n° 09496 | Fiche technique | 28742 caractères | 28742 4739 Temps de lecture estimé : 16 mn |
29/07/05 |
Résumé: Formant un couple assez ordinaire, Sido et son mari Rupert ont été conviés à une soirée dans un club échangiste. C'est une première et ils invitent au préalable leur ami Xavier pour s'informer de ce qui les attend. | ||||
Critères: fh hagé fagée extracon extraoffre poilu(e)s voir lingerie odeurs fmast cunnilingu pénétratio jeu | ||||
Auteur : Maria Del Toboso Envoi mini-message |
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Formant un couple assez ordinaire, Sido et son mari Rupert ont été conviés à une soirée dans un club échangiste. C’est une première et ils invitent au préalable leur ami Xavier pour s’informer de ce qui les attend.
Une collation était disposée sur la table, et, prenant l’apéritif, nous attendîmes que Sido redescendît. Elle revint bientôt, et, si elle n’avait pas suivi mon conseil pour le haut, elle avait en revanche passé une jupe assez serrée.
Le repas fut joyeux et arrosé. Mes amis, d’un abord réservé vis-à-vis des tiers, voire d’une attitude assez spartiate, dissimulaient en réalité un appétit certain pour les gourmandises de la vie, et que c’est cet aspect qui les intéressait dans l’expérience échangiste qu’on leur proposait. Ils comptaient apparemment y trouver un dérivatif à l’ordinaire de leur existence, et un moyen de connaître d’autres saveurs sans avoir l’impression de tromper leur conjoint, ce qui, visiblement, les aurait fort contrariés. Quel désir les poussait donc ? J’étais d’autant plus étonné que je savais qu’ils s’entendaient tous le deux à merveille ! Et singulièrement sur le plan physique ! Je m’en étais fortuitement rendu compte un jour que je passai la nuit dans leur maison de Royan.
Nous nous étions ce jour-là tous couchés fort tard, et j’avais dormi comme une masse, jusqu’à ce que la douleur de mon ventre, gonflé par les libations de la veille au soir, me réveille. Très doucement, pour ne déranger personne, je me levai. Marche après marche, évitant de les faire grincer, je descendais l’escalier dans la pénombre incertaine de l’aube commençante, lorsqu’au détour, je surpris Sido qui sortait complètement nue des toilettes. Elle marqua un bref arrêt, à demi tournée dans ma direction. Mais elle ne m’avait pas vu. Bruit de chasse qui couvrit les craquements des marches de bois ! Et quelle splendeur ! Sido, c’était comme le modèle d’une statuaire grecque ! Des hanches en amphore, une poitrine ronde, lourde, ample, et surtout, dans la lumière pâle de l’aube, une touffe ! Ce que je n’avais pas réellement réussi à percer, sur cette photo indiscrète prise à la plage, c’était sa luxuriance ! La toison, dans la pénombre, était comme une grosse boule de vison soyeux, envahissant tout le bas du ventre, et dont l’épaisseur était telle que, n’étant plus contenue par une culotte ou un maillot, elle envahissait les aines de chaque côté du pubis, empiétant de son ombre sur la chair blanche des cuisses, foisonnante fleur sombre qui s’épanouissait largement sous le mont de Vénus, en occultant de son épais drapé les rivages de miel de son sexe, noire orchidée prête à exhaler les parfums enivrants de la luxure ! Trop bref émerveillement ! Sido revenait dans sa chambre, mais ne prit toutefois pas la peine de fermer la porte. Un miroir en pied renvoyait l’image du lit conjugal vers le réduit où je me tenais dissimulé. Sido, dans sa nudité altière, revenait vers le lit. Elle eut comme un instant d’hésitation, un genou en appui sur le matelas, l’autre jambe tendue, contemplant la couche défaite où Rupert reposait dans l’abandon du sommeil. S’agenouillant à ses côtés, elle s’absorba dans sa contemplation. Je la voyais de profil, dressée sur son séant, les seins lourds fièrement érigés ; et ces courbes amples et tombantes, cette attitude, son excitation manifeste, la chaleur moite de la chambre, l’odeur de la nuit, tout concourait à ma propre excitation. Je me mis à bander comme un cerf ! Sido réfléchissait. Elle se caressait nonchalamment le torse, jusqu’à ce qu’elle vienne placer ses paumes en coupe sous ses seins qu’elle remonta dans un soupir. Ses doigts venaient maintenant enserrer et tordre ses tétons ; elle se mordait les lèvres en retenant son haleine. Ne pouvant attendre davantage le réveil de son étalon, elle poussa sur sa hanche pour le coucher sur le dos, approcha ses lèvres du ventre et du serpent assoupi. La verge reposait, étendue, tranquille, de belle taille, pas réellement en érection, mais déjà d’un joli volume. Sido glissa la main gauche sous les couilles, et, doucement, saisit la verge de l’autre. Elle tirait doucement, en caressant l’engin de sa joue, et, pendant que, dans son demi-sommeil, Rupert commençait à bander, Sido décalottait délicatement un gros gland de couleur aubergine. Se penchant, son fessier s’élargissait au bas de son dos, séparé par la ligne sombre de sa raie, d’où surgissait la longue pilosité foisonnante qui ornait son cul d’une sorte d’oriflamme lubrique. Lorsqu’elle jugea le résultat satisfaisant, elle n’eut qu’à emboucher goulûment le braquemart. L’effet en fut sensible, et, alors que Sido déformait sa joue en jouant du membre en majesté, j’entendis Rupert qui commençait à grogner de contentement, son bassin commençant à se tordre sous l’effet de la caresse. Sido continuait son œuvre ; j’admirais l’art avec lequel elle magnifiait de sa bouche l’organe sacré, le léchant avec un délice apparent, s’emparant du gland entre ses lèvres, parcourant amoureusement la longueur de la hampe, en un mot, le faisant magnifiquement reluire ! Il eut un cri bref. Elle comprit qu’il était à point ! Le mouvement fut d’une beauté sidérale ! Sa jambe gauche s’éleva en l’air, la fente et la raie se découvrirent ; dans le jour levant, un rayon de lumière fit soudainement briller les nymphes qui s’écartaient déjà, le pelage luxuriant qui ombrait le bas de son ventre se dévoila dans toute son épaisseur, l’extrémité des longs poils changeant de couleur dans la lumière ; l’anneau sombre de la rosette s’exposait impudemment ! Sido maintenait fermement la barre, et, quand elle chercha son assise, le mandrin écarta les lèvres du fourreau. Alors, dans un gémissement réflexe, elle se cala à fond sur le chibre, comme l’écuyer sur sa monture ! Elle était fière, se mordait les lèvres de plaisir, et peu à peu, ses yeux se voilaient alors que sa tête dodelinait, et son regard se hissait vers des altitudes inaccessibles, vers celles où elle percevait le plaisir s’emparer de son esprit et la conquérir. Rupert, maintenant bien réveillé, l’attira à elle. Les seins de Sido écrasés sur sa poitrine, leurs lèvres et leurs langues se soudèrent frénétiquement. Et de mon observatoire, j’étais hypnotisé par le spectacle de la queue bandée de Rupert, qui se courbait en accompagnant le mouvement, et ressortait luisante du con de Sido. Les lèvres accompagnaient le chibre qui s’extrayait tel un manteau de chair qui s’étirait autour du mandrin dans un monstrueux et indécent mouvement de succion. Couvrant de son buste le corps de son amant, Sido entama une danse du ventre qui soulevait et rabaissait ses fesses en cadence, pistonnant la bite que je voyais disparaître dans son ventre et réapparaître au rythme de ses déhanchements. Rupert se voyait offrir un sacré petit déjeuner ! Mais soudain, la bite déconna ! Elle battait maintenant, vibrante, la tête en l’air, contre le somptueux fessier déconfit ! Mais d’un mouvement de reptation, Sido se réappropria l’engin, qu’elle frottait désormais énergiquement avec sa fourrure secrète… Rupert beugla ! - Ah ! Chérie ! Ta foufoune ! J’explose ! Arrête ! Elle arrêta. Se redressant, elle s’ajusta attentivement, écartant ses lèvres avec deux doigts, et disposant sa conque détrempée sur la barre rigide. De l’arrière, où je me trouvais, je ne voyais plus que son dos redressé, et sous l’amphore de ses hanches, les deux globes de ses fesses dominant les deux plus petites sphères des couilles de son mari à demi masquées par la houppelande de poils… Ses mouvements laissaient clairement comprendre qu’ayant coincé le vit entre sa vulve et le ventre de son amant, elle polissait joliment la queue de son Rupert, et, chaque fois qu’elle se reculait, et que le repli du gland venait alors extraire son propre petit sacristain de son capuchon, elle exhalait une plainte de jouissance à l’unisson avec son homme. Chaque recul de sa croupe somptueuse écartait sa raie et ébouriffait l’aigrette des poils de son cul ; cette vision crapuleuse avait réveillé ma pine qui s’était dressée et que je sentais vibrer dans mes braies ! La douleur de la tension se fit tellement fulgurante, la jouissance que me procurait ce spectacle était tellement vive, que je voulus en terminer et que ma main rejoignit mon vit déjà gluant de mouille, le manipulant vigoureusement en tirant dessus jusqu’à coincer mes couilles contre mes cuisses ! Mais mes acteurs montaient maintenant tous deux vivement vers le sommet de leur plaisir, jusqu’à ce que, juste avant le pas fatidique, Sido se remmanchât sur la trique ! Alors, dans un concert où les ahanements de jouissance se mêlaient aux clapotis de la copulation, Sido enchaîna une cavalcade infernale que son homme accompagnait de violents coups de reins, le dard bandé entrant et sortant vivement de la plaie béante, jusqu’à ce que Rupert et elle parviennent dans un cri profond à l’apothéose de leur coït ; elle s’affala alors brutalement sur le torse de son mari, en calant son visage dans l’épaule de ce dernier. Ma bite avait craché son foutre en même temps. Le calme revenait, et alors je constatai la débandade qui s’accompagnait de longues traînées blanches de foutre gouttant en filaments baveux sur les cuisses jusqu’au drap souillé. Ma main était également poisseuse et j’avais les jambes flageolantes. Tel était le spectacle que Sido m’avait inconsciemment offert de son tempérament, et dont elle voulait, aujourd’hui délibérément, nous donner un nouvel échantillon.
Travaux pratiques
Sido nous servit abondamment, nous entretint de ses fantasmes et de ses envies. Elle avait adopté soudainement un tour déluré, et si, au lieu de mes conseils, elle avait revêtu un strict chemisier, elle me démontra qu’elle pouvait en user de façon bien coquine ! Le repas avançant, elle revint sur mes conseils.
Elle s’approcha de moi, et entoura mes épaules de son bras. De ma chaise, je fis de même avec ses hanches. Nous étions serrés l’un contre l’autre, sous le regard très amusé de Rupert. Je sentais la chaleur de son corps au travers du fin tissu. Se penchant vers mon visage, elle déposa un gros baiser bien sonore sur ma joue.
Elle défit deux boutons, et écarta le col du chemisier sur ses épaules, puis se remit dans la même position. Je n’aurais, de mon côté, abandonné ses hanches à aucun prix ! Elle continua :
Elle fit ce qu’elle annonçait. Se penchant, son corsage s’ouvrit plus largement et j’aperçus son soutien-gorge à balconnets tenant haut sa jolie poitrine.
Se tournant vers moi de façon plus délibérée, elle ouvrit largement son corsage, et sortit chacun de ses seins de façon à ce qu’ils ne soient plus que soutenus, mais l’aréole dehors ! Elle se pencha, et déposa rapidement une touche sur mes lèvres.
Elle se rassit, toujours dépoitraillée, et nous passâmes au Champagne. Nous commencions à devenir très joyeux ! C’était à tel point que je commençai à sentir une torpeur post prandiale m’envahir. Rupert, qui subissait les mêmes attaques de l’alcool, résolut de traiter la situation et suggéra que nous allions prendre l’air dans le parc voisin. J’étais partagé, mais j’inclinai davantage pour une petite sieste dans la véranda du premier étage, endroit très agréable s’il en fût, où l’on pouvait prendre du repos avec de l’air et de la lumière, en écoutant, si on le souhaitait, un peu de musique. De larges fauteuils et un canapé permettaient de s’installer tout à son aise. Je priai la compagnie de bien vouloir excuser ce moment de repos. Rupert annonça qu’il allait marcher un peu. Sido crut utile de préciser :
Aigues marines
Décidément, elle y tenait ! Je m’installai, et fus bientôt pris d’un somme. Plus tard, j’entrouvris les yeux au léger bruit qui m’entourait, et sans bouger, je vis et j’admirai. Sido s’était penchée au-dessus du dossier d’un canapé Chippendale pour attraper je ne sais quoi derrière. Le buste littéralement porté par le large dossier de cuir, en extension vers son but, elle exposait sans même s’en douter toute sa chute de reins au spectateur involontaire que j’étais. Sa jupe remontait assez haut sur l’arrière de ses cuisses, et dévoilait la lisière de ses bas. Toute à son effort, tendue vers l’objectif, elle assurait son équilibre en battant des jambes, et sa jupe, sous l’effet de ce mouvement, remontait encore davantage. Il s’agissait de vrais bas. Pas de cette contrefaçon avec jarretière autofixante, mais de ces bas qui nécessitent un vrai porte-jarretelles, dont le parement n’a pas l’élasticité voulue pour les retenir seuls en haut de la cuisse, mais également de ceux dont ce parement peut revêtir la finesse de tissage qui conduit la main à la caresse. Des vrais bas avec un talon formé, dont on voyait sortir la pointe des escarpins à talons hauts qu’elle portait ce jour-là. Et ses bas remontaient donc vers le haut et l’extérieur de la cuisse. Un mouvement plus prononcé me révéla la jarretelle noire, tendue sur la fesse. Ma déception vint de ce que la culotte n’était pas en accord avec cet ensemble : de simple cotonnade blanche, elle enveloppait une jolie moule bien formée, mais sans rien laisser voir de la pilosité de la belle. Mais plus choquant encore, la jarretelle que j’apercevais à chaque mouvement, passait non pas dessous, mais bien au-dessus de la culotte. C’est ce qui me poussa à intervenir. Je ne pouvais laisser perdurer cette hérésie. Je fis mine de m’éveiller et poussai un bâillement à me décrocher la mâchoire. La belle se retourna, le visage rouge comme un coquelicot.
Alors, assez véhémente :
Sa pudeur oubliée, elle commençait à sourire, d’abord de façon un peu contrainte.
Sido se radoucit et en revînt à ses premières intentions.
Elle poursuivit d’un air de vieille institutrice revêche :
De ses deux mains, en me fixant droit dans les yeux, elle fit remonter sa jupe comme je le lui avais demandé. Je m’attachai à soutenir son regard. Le sien se fit bientôt moins assuré. Elle était maintenant troussée comme il convenait !
Sido, toujours couleur pivoine, avait pris son air de bécassine. Elle voulait se faire dicter les termes. Elle ne voulait pas qu’il soit dit qu’elle prononcerait, elle, ces mots ! Je poursuivis :
Elle ne répondait pas, mais commençait à avoir un regard gourmand. Je continuai :
Sido pencha la tête, se saisit des élastiques de sa culotte, mais réalisa qu’elle ne pouvait aller plus loin, et qu’il lui fallait d’abord dégrafer les jarretelles. Elle me regarda d’un air comme éperdue.
J’étais surpris qu’elle se laissât faire. Mais je l’attirai vers moi en la prenant par les fesses, et elle vint docilement. Elle regardait la manipulation, et, quand je haussais mon visage vers le sien, elle souriait d’un petit air contrit, mais foncièrement complice. Son ventre bombé était à hauteur de mes yeux. Je défis la jarretelle de droite. Alors, doucement, je glissai la main sous la cotonnade, pour aller en saisir l’extrémité. Je sentais la chaleur de son ventre sous ma paume. J’attrapai la jarretelle, la fis ressortir, et l’attachai.
Elle se tourna, et, par deux fois, j’arpentai ses fesses de mes mains, me saisissant des rubans soyeux.
Nouvelle exploration du ventre. Soudain, je me perdis. De mon pouce, j’avais perçu le foisonnement ! Ma paume obliqua. Ma main chapeautait maintenant le mont de Vénus, et je me reposais sur l’épaisseur de son pelage. Elle eut comme un soupir, et me regarda fixement, sans dire un mot, jusqu’à ce que soudain, roulant sa jupe sur ses hanches pour qu’elle ne retombât point, elle me prit la tête entre ses mains, et se l’appliqua contre son ventre en respirant fortement. Je terminai la tâche entreprise et, la joue collée contre son ventre, attachai le bas à la jarretelle passée sous la culotte. Je levai la tête. Nos regards se croisèrent. Je me saisis de la ceinture de la culotte, laquelle, n’étant plus retenue par les rubans, glissa le long des bas dans un crissement doux, dévoilant son pubis fourni, cette large houppe de fourrure foisonnante qui s’étalait sur tout son ventre. Nouvel échange silencieux de nos yeux. J’attrapai ses fesses à pleines mains, et plongeai mes narines dans le nid à odeurs, me remplissant des bouquets qui s’exhalaient de ce ventre, ces fragrances d’aiguës marines, ces senteurs de marée basse… Je commençai à parcourir cette grève de mes lèvres, et lorsque que Sido me sentit descendre vers le sillon de ses désirs, elle me serra encore plus fort sur son ventre, écarta doucement les cuisses en s’abaissant, me livrant l’accès à ses nymphes secrètes qui déjà perlaient de cyprine. Ma langue s’aventura jusqu’aux ourlets de dentelle contournés de la chair de ses nymphes, puis guida mes lèvres vers ses diaprures gonflées que j’aspirai l’une après l’autre, goûtant le nectar qui sourdait délicieusement, à la saveur douce amère du plaisir. Bientôt, de la pointe de la langue, sous le capuchon rose tendre, je frappai le marteau de porte. Elle poussa un cri, profond, dense, et frotta violemment son pubis contre ma face, se caressant la fente sur les amers de mon visage. Je me désaltérais à sa source qui coulait maintenant abondamment, et je passai consciencieusement lèvres et langue sur ses nymphes qu’elle exposait à présent largement, et qui s’étaient écartées dans l’espoir d’accueillir un vit conquérant. Je ne voulais surtout pas décevoir un tempérament aussi généreux et bénévole, aussi j’insistai avec délicatesse sur le petit bouton qui sortait vaillamment de sa coiffe, me faisant l’effet d’un organiste actionnant les différents jeux de son instrument tellement étaient variés les sons qu’éperdument elle articulait en vocalises sourdes ou claires, basses ou aiguës ! L’orgasme qui peu à peu la saisissait la faisait trembler sur ses jambes, qui commençaient, je le sentais bien, à vaciller. Elle prenait de plus en plus appui sur ma tête, et je la soutenais fermement par ses fesses, dont le contact charnu, doux, rond et chaud régalait la paume de mes mains. Mes doigts se joignaient sur son anus et, les avançant dans sa raie, jusqu’à rencontrer ma langue qui s’agitait comme je l’ai déjà dit, je les oignais de son jus que j’appliquais ensuite en onguent sur sa rondelle, cherchant de mon index à forcer le passage secret ! Le plaisir m’envahissait de me trouver ainsi au plus intime d’elle-même, la face enfouie dans sa fente, les doigts moites de la sudation de sa raie entre ses globes fessiers que je tenais amplement écartés ! Elle ahanait à présent ! Elle avait pris appui d’un bras sur le dossier du canapé, et elle agitait la tête comme un cheval qui renâcle, ondulant du bassin comme si elle avait voulu essuyer mon visage avec le vison de sa motte. Enfin un cri puissant ; une tétanie ; ma tête avec l’effet d’une noix que la pince va briser ; et comme un soupir profond, l’expiration définitive, la reprise après le plaisir infini !
Après quelques minutes d’immobilité dans cette position improbable, soudainement, elle s’écarta légèrement, puis, à mi-voix :
J’étais à la fois heureux, frustré, et dès lors impatient de couronner cette séance en apothéose personnelle ! J’adore voir mon amante prendre son pied, comme elle venait de le faire, mais, ensuite, il me faut aussi conclure, et, là, elle me demandait d’attendre ! Quel contretemps ! Mais j’ai compris alors que, si elle s’était abandonnée, c’était au hasard des circonstances que j’avais créé. Prendre son plaisir est une chose, et, somme toute, elle s’était masturbée, certes à l’aide d’un bel accessoire, mais elle n’entendait pas me conférer immédiatement d’autre rôle. Donner du plaisir tient du contrat, et ce contrat était conclu avec Rupert. Même à un tiers, ce n’était que par délégation, comme la suite allait le démontrer.