait un sentiment puissant d’être une femelle complètement soumise aux désirs de fringants étalons. Cette sensation, jointe à l’action de leurs sexes sur ses muqueuses, fut rapidement efficace et elle eut un nouvel orgasme presque aussi violent que le premier. Ses fesses se tortillèrent avec fureur de manière à profiter au maximum de la bite de Didier. Elle n’en oubliait pas pour autant celle de Vincent, qu’elle continuait à masturber de ses lèvres chaudes, enduisant généreusement la colonne de chair de sa salive.
Didier était soumis à rude épreuve, et malgré le fait qu’il eût déjà éjaculé deux fois, sa jouissance revenait très vite. Il accompagnait chaque pénétration d’un rugissement. Il avait saisi Elizabeth aux fesses qu’il caressait rudement, appréciant la chair veloutée qui frissonnait d’excitation et de jouissance.
Car Elizabeth jouissait toujours. Son ventre semblait être un vaste réservoir de foutre. Ce jus d’amour coulait dans les poils pubiens de la chatte embrochée et sur les couilles du garçon. L’odeur s’en répandait dans la pièce, ajoutant à l’excitation des trois partenaires. Quand elle fut au bout de son orgasme, Elizabeth accéléra les mouvements de sa tête entraînant Didier à s’activer lui aussi. Le résultat ne se fit pas attendre et la belle vicieuse vit ses efforts récompensés. Les deux pines se gonflèrent en même temps. Les deux garçons se cambrèrent, grognèrent de plaisir, crispèrent leurs mains sur la croupe généreuse et sur la tête brune. Elizabeth était prête à recevoir les deux giclées. Elles arrivèrent ensemble, brûlantes, chaudes et épaisses. Le sperme de Didier frappa avec force le fond du vagin, celle de Vincent heurta le palais de la suceuse, puis coula sur sa langue.
Elizabeth était au comble du bonheur, un nouvel orgasme se déclancha. Son vagin se remplissait de bon sperme chaud, et dans sa bouche les giclées étaient rapides et consistantes. Mais trompée par son corps alangui par la jouissance, elle ne pouvait recueillir suffisamment vite le sperme de Vincent et de longues traînées s’écoulèrent à la commissure de ses lèvres, jusque sur son menton. Du côté occupé par Didier, d’autres gouttes visqueuses s’échappaient également de leur réservoir pour maculer ses cuisses et ses poils pubiens.
Anéanti de bonheur, notre ex-puceau s’était affalé sur le dos de la jeune femme et grognait de plaisir tandis que sa bite giclait toujours. Mais bientôt il débanda, la verge glissa hors du vagin et les dernières gouttes tombèrent sur le couvre-lit.
Il fallut plusieurs minutes pour que nos trois baiseurs reprennent leurs esprits. Radieuse, Elizabeth contempla ses jeunes amants.
Didier était abasourdi. Vincent avait couché avec Denise aussi ?
Mais Elisabeth lui souriait et le rassurait.
Didier était presque convaincu. Elizabeth l’attira contre elle et l’embrassa sur le coin des lèvres, presque chastement. Mais ce baiser innocent réveilla le désir du jeune homme qui le transforma en baiser brûlant qui chassa toutes ses angoisses.
L’heure avait tourné, Didier quitta à regrets ses amis et rentra chez sa logeuse, non sans avoir à nouveau embrassé langoureusement Elizabeth et profité de sa nudité pour caresser ses seins.
Denise l’attendait et commençait à s’inquiéter, car elle n’était pas au courant des manoeuvres d’Elizabeth. Dès qu’il pénétra dans l’appartement, elle se rasséréna.
Le garçon contempla la jeune femme. Elle était très belle et très sexy. Il comprenait que Vincent n’ait pas résisté à ses charmes. Ses cuisses légèrement ouvertes étaient admirables, bien qu’un peu fortes. Son corsage était plein à craquer. Soudain Didier eut envie de la voir nue, de la caresser des yeux et de ses mains…
«Et puis zut, se dit le jeune homme, si elle est aussi délurée qu’ils me l’ont décrite, elle ne doit pas être choquée si je lui dis la vérité.
« J’en étais sûre pensa Denise. La salope n’a pas pu résister au plaisir de se taper un autre petit jeune tout neuf. Ça l’excite d’initier les jeunes ! La salope ! Elle profite de tout ! En plus deux jeunes comme eux ! Elle a du en prendre un max !»
Deux heures plus tard, Didier, à demi allongé sur le lit, écoutait sa logeuse qui, assise dans un fauteuil près du lit, racontait ses souvenirs de jeunesse.
A suivre….