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Première soirée et première nuit à la montagne

Pour ceux qui ont manqué l’épisode précédent :

Le chemin de retour, descendant fut plus court que la montée et nous voilà déjà déboulant sur la terrasse de la ferme restaurée. Les deux joueurs jouent toujours et nous invitent au silence d’un « On a bientôt fini, chut !». Nous regardant entre nous, on décide d’un commun accord muet de rentrer dans la maison et je demande l’autorisation d’aller prendre une douche avant de prendre l’apéro. Autorisation accordée et c’est accompagné de Sandrine que je pénètre dans la salle de bains quelques instants plus tard. Rapidement déshabillés, aussi rapidement enlacés et s’embrassant, on échange nos impressions sur la séance tout à l’heure. Je fais remarquer à ma chère et tendre que la sodomie, pour agréable qu’elle fût, n’est toujours pas mon dada et que je ne changerais pour rien au monde ma jolie blonde aux seins généreux pour une petite brune adepte de la sodomie. En réponse, outre un baiser magistral et une caresse appuyée sur mon sexe, elle me dit que j’étais beau dans l’action et que ça l’a énormément excitée de me voir faire ainsi que de voir l’autre trio.

Une fois notre douche terminée et la salle de bain libérée, nous retournons nous changer dans la chambre. Une fois que je suis prêt, Sandrine me demande de la laisser finir de se préparer seule… Je ressors et retrouve dans l’escalier Wendy qui redescend trouver son homme sur la terrasse.

Elle s’est changée également et porte une magnifique petite robe d’été, très échancrée dans le dos, avec un foulard pour protéger les épaules… Quand je dis échancrée dans le dos, c’est que deux marches au-dessus d’elle, j’ai une vue plongeante… jusqu’au bas du dos et même une partie de ses fesses et de sa raie. Je ne peux m’empêcher un petit sifflement admiratif. Elle se retourne en souriant et m’offre l’avant de sa robe… pas tout à fait aussi décolleté que l’arrière mais presque. En tout cas, largement assez pour que de ma position haute, je puisse avoir une vue parfaite sur ses seins ronds et blancs. Je lui rends son joli sourire et la complimente sur ce que je viens de voir. Elle rougit un peu mais se reprend en me disant que j’en ai vu plus au bord de la rivière. Oui, mais elle n’était pas aussi proche et à portée de mains comme elle est là. Et le geste suivant les paroles, je passe le revers de ma main sur le décolleté de la demoiselle anglaise lui arrachant quelques frissons. « Appétissant et très tentant » ajoutais-je. Rougissant un peu plus, ce qui fait sortir ses taches de rousseur, elle me répond « Pourquoi pas ? Mais pas tout de suite » et elle dévale l’escalier en direction de la terrasse me laissant penaud, seul avec ma bite et mon couteau…

Finalement, je la suis et retrouve une bonne partie de la fine équipe. Les deux joueurs d’échec sont en train de remballer leur jeu, Tina et Thibault remplacent les pions par des verres et des bouteilles d’apéritif, Wendy embrasse son chéri. Il ne manque que Géraldine et ma chérie pour que l’on soit au complet autour de la table. Thibault propose que l’on commence sans elle et sert les premiers verres. L’ambiance est rapidement joyeuse et les deux filles arrivent alors que les premiers verres sont déjà vides. Ravissantes dans des tenues moulantes et sexy. Sandrine a quant à elle une jupette de tennis blanche très courte en plus d’une brassière qui moule à merveille ses gros seins. Elle vient s’assoire sur le banc à côté de moi et m’embrasse. Je lui glisse un petit compliment sur sa tenue et un langoureux « Tu m’as manqué » qui a droit à un « Toi aussi » tout aussi attachant. À ma gauche, Wendy et son décolleté qui me laisse entrevoir une bonne partie de ses seins à chaque mouvement vers l’avant… pour aller chercher une cacahouète ou son verre. Je me régale !

Sandrine remarquant mon ménage, me glisse dans l’oreille « C’est vrai que c’est mignon… et excitant aussi » Je lui confirme et mets ma main sur sa cuisse pour lui chuchoter qu’elle ne manque pas elle non plus d’arguments pour détourner le regard. Ma main remonte sur sa cuisse, passe sous la jupette et commence à sentir la moiteur de l’entre cuisse. Je sens les cuisses s’écarter pour me laisser libre accès et j’ai un choc : Où sont les poils du sexe de mon amour ? Ces poils que j’aime tant sentir sous ma langue lorsque je rends hommage à Sandrine ? Disparus, envolés, rasés ! Voilà le pourquoi du retard de mes deux partenaires de l’après-midi. Elle me chuchote « J’avais envie d’essayer, pour voir. Gégé me l’a conseillé tout à l’heure pendant la ballade. Si tu n’aimes pas, ne t’en fais pas, cela va vite repousser ». Je suis plus surpris que déçu… Et aussi impatient d’essayer ma langue sur cette zone nouvellement glabre. En attendant, je commence par le découvrir avec les doigts, caressant les lèvres douces, le pubis glissant de crème. Mon doigt s’immisce entre les deux lèvres, même si rien n’a changé à cet endroit, il ne peut résister à l’appel de ce sexe légèrement entrouvert. Je dois être dans les nuages car Thibault me redemande une nouvelle fois si je veux un deuxième verre ce qui fait rire tout le monde. « Heu, oui, oui, la même chose » balbutiais-je l’air un peu bête tout en retirant vivement ma main de la cuisse de ma chérie, comme pris la main dans le sac de bonbons. Marc demande si c’est le décolleté de Wendy ou la jupe de Sandrine qui me distrait tant que ça. Je retrouve mes esprits pour répondre que c’est un peu les deux et reprends l’initiative peu après en levant mon verre à nos charmantes, accortes et sensuelles compagnes qui nous ravissent dans leurs tenues estivales et par leurs initiatives coquines…

Le repas se passe dans la bonne humeur, même si chaque fois que Marc et surtout Clément veulent savoir ce qu’il s’est passé cette après-midi, invariablement, on leur répond qu’ils n’avaient qu’à venir et qu’ils en seront plus au dessert, si tout le monde est d’accord. Le dessert arrive justement et Clément relance le sujet. Tina propose qu’on leur raconte, s’ils nous font un joli strip-tease tous les deux. Tout le monde semble d’accord, Clément un peu moins, mais sa curiosité l’emporte et ils commencent tous les deux à se déhancher, plus ou moins comiquement et à relever le t-shirt ou ouvrir la chemisette. Torse nu, Marc offre son t-shirt à Tina, tandis que Clément offre sa chemisette à sa Gégé. Le contraste entre les deux hommes est saisissant : Marc, plutôt grand et musclé, peu poilu, face à Clément, plus râblé, plus gros que musclé (même si ce n’est pas excessif) et très velu sur le torse. C’est lui qui le premier descend son short, de dos par rapport à l’assemblée, dans un geste maladroit mais empreint de bonne volonté. Ses fesses sont aussi rondes et poilues que le reste de son corps. Il semble attendre Marc qui fait glisser plus lentement son short, lui aussi tournant le dos à la table. Enfin, ils sont tous les deux nus, de dos, des fesses très différentes (Sandrine me glisse « joli cul le grand Marc »), le short à la main. Ils semblent se concerter, puis se retournent brusquement vers nous, lançant les shorts vers la table, la bite au vent, à moitié bandée pour les deux… Sexes aussi différents que le reste du corps…

Des sifflets d’admiration sortent de la bouche des filles. Wendy s’empresse de récupérer le short de son homme et de s’asseoir dessus. Tina ayant fait pareil avec celui de Clément. Thibault reprend la parole « Je crois que vous avez bien mérité l’histoire… ». Et commence à raconter l’après-midi à la rivière… sans omettre trop de détails… Il n’en faut pas longtemps pour que les deux absents regrettent leur partie d’échecs et chacun regarde sa compagne d’un autre œil… un œil plus intéressé que jaloux (quoique Clément…). Le récit de notre après-midi me remet dans un état d’érection avancé et pour détendre mon excitation, je me lève et vais préparer le café. Tina me rejoint pour me donner un coup de main « je connais déjà cette histoire » rigole-t-elle. « Rien de tel pour remettre une dose d’excitation avant la nuit » ajoutais-je. « Je ne suis pas sûre qu’on en avait besoin » et elle se serre près de moi, la main sur mon short. Je l’imite et sens la moiteur de son sexe à travers le fin tissu de son short ultra-court. L’autre main englobe un sein à travers le tissu de son haut et commence à masser la poitrine de notre hôtesse, faisant pointer un téton saillant. Quant à elle, elle sort franchement mon sexe de mon short et commence à me masturber ouvertement, dans la cuisine. La porte de la salle à manger qui s’ouvre nous interrompt dans notre découverte et on essaye tant bien que mal d’être dans un état neutre et correct quand Wendy entre dans la cuisine « Vous avez besoin d’help ? » On se regarde en souriant et on continue à fixer la cafetière qui passe petit à petit le café, retenant un fou rire devant une question peut-être pas si innocente qu’elle voudrait l’être…

Le café finit de passer, Wendy emporte les tasses sur un plateau, moi une boite de petits gâteaux et Tina la cafetière. La scène que l’on découvre est assez surréaliste : les deux strip-teaseurs sont debout en train de jouer aux fléchettes, nus, avec Sandrine et Géraldine (toujours habillées, même si Clément semble profiter des pauses pour ouvrir le short de sa compagne ou pour passer les mains sous le haut). Thibault débarrasse un peu la table en se moquant du niveau des quatre joueurs. Thibault profite de la présence de tout le monde pour proposer une petite activité nocturne, si tout le monde est d’accord bien sûr : on joue aux fléchettes en couple. Les gagnants ont le droit de choisir un membre du couple arrivé quatrième pour passer la nuit à trois. Le couple deuxième pouvant, s’il le souhaite, passer la nuit avec le « célibataire » forcé. Un rapide état des lieux fait apparaître que l’après-midi, plus le récit qu’il vient d’en être fait, incite tout le monde à réessayer une telle expérience et finalement, tout le monde donne son accord pour les règles. Et la partie commence. Elle se fera en trois manches pour rétablir les manques de chance ou les réussites effrontées. À la fin des deux premières manches, Tina & Thibault sont en tête, tandis que nous sommes derniers, mais de peu, les deux autres couples étant à portée de fléchettes et une bonne dernière manche nous permettrait de passer la nuit ensemble. C’est donc motivés à bloc qu’on entame la dernière manche. Si les leaders arrivent à 100 alors qu’aucun couple n’a encore gagné, ils seront sûrs d’être vainqueurs. Et en trois tours à peine, ils sont en dessous de 100… Le couple perdant ira donc avec les deux T… Ils commencent à déranger le reste des joueurs en faisant des commentaires du genre « Qu’est-ce que tu penses de Sandrine ? Elle doit être chaude quand même » « Tu es sûr que tu ne veux pas essayer avec un garçon ? Sylvain m’a l’air tentant » « Hum, le petit cul de Gégé me plaît bien ». Bref, l’atmosphère se tend et ils finissent largement avant les autres. On peut encore être deuxième : mais il faut qu’on finisse vite et avant que les deux autres couples n’aient fait moins de 60 et 83 points. Sandrine tente et réussit la flèche qui nous permet d’être à 60 pile. Si je mets le triple 20, on passe deuxième au général et on aura le « reliquat » du choix de nos hôtes. Les quatre autres me mettent la pression, Wendy ou Géraldine n’hésitant pas à dévoiler certains de leurs charmes pour me perturber. J’en profite pour me rincer l’œil en regardant les seins dénudés de mes deux adversaires. Puis je me concentre et tente mon coup. J’ai peu de chances de réussir, mais le miracle arrive et la flèche se loge dans le petit rectangle correspondant au triple vingt. Sandrine exulte : non seulement, on passera la nuit ensemble, mais on aura une compagne ou un compagnon de jeu. On se rapproche des vainqueurs pour savoir leurs intentions. La séance de l’après-midi avec Wendy leur a plu mais nous voir avec Géraldine leur a donné envie. Mais le débat est vite tranché puisque Géraldine et Clément finissent troisième et envoient Marc et Wendy dans les bras d’autres couples. Les deux T se consultent rapidement et viennent vers nous : « Même si on a déjà fait ça avec Wendy cette après-midi, on n’est pas très branché par un autre homme. Ça ne vous gêne pas ? ». Ce sont les gagnants et donc ils ont le droit de choisir. Si nous ne voulons pas de Marc, on a le choix de se passer d’un compagnon. La table vite rangée, le lave vaisselle mise en route, la nuit se prépare… et s’annonce longue.

Géraldine et Clément sont les premiers à monter se coucher, puis je demande à Marc de venir avec nous. Nous sommes un peu intimidés. Personnellement, je n’ai jamais fantasmé spécialement sur un trio avec un autre homme, mais Sandrine a l’air intéressée par la situation. Alors qu’on laisse Marc se laver et se préparer pour la nuit, on se déshabille et se glisse dans les draps. Nos corps excités s’emmêlent en même temps que nos langues. J’ai rapidement confirmation de mes soupçons quand je lui demande si elle est excitée par la perspective d’avoir deux hommes dans son lit. Elle émet un petit grognement de plaisir. J’insiste « Même s’ils veulent te prendre par derrière ? ». Elle fait un peu la moue « Seulement s’il y en a un devant aussi ». Et ben ma coquine ! Et elle ajoute, sans me laisser le temps de souffler « Et je crois que j’aimerais beaucoup voir l’amour de ma vie en train de faire des choses avec un homme devant moi ». J’angoisse un peu « Des choses ? Comme quoi par exemple ? ». « Je sais pas, on verra… » C’est le moment que Marc choisit pour frapper et entrer dans la chambre. Toujours nu, cette fois, il bande énormément et son sexe semble long et fin, quasiment sans poil. Sandrine se serre contre moi et l’invite à prendre place sur son côté droit, libre. Nous voilà à trois dans un lit, assez serrés, un peu coincés par le côté programmé de la situation. Je continue à caresser doucement Sandrine tandis que Marc, un peu libéré par la nudité de la jolie blonde, commence à se rapprocher. Sandrine est tournée vers moi et m’embrasse. Je la sens se raidir et passant une main sur ses fesses, je sens le sexe de Marc épousant la raie serrée de ma chérie. Un peu surpris par le premier contact, je reviens doucement sur ce sexe bandé au maximum. Il va-et-vient, faisant comme des caresses sur les fesses de Sandrine, je m’enhardis petit à petit et le prenant franchement entre mes deux mains, je le force un peu pour qu’il passe entre les jambes de Sandrine plutôt qu’il ne caresse ses fesses. Elle frissonne alors un peu et Marc murmure sensuellement que ce sexe rasé est d’une douceur infinie. Je lui réponds que l’intérieur n’est pas mal non plus et qu’il y est le bienvenu. « Avec plaisir » et le sentant rectifier sa position, je vois Sandrine se raidir comprenant que le long sexe de notre partenaire vient de franchir l’entrée de sa grotte. Puis je sens le va-et-vient du sexe de Marc faire bouger Sandrine, doucement. Je décide alors de me concentrer sur ses seins et les embrasse, les léchouille, les caresse, les masse, en titille les tétons. Elle gémit de plaisir sous nos assauts respectifs, le mouvement de Marc est de plus en plus rapide et actif. Il gémit lui aussi de plaisir. Peu de temps après, Sandrine jouit franchement et Marc se retire laissant à Sandrine une petite moue dubitative. Je suis juste là pour recueillir à la sortie de la grotte le sexe excité de Marc. Les draps ont volé depuis longtemps et je peux voir le long pieu dans toute sa taille et toute son excitation, il luit du plaisir de Sandrine. Mu par une volonté incompréhensible, je me plie et l’amène à ma bouche. Pour la première fois, en vrai comme en fantasme, je touche de la bouche le sexe d’un autre homme. Un sexe dont le goût rappelle celui de ma tendre et chère. Un sexe qui frétille sous mes coups de langue. Sandrine se redresse et se retire un peu pour mieux me laisser l’accès à Marc.. Celui-ci en profite et se plie pour diriger sa bouche vers le minou glabre et ouvert de Sandrine. La vue de ce cunnilingus me met dans des états pas possibles et me libère complètement. Avec une main, je commence à flatter les couilles de mon partenaire d’un soir. Je m’aventure même entre ses fesses, mais la caresse l’électrise et il m’avertit dans un râle de l’imminence de sa jouissance. Ne voulant pas franchir toutes les étapes d’un seul coup, j’enlève sa bite de ma bouche, et je n’ai pas le temps d’en faire plus avant de recevoir sur le visage le premier jet de sa crème épicée. Surpris, un peu dégoûté aussi, je m’éloigne et reçois le reste sur le buste. Marc a l’air désolé, il s’excuse. Un peu bloqué au départ, je me dis qu’après tout, il arrive à Sandrine de recevoir le mien sur la figure et dans la bouche en appréciant ça et je me mets en situation de découverte plutôt que de dégoût. Je sors ma langue pour goûter le nectar qui dégouline sur mes joues. Sandrine se précipite sur moi et commence à lécher mon buste et le sperme qui y traîne. Marc semble un peu rassuré. Ma bite qui avait un peu fondu lors de l’éjaculation reprend une vigueur extrême, rappelant à tout le monde que je suis le dernier à ne pas avoir joui. Sandrine, une fois le buste à peu près nettoyé, descend vers mon sexe et l’embouche complètement commençant une fellation frénétique. Marc lui glisse dans l’oreille un petit mot et elle, me regardant lubriquement, se relève et change de sexe. Celui de Marc est de nouveau raide sous ses coups de langue et Sandrine déclare alors vouloir « Marc dans mon cul et Sylvain dans mon sexe ». On réfléchit deux secondes à la position et Marc commence à pénétrer ma chérie qui grimace à cette intrusion, attendue mais toujours aussi malvenue. Je la pénètre à mon tour rapidement pour augmenter son excitation et l’intrusion de mon sexe la fait gémir profondément, poussant un cri rauque puissant. « Oh… Je me sens complètement prise. Oh oui, allez-y ! » On hésite un peu à pistonner, finalement, seul moi entreprends un va-et-vient, Marc restant enfoncé dans l’anus de Sandrine mais sans bouger. Elle gémit de plus en plus fort. Marc la tient par les seins qu’il maltraite involontairement. Je regarde le tableau et active mes va-et-vient. Il ne me faut pas longtemps pour jouir dans le sexe trempé de Sandrine qui me rejoint rapidement. Marc se retire alors, toujours bandé et approche son sexe des seins de Sandrine qu’il commence à caresser à l’aide de son pieu. Je me place derrière lui et lui flatte les fesses doucement, osant pénétrer légèrement dans la raie culière. Il m’invite à continuer plus profondément, et perversion extrême, j’atteins son anneau fripé que je commence à masser. Il n’en faut pas plus pour qu’il se raidisse et avant même que l’anneau s’entrouvre sous mes caresses, qu’il arrose le haut du buste et le visage de Sandrine d’une deuxième giclée presque aussi abondante que la première.

On s’écroule tous les trois sur le lit, hagards, mais heureux, Sandrine au milieu de ses deux mâles dont les bites pendent lamentablement. Quelques minutes en silence plus tard, Marc se lève et nous annonce qu’il revient dans quelques instants. On profite de ces moments d’intimité pour se lover l’un contre l’autre et pour échanger les premières impressions de cette première expérience. Premières impressions positives…

Marc revient quelques minutes plus tard, une bouteille d’eau et trois verres à la main… et la bite à nouveau tendue à l’extrême (impressionnant !). Il s’assoit à nos côtés et nous propose un coup pour se remettre de nos émotions puis nous explique son état. « Quand je suis remonté de la cuisine, j’ai marqué un temps d’arrêt vers la porte de la chambre de Tina & Thibault, juste au cas où. Bon, j’ai un peu tendu l’oreille et ce que j’ai entendu m’a redonné une pêche d’enfer ». Tous les deux, très curieux, on lui demande plus de détails croustillants. « J’ai entendu ma Wendy en pleine excitation. Elle criait comme à chaque fois où on fait l’amour de façon un peu forte, excitée quoi. J’ai compris par les paroles de Thibault, que c’était en fait Tina qui devait l’exciter comme ça, en la léchant j’imaginais… Et puis Thibault a repris, à destination de Wendy. Il lui demandait si elle aimait ce gros gode dans sa petite chatte. Elle gémissait en soufflant des oui, oui très langoureux. Puis il lui a demandé si elle aimait se faire lécher l’anus par une femme. Et là, les cris étaient franchement de la jouissance. Terrible excitant ». Le récit, plus les souvenirs de l’après-midi, nous ont excité à nouveau. Et nous voilà tous les trois prêts à repartir au feu. C’est Sandrine qui lance la première pique en demandant à Marc si lui aussi aime qu’une femme lui lèche le petit trou. « Essaie, tu verras bien » est la seule réponse de notre partenaire qui offre ses fesses à la belle blonde. Elle se précipite et commence à écarter les globes, dévoilant un petit trou fripé puis elle commence à l’humecter, à le lécher. De mon coté, je ne peux m’empêcher de goûter à l’abricot lisse de ma chérie qu’elle me présente innocemment. Déjà bien trempé et bien frétillant, l’odeur m’excite et m’électrise. Voyant qu’elle se démène pour essayer d’échapper à mes caresses linguales, j’insiste d’autant plus, ajoutant un doigt à la langue. Elle gémit de plus en plus, son sexe se trempant et rendant de plus en plus luisant le sexe rasé. Elle finit par jouir dans ma bouche tout en continuant son travail sur l’anus de Marc qui s’ouvre légèrement sous la pression d’un ou deux doigts de ma compagne. Je me relève, et mu par une force exploratrice inattendue, je m’avance vers le cul tendu de notre partenaire. Me voyant arrivé, Sandrine sourit et relâche son travail. Je pose mon sexe à la place de sa langue. Marc marque un temps de surprise et m’accueille avec une petite anxiété. « Doucement, je ne l’ai jamais fait ». Mon sexe commence à forcer l’entrée de ce trou, sensation nouvelle pour moi. Puis petit à petit les résistances se lèvent, mon sexe s’enfonce un peu plus jusqu’à arracher une grimace à Marc. « Pas plus loin, s’il te plaît ». Sandrine passe entre nous et prend le sexe de mon partenaire d’un soir dans la bouche pour faire diversion. Je tente un léger va-et-vient, mais devant les résistances de Marc et l’absence de lubrification, je préfère me retirer. Le trou béant se referme rapidement et un peu frustré de cette expérience avortée, je replonge ma tête entre les cuisses de Sandrine qui continue sa fellation. Marc jouit rapidement dans la bouche de la blonde qui se délecte de ce nectar. Tandis que ma tendre et chère jouit une nouvelle fois dans ma bouche…

Epuisés, nous nous couchons et nous endormons rapidement après les excuses de Marc qui ne se sentait pas complètement prêt pour l’expérience que nous avons tentée. Je dois avouer que pour ma part, je ne faisais pas le fier non plus, ce qui a sans doute expliqué cet échec.

La nuit fut calme et le soleil du matin nous réveille doucement. Je suis le premier debout et vais dans la salle de bains pour nettoyer les effluves de la nuit… Une nouvelle journée s’annonce. Le week-end est loin d’être fini…

A suivre