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Temps de lecture estimé : 9 mn
18/07/05
Résumé:  Après des retrouvailles épicées, Sylvain et Sandrine vont à la montagne passer le week end avec des amis...
Critères:  jeunes rousseurs couplus grosseins campagne voir exhib noculotte intermast nopéné uro
Auteur : Cyber Syr            Envoi mini-message

Série : Retrouvailles Surprises

Chapitre 04 / 08
Un week-end à la montagne

Dans la mesure où les trois premiers textes de la série datent un peu, je ne saurais trop vous conseiller de les lire avant de lire celui-ci. Ils vous éclaireront sur les rapports que nous entretenons, Sandrine et moi.


Quelques semaines après ces retrouvailles remplies de surprises, notre relation s’affirme grandement. Sandrine travaille la journée pendant que je vais à mes cours, elle commence à se faire des ami(e)s et les soirées et nuits sont très chaudes. Je suis toujours amoureux, elle m’excite toujours autant et tout va bien.


L’été arrivant, elle revient un soir avec une invitation à passer un grand week-end en Ariège, chez le copain de Tina, une collègue (que j’avais déjà vue, une jolie noire, plutôt en chair) avec deux autres couples. D’après Sandrine, Tina avait des étoiles dans les yeux en lui parlant de ce week-end et, venant de Tina, cela voulait dire qu’il risquait d’être chaud. Mais la jolie collègue n’avait pas fait mention de quelconque projet sexuel pour ces trois jours. La canicule annoncée aidant, nous avons accepté avec joie l’invitation et nous devions donc nous retrouver pendant trois jours dans une jolie ferme retapée des contreforts pyrénéens avec trois autres couples de notre âge.


C’est en faisant le sac que j’ai mes premiers doutes sur le contenu du week-end, quand j’ai vu ce que Sandrine préparait. Elle avait beau dire qu’elle ne savait rien, elle y mettait essentiellement des robes très légères, un ou deux débardeurs et deux jupettes très courtes. Et simplement un short et un t-shirt de sport… alors qu’on allait à la montagne. Louche… Son maillot de bain, acheté pour l’occasion, était quasiment un appel à baiser : la culotte, très échancrée, dans un joli jaune clair, mettait merveilleusement bien en valeur ses fesses ; quant au haut, il ne couvrait pas l’intégralité de ses gros globes et laissait deviner ce qu’il y avait dessous… La séance de démonstration qui avait suivi l’achat s’était d’ailleurs terminée… les jambes en l’air.


Bref, ce samedi matin, alors que je suis la route de l’Ariège, je suis quand même toujours intrigué et passablement excité. D’autant que sa jupette remonte très haut et que son débardeur moule terriblement bien ses gros seins.

Nous voilà en vue de la maison… Et quelle maison ! Une magnifique maison de pierre au bout d’un chemin de terre, dans un cadre enchanteur, avec vue sur la vallée… Je sens que je vais aimer ce week-end, quoiqu’il s’y passe.


Tina est devant la maison, en train de décharger sa voiture, aidée par son copain Thibaud et un autre couple que je ne connais pas. Elle nous présente Géraldine et Clément, une petite brune très menue aux cheveux longs et un gars du sud-ouest, un peu enveloppé, pas très grand, à la gouaille développée.

Nous participons au déchargement de tout le fatras pour le week-end. Il n’est que 10 heures mais on sent que la journée va être chaude et que l’air de l’altitude ne sera pas de trop.

Les voitures vidées, Thibaud nous annonce que la règle du week-end est de ne pas porter de sous-vêtements, exception faite du maillot de bain, s’il est porté seul. Je suis un peu surpris, Sandrine un peu moins, mais tout le monde acquiesce et rejoint la chambre qui lui a été attribuée.


La chambre est spacieuse mais simple, avec vue sur la terrasse et, plus loin, sur la forêt. La porte refermée, Sandrine se pend à mon cou :



Je la reprends en la serrant fort contre moi, en lui appuyant sur les fesses :



Prenant la voix d’une petite fille prise en faute, elle me promet qu’elle ne savait pas exactement de quoi il s’agissait, que Tina lui avait juste dit qu’il y aurait une règle de vie annoncée en début de week-end, qui pourrait nous donner des idées… Je ne peux m’empêcher, en souriant, de lui proposer d’ôter sa culotte et mes mains commencent à faire descendre l’élastique le long de ses cuisses blanches, non sans frôler au passage les fesses rebondies ou la raie serrée de ma chérie.



Je la prends délicatement dans les bras, la couche sur le grand lit et commence à remonter le débardeur pour le lui enlever. Son soutif bien rempli se dévoile et je sais que lorsque je l’aurais enlevé, j’aurais une nouvelle fois le spectacle de ses magnifiques seins blancs.

Elle se laisse déshabiller, gardant sa jupette comme seul rempart. La voilà torse nu devant moi. Elle me propose de me rendre la pareille et, quelques secondes plus tard, mon slip est à mes pieds, le sexe au garde-à-vous à quelques centimètres du corps de ma bien aimée. Elle le serre un peu et commence à me branler. Mais elle arrête rapidement, car Tina vient de frapper à la porte en nous proposant, à travers la porte de bois, une visite des lieux.

Nous nous rhabillons rapidement, tous les deux très excités, sans soutien-gorge, ni culotte. Mon short s’en trouve déformé alors que, par les côtés du débardeur de Sandrine, on peut apercevoir une grosse partie du globe blanc de son sein… Hummm…


Je découvre nos quatre autres compagnons dans le couloir, Tina, vêtue d’une chemisette de sport décolletée qui autorise de nombreux fantasmes sur son énorme poitrine et d’un petit short cachant ses fesses ; Géraldine, avec une robe d’été à bretelles qui devrait ouvrir de belles perspectives d’images érotiques volées au cours de la journée.


Thibaud commence la promenade dans la maison, nous montrant les deux salles de bain, les toilettes, la grande cuisine… Puis on sort voir la grande terrasse ombragée où se passera l’essentiel du week-end, à n’en pas douter. Il nous annonce aussi que Marc et Wendy arriveront juste avant le repas.


Quand ils arrivent, les six autres sont en train de faire la cuisine et d’embrocher alternativement morceaux de viande, tomates et oignons sur des baguettes de bois. Malgré la taille de la cuisine, je dois reconnaître que ce moment est agréable, les filles sont tout près de nous et les mouvements liés à la préparation du repas (par exemple, se pencher en avant pour attraper un morceau de tomate au milieu de la table) permettent d’avoir des vues furtives mais fort agréables sur le décolleté des unes et des autres.


C’est Marc qui entre le premier dans la cuisine, avec un bruyant « Bonjour la compagnie ! » C’est un bel athlète blond et musclé. Sa compagne le suit, une jolie anglaise blonde, dans une robe très très osée, à travers laquelle on peut deviner de jolis seins ronds sans soutif. Thibaud aurait-il passé les consignes au téléphone ? Eh oui ! Marc confirme :



L’apéritif étant la principale des choses sérieuses, nous voilà tous les huit sirotant un cocktail rafraîchissant à l’ombre du grand marronnier. Sous l’impulsion de Thibaud et de Marc, la discussion vire rapidement sur le sexe et les pratiques de chacun des couples.

Thibaud et Tina commencent à raconter qu’ils aiment essayer de nouvelles positions, que Tina adore que son homme s’occupe de son minou et qu’en échange, elle aime avaler la semence de son homme. Chaque couple réagit à cette annonce et ainsi, je découvre que Wendy adore recevoir du sperme sur la figure (dixit son homme).

Marc prend la parole en disant ça et raconte comment ils ont découvert la sodomie tous les deux et que les Anglaises, à en croire sa chérie, aiment bien ça. Nous faisons la moue quand la discussion part sur la sodomie (nous ne sommes pas très fans, ni l’un, ni l’autre). Thibaud aimerait essayer alors que Tina n’a pas envie du tout.

Seuls Clément et Géraldine ne disent rien. Clément, grande gueule apparente, semble gêné d’aborder ces sujets intimes et Géraldine se fait encore plus petite qu’elle ne l’est naturellement.


Je prends alors la parole, un peu chauffé par les discussions précédentes et par le cocktail. J’explique qu’on aime bien s’attacher mutuellement, l’un ou l’autre, je raconte notre première après-midi de retrouvailles et les jeux que m’a imposés Sandrine ce jour-là.

Quelques questions, certaines exprimant la surprise qu’on puisse aimer le SM. J’explique que ce n’est pas la violence qui nous conduit à cela, mais la confiance en l’autre et l’envie de se laisser faire.


Puis, après un coup d’œil à ma chérie, j’annonce que j’ai autre chose d’un peu plus intime. J’explique alors, devant un auditoire suspendu à mes paroles, que l’on aime faire quelques jeux de pipi, dans la douche ou ailleurs ; combien c’est érotique comme pratique et combien on aime ça.

Les réactions vont du dégoût (Wendy, que je reprends en lui rappelant notre désaccord sur la sodomie) à la surprise intéressée (Tina et Thibaut en particulier).

Géraldine prend alors la parole et explique qu’elle aime bien faire pipi devant son homme, mais qu’ils n’ont jamais franchi le pas, même si Clément lui a proposé plusieurs fois de la nettoyer. Un Clément plus rouge qu’une tomate en plein été, lui, le macho affirmé…

Sandrine prend la parole pour expliquer à Gégé comment s’y mettre progressivement, en commençant dans la douche, avant de passer à la même chose mais sans l’eau de la douche, puis goûter des parties « infestées » avant d’aller plus loin. Marc reprend la balle au bond et explique que c’est pareil avec la sodomie : il faut commencer par se servir uniquement des doigts avant d’aller plus loin.


Bref, la discussion d’apéritif est plutôt chaude et on peut voir certains shorts bien tendus, tandis que certaines poitrines pointent à travers des petits hauts plus ou moins moulants. Personnellement, je suis dans un état proche de l’explosion, d’autant qu’en face de moi, le décolleté de Tina s’avère très très plongeant sur un profond sillon appétissant.

C’est Clément qui rompt la discussion en annonçant que les braises du barbecue sont prêtes et qu’il est temps de passer à la suite. Je profite d’aider à débarrasser la table pour me retrouver avec Sandrine, seuls dans la cuisine. Je la prends dans mes bras et elle pose une main sur mon entrejambe :



Je ne peux guère la contredire, alors je contre-attaque en passant une main sous sa jupette et en caressant son sexe, assez humide, preuve que je ne suis pas le seul cochon. J’aperçois Thibaut qui vient vers la cuisine et relève légèrement la jupette de ma chérie pour dévoiler une partie de ses fesses. Le clin d’œil de notre hôte m’indique qu’il a vu ce qu’il voulait voir, tandis que Sandrine ne s’est aperçue de rien. Nous relâchons notre étreinte pour ramener vers la terrasse les plats de salades et de sauces pour accompagner les grillades.

Mon sexe est fièrement tendu et Tina, peut-être avertie par son homme du petit spectacle que je lui ai montré, me chuchote à l’oreille que je lui semble très excité. Du tac au tac, je réplique que je le serais encore plus si elle déboutonnait un bouton supplémentaire de son chemisier. Elle part en riant vers la cuisine…

Quelques instants plus tard, quand elle revient avec les deux bouteilles de vin, je peux constater qu’elle a répondu à ma requête et que, quand elle se penche sur la table, en face de moi, je (mais aussi Sandrine et sans doute Marc, qui sont à mes côtés) peux voir beaucoup plus profondément ses gros seins noirs… presque jusqu’aux tétons…

Joli accompagnement pour un repas champêtre.


Le repas se passe très joyeusement, très calmement (si on veut…). C’est l’heure des fruits en dessert. Je me propose d’aller les chercher. À peine suis-je arrivé dans la cuisine que Wendy y entre. Elle me demande, avec son petit accent anglais, où sont les toilettes. Comme je ne connais pas très bien la maison, je la guide jusqu’à la porte. Elle me regarde d’un drôle d’air quand je lui indique les WC et me dit doucement :



Et elle s’enferme dans la petite pièce. Je reste près de la porte. Je l’imagine relevant sa petite robe d’été jusqu’à la taille, s’asseyant sur le siège, écartant un peu les jambes et j’écoute, pour entendre le bruit du liquide couler. Je suis de plus en plus excité. Quand je l’entends se relever et tirer la chasse, je m’éloigne un peu vers la cuisine. Elle me rejoint. Je lui glisse, lorsqu’elle passe près de moi :



Elle ne peut s’empêcher de rougir (ce qui fait ressortir de jolies taches de rousseur) et de baisser les yeux vers mon short, qui épouse bien la forme de ma verge bandée.

Je ne peux m’empêcher de sourire de ce petit coup pendable réalisé aux dépens de la représentante de la Perfide Albion…


L’après-midi va commencer…



A SUIVRE