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Temps de lecture estimé : 9 mn
15/06/05
Résumé:  Histoire d'un couple où la Dame, poussée par un mari consentant, vit ses fantasmes avec de multiples amants.
Critères:  fhh fhhh extracon extraoffre cocus collection voir exhib fellation cunnilingu init
Auteur : Michel      

Série : Femme libertine, mari tolérant, couple coquin !

Chapitre 01 / 02
Femme libertine, mari tolérant, couple coquin !

Ma femme est une grande libertine, je suis un mari cocu mais très tolérant.


Myriam et moi avons commencé très tôt à nous avouer nos fantasmes. Une fois que cela fut fait, nous n’avons rien regretté ! Ma Chérie et moi avons découvert que nos fantasmes étaient complémentaires : si moi je rêvais de la voir dans les bras d’un autre homme, elle, elle rêvait de…


Voici donc notre histoire, du début à la fin, ou presque ! Elle pourrait s’intituler « Michel et Myriam ou les délices du candaulisme »…


Myriam,


Je suis particulièrement fier, pour ma part, que tu aies bien apprécié, et on recommence quand tu veux !

Si tu aimes sentir ma langue (ou autre chose ;-p) au fond de toi, tu n’auras qu’à demander. D’ailleurs, si vous avez encore des photos comme celle que tu m’as envoyée, avec ta chatte bien écartée, envoie-les-moi.

Je souhaite également te féliciter, parce que j’ai vraiment apprécié tout ce que tu m’as fait, en particulier ton petit cul bien étroit, qui est un véritable régal : j’apprécie d’autant plus que c’est toi qui demandes. J’espère que la prochaine fois tu me laisseras venir dans tes fesses :-)

Dommage que vous ayez dû partir si tôt du Nat Hammam, tu m’avais tellement excité que j’aurais tenu encore deux ou trois rounds ;-)


J’ai beaucoup apprécié votre rencontre et on remet ça dès que vous serez partants.


a+, Steph


Voilà le genre de petits mails qui arrivent dans la boîte à lettres de ma douce et belle. Myriam est ma femme, Steph un de ses amants. Nous l’avons rencontré samedi dernier.


Il faut bien dire que ma copine est une belle garce ! Elle aime exciter les hommes. Elle les émoustille avec des tenues hyper provoc. Ses robes transparentes et autres mini jupes sans culotte provoquent l’émoi dans tous les cafés du centre-ville, ce qui lui vaut une belle réputation… qu’elle entretient de bon cœur en s’exhibant en culotte ou à poil devant la fenêtre de la chambre, pour le plus grand plaisir des voisins d’en face !


Je ne m’oppose pas au tempérament de feu de ma femme, car je ne suis pas jaloux. Myriam m’amuse et m’excite en même temps : j’avoue que j’ai un faible pour les « petites salopes ». D’ailleurs, quand j’ai rencontré Myriam, je savais parfaitement à qui j’avais à faire. Il est clair qu’inconsciemment, je l’avais déjà sélectionnée.


Très vite, ma Chérie et moi avons commencé à nous avouer nos fantasmes.

Un jour, j’ai osé avouer à ma douce et belle que j’étais très excité à l’idée de la voir dans les bras d’un amant.

Sans le savoir (encore que…), j’avais allumé un petit feu dans une grange de paille !

Encouragée par ma complicité, Myriam s’est habillée de plus en plus provoc, s’est laissée draguer dans la rue…


Quelques jours à peine après mon aveu, elle est revenue à la maison avec un petit papier dans sa poche : le numéro de téléphone d’un jeune ambulancier qui travaillait en bas de chez nous et qui lui avait fait des propositions. Elle était toute émoustillée !


Et c’est alors ça que ça s’est passé : un jeu, un apéritif bien corsé, un défi… Myriam a téléphoné à Tony devant moi et l’a allumé comme une vraie garce. De toute évidence, elle s’éclatait au téléphone, le jeu lui plaisait. J’étais un peu impressionné de son audace, car elle parlait sans ambiguïté ! Elle m’a lancé un sourire très complice et assez conquérant en acceptant un rendez-vous chez lui, le soir même, à onze heures. Quand elle a raccroché, l’affaire était dite, mais irait-elle jusqu’au bout ?


À coup sûr, l’histoire l’amusait et elle semblait décidée : elle a choisi une jolie culotte transparente, et une mini bien sexy, après en avoir essayé plusieurs…

Le soir venu, ma Chérie a bu un dernier verre. Elle m’a gratifié d’un baiser amoureux, assorti d’un regard coquin et a quitté la maison. Quand je l’ai vue s’éloigner dans la rue d’un pas décidé, avec sa mini robe soigneusement choisie pour l’occasion, j’ai compris que mon (en fait, notre) fantasme était en train de se réaliser pour de bon !


La montre a fait le reste. À onze heures, je l’ai imaginée en bas de l’immeuble de celui qui devait devenir son amant. À minuit, chaque seconde qui s’écoulait confirmait la réalité, Myriam n’était toujours pas là, elle était donc ailleurs…toujours avec lui ! Je l’imaginais dans les bras de cet homme, je savais qu’à l’heure qu’il était tout devait être consommé depuis bien longtemps… J’éprouvais des sentiments étranges et contradictoires mais, au fond, j’étais surexcité et, de toute manière, je ne pouvais plus rien faire, je n’avais plus qu’à attendre.


Myriam est rentrée à la maison vers trois heures du matin avec un sourire étrange et radieux. Elle s’est blottie contre moi avec un regard de connivence, et nous avons fait l’amour comme jamais. Toute excitée par son aventure, elle ne pouvait s’empêcher de tout me raconter. Moi, je la trouvais infiniment plus femme : son aventure avec un autre l’avait rendue plus désirable… C’est un peu comme si elle m’avait donné envie de la reconquérir ! Et le petit supplice auquel je venais d’être soumis n’avait fait que multiplier mon ardeur !


La première expérience fut donc une réussite et d’autres ont suivi.

Myriam, qui avait toujours été très exhib, s’est illustrée par des tenues de plus en plus sexy, encore plus provoc. Je l’encourageais, car le style « petite pute » lui allait vraiment très bien. Parfois j’ai eu des frissons en la voyant sortir dans certaines tenues, car elle allait vraiment très loin dans le genre ! Mais je me forçais à ne rien laisser paraître, pour l’encourager à être elle-même, curieux en même temps de savoir jusqu’où elle irait…


Et je n’ai pas été déçu : ma Chérie a continué, sans hésiter, sur sa lancée. Quelques jours après son aventure avec T***, Myriam, profitant d’une absence, a passé une après-midi en compagnie d’un proche voisin… Le soir venu, au lit, Myriam m’a tout dévoilé : les yeux pétillants de fierté et encore emballée par son aventure, elle me racontait, toute pudeur oubliée, les moindres détails de leurs ébats. Très à l’aise pour une deuxième fois, elle me racontait sans pudeur qu’il l’avait prise ici, puis là, puis dans son lit, dans telle position qu’elle avait trouvée géniale, etc. …


Moi, j’étais un peu gêné de savoir que ma femme avait couché avec un si proche voisin, surtout que le lendemain tout le quartier serait au courant ! Mais je ne voulais toujours pas la décourager : il était normal que ce soit elle qui choisisse ses amants et, celui-là lui ayant plu, je devais l’accepter… Et puis, malgré la honte d’être cocu, cette seconde aventure m’avait excité tout autant que la première, et même plus… Et Myriam ne pouvait ignorer les érections que me procurait l’évocation de ses ébats. D’ailleurs, les jours suivants, elle m’a mis au supplice : elle est retournée plusieurs fois chez ce gars, et elle savait comment j’étais quand elle rentrait !


La suite logique est arrivée : femme qui plaît attire les hommes, et la réputation s’est mêlée à l’affaire. Les candidats se sont pressés au portillon. Ma Chérie n’avait plus qu’à choisir, et elle a pris l’initiative de plus en plus souvent.

De soirée en soirée, d’invitation en invitation, les heureux élus se sont multipliés…


Un jour, ma Chérie et moi avons parlé de triolisme. Myriam étant jalouse, elle m’a avoué qu’elle ne supporterait pas de me voir faire des choses à une femme. Elle n’était en revanche pas contre…pour elle-même, ainsi que j’ai pu m’en apercevoir par la suite.

J’admettais parfaitement cette jalousie contre laquelle elle ne pouvait rien, mais l’idée de la voir à l’oeuvre avec un autre homme m’excitait énormément. Jusqu’à présent je savais, sans plus, et je n’avais eu de contact avec ses amants que par le sperme qu’elle ramenait parfois dans ses culottes… Je voulais en savoir plus, et savoir ce que je ressentirais en la voyant faire…


Myriam était partante pour une partie à trois et, finalement, nous sommes passés très vite à l’action, en toute complicité.

Nous avons répondu à des petites annonces et rencontré un certain nombre de partenaires, noué quelques contacts, discuté…

Deux ou trois de ces contacts se sont terminés par des rapports sexuels, plutôt satisfaisants. À l’occasion, nous avons appris l’existence de lieux consacrés au libertinage : saunas, discothèques, tous lieux que nous ne connaissions pas encore…


La première fois que j’ai vu de mes propres yeux ma Chérie faire l’amour avec un homme, je m’attendais à un énorme choc émotionnel. Curieusement, ce n’a pas été le cas : j’étais simplement très gêné, car elle avait choisi un de mes copains sur lequel elle fantasmait énormément. C’était au cours d’une soirée chez Fred, dans son appart’ du quartier Richter, et Myriam a pris l’initiative sans me demander mon avis. Fred, lui, avait compris très vite et, finalement, Myriam a gagné.

Quand Fred s’est retrouvé en slip, Myriam s’est collée contre lui pour l’embrasser. Elle était elle-même en culotte. Elle avait pris l’initiative et ne m’avait rien demandé ! Et elle était là, devant moi, à se laisser embrasser à pleine bouche, les fesses offertes aux caresses de mon copain. Son pubis, soigneusement collé au bas-ventre de notre ami, excitait, au rythme de la musique, un engin impressionnant que l’étoffe du slip avait de plus en plus de mal à cacher. Fred subissait le traitement avec un plaisir évident… Je n’avais rien à dire…


J’avais eu un peu honte, mais j’étais passé par-dessus, et cette honte s’est transformée en excitation quand ma Chérie a approché sa bouche du slip de notre ami. Pendant que Fred profitait de la fellation, je suçais le sexe trempé de Myriam, moitié pour lui faire plaisir, moitié, je l’avoue, pour ne pas la voir faire !

Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, Fred a allongé Myriam sur le dos pour la pénétrer.

J’aurais pu être jaloux, car il était bien mieux membré que moi, et son énorme engin faisait visiblement son effet à Myriam qui ne pouvait s’empêcher de gémir des « Oh oui ! qu’elle est grosse ! », et des « Oh oui, je la sens bien »…. Elle prenait si visiblement son pied que je l’ai laissée un moment seule à seul avec Fred. Pas gênée par mon absence, elle a continué à gémir sans complexe, agrippée au corps de son amant qu’elle excitait ouvertement de ses cris ; elle l’appelait « Mon chéri » et en redemandait : « Oh oui, baise-moi bien fort, oh oui, tu vas me faire jouir, oh ouiiiiiii !!! »

Ce soir-là, Myriam a beaucoup crié… Et quand on est rentré, elle avait les yeux bien brillants !


À l’époque, ma Chérie craquait vraiment pour Fred, et après cette première fois, elle continua à l’allumer à mort. Elle avait envers lui des gestes très tendres. Quand on se voyait tous les trois, elle l’embrassait volontiers au coin de la bouche, lui caressait le ventre de la paume de la main, faisait des allusions coquines…

Un soir qu’on était chez Fred, je l’ai même vue allumer notre ami en s’asseyant face à lui sur un canapé, en écartant les cuisses entièrement pour lui montrer sa chatte sans culotte…

La relation était donc très chaude, et pour que je ne sois pas jaloux il fallait qu’il y ait d’autres hommes qui suivent !

Myriam étant toujours partante pour de nouvelles expériences, nous avons embrayé…



Nous avons donc fréquenté les boîtes échangistes et les saunas mentionnés plus haut et rencontré des dizaines de partenaires de passage. Toujours des hommes, toujours sélectionnés par Myriam qui aime choisir ceux qui la (dés)honorent.

Tout se passait en général en ma présence, mais parfois seule, en tête-à-tête avec ses conquêtes (auquel cas j’ai droit à tous les détails par la suite)…


Nous réalisons également des scénarios dans lesquels Myriam se tape des mecs en boîte sous mes yeux, les types ignorant tout de notre complicité. Nous entrons ensemble mais prenons un vestiaire séparé. But du jeu : ma Chérie « fait sa vie » tandis que je fais le voyeur discret. Myriam aime danser, et elle danse très « sexe » !

Là encore, je me suis payé des chaleurs en la voyant faire, libérée par son statut officiel de « célibataire ». Liquéfié, je l’ai vue allumer les hommes avec une audace impressionnante… Le plus terrible, c’est quand je la vois embrasser un homme sur la bouche ! Quand elle roule une pelle à un mec, je suis au supplice, mais je ne peux pas m’empêcher de la mater : c’est un spectacle affreusement sensuel que de la voir ainsi s’offrir à des inconnus…


Je n’ai jamais regretté d’avoir franchi le cap avec ma femme. Les seules femmes qui m’excitent vraiment sont celles qui se partagent. J’ai toujours été attiré par les filles à la réputation sulfureuse, genre « celles qui passent chaque jour sous le Paris-Béziers ». Seules les « petites garces » m’excitent. C’est pourquoi j’aime ma femme telle qu’elle est, sans jamais lui en vouloir du plaisir qu’elle prend avec ces autres, ni du fait qu’elle y ait pris goût.


PS : Pour en revenir à Stéphane, l’auteur du mail cité en introduction : le mail est authentique, c’est effectivement un gars que nous avons rencontré au cours d’une soirée mémorable qui pourrait même faire l’objet d’un récit complet, mais je ne sais pas si je dois !

De la même manière, je me demande si je dois rédiger d’autres histoires pour raconter plus précisément nos expériences…


Par ailleurs je suis prêt à répondre à toutes les questions !