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Temps de lecture estimé : 19 mn
14/06/05
corrigé 30/05/21
Résumé:  Denise raconte son adolescence à Vincent et l'initie aux plaisirs de la chair.
Critères:  fh fplusag jeunes cousins profélève fmast intermast entreseins fellation 69 fgode fdanus jeu init
Auteur : Amenophis      

Série : Un parfum d'autrefois

Chapitre 09 / 14
Un parfum.... d'autrefois (9)

Deux heures plus tard, Vincent, à demi-allongé sur le lit écoutait sa charmante logeuse qui, assise dans un fauteuil près du lit, racontait ses souvenirs de jeunesse.



Je n’étais pas sortie de l’enfance quand nous nous sommes perdus de vue pour de nombreuses années. Comme il était mon idole, toute impubère que j’étais, je lui avais fait promettre que ce serait lui qui me déflorerait. Et j’étais tout à fait décidée à respecter ce pacte. Je te dirai plus tard dans quelles circonstances je pris cette résolution. Je veux d’abord te raconter mon adolescence au pensionnat.

En grandissant, je guettais, comme toutes les filles je crois, les transformations de mon corps : les poils qui apparaissent, le développement de mes seins. Seraient-ils gros ou petits ? Quelle angoisse ! Et puis la puberté est venue, et la transformation s’est complétée. À ma grande satisfaction, j’héritai d’une poitrine assez opulente, ce qui changea le regard des garçons sur mon corps. J’eus bientôt de nombreuses sollicitations de leur part. Et comme j’étais toujours attirée par les jeux de sexe, mais que je voulais à tout prix garder ma virginité pour mon Rodolphe, je devins très experte en masturbations et en fellations. Je n’ignorais rien de l’anatomie intime des garçons, ni de la manière de les exciter et de les faire éjaculer. J’étais aussi experte en masturbation féminine. Pour moi-même d’abord, mais aussi pour faire jouir les autres filles. Mon expérience s’étendait à tout ce qu’on peut prodiguer comme plaisir en utilisant mes mains, mes lèvres, ma langue ou même mes seins à une fille ou à un garçon. Le week-end, je me laissais volontiers entraîner dans une cave ou un grenier par un garçon que je masturbais (ou que je suçais s’il était propre et gentil) jusqu’à ce qu’il éjacule tout son sperme. Je lui laissais aussi le choix de gicler entre mes doigts, sur mon ventre ou sur mes seins. Jusqu’au jour où je découvris le plaisir d’avaler le sperme.

L’expérimentation eut lieu avec le plus timide des garçons du quartier. Les autres s’étaient depuis longtemps donné le mot, et j’avais plus de sollicitations que d’envies. Par ailleurs ils me respectaient et, lorsque je disais non, aucun n’insistait ni ne me forçait à faire quoi que ce soit. Mais celui-là m’intriguait. Il ne me regardait jamais en face et il évitait de me parler. Je réussis quand même un soir à l’entraîner dans un grenier. Ce fut moi qui pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche. Baiser qu’il me rendit à peine. Il restait les bras le long du corps, apparemment tétanisé. Ne voyant aucune caresse venir, j’ouvris son pantalon. Et là ! Miracle ! Je découvris une bonne grosse bite toute dure. J’eus à peine le temps de la prendre dans ma bouche qu’il éjaculait. Surprise, je fis ce que je ne faisais pas jusque là, j’avalai. Et j’y trouvai un grand plaisir. Ce qui fait que par la suite, j’eus tendance à boire le sperme de mes partenaires plutôt que de le recevoir sur telle ou telle partie de mon corps. Ceci dit, je découvris aussi que le goût en était différent suivant les garçons, et je choisissais de boire ceux dont le goût me plaisait.

La semaine j’étais pensionnaire dans un lycée privé de filles. Nous étions quelques-unes à nous rendre la nuit dans les lits des autres, et nos caresses mutuelles nous donnaient souvent des orgasmes qui nous faisaient défaillir.

Ma complice la plus assidue de ces jeux se prénommait Valentine. Un jeudi après-midi nous avions déclaré, Valentine et moi, que nous étions indisposées et que nous avions mal au ventre. C’était le moyen radical pour être envoyées se reposer au dortoir, au lieu d’avoir à subir l’étude et la promenade. Nous croyant seules comme d’habitude, nous avons immédiatement commencé à nous faire du bien. Ma partenaire me fit d’abord jouir en m’astiquant le clitoris avec ses doigts. Puis elle se servit de sa langue pour me tirer une nouvelle coulée de cyprine. Pour la remercier, à mon tour, je lui léchai la chatte. Nous avions une telle maîtrise de ce genre d’exercice, et Valentine était si chaude, qu’en quelques coups de langue bien placés, elle commençait déjà à gémir de plaisir. J’insistai un peu sur son bourgeon de chair que je savais très sensible. Il était d’ailleurs relativement développé pour son âge et pointait fièrement son insolent bout du nez hors de sa fente. Ma léchouille, même rapide, fut suffisante pour la faire jouir sans retenue. Elle se tordait sous mes coups de langue, et m’inonda la bouche et le menton de sa mouille. Elle aimait rudement ça, tu sais, et je me souviens très bien qu’elle se pelotait les seins pendant que je lui gougnottais la moule. Son orgasme terminé, je me redressai, la bouche barbouillée de foutre.

Valentine était encore pâmée quand je sentis une présence. Mademoiselle Hortense, une surveillante, nous observait, à quelques mètres. Je me troublai ! Sans un mot, mais d’un geste impérieux, elle m’ordonna de la suivre. Sans discuter, j’enfilai rapidement la robe de chambre que j’avais posée sur le lit, et je la suivis, certaine d’être punie et probablement renvoyée. Au bout d’un couloir, elle me fit entrer dans sa propre chambre.

Mademoiselle Hortense était la plus sévère des surveillantes. Elle avait un visage dur. Ses lunettes à grosse monture et ses cheveux tirés en un chignon strict rehaussaient son air revêche.



J’étais complètement abasourdie par la proposition de la sévère Mademoiselle Hortense. Je n’y avais jamais réfléchi auparavant. Pour moi, il était évident que c’était une vieille fille qui devait être asexuée et complètement étrangère à tout ce qui pouvait toucher à l’amour physique. Or elle proposait à une pensionnaire d’avoir une relation homosexuelle. C’était incroyable! Mais mes états d’âme furent de courte durée. Je n’avais pas le choix et elle le savait, la garce ! Et puis finalement, ça ne me déplaisait pas. Aussi je répondis avec juste ce qu’il faut d’enthousiasme, mais en gardant les yeux baissés.



Je retournai près de Valentine et je trouvai un prétexte quelconque. Pendant cet intermède, je pensais à ce que nous allions faire. Passablement excitée par la situation, je revins près de la vieille fille. Elle s’était entièrement déshabillée pendant mon absence. Elle ferma la porte à clé et me débarrassa de ma robe de chambre. Elle contempla longuement mon corps nu, détaillant les courbes et les endroits intimes. Le contraste entre nous était frappant. J’étais déjà bien formée, ma poitrine était orgueilleuse et pleine, mes hanches en amphore et mon cul bien rebondi. Elle, par contre, était du genre garçon manqué. Ses fesses étaient petites et musclées, ses épaules plutôt carrées et ses petits seins étaient agrémentés d’aréoles fort brunes, avec de petits tétons. Difficile de lui donner un âge. Quarante ans peut-être ? Je n’ai jamais su.

Sans un mot, elle m’attira sur le lit. Elle se mit sur le dos, écarta largement les cuisses et me fit comprendre que je devais me mettre sur elle dans la position du 69. Je m’exécutai. Son clitoris était long et raide. Une vraie petite bite ! Je m’en emparai et me mis à le sucer et à l’agacer férocement avec la pointe de ma langue. Elle, de son côté, s’occupait de ma chatte. Elle était très experte, et la langue qui fouillait ma vulve m’arrachait des gémissements de plaisir.

Notre 69 dura longtemps et nous avons joui plusieurs fois avec intensité. Mais après une heure de jeux érotiques, nous avons dû nous séparer. Par la suite, nous nous sommes retrouvées assez régulièrement. Puis un jour Mademoiselle Hortense me dit :



Je ne répondis rien, car avec elle je n’osais jamais protester. Pourtant j’avais des sentiments mitigés sur le sujet. D’un côté, je m’imaginais que j’allais enfin connaître les joies que procure la pénétration par un sexe masculin. Bien sûr il serait factice, mais je ne savais pas s’il y avait une grande différence. De l’autre, j’étais un peu chagrinée, toujours à cause de ma promesse et à cette volonté de me faire dépuceler par Rodolphe dont j’étais toujours amoureuse.


Mais, comme je l’ai dit, je n’osais jamais discuter les ordres de Mademoiselle Hortense. D’ailleurs, avant que j’aie pu réfléchir complètement à la situation, elle avait sorti l’engin. Il était long, gros et tout noir. C’était la reproduction parfaite d’un sexe d’homme. Ça ressemblait aux trucs que j’avais vus entre les cuisses des camarades de mon immeuble. Sauf qu’il était nettement plus gros et plus long, tout noir, et bien dur. J’avais un peu peur de recevoir ça dans ma petite chatte, mais Mademoiselle Hortense me rassura.


L’engin était pourvu de lanières de cuir, et je la vis ceindre le gode et l’attacher sur elle à l’aide de ces lanières. Elle enduisit ensuite la tige d’un gel destiné à faciliter l’intromission, et s’agenouilla entre mes cuisses qu’elle écarta largement. J’avoue que, dans la demi-pénombre de la chambre, elle ressemblait à un homme. Elle s’allongea sur moi, puis guidant le sexe factice, elle le présenta à l’entrée de mon vagin. Je haletai, un peu d’excitation, mais surtout de peur, lorsque je sentis le gland pénétrer entre mes lèvres basses. Elles étaient déjà bien enduites du foutre que les caresses de ma partenaire avaient fait couler et, le gel aidant, il n’y eut aucune résistance. La surveillante poussait doucement. Tendue à l’extrême, je sentais cette grosse chose entrer en moi et m’emplir le vagin. Puis vint une espèce de picotement qui me fit me raidir, mais le sexe factice poursuivit son chemin. Un grand déchirement se produisit alors dans mon ventre, et j’eus très mal. Mais Mademoiselle Hortense, une fois l’obstacle franchi, continua son introduction jusqu’à ce que nos pubis se touchent. Puis elle se mit à aller et venir, faisant entrer et sortir la grosse tige noire dans mon sexe. Sur sa recommandation, je glissai ma main entre nous et j’entamai des mouvements de masturbation sur le haut de mon clitoris. Avec cette thérapie, petit à petit la douleur disparut et fit place à un doux engourdissement. Elle m’encourageait d’une voix rauque, débitant les obscénités qui, elle le savait, m’excitaient. Bientôt mon bas-ventre se contracta, mes seins devinrent durs, et je gémis de plaisir lorsque la première giclée de foutre jaillit de ma chatte en feu. La surveillante continuait à limer sans relâche, et je jouissais comme je ne l’avais jamais fait. Et puis, d’un coup, elle s’arrêta de limer et se tortilla contre moi. Elle se cambra. Le gode entra encore plus profond, m’arrachant un nouveau gémissement. Elle cria, et je compris qu’elle aussi jouissait. C’était une vraie gouine, et de m’avoir baisée l’avait fort excitée. De plus la lanière de cuir qui passait entre ses cuisses devait frotter sur son clito qui était l’endroit le plus érogène de son anatomie. Cette branlette improvisée semblait l’avoir achevée et maintenant elle mouillait abondamment en me pétrissant durement les seins. Je …. >>


Denise interrompit son récit car Didier, trop excité par ce qu’elle racontait, avait ouvert son pantalon. Il avait sorti sa pine bien raide, et s’était mis à se branler avec vigueur.



Comme à son habitude, elle ne portait pas de culotte, et Didier, ébloui, découvrit la magnifique chatte blonde de la jeune femme.



L’excitation de Didier augmenta d’un cran et il accéléra instinctivement sa masturbation. Denise, elle, plaqua sa main entre ses cuisses largement ouvertes et se mit à se frotter le bouton et à introduire ses doigts entre ses lèvres basses déjà bien trempées de la liqueur qui avait coulé de son sexe. Didier, subjugué par cette vision pornographique, accéléra encore ses coups de poignet. Denise, tout en continuant à s’astiquer le clitoris, glissa une main dans son corsage qu’elle ouvrit pour découvrir ses seins lourds et pulpeux. Elle écarta rapidement les demi-bonnets de son soutif, faisant jaillir ses mamelons aux aréoles blondes.



Didier était en pleine éjaculation. Il tenait sa verge à la verticale et le sperme jaillissait de la petite bouche au sommet du gland comme d’une fontaine, retombant en longues gouttes sur son ventre et sur ses cuisses. Denise, très excitée par la vue du jeune homme en train de jouir, continuait sa masturbation. Elle se frottait toujours le bouton et se pelotait les seins de l’autre main. De temps en temps, ses doigts pénétraient dans son vagin pour y cueillir quelques gouttes de foutre dont elle s’enduisait le clitoris bien gonflé. Alors que les dernières gouttes de sperme s’écoulaient du méat du jeune homme, Denise atteignit l’orgasme. Ce fut violent, tant l’excitation de se masturber en face de son jeune locataire avait été grande.


Bien que l’émotion ait été intense, en particulier durant la dernière phase de leur duo de masturbation, Didier et Denise retrouvèrent petit à petit leurs esprits. Ce fut le garçon qui reprit le dialogue :



Denise éclata de rire.



En effet, miracle de la jeunesse, la verge du jeune homme encore luisante de sperme, commençait à relever la tête à la simple perspective de baiser la jeune femme.



Denise se débarrassa rapidement de sa minijupe, de son chemisier et de son soutien-gorge à balconnets pour apparaître magnifiquement nue. Aussitôt, elle s’assit sur le rebord du lit près du corps dénudé du jeune homme. Prenant la verge à demi-bandée entre ses doigts pour la redresser complètement, elle se pencha de manière à ce qu’elle vienne se loger entre les globes laiteux de ses seins. Puis elle se pencha en avant et entreprit de lécher la petite mare de sperme qui s’était formée autour du nombril.

Incrédule, Didier, qui la contemplait avec ravissement, gémit de bonheur et d’excitation. Les cheveux blonds caressaient son ventre, créant des ondes nerveuses qui parcouraient son corps agité de tremblements convulsifs. Sa queue, enserrée entre ces deux seins si chauds et si doux, se redressa d’un coup, dure et tendue ! S’il n’avait pas eu plusieurs éjaculations, elle aurait aussitôt craché sa semence.



Mais Denise, excitée par le goût et l’odeur du jeune sperme, ne voulait pas être privée de son plaisir d’en profiter jusqu’au bout.



La verge du jeune homme passa directement du sillon mammaire à la bouche pulpeuse et aux lèvres charnues de la jeune femme qui, sans attendre, passa sa langue agile tout autour du gland et le long de la tige de chair afin de recueillir les gouttes de jute qui n’avaient pas été essuyées par ses seins. Sous la caresse, Didier eut l’impression que son membre ô combien viril, grossissait encore.



Denise enjamba rapidement son jeune locataire. Elle prit en mains le membre tout raide qu’elle dirigea vers l’entrée de son vagin trempé de mouille. Lorsque le gland fut littéralement englouti entre les grandes lèvres de son sexe, elle abaissa lentement ses hanches, profitant au maximum de la divine sensation que lui procurait cette lente introduction. Didier crut défaillir de bonheur ! C’était ça, faire l’amour ? C’était bien plus merveilleux que ce qu’il avait imaginé.

Agenouillée de part et d’autre du corps tendu vers elle, appuyée sur ses bras tendus, Denise commença une lente chevauchée sur le sexe dressé. Elle bougeait lentement de droite et de gauche, guidant la pointe du gland gorgé de sang dans les moindres recoins de sa grotte d’amour.



Didier empauma les deux seins qui dansaient doucement au-dessus de lui, et les malaxa doucement.



Le jeune homme s’exécuta. Avec précaution d’abord, puis plus violemment en entendant sa partenaire gémir de plus en plus fort et en voyant son visage se crisper sous l’effet de la jouissance.



Sous l’action de la bite qui la fouillait au plus profond et des dures caresses sur les pointes de ses seins, Denise venait de se laisser aller à son premier orgasme. Subjugué, son jeune amant regardait avec ravissement le plaisir l’envahir. Tout le corps de la jeune femme était tendu et palpitait sur le pieu de chair qui la clouait au plaisir. Les parois de son vagin se serraient convulsivement autour du sexe dur. Elle secouait la tête de droite à gauche, faisant flotter ses cheveux blonds au rythme de l’onde de plaisir qui la submergeait. Il sembla à Didier que l’orgasme n’en finissait pas.

Enfin Denise sembla sortir de son nirvana. Lentement elle reprit sa chevauchée. Lentement ! Très lentement ! Toujours avec des mouvements latéraux pour mieux frotter ses muqueuses sur la pointe de chair. Didier avait repris ses caresses sur les globes veloutés et les mamelons érigés. Doux et légers d’abord, ses doigts se firent durs au fur et à mesure que la jeune femme accélérait sa chevauchée. Celle-ci devint cavalcade car Denise, contrairement à la première fois, voulait faire jouir son partenaire en même temps qu’elle. Ce frottement rapide et intense sur la jeune verge fut rapidement couronné de succès. À peine Didier eut-il le temps de sentir monter sa jouissance que sa semence gicla violemment hors du méat pour frapper la matrice et inonder le sexe de sa logeuse. Cette sensation entraîna un nouvel orgasme chez Denise qui s’affala sur le torse juvénile, sur lequel elle écrasa ses seins aux pointes durcies par le plaisir. Un baiser tendre et profond les unit.


Il leur fallut quelques minutes pour reprendre leurs esprits. La verge de Didier avait fini par se recroqueviller et sortir de l’antre du plaisir. Le sperme avait commencé à suinter d’entre les grandes lèvres et à se répandre dans les toisons des deux amants. Puis Denise avait basculé sur le lit près du jeune homme.



Denise s’était blottie comme une petite fille la tête sur l’épaule du garçon.



Quand son orgasme fut épuisé, Mademoiselle Hortense me dit :



Elle défit les lanières, et se chargea de fixer la bite factice qui bientôt pointa fièrement à la fourche de mes cuisses. Je voyais mon reflet dans une glace, et je fus un instant fascinée. L’effet était différent de ce que cette prothèse provoquait lorsqu’il était ajusté sur le corps de la surveillante. Moi j’avais des formes de femme, et cette bite dressée combinée à la grosseur de mes seins me donnait une impression d’être hybride. Pendant que je me contemplais, elle s’était mise à quatre pattes sur le bord du lit.



Je me plaçai entre ses jambes, et j’abaissai le gode pour présenter le gland à l’entrée de son vagin.



Elle devait avoir l’habitude d’utiliser cet engin de cette manière, car bien qu’elle soit plutôt étroite des hanches, son anus ne fit aucune difficulté pour l’engloutir. Pendant que je faisais aller et venir le gode entre ses fesses, elle ne cessa de se masturber. Elle finit par jouir intensément.

Elle m’expliqua, peu de temps avant la fin de l’année scolaire, qu’elle avait été violée par un homme et que, depuis, elle ne pouvait plus supporter un sexe masculin, même factice, dans sa chatte. >>



À suivre….