n° 09595 | Fiche technique | 20295 caractères | 20295Temps de lecture estimé : 13 mn | 23/08/05 |
Résumé: Séduire les filles, ce n'est pas si difficile ! | ||||
Critères: fh jeunes volupté revede lingerie pénétratio init | ||||
Auteur : Zébulon Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La culotte de Charlotte Chapitre 03 / 08 | Épisode suivant |
Antoine est toujours puceau mais n’est plus ignorant de l’anatomie féminine. L’image de la culotte de Charlotte est désormais associée à celle du sexe de Laure. Ce sexe qu’il a regardé, contemplé dans ses moindres détails et touché. Ah ! Ce contact avec la chair mouillée ! Il en a encore des frissons.
Dès qu’il a un moment à lui, il se projette cette photo mentale. Les poils noirs et bouclés qui dessinent un triangle entre les cuisses et le ventre, puis qui s’arrondissent autour du sexe quand les jambes s’écartent. Cet écrin de fourrure encadre une rivière de satin, une fente luisante de félicité taillée dans de la chair rose bordée de vagues ciselées. Et blotti au plus profond, le petit trou inondé, source discrète du petit filet qui s’écoule jusque plus bas. Un délice !
Son aventure avec Laure, en plus de la découverte du sexe féminin, lui a laissé un agréable sentiment, malgré l’humiliation d’une éjaculation précipitée. Quand il y repense, il se dit qu’il n’a rien fait pour la séduire. C’est elle qui est venue à lui, tout maladroit qu’il est. Il n’a plus eu qu’à faire le pas décisif. Il lui a donc plu. C’est une découverte essentielle pour lui. Il est capable de plaire aux filles !
C’est vrai qu’il est plutôt mignon. Ce n’est pas un acteur hollywoodien mais ce n’est pas un Quasimodo non plus. Ses yeux verts lui confèrent un certain charme et son physique, quoique n’étant pas celui d’un athlète, est assez agréable. Et si c’était simplement son manque d’assurance, de confiance en soi, qui l’avait desservi durant ses années d’adolescence ?
Ragaillardi par ce nouvel éclairage, il décide que désormais il aura confiance en sa capacité à séduire ! Maintenant qu’il a vu une chatte, il veut en voir d’autres, les toucher, y porter sa bouche et… les pénétrer ! Et pour cela il faut d’abord amener des filles jusque dans son lit. Soit, à un audacieux rien n’est impossible !
Mais comme il n’est pas coutumier de ce genre d’exercice, il essaye de trouver la meilleure tactique. En analysant sa relation avec Laure, il se rend compte qu’il a « conclu » au bout de leur deuxième rencontre seulement. Et si c’était ça la clé du succès ? En deux rendez-vous, on n’a pas le temps de bien connaître quelqu’un. On peut donc simuler un peu une autre personnalité. Mais si on ne tente rien au deuxième rendez-vous, d’une part la relation naissante bascule vers l’amitié, d’autre part il devient plus dur de cacher sa vraie nature. Antoine n’étant pas sûr de pouvoir arborer sa toute nouvelle assurance sur la distance, il décide donc de tenter sa chance dès la deuxième fois. Et s’il prend une veste, tant pis !
Fort de cette nouvelle résolution, il passe rapidement en revue l’état de ses connaissances féminines. Il connaît toutes ses copines depuis plusieurs mois ou plusieurs années. Les sentiments qui les lient sont purement amicaux. Il serait bien trop dangereux de tenter quoi que ce soit avec elles. D’une part, il n’en aurait pas le courage, d’autre part, il ne veut pas risquer d’entacher leur relation. Il faut donc qu’il rencontre de nouvelles filles.
Oui, mais comment faire ? Il y a plus de femmes que d’hommes sur la Terre mais elles ne sont pas dans la ville où il habite ! De plus elles ne font pas la queue pour venir rencontrer monsieur Antoine ! Il pense à s’inscrire à un club de rencontres, ou à se connecter sur un site spécialisé, mais le côté arrangé de la chose le dérange. Il pense ne pas être à l’aise dans ce type de tête-à-tête où chacun vient pour la même chose mais sans oser le dire ouvertement.
Il ne trouve toujours pas de solution satisfaisante. Puis arrive le jeudi soir. Ils ont l’habitude, avec son groupe d’amis, de se retrouver dans un bar tous les jeudis soirs. Une tradition qui remonte à leur vie d’étudiants et qu’ils continuent à pratiquer, histoire de prolonger un peu cette période d’insouciance. Le nombre de présents à ce rendez-vous hebdomadaire varie chaque semaine en fonction des obligations de chacun. Au fil des mois, ceux qui se sont mis en couple finissent par ne plus venir. Seuls restent les célibataires qui, après avoir siroté quelques verres et refait le monde une fois de plus, finissent la soirée dans un petit restaurant à proximité.
Ce soir-là Antoine arrive en retard. En entrant dans le bar il est surpris de constater que seule Caroline est présente. Caroline, sa plus vieille amie, qu’il a connue à l’école primaire. Et, assise à côté d’elle, une fille qu’il ne connaît pas. Après avoir salué son vieil ami, Caroline fait les présentations. Il apprend donc qu’il s’agit de Julie, une cousine éloignée, en vacances dans la région pour quelques semaines.
Julie est jolie. Elle a de longs cheveux châtains ondulés, des yeux pétillants de joie de vivre et une poitrine qu’on devine bien ferme. Elle porte une jupe à mi-hauteur de mollets mais sa position assise sur le tabouret de bar laisse apparaître ses genoux. Instantanément, Antoine a la vision de Charlotte. La même position, la même jupe… la même culotte ? Cette image l’excite. La culotte de Charlotte, le sexe de Laure, les yeux de Julie, tout ceci se mélange dans son esprit en un appel sensuel.
Il décide illico que Julie sera son cobaye. Il va tester sur elle son pouvoir de séduction et sa tactique. Pourvu que ça marche !
La discussion s’engage. Antoine s’applique à ne pas trop en dire sur lui. Il pose des questions plutôt qu’il n’y répond. Très vite, il imprime à leurs échanges un ton humoristique qui enveloppe la soirée dans une atmosphère de gaieté. Il se rappelle le vieil adage qui dit « Femme qui rit, à moitié dans ton lit ! ». Au fur et à mesure que l’heure avance, il se sent de plus en plus séduit par cette fille providentielle. Et il a l’impression, en essayant d’être objectif, que ce sentiment est réciproque. La soirée se termine et ils se séparent en échangeant leurs adresses électroniques.
Dès le lendemain, Antoine lui envoie un mail. Il choisit de continuer sur le ton qui lui a réussi la veille. Trois minutes plus tard, une petite enveloppe s’affiche en bas de son écran. Il clique dessus et oui, c’est bien elle. Elle doit être intéressée, pour avoir répondu si rapidement. Dès lors, une conversation quasi-simultanée s’installe entre eux. Elle dure toute la journée. Pensant que le fruit est mûr et qu’il est temps de le cueillir, il lui propose, non sans appréhension, de l’inviter au restaurant le lendemain soir. Les secondes qui suivent lui paraissent une éternité et enfin la réponse arrive. Oui !
Ils se retrouvent donc le lendemain dans un petit restaurant qu’Antoine a choisi pour son atmosphère intimiste. Pour dissiper la gêne des premières minutes, il embraye la conversation sur une mésaventure arrivée le jour même à un de ses collègues. Julie rit de bon cœur. Assis face à face à une table de deux, au milieu de laquelle trône une chandelle allumée, leurs regards se font de plus en plus complices. Les yeux de Julie pétillent plus que jamais. Antoine se concentre pour ne pas se départir de cette assurance désinvolte qui semble lui réussir.
A la fin du repas, il répond au serveur lui demandant s’ils désirent un café que « Non, merci, l’addition, s’il vous plaît. »
Il propose à Julie d’aller prendre le café chez lui. Elle accepte sans hésitation. Antoine jubile ! Il se dit que c’est gagné.
Ils arrivent dans son appartement. En refermant la porte, Antoine se motive. « Allez, c’est maintenant ! ». Il se dirige vers le salon, Julie le suit. Puis doucement il se retourne vers elle. Il plonge son regard dans ses yeux. Leur éclat a changé, il est devenu plus doux. Ce sont des yeux qui disent « oui ». Antoine l’enlace, elle se laisse faire. Il penche sa tête vers la sienne, elle avance ses lèvres. Ils s’embrassent. Julie lui donne un long baiser tendre, langoureux, sensuel. C’est une nouvelle découverte pour Antoine. Laure avait été plus brutale, plus gourmande, plus avide. Il s’émerveille de la douceur de ce contact, de tous les sentiments qui passent par leurs deux langues réunies. Il sent le désir monter en lui. Il le sent également dans le corps de Julie qui l’enlace de plus en plus tendrement.
Il sent la fermeté et la douceur de ses seins contre son torse. Doucement, tout doucement, il descend ses mains le long de son dos, passe sur ses hanches et vient les poser sur ses fesses. Elles sont rondes et fermes, deux dunes de chair qui sont un appel au plaisir.
Il l’entraîne doucement vers sa chambre. Elle le suit, l’enlaçant toujours. Elle l’embrasse à nouveau, très longuement. Puis elle s’écarte un peu de lui et écarte légèrement les bras. Il comprend qu’elle veut qu’il la déshabille. Il déboutonne son chemisier. Elle porte un soutien-gorge en dentelle blanc. La vue des demi-globes de ses seins dépassant du soutien-gorge l’émerveille. Elle l’enlace à nouveau et reprend sa bouche dans la sienne. Antoine porte les mains sur l’agrafe de son soutien-gorge. Il n’en a encore jamais dégrafé mais il fait de son mieux pour que ça ne se voie pas. De ses doigts, il tâte la chose pour en comprendre le fonctionnement. Puis doucement, il fait glisser les deux extrémités l’une vers l’autre et miracle, l’agrafe s’ouvre ! Puis il remonte ses mains vers les épaules de Julie et fait glisser les bretelles.
Elle s’écarte à nouveau et fait tomber à terre son soutien-gorge. Il découvre ses seins. Ils sont magnifiques ! Ils sont bien ronds, légèrement en forme de poire et ils se tendent vers lui. Et, ô merveille, les pointes en sont dressées, dures et dardent vers le haut. Il se retient de les toucher, de les embrasser, de les dévorer. Julie a donné le ton par ses baisers : elle veut que cela soit tendre et sensuel, pas sauvage. Il doit aussi montrer qu’il est habitué et ne pas se jeter sur elle comme un enfant sur son gâteau d’anniversaire !
A son tour, elle lui retire sa chemise. Elle le reprend dans ses bras et l’embrasse à nouveau. Cette fois, elle appuie un peu plus son bassin contre le sien. Antoine a une belle érection. Mais cette fois il n’a pas honte qu’elle le sente. Au contraire. Il veut qu’elle sache qu’il la désire. Julie se met à onduler très doucement du bassin en se frottant contre lui. Elle peut sentir à travers sa jupe le sexe d’Antoine gonfler et durcir encore. Antoine imagine le sexe de Julie mouiller un peu plus à chaque mouvement.
Elle se dégage à nouveau. Il lui dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds. Et sa culotte lui apparaît. C’est une culotte en dentelle blanche aux motifs assortis à celui de son soutien-gorge. Elle ne ressemble pas du tout à celles de Charlotte et de Laure. Elle est plus échancrée et surtout elle est transparente. On peut voir très nettement la touffe de poils à travers. Mais comme elle est doublée à l’entrejambe, le sillon reste dissimulé. C’est encore plus érotique, plus appétissant.
Julie se rapproche et pose les mains sur les cuisses d’Antoine. Elle les remonte très lentement, en appuyant très fort. Elles passent sur la bosse du pantalon et la parcourent sur toute sa longueur. Antoine sent un délicieux frisson de plaisir lui parcourir l’échine. Elle dégrafe le bouton de la ceinture puis, un à un, ceux de la braguette. Ses doigts passent sous le tissu à chaque bouton et viennent effleurer la chair dure du sexe d’Antoine. Puis elle le débarrasse de son pantalon.
Ils s’enlacent à nouveau et s’embrassent encore longuement. Puis Antoine pousse doucement Julie vers le lit et l’y allonge. La voici à présent dans la même position que Laure. Mais cette fois Antoine sait qu’il ira jusqu’au bout. La tendresse de Julie, par opposition à la rapidité de Laure, le rend plus maître et plus sûr de lui. Il va aimer Julie, la caresser, enfouir son visage entre ses cuisses, la pénétrer pour qu’elle ait du plaisir. Son plaisir à lui passe après. Il va prendre son temps.
Il s’allonge à côté d’elle et l’embrasse à nouveau. Sa main remonte le long de son bras et vient lui caresser les cheveux. Leur baiser dure une éternité. Puis il détache ses lèvres de celles de Julie et se met à la caresser. Doucement, lentement, tendrement, ses mains parcourent ce superbe corps de femme ; d’abord les bras, puis les épaules, le côté des seins, le ventre. Puis il remonte sur les seins. Julie pousse un petit soupir. Il décrit des cercles concentriques sur les globes de chair, resserrant progressivement jusqu’à arriver sur les tétons. Elle pousse un soupir plus fort.
Puis il les prend entre ses lèvres. Ils sont durs. Il n’aurait jamais imaginé que cela puisse être aussi dur. On dirait deux minuscules pénis, tendus à l’extrême. Il fait passer sa langue dessus, les serre entre ses lèvres. Les soupirs de Julie deviennent plus fréquents.
Antoine s’étonne de sa propre maîtrise. Il sent son sexe devenir énorme et dur, lui envoyer des signaux de plaisir brûlants. Mais il n’est pas fébrile comme avec Laure. Son érection est agréable mais il n’est pas au bord de l’éjaculation. Il profite du corps de Julie, de tout ce bonheur sensuel qu’elle lui donne. Son sexe se met en harmonie avec ses pensées. Il veut durer, savourer le plus longtemps possible.
Sa bouche remplace ses mains. Il refait avec ses lèvres le chemin tracé par ses doigts. Il parcourt le corps offert de ses baisers, en s’arrêtant à la limite de la culotte. Quand sa bouche est là, sous le nombril, à l’orée de la forêt protégée par l’étoffe ciselée, il peut sentir les prémices de l’odeur du sexe de Julie. Une odeur forte, animale, enivrante. Il résiste à l’envie de lui arracher sa culotte pour mettre à nu son fruit merveilleux.
Maintenant ses mains descendent le long des jambes. Elles plongent très loin, jusqu’aux orteils, en passant par l’extérieur des cuisses. Il répète ce mouvement, remontant un peu plus à chaque passage de l’extérieur vers l’intérieur. Quand enfin ses paumes passent sur l’intérieur de ses cuisses, Julie pousse un gémissement. Il remonte ses mains très lentement jusqu’au bord de la culotte. Il sent la chaleur du corps de Julie à cet endroit.
Julie soulève un peu son bassin, lui intimant par là l’ordre de la débarrasser de cette étoffe devenue obstacle à son plaisir. Antoine s’exécute. Il découvre enfin le sexe de Julie ! Il est tel qu’il l’avait imaginé, semblable à celui de Laure. À cela près qu’il est beaucoup plus mouillé. À vrai dire, il est littéralement trempé. Les poils qui le bordent sont mouillés. Les petites lèvres sont incroyablement gonflées et ouvertes. La fente est noyée de jus d’amour. Et il découvre le clitoris, tellement tendu qu’il dépasse de son capuchon. Mon dieu que c’est beau, que c’est bandant, que ça doit être bon !
Il sent sa queue gonfler encore. Le contact du caleçon sur son gland lui fait mal. Il enlève son sous-vêtement. Sa queue ainsi libérée fait un saut vers le haut. Il voit le regard de Julie se poser sur son membre. Il lit dans ses yeux le désir, l’excitation, l’envie de le sentir en elle.
Mais il ne veut pas tout de suite. Il veut d’abord goûter cette chatte, boire ce jus, manger la chair tendre, s’enivrer de son odeur, lécher ce clitoris qui l’appelle. Il veut découvrir encore le sexe des femmes. Julie écarte les jambes. Son sexe s’ouvre encore plus. Il peut voir le vagin ouvert. Il n’y tient plus, il s’agenouille et amène sa tête entre les cuisses. Il sent les mains de Julie se poser sur sa tête.
Mais contrairement à ce qu’il pense, elles ne l’attirent pas vers son antre liquide. Au contraire, elles lui relèvent la tête et la repoussent. Antoine ne comprend plus. « Elle ne veut donc pas ? » pense-t-il. Julie se redresse. « C’est pas vrai, elle ne va pas me faire ça ! Elle ne va pas partir maintenant ! Elle ne va pas faire comme Laure ! ».
Il n’a pas le temps de s’interroger plus longtemps. Julie empoigne sa queue d’une main ferme. À ce contact, une nouvelle décharge de plaisir envahit Antoine. Elle l’attire maintenant vers elle. Antoine s’allonge sur elle. Elle tient toujours sa queue dans sa main. Elle la dirige d’une main sûre entre ses cuisses. Enfin Antoine sent le contact d’une chair chaude et humide sur son gland. Sa queue touche une chatte ! Enfin ! Ce moment qu’il avait tant souhaité, tant imaginé est enfin arrivé !
Julie tient toujours le sexe d’Antoine. Doucement, elle le fait passer dans sa fente, du bas vers le haut. Quand le gland vient toucher son clitoris, elle pousse un râle de plaisir. Elle continue ce mouvement de va-et-vient vertical. Sa respi-ration s’accélère. Ses gémissements se font entendre à chaque contact sur son bouton d’amour.
Antoine savoure cet instant. Sa queue passe dans la fente liquéfiée de Julie. Il analyse chaque sensation. Il sent d’abord la douceur de la chair puis sa chaleur et son élasticité. Il sent l’huile chaude lui recouvrir le gland. Puis il distingue très nettement le petit point dur du clitoris. Sa queue est incandescente de plaisir. Mais il se concentre pour se retenir d’éjaculer.
Enfin, Julie redescend la queue, incroyablement dure maintenant, jusqu’à l’entrée de son puits d’amour. Sa main la lâche. Elle rouvre les yeux, fixe le regard d’Antoine et lui murmure « Viens ! »
Antoine appuie un peu son bassin. À partir de là, il avance en territoire inconnu. Il se rappelle du doigt qu’il avait glissé dans le sexe de Laure. Le doigt était entré très facilement, il avait glissé, il avait même presque été aspiré. Mais est-ce aussi facile d’y faire entrer une queue, surtout aussi gonflée que la sienne ?
Il avance tout doucement. Il sent la chaleur qui s’exhale du vagin de Julie lui brûler agréablement le gland. Il sent les portes rondes de son trou s’écarter sur lui. Il avance toujours. Le gland s’enfonce vers l’inconnu. Puis il sent la couronne du gland franchir le seuil de ce paradis liquide. Il sent le trou se refermer sur sa queue, la serrer, comme s’il voulait l’empêcher de ressortir un jour. Il avance toujours. Il plonge dans la lave bouillonnante. Le gland fait sa place entre les parois chaudes et ruisselantes. Il sent sa queue se recouvrir, s’enduire de Julie liquide. Il avance toujours. Il arrive au fond. Son pubis bute sur celui de Julie. Elle pousse un nouveau gémissement de contentement.
Ça y est, il a sa queue dans le sexe d’une fille ! Il fait l’amour à une fille, il la pénètre ! Il n’est plus vierge ! Et putain que c’est bon ! C’est infiniment meilleur que la masturbation. Cette sensation de chaleur liquide est merveilleuse !
Il entreprend d’aller et venir dans le vagin de Julie. À chaque mouvement, il sent sa queue s’enduire un peu plus d’elle. Quand il est bien au fond, ses couilles viennent toucher le périnée. Et il peut sentir qu’il est mouillé. Julie coule de plaisir. Que c’est bon de la sentir mouiller ainsi !
Mais après quelques instants de pénétration, le plaisir étant trop fort, le frottement étant trop agréable, il éjacule en poussant un cri préhistorique. Ce même cri que tous les hommes ont dû pousser depuis la nuit des temps.
Julie le serre dans ses bras en lui passant la main dans les cheveux. Il flotte dans un océan de plaisir. Et il s’endort doucement dans les bras de Julie.