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Temps de lecture estimé : 14 mn
11/08/05
Résumé:  Où je découvre que la fille de mes amis est aussi mon "amie".
Critères:  fh hplusag jeunes extracon voir noculotte anulingus fdanus
Auteur : Rigolletto  (Homme, 37ans, Marseille, ouvert à la vie)            Envoi mini-message

Série : Les plaisirs de Julie

Chapitre 01
Première vraie rencontre

C’était l’été 2000. Tous les mois d’août, Martin et Aline organisaient une fête autour de leur piscine.


Martin était une « connaissance professionnelle » depuis une dizaine d’années. Nous nous étions rencontrés au cours d’un projet un peu complexe chez un client important pour ma société. Il était de quinze ans mon aîné, mais une amitié sincère s’était établie au cours de nos contacts professionnels.


J’ai trente-sept ans, mon épouse trente-cinq, et même si les invités de la fête avaient plutôt la cinquantaine, nous prenions toujours plaisir à danser quelques rocks, voire prendre un bain de minuit.


Cet été-là, pourtant, le moral n’était pas au beau fixe avec mon épouse et c’est seul que je répondis à l’invitation annuelle de Martin.


Martin a deux enfants, Aurélien, trente ans et Julie, vingt-deux. L’aîné avait depuis longtemps quitté le domicile conjugal. Il voyageait de pays étrangers en pays étrangers au gré des contingences « pétrolières » auxquelles son entreprise était soumise.


Julie, par contre, était toujours chez papa et maman et semblait s’y trouver fort bien. Contrairement au parcours rectiligne de son frère, qui l’avait conduit sûrement mais un peu tristement à son diplôme d’ingénieur, elle folâtrait. Une première année sabbatique, suivie d’une tentative en Droit, puis en Médecine, puis des petits boulots, pour aboutir dans un IUT d’Action Commerciale. Elle avait un peu voyagé et vivait pleinement ses vingt-deux ans, sous le regard inquiet de sa mère et bienveillant mais attentif de son père.


Sans entrer dans les détails (qu’il ne connaissait sans doute pas), Martin m’avait expliqué qu’elle avait une vie amoureuse très très animée… ce que je traduisais par une vie sexuelle sûrement bien remplie.


D’ailleurs cela se sentait assez facilement : Julie était une belle brune à l’aise dans son corps. Elle se savait belle et en profitait pleinement. De plus, elle n’était pas sotte. Si son physique avantageux (surtout au niveau de la poitrine et de la chute de rein) lui venait de sa mère (que j’avais souvent regardé avec envie), elle avait aussi l’intelligence malicieuse qui m’avait plu chez son père.


De fait, une certaine complicité s’était établie entre elle et moi, au hasard de nos rares rencontres chez ses parents. Elle me taquinait volontiers sur mon look, mon boulot et je lui renvoyais la balle tout aussi volontiers, l’attaquant sur son physique (qui pourtant était difficilement attaquable) ou ses tenues qui, parfois, étaient vraiment trop… ou plutôt pas assez - vraiment pas assez - « couvrantes ».


Je pensais qu’elle me trouvait sympathique et n’imaginais rien de plus. Si ce n’est, lors de certaines séances de plaisir solitaire, dans lesquelles elle avait fait quelques apparitions. Je n’envisageais pas réellement qu’elle puisse ressentir une véritable attirance pour moi. Les hommes sont bêtes souvent ! De toutes façons, nos rencontres se faisant la plupart du temps en compagnie de ma femme, les choses en étaient restées là.


Pourtant, ce soir-là, il en fut autrement.


A mon arrivée, quelques invités étaient déjà là. Je saluai Aline et excusai mon épouse de manière peu crédible. Mon hôtesse comprit rapidement qu’il y avait d’autres raisons à son absence et nous discutâmes un peu de mes problèmes de couple. Pas très longtemps, heureusement, car elle avait encore mille choses à préparer.


Me rendant au buffet, j’aperçus Julie, qui descendait de sa chambre en jean et baskets. Elle me fit la bise et, alors que je la taquinais sur sa tenue pour la soirée, elle m’indiqua gentiment qu’elle avait mieux à faire que de rester traîner avec des vieux couples.



Je la comprenais tout à fait et fus à deux doigts de me proposer pour l’accompagner mais je n’en fis rien. Je me contentai de la regarder rejoindre sa mère en cuisine et ne pus m’empêcher d’admirer son petit cul, tellement rond, frais et surtout si bien mis en valeur par sa taille fine.


A croire qu’elle sentit le poids de mon regard sur sa croupe, car elle tourna rapidement la tête vers moi avant d’entrer dans une conversation forcément essentielle avec Aline.


Rejoint par Martin, j’atteignis enfin le buffet, où je commençai mon alcoolisation programmée. Sans ma cavalière habituelle de rock, c’est-à-dire ma femme, il allait me falloir une alcoolémie « suffisante » pour ne pas m’emmerder toute la soirée.


Une petite heure après, alors que j’en étais à peine à mon quatrième whisky et en pleine conversation « passionnante » sur l’Europe, la physionomie de la soirée changea. Sortant du salon et pénétrant sur la terrasse, Julie réapparut. Mais pas la même Julie.


Elle avait troqué son ensemble T-shirt, jean et baskets contre une robe noire sans manches qui lui arrivait au genou. Le vêtement aurait pu être austère, si ce n’était son tissu, très fluide, le décolleté pile et face et la petite fente qui dévoilait la moitié de sa cuisse droite. Ses cheveux longs et bruns étaient simplement tenus par une grosse pince et ses pieds chaussés dans des chaussures à talons rouge brique, comme ses boucles d’oreilles et son collier. Je fus assez sidéré de la transformation et d’autant plus ravi qu’elle s’approcha de ma table.



Toujours taquine, Julie se pencha très légèrement et regarda ostensiblement ses seins.



Elle alla prendre un verre de punch à la menthe glacée et revint s’asseoir à mes côtés. Bien qu’elle eût regardé autour d’elle en lançant sa réplique, je me sentais un peu visé, bien sûr, par le « vieux et bedonnant ». J’avais quinze ans de plus qu’elle et, bien qu’ayant un physique qui ne déplaisait pas aux dames, je n’avais pas franchement pas la taille mannequin.


C’est donc le plus sûr de moi possible que je lui rétorquai qu’il allait falloir plus qu’une jolie robe pour faire tourner la tête à un homme mûr. Qu’il fallait par exemple savoir danser des danses d’un autre siècle que le sien, comme le rock ou la salsa !



Ainsi commencèrent deux heures de danse très sympathiques. Nous fîmes de nombreux tours sur la piste, sur des rythmes que je ne maîtrisais pas tous, au grand plaisir acidulé de ma cavalière. Souple et légère, Julie se moquait gentiment de ma témérité chorégraphique, mais je riais au moins autant qu’elle.


Nous bûmes aussi à la santé de nos conjoints respectifs, qui ne savaient pas ce qu’ils avaient perdu en n’étant pas là ce soir. Julie avait, elle aussi, des problèmes avec son copain du moment, pas assez mûr à son goût.


Au fur et à mesure des danses, je m’enhardissais à des contacts plus francs et plus sensuels. Mon bassin se collait régulièrement au sien et, pour la guider, mes mains se posaient sur ses reins plutôt que sur son dos. Profitant toujours du prétexte de lui apprendre à séduire les « vieux » de la soirée, je lui conseillai aussi d’être plus lascive dans nos passes, ce qu’elle fit volontiers, absolument pas dupe de mon pauvre stratagème.


En réalité, je bandais ferme et elle ne pouvait pas l’ignorer. D’ailleurs, je voyais dans ses yeux et sentais dans ses mouvements qu’elle aussi prenait un plaisir certain à tout ceci. Elle se frottait avec hardiesse à moi, autant que le contexte le permettait. Parfois dos à moi dans certains mouvements, ses fesses poussaient mes hanches qui revenaient de plus belles coller mon sexe sur son postérieur.


Sentant que nous arrivions aux limites de la décence du lieu, nous profitâmes d’un changement de rythme pour retrouver un calme tout relatif et nous asseoir. Julie était essoufflée et troublée et moi au bord de l’explosion. Elle reprit un peu de punch glacé et croisa les jambes dans le bon sens, celui qui dévoilait sa cuisse. Il y eut une petite pause, puis elle lança les « hostilités ».



Je la regardai sans bouger un cil.



Je la déshabillai lentement du regard de bas en haut, et poursuivis :



Nous étions à la limite entre la plaisanterie et la proposition sérieuse. Du coup, un vrai silence s’établit pendant plusieurs secondes, nous donnant sans doute le temps de prendre bien conscience de ce qui allait suivre. Mes yeux ne quittèrent pas les siens et ils ne faisaient que dire : « Je veux te faire l’amour maintenant. J’ai envie de toi. Je veux de couvrir de baiser jusqu’à l’orgasme… »


Au bout de ce silence, je pris l’initiative de poser ma main sur son genou. Elle ne dit rien. En partie masquée par la nappe et nos propres corps, ma main effleura doucement la peau de cette jambe dorée dans un sens puis dans l’autre.



Dans le même temps, ma main était un peu remontée sur sa cuisse. Déplaçant ma chaise pour masquer complètement mon geste, je continuai. Doucement je lui fis décroiser les jambes. Elle se laissait toujours faire.



Tout en parlant j’accentuais ma caresse et remontais entre ses cuisses. Elle serra d’abord un peu les jambes, regardant, inquiète, autour d’elle. Puis, rassurée par l’indifférence générale, l’étreinte de la jeune femme se relâcha, me laissant continuer mes lentes caresses, faisant mine de boire et de discuter.


Son entrejambe n’était plus très loin de mes doigts. Je sentais son ventre se contracter et, lorsque j’arrivais enfin à destination, le coton de sa culotte était humide et chaud. Je la regardai intensément dans les yeux et je commençai à pousser délicatement cet obstacle illusoire, pour jouer avec son sexe à mon aise, quand nous fûmes dérangés !


Un couple d’amis de nos hôtes s’invitèrent à notre table, jusque-là désertée, pour souffler entre deux be-bops. Ma main reprit vivement une place « convenable ». Pendant quelques instants ce fut surréaliste. Alors que mes doigts étaient encore chauds de son sexe, je discutais de tout et de rien avec nos nouveaux compagnons de table. Je pensais que le charme était rompu. Mes yeux revenaient pourtant toujours dans les siens et disaient inlassablement : « J’ai envie de toi… J’ai envie de toi…»


Tout à coup, elle se leva, prétextant un « besoin pressant » (belle ironie) et me souffla à l’oreille qu’elle allait dans le petit salon. Je me forçai à attendre cinq interminables minutes, puis montai à l’étage qui menait à cette pièce, faite pour la lecture et les après-midis télé, quand la chaleur n’était plus tolérable autour de la piscine.


La pièce était dans la pénombre. Julie était allongée sur le ventre, le menton dans les mains, sur un canapé trop vieux. Elle faisait semblant de regarder des clips à la mode sur une chaîne du câble. Les images étaient à la fois très suggestives, violentes et froides. Sans un mot, je m’assis à la hauteur de ses hanches.



Dans le même temps, je posai ma main ouverte et lourde sur ses reins.



Et pour m’en convaincre, elle fit quelques mouvements de rotation avec ses fesses qui faillirent provoquer ma combustion spontanée.


Me maîtrisant à grand-peine, je continuai, l’air très détaché.



Je pris alors un coussin, passai ma main sous son ventre pour la faire se soulever un peu et glissai le coussin sous son pubis.


Je faisais souvent cela avec mon épouse quand je voulais la prendre par derrière sans lui imposer de se tenir à quatre pattes. Bien qu’un peu moins cambré qu’à l’instant d’avant, le cul de la jeune fille était aussi mieux mis en valeur. Les cuisses s’étaient naturellement et légèrement écartées, la robe était un peu remontée et le tout était à frémir. Je lui fis part de mes constatations et lui demandai si elle ne se sentait pas plus à l’aise.



Ma main se posa alors sur ses fesses.



Je caressais ses fesses doucement.



Je caressai doucement ses fesses, l’une après l’autre. Puis j’allai frôler ses cuisses et revins à ce postérieur alléchant, en relevant la robe chaque fois un peu plus.



Sans relever la pique, je passai sous le vêtement pour palper doucement la chair si fine du haut de ses cuisses, juste avant les plis de son entrejambe. Je la faisais attendre. Je nous faisais attendre. Je tournais ainsi de longues minutes autour de son sexe sans le toucher. Elle commença à remuer doucement son bassin au rythme de mes caresses. Puis repassant sur ses fesses, je lui enlevai peu à peu ce qui était en fait un très joli string en coton bleu nuit. Elle ne protesta pas le moins du monde, ce qui me combla d’aise.



Je rangeai discrètement l’objet dans ma poche et continuai mes caresses sur son postérieur. Progressivement, je remontai sa robe sur ses hanches et dévoilai véritablement son magnifique cul. Tout aussi doré que ses cuisses, il était recouvert d’un fin duvet. Plein et ferme, il était fendu de façon parfaite par une raie qui naissait au bas d’un dos gracile. Un sexe bombé et peu poilu prolongeait cette route appétissante. Ses lèvres très légèrement luisantes et gonflées trahissaient son émoi.



Pour toute réponse, elle tourna la tête vers moi et ferma les yeux, l’air de dire : « Continue, fais-moi du bien. » Mais si j’étais tout à fait disposé à lui faire du bien, je ne voulais pas qu’elle soit si passive.



Mes doigts suivaient délicatement le chemin allant de sa colonne vertébrale à son sexe, en glissant sur sa raie délicate. Ses yeux me fixèrent quelques secondes sans un mot.



Ses fesses avaient effectivement un peu la chair de poule. Je vérifiai le reste de ses dires en immisçant le bout de mes doigts entre ses lèvres. Son sexe était effectivement bien lubrifié et j’aurais pu y enfoncer avec aisance le mien, tellement il était dur. Mais j’avais le temps et ne voulais pas précipiter les choses. C’était bien une des choses que mon âge pouvait nous apporter : un rythme lent, propice, à mon goût, aux choses du sexe.


Je continuai donc à la caresser. Effleurer ses fesses, son sexe, son clitoris, ses cuisses, ses reins et, petit à petit, je l’amenai à ouvrir encore davantage la fente si appétissante de son joli cul. Le premier coussin n’y suffisant plus à mon goût, j’en ajoutai tranquillement un second et en profitai pour fermer la porte. De retour aux côtés de ma belle, jeune et fringante pouliche, j’admirai le spectacle. Elle était belle et impudique à la fois. Les cuisses largement ouvertes et le cul bien fendu, elle avait encore la grâce d’une jeune fée.



Je m’assis donc et commençai à l’embrasser. Comme pour mes caresses, l’approche fut lente et détournée. Dix fois je m’approchai de son sexe, le frôlai de mes lèvres charnues et dix fois je m’en éloignai. Dix fois elle se déhancha pour augmenter la pression de mes caresses et dix fois je ne fis qu’immiscer le bout de mes doigts dans son fruit juteux à souhait, ou soufflai gentiment dessus pour le « refroidir ».


Alors que je sentais qu’elle ne pourrait plus attendre très longtemps, je décidai, contre toutes ses attentes, pensais-je, de préciser mes caresses sur son anus. À peine dardai-je ma langue autour de son petit trou qu’elle commença à gémir.



Sa main s’était glissée sous son ventre pour se mêler à ma langue. La laissant s’occuper de son sexe, je retournai à son petit trou, aidé par mon pouce. Je posai ce dernier sur l’orifice trempé de salive et de sève et le glissai sans mal à l’intérieur. Ses gémissements augmentèrent d’intensité, elle faisait aller et venir son bassin et sa main fouillait son sexe ; elle s’empalait du même mouvement sur mon pouce, qui rentrait chaque fois un peu plus dans son cul.



Mon doigt allait et venait maintenant avec une telle aisance qu’il me semblait qu’elle pouvait en vouloir un peu plus. Hélas, je n’eus pas le loisir de le vérifier, car un bruit de conversation nous parvint, comme montant l’escalier vers nous.


Rapidement, Julie recouvrit ses fesses nues et s’assit normalement, alors que j’allais ouvrir le loquet. Juste le temps de m’asseoir à mon tour dans un fauteuil avec une revue et Martin pénétra dans la pièce.



Très naturelle, Julie répondit que non.



Je ne le connaissais pas, mais dus faire sa connaissance. Martin avait-il senti quelque chose ou était-ce le hasard ? Toujours est-il qu’il me fallut descendre et faire la connaissance dudit André, un sexagénaire fort sympathique et intéressant au demeurant. Ma seule consolation était d’avoir conservé le string de Julie dans ma poche.


Elle descendit d’ailleurs quelques temps après, me rejoignit, l’air un peu moins à son aise qu’en début de soirée…



A suivre…