n° 12463 | Fiche technique | 29829 caractères | 29829Temps de lecture estimé : 17 mn | 13/04/08 |
Résumé: Une journée de randonnée, un orage, un clash et une nuit réconfortante. | ||||
Critères: fh fhh 2couples fbi jeunes couleurs vacances voir facial fellation cunnilingu anulingus sandwich fouetfesse -totalsexe -entrecoup | ||||
Auteur : Cyber Syr Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Retrouvailles Surprises Chapitre 08 / 08 | FIN de la série |
Sept ans après le début de la série, trois ans après le début du week-end, voilà la suite du week-end…
À peine ai-je fini ma douche en solitaire, que quelqu’un essaie d’ouvrir la porte et qu’un murmure « Eh merde » parvient à mes oreilles. La voix de Tina se fait entendre :
J’ouvre le verrou et Tina, dans un long T-shirt ample mais qui ne lui couvre que les cuisses, entre dans la pièce. En la voyant, mon sexe reprend une position décidément très commune depuis hier matin. Les courbatures ne sont pas loin… Elle remarque le petit effet et me lance :
Elle se souvenait de la frustration commune lorsque la jeune anglaise avait débarqué dans la cuisine interrompant des caresses… suggestives.
Sans me donner de réponse, elle se déshabille, entre dans la douche, son gros cul noir se dandinant pour pénétrer dans la cabine. Puis elle ouvre le robinet et commence à prendre sa douche comme si de rien n’était, si ce n’est la porte restée ouverte. Je romps le silence.
Elle continue à se laver, m’exposant ses fesses qu’elle écarte pour passer un gant puis le jet.
Ce disant, je la rejoins dans la douche. Elle éteint le robinet et s’agenouille devant moi pour commencer à sucer mon sexe.
Je lui raconte par le menu les diverses combinaisons de la nuit dernière. Elle accélère le rythme. Mais elle a envie de plus.
J’inverse la position et glisse entre ses cuisses, la bouche au niveau de son pubis frisé et peu poilu. Je commence à goûter son entrejambe qu’elle m’offre en appuyant le haut du dos contre la paroi de la douche. Elle gémit de plus en plus fort et sa grotte se lubrifie intensément. Je me relève et enfile mon sexe dans le sien sans attendre. Un peu surprise par l’intrusion rapide, elle gémit rapidement de plaisir, sa grotte est brûlante et trempée, je la pistonne très facilement tout en malaxant ses gros seins. Elle pousse soudain un grand cri rauque de plaisir qui me transporte à mon tour dans la jouissance en libérant mon sperme dans son sexe béant. Je lui pose un petit baiser sur les seins et sors de la douche pour qu’elle finisse sa toilette.
Je sors de la salle de bains et croise à nouveau dans l’escalier Wendy, les cheveux en pétard (et collés à certains endroits), vêtue d’un long t-shirt (sans doute de Thibault) qui lui couvre juste les fesses.
Quelques instants pour comprendre l’allusion et je confirme :
Pour la conforter dans le fait que c’est Sandrine qui prenait sa douche en hurlant de plaisir. Je la suis dans la cuisine, observant avec envie ses cuisses blanches. Personne d’autre ne déjeune, un bol sale dans l’évier semble témoigner toutefois que quelqu’un est déjà debout. Mais c’est l’occasion ou jamais si je veux connaître un peu mieux la jolie Anglaise. Je lui demande comment s’est passée sa nuit.
Bon, c’est raté.
Montrons-nous galant !
Pas tellement mieux réussi. Elle se lève et va dans le placard où sont les verres. Placard légèrement en hauteur, elle doit donc s’étirer vers le haut pour attraper les verres. Son t-shirt remonte et j’aperçois ses deux fesses blanches, petites et peu serrées… mais à croquer. Elle tourne la tête vers moi.
J’hésite un peu, observant ostensiblement le postérieur exposé.
Prenant la balle au bond :
Elle revient avec deux verres, les pose sur la table, et enlève directement son t-shirt, dévoilant son corps nu devant moi.
Elle me regarde, surprise, sans trop comprendre. Je me lève, descend mon caleçon et m’approche d’elle
Elle me regarde, surprise :
Elle semble comprendre sa méprise de tout à l’heure.
Ce faisant, je suis contre elle, mon sexe contre son ventre, mes mains sur ses seins. Elle a la peau très douce et je décide de descendre ma langue le long de son corps pour arriver à son sexe. L’odeur est un peu forte et je comprends que ce sont les effluves de la nuit. Mais l’envie est trop forte, et je plaque ma bouche contre ses lèvres intimes et commence à jouer avec ma langue. Elle gémit de plaisir rapidement. Je la regarde d’en bas, elle se mord les lèvres, les yeux fermés. J’active mon mouvement.
Soudain, je sens un mouvement de son corps qui bouge de surprise, je regarde et vois la présence de Thibault qui s’est glissé dans la cuisine sans un bruit et qui est passé derrière elle, se plaquant à son dos en prenant ses seins dans les mains. Il lui triture les tétons, lui arrachant des petits cris que mon travail lingual sur le clito renforce certainement. Puis je vois arriver, entre les jambes de la jeune anglaise, un sexe bandé. Je ne peux m’empêcher de me souvenir de la nuit dernière et commence à alterner les coups de langue sur le sexe trempé de Wendy et sur celui tendu de Thibault. Une de ses mains abandonne les seins blancs pour aller entre les fesses caresser la raie.
Il me demande doucement :
Sans discuter, c’est devant et je me relève pour pénétrer ma nouvelle partenaire qui m’accueille avec joie. Je sens son corps venir vers moi quand Thibault commence à la pénétrer par derrière et ensuite, c’est le sexe de Thibault que je sens à travers le corps de Wendy. Nous la pistonnons alternativement, au milieu de la cuisine. Elle gémit de plus en plus fort, de plus en plus aigu et finalement, nous jouissons tous les trois quasiment simultanément. Peu avant que Géraldine et Clément ne se pointent dans la cuisine, en tenue de randonnée… C’est vrai qu’on avait prévu une randonnée toute la journée aujourd’hui…
Je laisse les nouveaux arrivants s’installer à la table du petit déjeuner et monte chercher ma tendre et chère pour la sortir du lit. Je croise Marc dans le couloir. Un petit salut, elle est déjà réveillée. Plus loin, j’entre dans la chambre. Ma belle est nue, allongée sur le lit, les draps en pagaille. Elle est surprise de me voir, mais le sourire illumine son joli visage. En m’approchant plus près, je remarque des traces suspectes sur ses seins et sur sa joue. Pas de doute, c’est du sperme frais.
Je me jette sur elle et commence à l’embrasser partout. Surtout où il y a du sperme… en m’attardant particulièrement sur ses seins et ses tétons pointus que j’aspire alternativement, lui arrachant de nouveaux petits cris. Arrêtant les caresses, je lui dis que tout le monde nous attend en bas pour déjeuner et partir en rando. Elle se lève, enthousiaste et attrape un soutien-gorge, un débardeur et un short de sport puis me devance vers la porte :
Et je laisse ma nymphe nue entrer dans la salle de bains… seule. Je dois reconnaître que j’ai un peu appréhendé d’enchaîner une troisième pénétration dès le petit matin et que je m’en tire bien. Sans explications, que je ne manquerai pas de lui donner plus tard dans la journée.
La randonnée est très sympa, jolis paysages, temps agréable. Le coin pique-nique au bord d’un lac est charmant quoiqu’un peu passant, ce qui empêche toute envie d’exhibitionnisme ou d’autres tentations d’ordre sexuel. D’autant que le repas à peine terminé, Thibault nous annonce que les nuages qui arrivent ne sont pas bon signe et qu’on devrait descendre rapidement au risque d’être pris par l’orage. La descente se fait quasiment en courant tellement les nuages noirs s’amoncellent rapidement. Heureusement, dans les bois, nous ne craignons plus grand-chose et quand les premières gouttes apparaissent, nous sommes déjà dans la vallée, sans grand risque sous l’orage, sinon celui d’être trempé et de glisser sur un chemin large et sans danger.
Par contre, ce sont huit serpillières trempées qui arrivent dans la fermette de notre week-end, mouillées jusqu’aux os sous une pluie battante. Les cheveux mouillés rendent encore plus sexy certaines d’entre nous (pour ne pas dire toutes) et certains t-shirts, masculins mais surtout féminins, laissent voir en transparence soutien-gorge ou absence de soutien-gorge fort érotique. L’électricité de l’orage et l’érotisme de la situation risquent bien de compenser la fatigue de la rando pour rendre la soirée encore très intéressante.
Je suis tout proche de Géraldine dont justement le t-shirt blanc trempé laisse voir ses tétons sombres et tendus par la fraîcheur de la pluie. Je ne peux m’empêcher de lui poser les mains sur les épaules quand je la vois grelotter. Pire qu’un coup de tonnerre, on entend soudain la voix de Clément :
Et le voilà qui monte l’escalier, furieux, alors que le reste de l’assemblée se regarde, surpris de cette explosion de colère. Géraldine semble gênée de la réaction de son homme :
Moi, un peu penaud d’être le détonateur :
Clément redescend alors les escaliers, son sac sur le dos.
Et le voilà qui sort sous l’orage finissant. Sa voiture démarre en crissant les pneus et l’atmosphère retombe rapidement. Inutile de dire que l’érotisme qui précédait la sortie a disparu et chacun regagne sa chambre, l’air un peu penaud.
Sandrine et moi sommes vite nus, trop pressés de quitter ces habits trempés qui commencent à coller. La scène précédente fait que même ma nymphe nue ne me fait pas d’effet. Je reste l’esprit tracassé, ailleurs. Elle le sent bien et, s’approchant de moi entreprend de me rassurer. Ses massages, ses paroles (« Il ne la mérite pas de toute façon » « Si c’était pas ça, ça aurait été autre chose » « C’est un lâche »…), ses baisers dans le cou commencent à me remettre en forme. De toute façon, Clément, je pouvais pas le sentir. Et Géraldine est largement trop bien pour lui…
Bref, rapidement, l’orage est passé et mon sexe reprend une configuration normale pour ce week-end. D’autant que Sandrine a abandonné ses caresses dans le cou et me branle carrément à présent. J’en profite pour l’embrasser, caresser ses gros seins laiteux. Ses mouvements se font de plus en plus rapides. J’ai envie d’elle. Je la couche sur le dos, descends ma bouche le long de son cou, sur son buste, suçote au passage son petit téton gauche (en lui arrachant un petit gémissement de plaisir), contourne habilement le nombril et atteins la zone promise, son sexe rasé d’hier et déjà humide de plaisir. Quelques coups de langue bien appliqués pour goûter son nectar et je la sens s’ouvrir, s’offrir.
Je reviens vers sa bouche et pose mon sexe contre le sien, prêt à entrer dans la grotte adorée. Juste un regard de sa part pour m’inviter. Mon sexe pénètre la chatte juteuse en nous arrachant un cri de plaisir simultané. La pénétration et le coït sont puissants… d’autant plus puissants qu’on fait l’amour et non une simple relation sexuelle comme celles du week-end. Quelques mouvements plus tard, un long silence de plaisir se répand dans la chambre et nos deux corps s’unissent dans une jouissance profonde et puissante. Son sexe se remplit de mon liquide, le mien s’enduit du sien. Je me retire, épuisé par tant de plaisirs.
Quelques minutes plus tard, alors qu’on est toujours couché l’un à côté de l’autre, Sandrine se lève, m’embrasse amoureusement et met un débardeur léger qui traîne par là et une jupette courte de tennis. J’ai juste le temps d’admirer son sexe nu et glabre luisant de notre plaisir passé.
Je ne peux empêcher un petit sourire en imaginant ce qui va se passer dans la chambre de la nouvelle célibataire. Une fois rhabillé, je descends dans la cuisine rejoindre Wendy et Marc. Ils sont déjà en train de préparer le repas du soir. Pas d’allusion ou presque au départ de Clément. Seule la place vide autour de la table carrée rappelle à l’assemblée que le week-end ne finira pas comme il a commencé.
Sandrine et Géraldine sont arrivées bien après les autres et ma chérie se met en face de moi, à la place occupée habituellement par Clément. Me voilà seul sur mon côté de table mais avec deux charmantes créatures en débardeur et sans soutien-gorge en face de moi ; Les olives et autres cacahuètes sont suffisamment loin sur la table pour les obliger à se pencher vers l’avant, me dévoilant à chaque fois une bonne partie de leur anatomie.
Tout le monde ayant son verre, c’est Géraldine qui prend la parole :
Cette idée réjouit tout le monde et chacun s’empresse à lui promettre une nuit de folie si elle vient avec lui.
L’apéro terminé, je vais chercher la suite du repas dans la cuisine. Sandrine m’y rejoint avec un petit sourire en coin :
Je fais mine de bouder, mais c’est pour mieux la surprendre en la plaquant contre le frigo et en la serrant contre moi.
Durant la discussion, j’ai passé les mains sous la jupette de tennis et elle a écarté les cuisses, me laissant l’accès à son abricot lisse. Je peux la masturber doucement.
Elle est bien au courant. Je me décide à la libérer non sans l’avoir doigtée une dernière fois pour garder son parfum intime sur les doigts. Tout à ma réflexion sur la signification de ses derniers mots, je ramène le plat sur la terrasse où je suis accueilli par des « On a faim, on a faim » et des exclamations de joie. La rando et les émotions du début de soirée sont sûrement à l’origine de cette frénésie et quelques minutes après le plat est vide et les assiettes nettoyées. Thibault prend la parole :
Avec Sandrine, nous y allons les premiers. Nous lui expliquons qu’on est très tenté de passer une nuit tous les trois mais que l’occasion se représentera sans doute et qu’on ne sera pas jaloux si elle n’est pas avec nous cette nuit. En gros, on passe la main. Puis nous succèdent Wendy et Marc. Tina vient vers moi pour tenter de savoir ce qu’on a proposé à la petite brunette. Voyant qu’elle ne réussira pas à me corrompre, elle part en susurrant :
C’est clair que je suis complètement pour. Et je vois mal Sandrine être contre. Je la retrouve sur la terrasse à ranger un peu la table. Je me place dans son dos, glisse une main sur ses fesses, entre ses cuisses et lui fais doucement la proposition de Tina. Elle se retourne vers moi avec un beau sourire.
Je l’abandonne pour essayer de voir Tina avant qu’ils commencent leur entretien. Nos regards se croisent juste au moment où elle entre dans la pièce où se trouve Géraldine. Elle a juste le temps de voir mon acquiescement de la tête et moi de voir son sourire avant de rentrer dans la chambre. Quelque chose me dit que Wendy et Marc vont passer la nuit avec Géraldine. Effectivement, quelques minutes plus tard tout le monde est autour de la table. Géraldine revient en faisant un peu la moue :
Wendy et Marc se regardent, heureux. Je partage avec Tina et Thibaud un sourire complice. La fatigue de la rando, l’heure avancée, l’envie de luxure incite tout le monde à lever le camp rapidement et chaque couple rejoint sa chambre pour se préparer à la dernière nuit à la montagne. Je me retrouve dans la chambre avec ma Sandrine. J’ai vraiment hâte de la retrouver seul à seul mais d’autre part la perspective d’une soirée à quatre avec Tina et Thibaud me redonne du courage et, quand on frappe à la porte, je suis déjà tout excité. C’est donc presque déçu que je vois Gégé entrer dans la chambre.
Sandrine la rassure.
Et Sandrine de conclure :
Elle sort de la chambre, sa jupette volant dans l’air dévoilant le haut de ses cuisses quelques fractions de seconde. Je m’approche de ma chérie.
Et je l’embrasse pleinement, à peine interrompu par la porte qui s’ouvre sur nos hôtes du week-end et nos invités pour la nuit. Thibaud à peine entré :
Et il nous conduit vers le placard encastré dans le mur de l’autre côté de la chambre vis-à-vis du lit. Il l’ouvre, débarrasse quelques cartons qui traînent dedans. Et soudain, de la lumière apparaît par le montant disjoint d’une porte condamnée. Je comprends que la chambre de Marc est de l’autre côté. Effectivement, on voit Géraldine assez gênée qui vient d’entrer dans la pièce. On voit à peu près toute la pièce en déplaçant l’œil et on peut voir Marc et Wendy en pleine action sur le lit, nus et empalés l’un dans l’autre. Je cède ma place à regret aux filles et rejoins Thibaud sur le lit. Tina ressort du poste d’observation.
Sandrine nous rejoint à son tour et vient se lover contre moi. C’est Thibaud qui lance les hostilités en me demandant ce que j’ai pensé de ma douche avec Tina ce matin. Sandrine me relance :
Tina me coupe :
Je m’inquiète un peu de ce qu’elle va raconter. Mais en fait, sa version est proche de la mienne et sa frustration de ne pas être allée plus loin encore est plus importante que la mienne. Thibaud me demande alors si une blonde a le même goût qu’une black. En rigolant, je l’invite à goûter et lui assure que toutes les blondes n’ont pas le même goût et que pour les blacks, Tina étant une première, je manque de comparaison. « J’y compte bien » est sa seule réponse, Sandrine enchérissant en disant « Moi aussi ! » et voilà l’ambiance détendue.
On est tous les quatre sur le lit, moi appuyé sur la tête du lit à demi assis sur le côté droit du lit, la tête de Sandrine sur les cuisses, son corps en travers du lit. Thibaud est au fond du lit en travers et Tina assise près de la tête de son homme de l’autre côté par rapport à moi. En y réfléchissant, il ne doit y avoir que Tina comme barrage entre les yeux de Thibaud et le sexe de Sandrine, sa jupette bien remontée, ses jambes légèrement écartées ne devant pas cacher grand-chose. Mes mains parcourent son ventre et remontent son débardeur tout en discutant. Tina a quant à elle la main ouvertement sur le sexe de son homme et le caresse à travers le bermuda. Je tente alors de demander ce qu’elles ont fait avec Géraldine avant le repas à ma tendre et chère. Mis à part un petit sourire en coin, je n’ai aucune réponse.
Mes mains étant proches de ses seins, j’en profite et lui pince doucement un des tétons.
Je pince plus fort, mais mis à part un aïe ! plus sonore, toujours pas d’info. Les deux autres se prennent au jeu et Tina lui demande si elle résisterait à la fessée sans rien dévoiler. Sandrine lui assure que oui et sans attendre la suite, pivote sur le côté pour se retrouver sur le ventre, la tête sur mon buste et les fesses pratiquement nues devant Tina.
Celle-ci abat alors une petite fessée sur les globes blancs de ma chérie qui sursaute puis serre les fesses, par réflexe. Tina enchaîne, et une dizaine de fessées plus loin, elle demande à Sandrine si elle souhaite nous dire quelque chose. Thibaud tend alors la ceinture de son bermuda à sa Tina et elle recommence à fouetter un peu plus vivement Sandrine dont les fesses rougissent vraiment beaucoup dès les deux ou trois premiers coups de ceinture. La douleur semble aussi apparaître dans ses yeux.
Tina se retire penaude, un peu gênée d’être peut-être allée un peu loin, mais Sandrine la rassure rapidement en se relevant, se mettant à genoux sur le lit et lui sautant sur le dos en disant :
Thibaud réalise vite ce que cela signifie et vient en aide à Sandrine, espérant voir sa copine fessée devant lui. Mais Tina se dégage et Sandrine et Thibaud se retrouvent penauds, l’un dans les bras de l’autre ou plus exactement, Sandrine affalée sur le bermuda de Thibaud tendu à l’extrême. J’ai pour ma part les fesses de ma chérie sous les yeux et je ne me gêne pas pour les caresser en les écartant légèrement, une vue plongeante sur sa raie s’offrant à moi. Sandrine a alors une autre idée et déboutonne rapidement le bermuda de Thibaud. Elle en sort son sexe bandé. Elle commence à le lécher doucement, puis accélère le rythme…
Et elle renfourne le sexe. De mon côté, je commence également à masturber son abricot lisse dont les poils me manquent vraiment. Il s’humidifie rapidement et j’entre un puis deux doigts au fond de sa grotte. Thibaud gémit de plus en plus fort et Tina, voyant ça, revient vers le lit en se déshabillant complètement. Elle reprend sa place près du lit et avance sa bouche pour récupérer un peu de la queue de son homme. Sandrine lui laisse volontiers la place, d’autant qu’elle gémit de plus en plus sous mes doigts.
Hop, un coup de reins pour quitter mon dernier rempart et je présente ma bite à l’entrée de son sexe. Rapidement, nous voilà accouplés en levrette, Sandrine ayant une vue plongeante sur le sexe de Thibaud qui entre et sort des lèvres de Tina. Sans parler du moment où il se retire et arrose de son sperme le visage noir de sa chérie. C’est l’élément déclencheur de notre orgasme commun et je remplis sa grotte de mon sperme chaud. Sandrine se relève alors, un petit sourire :
A suivre