n° 09429 | Fiche technique | 24687 caractères | 24687Temps de lecture estimé : 15 mn | 18/07/05 |
Résumé: L'été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ? Pour bon nombre d'entre nous, tout le monde en a entendu parler, mais très peu les vivent. | ||||
Critères: fh vacances sport avion collection intermast init | ||||
Auteur : Jeff Envoi mini-message |
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Série estivale de portraits, de cartes postales, piqués sur les plages de France et quelques lieux de villégiature estivale. Portraits de femmes et d’hommes à qui, sous prétexte que c’est l’été et qu’ils sont en vacances, tout semble être permis…
L’été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ? Bon nombre d’entre nous en ont entendu parler, mais très peu les vivent. Jamais là au bon moment, au bon endroit ! Et vous découvrez, souvent après coup, que vous êtes passés à côté de ce qu’il fallait voir, car vous n’en étiez pas loin… Et cela pourrait presque venir gâcher vos vacances ! Enfin…leurs souvenirs.
Alors, pour vous éviter de rentrer moroses, je vous propose quelques portraits pris sur le vif, sur les plages, dans quelques stations balnéaires de nos côtes ou dans quelques lieux touristiques que vous avez peut-être fréquentés… Adaptez-les à vos souvenirs et faites-les vôtres… Ils sont à vous.
Au septième ciel de Saint-Vaast…
Saint-Vaast le Hougue – La Côte d’Opale, ses longues plages de sable blanc, ses fortifications et les restes du Mur de l’Atlantique, ses marais… À mon arrivée dans le Cotentin, le ciel est lourd de nuages gris et noirs qui obligent à s’emmitoufler dans un ciré pour aller se promener au bord de l’eau, d’un gris ardoise qui n’indique rien de bien fameux, du point de vue de la météorologie. Pourtant, si je suis ici, c’est surtout pour rencontrer Arielle, jeune femme sportive de près de vingt-cinq ans. Brune aux yeux myosotis, aux formes dynamiques qui attirent l’attention de nombreux regards sur la plage de Saint-Vaast, quand il fait beau et qu’elle s’y promène en maillot.
Arielle est monitrice d’aile volante, passionnée par son travail et ce sport. À force de persuasion, elle a réussi à me convaincre de m’entraîner dès le lendemain matin dans une initiation, prétextant que ce sport n’était pas plus dangereux qu’un autre, surtout avec elle comme monitrice.
Ce n’est pas que je sois trouillard, mais je dois vous dire – cher lecteur – que je ne suis pas un très grand sportif. Lorsque je vais me coucher (sagement), mon début de nuit est hanté par des visions cauchemardesques de chutes de corps dans le vide…
Au matin, comme par miracle et enchantement, le ciel est pur et même d’un bleu intense. Le soleil illumine cette journée. Je devrais m’en réjouir et profiter de ce temps, mais ma joie est de courte durée à la vue d’Arielle qui, en professionnelle, est déjà fin prête pour nous envoyer dans l’air.
Me voilà en train de me faire harnacher comme un parachutiste, de me faire casquer comme un militaire, traînant dans le dos, au sommet d’un monticule de sable, de lourdes suspentes me reliant à un vague morceau de tissu très léger que je considère d’un œil suspect, tant je trouve que tout cela manque d’envergure et ne me semble guère propice à me soulever de terre… quant à m’y ramener, je n’ose – pour l’instant – même pas y penser.
Ouais… Facile à dire. Même en sentant dans mes omoplates les seins proéminents de la belle Arielle, même en frottant mes fesses à son giron et en collant mes cuisses aux siennes, je n’en reste pas moins terrorisé… Mais quelle idée ai-je eue de vouloir jouer à l’homme-oiseau ? Pourquoi ne pas avoir refusé catégoriquement cette équipée… Pour ces beaux yeux myosotis ? Par peur du ridicule ?
Et c’est bien la première fois de ma vie que me voilà courant, une jeune femme collée à mon dos, traînant des kilos de voilures qui, en quelques bonds et par le miracle de la physique, s’élèvent au-dessus de nous. En quelques pas le sol pentu se dérobe sous mes pieds et, sans que j’aie le temps de dire « ouf », mes épaules sont brutalement tiraillées en arrière et en hauteur…je baisse les yeux…et je vole !
Chers amis, je vole !
Un mètre, cinq mètres, dix mètres, et zou…un virage me fait voir le monde d’en haut…et zou…un coup de vent et ça y est…nous prenons de l’altitude… Les premières sensations sont étranges, sentiment de peur mêlé au sentiment d’incertitude et d’angoisse… Puis peu à peu l’angoisse disparaît et laisse la place à la sensation de légèreté… C’est magique !
Le vent frais, le souffle de l’air me coupent un peu la respiration au fur et à mesure que nous nous élevons. Mais, derrière moi, le corps d’Arielle me rassure, me tient chaud et la pointe de ses seins agace mon dos…
Et je la laisse faire. Ses mains viennent replacer les harnais sur mon buste, les ajustent sur mes cuisses et à mon entrejambe. Le passage de sa main, professionnelle, sur cette partie de mon anatomie, pour l’instant recroquevillée sur elle-même tant ma peur est grande, me fait sursauter et déclenche chez ma monitrice et pilote un grand rire…
À cette remarque, limite désobligeante, je tente de tourner la tête vers elle…et le vent m’envoie une grande claque qui me plaque la bouche sur sa joue et me colle dessus…
Mais sa main continue à inspecter consciencieusement le harnais…et nous continuons à nous élever… Sous mes pieds se déroule un magnifique paysage, irréel. Les gens deviennent de petits points, les voitures ressemblent à celles de collection d’un enfant, j’embrasse un paysage de plus en plus large…
Il me semble que notre ascension se stabilise. La terre cesse enfin de s’éloigner et nous voguons dans le silence, juste avec le bruit du vent qui siffle dans les oreilles.
Et nous entamons un long vol plané au-dessus de la terre, puis de la plage, puis vers la mer et le vent nous ramène vers la terre… Tandis que nous montons et descendons au gré des courants aériens, Arielle me décrit le paysage que nous survolons… De temps en temps, sa main glisse vers le harnais, question peut-être de me rassurer. À plusieurs reprises elle effleure mon entrejambe, et chaque fois une longue décharge électrique me parcourt le corps. Une fois encore, le contact de sa main sur mon bas-ventre, mis en avant par le harnais qui le cisaille, me flanque un nouvel électrochoc.
Et sa main, au lieu de se dégager rapidement, reste posée sur mon "costume trois-pièces", mis bien en évidence par les deux sangles qui l’entourent. Elle entame un lent mouvement, le massant lentement. Je tente de protester, d’une petite voix…
Et pour toute réaction, elle se colle un peu plus à mon dos, frotte la pointe de ses seins contre mes omoplates et continue à me masser à travers mon pantalon. Puis ses doigts tirent le zip de la combinaison orange qu’elle m’a fait revêtir…et avec dextérité, elle me « déshabille ». Un double frisson me parcourt l’échine.
Le vent qui s’engouffre sur mon sexe me fait frissonner de froid en même temps que la situation m’excite.
Je m’exécute tandis que de ses deux mains, elle termine de me mettre le ventre à nu… Elle empoigne mon sexe pour exercer sur lui de longs et lents va-et-vient…qui finissent par produire leurs effets… Me voilà, à plus de six cents mètres d’altitude au-dessus des vacanciers, en train de bander comme un âne, excité et masturbé par une si douce main féminine et qui me colle dans le dos une paire de seins me semblant devenir de plus en plus durs…
Et les mouvements de masturbation s’amplifient, se ralentissent, et s’accélèrent… Dans ma poitrine, mon cœur bat la chamade…l’excitation monte, de plus en plus fortement… J’ai envie que cela se termine vite et en même temps je souhaite que cette situation ne s’arrête pas…
Et la main chaude qui m’enveloppe le sexe joue avec ma peau, la fait lentement coulisser le long de ma hampe, largement dénudée ; Arielle doit sentir mon plaisir monter car les mouvements, une fois de plus, s’accélèrent et Arielle me colle son bassin un peu plus sur les fesses et finit par obtenir satisfaction en me faisant jouir…dans l’air…dans sa main, mais surtout en l’air…
Ma cuisse, mon ventre, sa main reçoivent de larges traces de mon plaisir… et quelques gouttes tombent…où ?…j’avoue ne pas avoir regardé…Tant pis pour ceux qui ont cru qu’il pleuvait deux gouttes ou qu’une mouette les prenait pour cible…
Relâchant enfin son étreinte sur mon pénis, elle me crie plus qu’elle ne me susurre :
Il me faut quelques secondes pour retrouver l’usage de la parole et tenter de me convaincre qu’en effet, c’était pas mal…frustrant, mais original. Et le vol se termine déjà, le vent nous plaque vers la terre ferme où nous atterrissons sans encombre, moi à moitié débraillé, elle heureuse…les doigts gluants de…de moi…
Et tout en rangeant la voile, elle me plaque un rapide baiser sur la bouche.
Après une longue douche chaude réparatrice et un repas de terroir, ma bonne sieste est abrégée par des coups frappés à ma porte.
Rapidement j’enfile mon maillot et me retrouve devant Arielle qui m’attend dans le couloir, toute pimpante, en maillot rouge deux-pièces qui met en relief sa plastique généreuse et son bronzage mordoré…et je ne peux qu’admirer la jeune femme d’un œil un peu égrillard… Arielle s’en aperçoit et tourne sur elle-même en me provoquant :
Et nous nous dirigeons vers son monticule où déjà la voile est dépliée et nous attend.
Chemin faisant, elle m’explique que, cette fois, c’est elle qui sera devant et moi derrière, pour m’apprendre les rudiments du pilotage. Elle m’avoue aussi avoir aimé notre petite séance du matin et que cela n’était pas sa première expérience. Mais rares sont les clients qui ont droit à un tel traitement, m’avoue-t-elle.
Cette fois, le chaud soleil nous fait délaisser les combinaisons et les casques, ce qui me fait lui demander, l’air inquiet :
Un petit frisson d’angoisse me secoue pendant qu’elle s’ingénie à m’harnacher une nouvelle fois. Et, à nouveau le contact de ses mains qui glissent sur mon torse, sur mes jambes, effleurent mon entrejambe, me met en émoi, malgré mes angoisses.
Et nous voilà partis. Elle devant moi, moi collé à son dos musclé et brûlant de soleil chaud.
Déjà en l’air… Premiers gestes pour virer, tirer sur les suspentes, et hop ! nous montons… Arielle cale ses fesses contre mon ventre… Enfin, elle ne cale pas réellement ses fesses…alors que mes yeux, encore un peu effrayés de l’ascension vertigineuse que nous entamons, restent rivés au sol qui s’éloigne à toute vitesse, Arielle frotte ses fesses contre mon ventre… Et mon ventre, le lâcheur, plus habitué que mes yeux au vide, réagit instinctivement. Me voilà en train de développer en plein ciel une formidable érection qui épouse parfaitement les fesses d’Arielle dont je sens la chaleur à travers les minces couches de tissus qui nous séparent…
Arielle ne semble guère gênée par cette situation, bien au contraire, elle doit même y trouver un certain plaisir puisqu’elle accentue son frottement, lâche les suspentes alors que nous semblons stabilisés et, dans un geste précis, défait les nœuds de son slip de bain pour, dans un geste provocateur, me l’agiter devant les yeux, faisant claquer le fin triangle de tissu sous mon nez. En riant, elle me crie :
Je reste interloqué par la tranquillité de cette promesse… J’ose même dire que cette annonce me refroidit un peu… La séance de masturbation m’a, certes, laissé un goût de revenez-y, mais de là à faire l’amour, suspendus à ce simple bout de toile de parachute…à quelques centaines de mètres du sol…presque au vu et au su du public…hein…avouez qu’il y a de quoi débander !
Moi, je ne ris pas. Pourtant, avec beaucoup de précautions, j’arrive à enlever mon slip et le lui tend dans un claquement de vent :
Avec une dextérité qui en dit long sur sa pratique, elle les accroche à un mousqueton libre que je n’avais pas remarqué. Contre mes fesses, je sens circuler l’air frais…qui vient me chatouiller l’anus…mais devant, c’est un sacré contraste… Mon sexe est allé se figer entre les fesses chaudes, très chaudes, d’Arielle qui continue à se frotter à moi…et ne cesse de m’exciter.
Prudemment, je lâche la bride à laquelle je me cramponne de tout mon être et avance vers son intimité des doigts malhabiles et indécis … Cherchant à mieux écarter les jambes, Arielle, sans me prévenir, tire sur les suspentes et nous plongeons de quelques mètres… J’ai le cœur qui remonte aussitôt au bord des lèvres et je crie :
Et nous remontons… Moi, la main crispée sur son mont de Vénus…
Mes doigts, pour le moins crispés, s’aventurent avec précaution vers son sexe… Je touche une toute petite bande de poils rasés qui m’amènent directement sur le haut de son sexe…un abricot charnu, déjà ouvert et humide… Au fur et à mesure, j’essaie d’oublier la situation, et mes doigts fouillent son intimité qu’elle m’ouvre obligeamment et généreusement… Du bout du doigt, je farfouille dans les plis de son sexe pour trouver son clitoris, petit bouton dur et souple, chaud et lisse que je vais gratouiller un peu nerveusement… À peine ai-je commencé à l’exciter qu’Arielle rejette la tête en arrière et commence à ahaner…
Et me voilà en train de la masturber à plus de trois cent mètres d’altitude. Ma main fouille son intimité et mon sexe est raide et calé dans ses fesses ; de temps à autre, j’ose un coup d’œil vers le sol. Le paysage qui défile sous nos fesses nues varie entre la mer, la plage, la campagne, la ville, la plage et retour vers la mer. Nous décrivons de larges cercles, à plat, et j’espère que personne en bas ne dispose de jumelles pour suivre nos évolutions… Puis je me concentre sur le plaisir de mon pilote…
Arielle me trempe les doigts, me broie la main tant elle aime les caresses que je lui distille maladroitement.
Ah ! pour la laisser faire, je vous concède que je la laisse faire… Après tout, c’est elle qui semble l’experte…des acrobaties aériennes… Elle empoigne les suspentes un peu plus haut et, doucement, sans à-coups cette fois, elle glisse son intimité sur mon sexe et s’empale dessus.
La sensation est fabuleuse… Mes roustons sont glacés par l’air dans lequel nous circulons alors que ma queue est au chaud dans son univers trempé et brûlant qui s’ouvre à cette sollicitation et m’avale d’un seul coup…jusqu’au bout…
J’ai sacrément envie de bouger, de lui empoigner les hanches, d’aller et venir dans son intimité, de lui imprimer mon rythme, de la pilonner, de faire tressauter sa poitrine… Oui, mais sur la terre ferme, c’est bien ce que je ferais, tandis qu’ici la situation est bien différente et je la laisse mener toute seule son rythme : elle entame une douce et languissante danse du bassin qui me masse la hampe, fait monter mon plaisir de plusieurs crans et m’oblige à fermer les yeux… Contre mon ventre, j’ai la courbe de ses fesses qui me caresse et m’excite. Curieusement, elle n’est pas lourde… Je veux dire qu’elle est aérienne, accrochée aux suspentes, je vois les efforts de ses muscles des bras pour se soutenir, pour se faire légère…
Puis, sans me prévenir, elle entame une série de petites tractions sur les ficelles qui nous tiennent en l’air et toute la voile se met à vibrer, à monter et descendre par petits chocs qui se répercutent sur nos corps emboîtés… Arielle ne bouge pas, elle se contente seulement de balancer son bassin. C’est l’ensemble de la voilure qui, par son amplitude dans le vent, joue avec mon corps…avec ma vie. Après quelques mouvements, je me rassure en pensant qu’elle sait ce qu’elle fait, et je me concentre sur mon plaisir qui monte à nouveau… Et les chocs deviennent de plus en plus forts… Arielle remue la tête dans tous les sens, me balaie le visage de sa chevelure qui bat au vent…et crie, non, hurle son plaisir en donnant des à-coups de plus en plus rapides et saccadés qui lui permettent d’atteindre sa jouissance…et par la même occasion…la mienne…
Je l’ai sentie monter en moi, doucement, puis de plus en plus violemment, progresser de mon ventre à ma hampe et éclater dans une sorte de feu d’artifice qui m’a fait voir trente-six couleurs… alors que nous avions le soleil en plein dans la figure, au-dessus de l’eau…
Je reste pantois, ahuri par la violence de cette jouissance que je n’aurais même pas pu imaginer quelques instants auparavant… La voilure s’est à nouveau stabilisée. Mon souffle court me fait rouvrir les yeux. Je suis toujours là, suspendu entre ciel et plage, Arielle encore un peu empalée sur mon sexe qui se ratatine à la vitesse grand V, aux cuisses humides de plaisir…
Et je ne sais pour quelles raisons, tout d’un coup, mes cuisses et mes jambes se mettent à trembler. Un tremblement incontrôlable.
Je reste bouche bée…les jambes tremblantes, la vision qui se brouille… Le grand air, le plaisir en l’air, la peur de décrocher…je ne suis pas habitué à de telles sensations, à de telles émotions. Arielle le comprend vite. Avec dextérité elle me passe mon maillot et, tandis que je me contorsionne pour essayer de l’enfiler, elle raccroche le sien puis, par de doux paliers, elle choisit pour nous poser un terrain souple, les petites dunes, vides de baigneurs… Mes jambes sont prêtes à soutenir une course de quelques mètres mais…nous porteront-elles ?
J’attends le choc avec le sable chaud… Contact, mes pieds s’enfoncent…une fois, puis rebondissent…retouchent… Je pédale dans le vide, puis sur le sol… Enfin nous y voilà… Je cours, Arielle devant moi me bouche la vue…et patatras…nous nous étalons de tout notre long sur le sable chaud. Pas de bobo. Juste sous moi, les cheveux d’Arielle dans ma bouche, moi vautré sur son corps musclé. Nous roulons, empêtrés, sur une douce pente. Nous sommes entortillés dans les ficelles de la voilure qui finit par descendre sur nous et nous couvre d’un voile pudique.
Je cherche sa bouche.
Elle me tend ses lèvres, mais pour un simple baiser amical et se dégage rapidement.
Dans un effort presque surhumain, je me lève. Je suis fourbu. Demain, c’est sûr, j’aurai des courbatures dans tout le corps…et je l’aide.
À pied, dans le sable chaud, nous regagnons la base. Alors que je m’apprête à l’inviter à dîner, Arielle se tourne vers moi.
Voilà, ainsi nous nous sommes quittés, en bon copain.
Peut être que je reviendrai la voir, la belle Arielle. Ce qui est certain, c’est que nous ne ferons plus l’amour en l’air…ça, jamais de la vie ! Au grand jamais, promis, juré ! Et pour ceux qui me jetteront la pierre, qu’ils sachent que les expressions « s’envoyer en l’air » ou « atteindre le septième ciel », je peux leur dire… Moi, j’ai essayé et j’ai bien cru que ma dernière heure aller réellement arriver.
Heureusement, demain je reprends la route. Je quitte le ciel de Saint-Vaast pour assister au défilé du 14 juillet, à Paris, sur les Champs-Élysées (plus prosaïque et plus terre à terre) où d’autres aventures devraient m’attendre pour pouvoir vous les narrer…