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Temps de lecture estimé : 19 mn
02/09/05
Résumé:  Après les premières caresses, Julie se donne davantage à moi.
Critères:  fh hplusag jeunes jardin fête hdomine voir exhib noculotte fmast intermast fellation fdanus
Auteur : Rigolletto  (Homme, 37ans , Marseille, Ouvert à la vie)            Envoi mini-message

Série : Les plaisirs de Julie

Chapitre 02
Le don de soi

Julie


Eté 2000, sud-est de la France.


Résumé du chapitre précédent.

Au cours d’une soirée chez des amis je découvre que la jeune fille de mes hôtes m’apprécie plus que je ne le croyais et qu’elle n’est vraiment pas farouche… L’ayant fait jouir à l’écart de la foule par mes caresses habiles certes mais cependant bien anales, nous nous retrouvons au cœur de la soirée…



Chapitre 2 : Le don de soi !


Julie fit mine de vaquer quelques temps entre le buffet, ses parents et quelques invités qu’elle connaissait. Etait-ce notre tendre interlude, mais je croyais remarquer que ses cheveux étaient moins bien rangés et sa démarche un peu moins légère. Comme alanguie par le plaisir qu’elle avait eu… Elle déambula doucement mais sûrement jusqu’à venir me rejoindre sous un mûrier du jardin, où j’étais un peu à l’écart.

Ses yeux brillaient différemment que lors de nos danses. Elle me prit discrètement la main, celle-là même dont les doigts avaient, peu de temps auparavant, fouillé ses entrailles. Mettant l’arbre entre nous et le reste du monde, elle amena ma main sur sa joue et la posa tendrement tout en fermant les yeux. Sa peau était douce, fraîche et je n’osais pas bouger.



Le piquant du propos n’avait d’égal que la sincérité que je pouvais entendre dans le ton de sa voix. J’étais à mon tour touché par l’authenticité du remerciement. Mais, avant que je puisse répondre, elle reprit doucement ma main et l’amena à ses lèvres.



Elle faisait courir chacun de mes doigts sur sa bouche. Elle en baisa doucement la pulpe de ses lèvres gourmandes à peine entrouvertes. S’attardant sur mon majeur, sa bouche s’ouvrit davantage et suçota la dernière phalange comme on suce une friandise. Notre entretien n’avait à priori fait qu’aiguiser son appétit.



Prenant ma main entre les siennes cette fois, elle enfonça centimètre par centimètre mon doigt dans sa bouche, l’entourant de sa langue jusqu’à le gober entièrement. Elle le retint un instant par une succion délicate et le ressortit avec la même lenteur pour le gober à nouveau.

J’étais au supplice. Mais quel doux supplice ! Le plus excitant était qu’elle semblait prendre un réel plaisir dans cette promesse de fellation… ou bien était-ce le plaisir de m’exciter ?

En tout cas, l’effet était là. Mon érection avait disparu depuis notre entrevue mais mon membre reprenait toute sa vigueur.


À mon initiative, l’index rejoignit le majeur. Ce qui n’était encore qu’une sorte de doux baiser devint quelque chose de plus sexuel. Elle léchait maintenant mes doigts avec un petit bruit de succion comme si c’était un vrai pénis. Ses yeux s’étaient ouverts et me regardaient en me promettant encore plus. Je plaçai la main gauche derrière sa nuque pour une caresse qui accentuait le simulacre. Je bandais de nouveau comme un âne mais l’instant était magique.


Je mourais d’envie de remplacer mes doigts par ma langue, de l’embrasser furieusement, de la prendre immédiatement, mais nous ne pouvions pas. Nous n’étions pas si bien cachés que ça, le geste, même de loin, aurait été trop discernable. De plus, je voulais encore faire durer notre plaisir. La belle était consentante, c’était acquis, et cela me touchait. J’avais pourtant envie de continuer à jouer avec elle aux jeux de l’amour et du sexe. Elle était trop belle, trop sûre de ses atouts et de ses rares printemps. Je voulais m’assurer une plus grande prise sur les évènements. J’étais déjà trop à sa merci.



Après un réflexe de recul, elle se laissa caresser tout en gardant mon autre main sur sa joue.



Ce disant, elle voulut tâter les poches de mon pantalon pour localiser son string, mais ne rencontra que la bosse que faisait mon sexe bandé comme un arc. Sa main s’immobilisa dessus et commença une douce caresse sous les pans de ma chemise en lin.



J’avais passé la main sous sa robe et pianotais sur son sexe nu pour répondre à ses attouchements qui se faisaient plus directs.



Mes doigts s’immisçaient maintenant dans ses grandes lèvres encore humides de nos jeux précédents et jouaient avec son clitoris. Sa respiration m’indiquait qu’elle recommençait à y prendre plaisir. Mon autre main avait quitté son visage pour prendre la sienne. Je ne voulais pas que ses caresses au travers de mon pantalon ne me fassent venir trop tôt. Elle était vraiment trop belle pour que j’y résiste longtemps.



Son sourire était tellement complice que j’en fus surpris.



J’étais surpris qu’elle participe aussi rapidement à mes fantasmes.


Lentement j’abandonnai son ventre et la fis pivoter sur elle-même. Avant de m’attaquer à l’ignoble objet, je m’autorisai une escapade sous sa robe et sur ses fesses nues.



Ce disant, je glissais sur sa raie et remontais vers la fermeture du soutien-gorge qui, comprenant que tout espoir était perdu, ne résista pas une seconde. Je libérai donc ces seins juvéniles et quasiment parfaits, selon moi. Stimulés par les plaisirs déjà offerts par cette soirée, ils étaient fiers et dressés, prêts au combat. Leurs aréoles assez larges étaient surmontées de tétons bien ronds et déjà un peu proéminents.

Ne pouvant trop les caresser ouvertement, je me contentai de les regarder par-dessus l’épaule de leur propriétaire. J’étais surtout ravi de constater qu’ils occupaient sous la robe une place bien plus en accord avec leur beauté. Décidément, ces soutiens-gorge sans bretelles sont des crimes contre l’humanité. Une fois allégée de cette contrainte inacceptable, Julie se retourna vers moi, les yeux encore plus brillants, mais un peu incertaine tout de même.



Les termes étaient forts mais le ton était doux. Ses mains se posèrent sur son ventre. Mes doigts de nouveau retrouvèrent son corps pour frôler ses tétons à travers le tissu. Elle était si belle… La jouissance avait détendu sa jeune arrogance. Toute sa silhouette avait gagné en féminité et en rondeur. Ses lèvres étaient humides des baisers qu’elle avait prodigués à mes doigts.

J’avais très envie d’elle…



Sa main retourna vers la bosse de mon pantalon et empoigna fermement mon membre.



Sans attendre sa réponse je la poussai doucement hors de notre cachette, vers le monde.



Elle s’éloigna doucement, tourna la tête deux fois vers moi, comme pour s’assurer qu’elle prenait la bonne direction, puis elle fit une halte, réajusta ses cheveux avec sa pince, retrouva un port de tête plus sûr et marcha droit vers les invités. J’admirais le balancement de ses fesses et de ses seins, libres sous sa robe.


Seigneur, que j’avais de la chance ! Tout ça pour moi, ou en partie en tout cas. J’avais peine à croire à ce qui se passait.


Julie traversa la terrasse en direction de la maison. Puis, juste avant le seuil, elle fut interpellée par une des vieilles amies de sa mère. Je la vis hésiter à faire demi-tour. Elle lança un regard dans ma direction et vit que je ne la quittais pas des yeux. Doucement, elle pivota et retourna dans la foule discuter avec la dame. Si elle était d’abord un peu guindée, je vis qu’elle perdait peu à peu toute gêne. À mon tour je me rapprochai un peu de la terrasse .

Le mari s’était joint à eux et, d’où j’étais, je pouvais voir qu’il lorgnait souvent le décolleté de Julie. Comme sa femme, d’ailleurs, mais pour d’autres motifs, imaginais-je.


Il est vrai qu’il était difficile de rater le spectacle. La robe s’ouvrait jusqu’à la naissance des seins et le tissu souple prenait facilement des plis, offrant la plus charmante perspective sur les adorables mamelons.

Julie semblait ne s’apercevoir de rien. En tous les cas, elle était maintenant du plus grand naturel et très décontractée, plaisantant et riant de toutes ses dents. À tel point que le mari, ne craignant apparemment pas le courroux de son épouse, l’invita à danser lorsque se firent entendre les premiers accords d’une java. Sans hésiter, Julie accepta, après avoir jeté un coup d’œil dans ma direction. Je n’osais imaginer que tout cela fût fait à mon intention… La java fut, pour moi et mon sexe, un moment intense.


Le sexagénaire avait d’autorité placé ses mains sur le bas du dos de Julie (c’est bien comme ça que l’on danse la java). Il ne pouvait plus ignorer que la belle n’avait pas plus de bas qu’elle n’avait de haut sous sa robe. Le rythme, dont Julie n’avait pas bien anticipé les conséquences, se chargea de faire le reste.

La poitrine de Julie s’agitait gaiement, d’autant plus que le mari mettait du cœur à l’ouvrage. Les seins allaient et venaient, menaçant à chaque passage de sortir de la robe. Bien qu’un peu tremblantes, les grosses mains velues ne décollaient pourtant pas des reins juvéniles, remontant parfois la robe qui dévoilait alors un peu le haut des cuisses de la belle.

Les quelques regards masculins que je surpris autour d’eux étaient explicites. Bien qu’elle fût la fille de leurs hôtes, ils lui auraient volontiers fait son affaire. Apparemment prise par sa danse, Julie semblait ne rien remarquer et ne me lança qu’un coup d’œil éphémère.


À la fin du morceau, toutefois, elle quitta son cavalier qui tentait de la convaincre de poursuivre et, prétextant une soif intense, elle se réfugia au buffet. Le mari dégrisé se mit alors en mesure de rejoindre son épouse qui s’était éloignée, l’air contrarié !

Avant qu’une autre invitation ne lui soit faite (ce que je pressentais, vu les regards des mâles alentour), je la rejoignis.



Un peu troublée par l’évocation d’un désir collectif à son égard, elle regarda furtivement autour d’elle et éluda la question.



Ce disant, elle me tourna le dos et, faisant mine de prendre un autre verre sur le buffet, colla son postérieur discrètement mais franchement à mon bassin. Elle constata alors que je n’avais toujours pas débandé. Elle se remit face à la fête.



Julie ne répondit rien mais ses yeux ne démentirent pas. Je finis mon nième verre et nous repartîmes, l’air de rien, vers le jardin. Cette fois-ci, c’est un majestueux platane qui nous servit de paravent. Julie s’adossa à l’arbre, dos à la soirée, tandis que je lui faisais face à un mètre d’elle.



Tout à coup, elle sembla gênée. Ne sachant que faire de ses mains, elle les tendit vers moi pour m’attraper dans l’espoir d’un baiser. Mais je reculai.



Sans relever, je continuai.



Tout en écoutant mes paroles, sa main droite se porta à son cou. Elle commença à flatter sa gorge comme j’aurais pu le faire. Ses yeux étaient mi-clos. Son autre main s’appuyait sur l’arbre comme pour garder son équilibre. Sa main remonta de son cou à son visage. Elle palpa sa bouche entrouverte et sortit une langue pointue pour s’humecter les lèvres.



Sa main redescendit vers son décolleté. Après en avoir effleuré le haut, elle glissa sous sa robe vers son épaule gauche qu’elle dénuda. Je discernai, malgré l’ombre du platane, le haut de son sein et priai pour que la gravité aide l’étoffe à se libérer de son téton pour tomber encore.

Comme si elle entendait mes pensés, sa main gauche lâcha l’arbre et se saisit au travers de la robe de ce sein sur le point d’être dévoilé. Elle le saisit avec délicatesse comme pour le soupeser, en évaluer la valeur, puis ses doigts commencèrent à le palper. Elle se caressait autant avec ses doigts qu’avec le tissu qui continuait à recouvrir son mamelon.



Cette douce caresse dura un moment. Pendant ce temps, sa bouche entrouverte gratifiait son propre majeur du plaisir de la succion. Ses yeux toujours entrouverts étaient fixés sur moi.

Je trouvais le spectacle d’une rare beauté et d’un érotisme total.



Je devinais plus que je ne voyais réellement son téton s’ériger. Ses doigts se firent plus précis sur la pointe de son sein. Ils le pinçaient franchement maintenant, mais toujours au travers du tissu. Quittant ses lèvres luisantes de salive, sa main gauche se saisit de l’autre sein. Toute sa poitrine était maintenant l’objet de caresses appuyées. Elle pétrissait, massait, pinçait ses fiers globes avec à la fois douceur et violence.



Sans rien dire, je secouai la tête pour refuser l’invitation.

Toujours adossée à l’arbre, elle s’était naturellement cambrée pour projeter en avant ses mamelles qui lui donnaient apparemment beaucoup de plaisir. Quand ce traitement eut enfin dénudé son sein gauche, son aréole avait gonflé et son téton était bien dressé en son centre. Elle le pinçait et le tirait tant que j’éprouvais presque la douleur sur mon propre téton. Se saisissant du sein tout entier, elle en porta la pointe à ses lèvres pour lui porter quelques coups de langues, tout en continuant à le mignoter.



Elle se parlait à elle-même. Je n’existais plus. Elle regardait tour à tour les deux pôles de sa poitrine et semblait pouvoir jouir seulement avec ces caresses. J’imaginais sans peine son sexe gonflé et entrouvert que j’aurais volontiers défoncé le plus brutalement possible tellement j’étais moi aussi excité. Mon sexe était au maximum de sa turgescence. Sans le voir, je savais mon gland déjà humecté de liquide séminal. Pourtant, je ne bougeais pas et la regardais approcher de l’orgasme sans m’avoir encore dévoilé son antre brûlant.


Après quelques instants de ce traitement sa respiration s’accéléra. Une main descendit vers son pubis et commença à masser son clitoris à travers la robe. Je sentais qu’elle allait jouir de cette façon. Cela ne me contentait pas entièrement, mais je la laissai faire. Assez vite, son massage pubien devint plus rapide et elle jouit en douceur, les cuisses jointes. Je la laissai reprendre sa respiration en silence. Elle rouvrit les yeux, la main toujours sur son sexe.



Cette quasi-menace sembla presque l’exciter davantage. Elle me dévisagea un moment. Puis je m’approchai d’elle. Nos visages se touchaient presque. Mon ventre était collé au sien. Son sein encore nu se pressait contre ma chemise. Vérifiant que nous étions suffisamment à l’abri des regards, j’osai enfin l’embrasser.

Je baisai délicatement sa lèvre supérieure, puis l’autre. Je pinçai tour à tour l’une et l’autre de mes propres lèvres. Ma langue se mit également à frôler sa bouche qu’elle m’offrait entrouverte. Ses bras n’osaient pas m’étreindre alors que je continuais à progresser dans mes baisers.

Sa langue vint à la rencontre de la mienne. Juste la pointe d’abord, puis entièrement. Je m’écartai alors pour qu’elle ait à la faire jaillir complètement, et la suçai goulûment. Surprise, elle s’abandonna pourtant vite à cette captation et me rendit la pareille, pour mon plus grand plaisir. Enfin, nos bouches se scellèrent et nos langues se rencontrèrent intimement. J’explorai toute sa bouche. J’aurais voulu fouiller jusqu’au fond de sa gorge et m’imaginais bien enfonçant un autre membre bien moins souple dans cette bouche avide. Mes mains commençaient à relever le bas de sa robe. Je voulais la prendre, là, maintenant.


Sentant mon désir et gênée par le risque de se faire surprendre, elle détourna la tête pour mettre fin à notre baiser. Frustré dans mon élan, je poursuivis mes jeux de mains. Ses fesses étaient à présent à moitié nues. Je lui mordis l’épaule en parcourant à la fois son sexe d’un côté et sa raie duveteuse de l’autre.



Nous étions bien masqués par le massif platane, mais si quelqu’un venait, nous aurions tôt fait d’être découverts. Pourtant j’en voulais encore… et ici-même.



J’avais continué mes caresses et empoignai ses hanches pour la retourner face à l’arbre. Sa robe était remontée jusqu’à la taille. Me plaquant contre elle, je lui écartai légèrement les jambes avec mon genou puis, me décollant d’elle, la cambrai et passai une main entre ses cuisses.



Mes mots étaient crus mais mes gestes tendres. Loin de lui pilonner quoi que ce soit, je caressais longuement ses fesses, son con, ses cuisses avec une certaine douceur. Ces gestes tendres la rassurèrent et elle entra plus volontiers dans le jeu . Ses reins se creusèrent davantage et elle me regarda par-dessus son épaule avec espièglerie.



Ses yeux se fermaient pourtant à moitié pour profiter de mes caresses sans trop se soucier de notre environnement. Je surveillais moi-même d’un œil les alentours qui s’étaient un peu vidés depuis tout à l’heure.

Sans plus d’inquiétude, mes doigts continuaient de plus belle leurs douces galipettes. Alors que mon index et mon majeur allaient et venaient, hésitants, sur le seuil de la porte principale, le pouce se tâtait à passer par derrière. Tous étant très polis, ils allaient régulièrement sonner à la petite sonnette toute gonflée dans son capuchon…



D’autorité, je baissai ce qui lui restait de robe. Ses deux seins étaient maintenant offerts à mon autre main qui les pétrissaient tour à tour. Ils ballottaient au rythme de ses hanches qui décrivaient sur mes conseils des cercles lascifs dignes du plus professionnel des peep-shows. La belle y mettait beaucoup d’enthousiasme. Elle aimait apparemment beaucoup ça. Ma main continuait toujours à fouiller respectivement son sexe et son cul. Je me rapprochai pour lui susurrer à l’oreille.



Je n’étais pas sûr qu’elle m’ait entendu, tant elle était prise par son plaisir. Mes trois doigts la pistonnaient franchement maintenant. Je lui pris la main et l’amenai à sa bouche. Tout de suite elle comprit et se mit à sucer ses doigts, et plongea vers son sexe. Mais je l’arrêtai et la ramenai dans son dos vers son anus que j’avais libéré. Sans trop d’hésitation, elle commença à masser le pourtour de son petit trou et à y glisser son majeur. Il ne tarda pas à y disparaître entièrement. Le rythme de nos va-et-vient augmenta. Sa respiration devint rauque. La poitrine nue contre l’écorce et ma main sur sa gorge, elle poussa un petit cri, pareil à un cri de douleur, quand l’orgasme la saisit. Un spasme la secoua. Doucement, elle fléchit sur ses jambes et s’appuya lourdement sur le platane.



Quelques secondes passèrent à l’écouter respirer.



Avant qu’elle ne bouge, je défis ma braguette et sortis mon sexe. Je n’osai le toucher de peur d’éjaculer dans la seconde, tellement j’étais excité. Je lui pris les deux mains, espérant lui signifier ainsi que je préférais qu’elle l’avale sans préliminaires. Joue contre joue, mon gland touchant sa toison, je lui glissai à l’oreille :



Un voile d’ivresse troublait presque ses yeux. Elle s’agenouilla et m’avala. Une fois dans sa bouche, je lui lâchai les mains et posai les miennes sur son crâne pour lui donner le rythme adéquat. Je ne tins probablement pas beaucoup plus que trente secondes. Elle portait une de ses mains à mes bourses presque douloureuses d’être aussi pleines, lorsque je jouis à longs jets. Un peu surprise, Julie garda élégamment mon membre dans sa bouche jusqu’à la fin et continua tendrement sa caresse jusqu’à ce que je la relève.


Je corrigeai sa tenue et la mienne et l’embrassai fougueusement encore une fois, à l’abri de ce digne végétal.

Nous retournâmes vers la terrasse sans dire une parole, légèrement distants l’un de l’autre.


J’étais vidé. Vidé de mots, de désir, de sperme et d’énergie. Mais aussi plein de cette jeune femme qui m’avait tant donné d’elle-même. Bien plus que ce que je lui avais donné, me semblait-il.

Près de la maison, Aline nous croisa et lança discrètement à sa fille :



Pourtant c’est Martin qui m’accapara les heures suivantes…

Lors de mon départ, Julie put simplement me glisser dans la main un papier avec son numéro de portable et ce mot :



À suivre…