n° 09597 | Fiche technique | 15359 caractères | 15359Temps de lecture estimé : 10 mn | 23/08/05 |
Résumé: Au retour de la plage, une douche très exhibitioniste et une étreinte torride dans le camping-car. | ||||
Critères: fh couple vacances voiture douche amour volupté voir exhib nudisme fmast hmast pénétratio hdanus | ||||
Auteur : Libertin72 (Libertin et naturiste en vacances) Envoi mini-message |
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Après notre début d’après-midi torride, (voir épisode 1) Katia et moi profitons de la plage d’une manière beaucoup plus conventionnelle, en pivotant tous les quarts d’heure du côté pile au côté face pour assurer un bronzage uniforme et en allant faire quelques brasses de temps en temps pour se rafraîchir (enfin quand je dis des brasses… je dois avouer que nous n’avons battu aucun record de natation ce jour-là, vu que nous étions plutôt enlacés dans l’eau… J’adore)
Il est donc près de 20 heures quand nous regagnons le camping pour prendre une douche bien méritée après une si dure journée !
Si je fais cette proposition à Katia, c’est (n’en doutez pas) par galanterie, mais aussi (quand même un peu) parce que j’adore les douches des campings naturistes. Il faut peut-être que je précise pour les lecteurs ne connaissant pas ce type de centre que les douches ont une particularité : elles sont mixtes et surtout elles n’ont pas de porte.
Me voici donc avec ma serviette sur l’épaule et le gel douche à la main entre les deux rangées de douches à la recherche d’un hypothétique petit cul à reluquer. Par malheur, les sanitaires sont déserts mis à part un couple dans les deux boxes du fond, qui a dû fêter ses noces d’or avec Mathusalem, pas vraiment sexy… J’entre donc dans un box près de l’entrée et commence à me laver, après tout je suis là aussi pour ça.
En effet une femme d’une trentaine d’années vient de passer devant moi en inspectant les boxes comme je l’avais fait tout à l’heure. Elle n’est pas très grande mais elle est mince et visiblement sportive. Elle porte un tatouage représentant un petit papillon sur le sein et un autre fait de lignes vertes et rouges qui s’enroulent tout en bas du dos et vont se perdre dans le sillon des fesses.
Je n’en crois pas mes yeux quand, son tour d’inspection terminé, elle vient pendre sa serviette à la patère du box juste devant le mien, mais le sourire qu’elle m’adresse en prenant appui sur le mur pour défaire ses sandales me donne à penser que son choix est délibéré et n’est pas dicté par une propreté douteuse des autres bacs à douche.
Puis elle entre sous le jet, me faisant face avec la tête inclinée en arrière pour se masser les cheveux. Elle est très bronzée et l’eau qui ruisselle sur son corps brille, mettant en valeur ses courbes harmonieuses. Elle est vraiment très belle et très désirable offerte ainsi à ma vue.
Pour ma part, je commence à transpirer à grosses gouttes ce qui, me direz-vous, n’est pas très gênant quand on est sous la douche, mais je sens monter une érection et je me concentre pour ne pas exhiber la démonstration de mon intérêt pour sa plastique.
Mon affolante voisine a maintenant entrepris de se savonner et, après s’être frictionnée énergiquement les épaules les bras puis les jambes, se masse doucement le ventre puis les seins en les prenant à pleine main et en remontant vers la pointe avec des mouvements tournants. Malgré les trois mètres qui nous séparent, je vois distinctement les tétons qui durcissent et se dressent comme pour s’échapper de la mousse. La femme concentre maintenant ses efforts sur ces boutons, pinçant celui de droite entre le pouce et l’index tout en caressant celui de gauche du plat de la main.
C’est à ce moment-là que nos yeux se croisent et qu’elle me sourit à belles dents tout en malaxant de plus belle ses seins superbes. Moi de mon côté, j’ai abdiqué toute résistance et je bande comme un forcené, ce qui ne semble pas déplaire à la femme dont les yeux fixent maintenant mon bas-ventre pendant que sa main glisse entre ses cuisses.
Visiblement ma voisine veut tester mon endurance cardiaque car maintenant elle s’est retournée, face au mur du fond de sa douche, et s’est penchée en avant, appuyée sur une main. Dans cette position elle m’offre une vue imprenable sur une superbe paire de petites fesses et je peux constater que les lignes de son tatouage se prolongent très loin dans le sillon jusqu’à une adorable rosette d’un brun très foncé.
De sa main pleine de savon elle caresse son sexe, l’ouvrant à mes yeux qui sont attirés par quatre piercings brillant sur ses lèvres. Je donnerai vraiment cher pour traverser le sanitaire et venir engloutir ma queue dans ce sexe offert, mais maintenant elle se masturbe frénétiquement, avec trois doigts qui vont et viennent dans son vagin pendant qu’elle masse son clitoris avec la paume de la main.
Pour ma part, je n’en peux plus de désir et je me branle frénétiquement sous le jet brûlant de la douche. Soudain elle se cabre et ses jambes se mettent à trembler pendant qu’elle jouit, arc-boutée contre le mur de la douche, en étouffant un gémissement de plaisir.
C’est quelques secondes plus tard, quand elle se retourne vers moi, que j’explose en lui offrant de longues salves de spermes, comme pour la remercier de ce moment extraordinaire. Après nous être séchés, nous sortons ensemble des sanitaires et elle me glisse « A bientôt che esbérer… » avec un très fort accent allemand, en me donnant un baiser rapide sur la joue avant de s’éloigner. Moi aussi j’espère et l’avenir nous prouvera que l’espoir est quelquefois récompensé mais c’est une autre histoire que je vous raconterai ici une autre fois.
De retour à notre emplacement je vois Katia, toujours nue, confortablement allongée sur un fauteuil bas. Elle a préparé deux verres de vin rosé et sirote le sien en se laissant caresser par les rayons du soleil, plus doux à cette heure de la journée.
C’est vrai que j’ai de la chance car Katia est belle bien sûr, elle a 32 ans, pour l’instant elle est blonde, son corps est ferme et souple avec des seins en forme de poires et relativement petits, mais surtout elle est tendre et nous avons une très grande complicité pour l’ensemble des aspects de la vie et pour le sexe en particulier.
Docilement, je me lève et Katia passe derrière moi pour m’enduire le dos de crème. La sensation est agréable quand elle dépose une noix de crème froide sur ma peau et très agréable quand elle fait pénétrer le produit par un massage doux et appuyé.
Par moments, la coquine s’arrange pour me frôler le dos de ses seins ou les fesses de son ventre et je dois avouer que ces contacts furtifs sont très érotiques.
Il faut dire que nous faisons la même taille et que quand elle se plaque à moi, je sens son corps contre le mien des cuisses aux épaules. Sur ses indications, je me retourne pour qu’elle puisse me passer de la crème sur la poitrine, je m’exécute docilement et elle s’acquitte consciencieusement de sa tâche, faisant rouler mes tétons sous ses mains, puis elle s’assoit devant moi pour frictionner mes cuisses. Là encore, elle a visiblement envie de jouer car elle insiste particulièrement sur l’intérieur des cuisses et en profite pour me caresser très doucement les testicules en les faisant rouler dans la paume de sa main.
Etant donné qu’elle a pratiquement le nez sur mon sexe, elle ne manque pas de remarquer l’effet que produit son badigeonnage car, sans être totalement en érection, ma verge s’anime et gonfle doucement. Tout en continuant à me caresser les bourses, elle insinue son autre main entre mes fesses et vient doucement titiller mon anus, où elle finit par enfoncer profondément un doigt lubrifié par la crème. Cette fois elle a gagné et je bande comme un possédé.
A peine monté dans le camion, j’enlace Katia et nos bouches se fouillent de longues minutes pendant que nos mains, impatientes de serrer, caresser, pétrir, parcourent nos corps. Ma main commence à descendre vers les profondeurs secrètes du ventre de mon amie quand elle s’échappe de mes bras.
Que faire sinon m’exécuter ! Je saisis donc le tube de crème qu’elle avait posé près de la porte et viens prendre place derrière Katia. Evidemment (mais vous auriez fait pareil, non ?) je ne peux pas négliger une croupe aussi généreusement offerte et j’en profite pour glisser doucement mon sexe entre ses cuisses tout en déposant des noisettes de crème sur son dos. Je commence alors un très lent massage en partant du cou et en descendant jusqu’aux fesses. Katia semble apprécier et ondule tout doucement sous mes mains en poussant de petits gémissements. Par ces ondulations, mon amie ouvre peu à peu ses cuisses.
Mon sexe est maintenant entre ses fesses et je commence d’imperceptibles mouvements de va-et-vient sur son périnée. Katia commence alors à me branler à sa façon. Pour cette caresse dont elle a le secret, elle contracte et relâche très rapidement les muscles de ses fesses, comme le ferait une main, mais entre deux globes à la fois fermes et doux, la sensation est extraordinaire. J’empoigne mon sexe et je commence à promener le gland bien lubrifié par mon excitation le long du sillon de Katia.
A chaque passage j’appuie de plus en plus fort et je sens son anus qui s’ouvre progressivement mais j’ai envie de son sexe et à présent je dirige ma verge vers ses lèvres.
Afin de bien me dégager l’accès à sa vulve, Katia pose un pied sur l’assise de la banquette du coin repas. Je commence alors à lui donner de petites claques sèches et rapides avec ma verge. Je sais par expérience qu’elle apprécie cette caresse et une fois encore je constate son effet car à chaque nouveau coup, ses lèvres se gonflent et s’ouvrent un peu plus, comme si sa vulve était dotée d’une volonté propre et qu’elle voulait engloutir ma queue, s’en repaître, s’en rassasier. Katia émet maintenant une sorte de feulement sourd, entrecoupé parfois d’onomatopées. Je sais qu’à ce stade elle est prête à jouir, qu’elle appelle le plaisir.
Je plaque mon sexe trempé par nos sécrétions sur son clitoris et, en le maintenant avec la main, je donne de vigoureux coups de reins. Elle jouis en quelques secondes, arquée au maximum pour bien me tendre ses fesses.
Il serait pour le moins inconvenant de ne pas répondre à un tel appel, je m’exécute donc de bonne grâce car, pour être honnête, moi aussi j’en meurs d’envie. Mais je ne veux pas précipiter les choses et je commence par fouiller ses lèvres avec mon gland en faisant des mouvement très lents mais de plus en plus appuyés d’avant en arrière. À chaque passage le gland entre et ressort, d’abord d’un millimètre, de deux, de cinq, de quinze…
Jusqu’à ce que Katia n’en puisse plus et s’empale d’un seul coup, bandée comme un ressort, pour me sentir au plus profond d’elle.
Là, nous restons plusieurs secondes immobiles, fondus l’un dans l’autre, confondus, unis. Seules les contractions de son vagin sur ma queue m’indiquent qu’elle est encore vivante et j’en ai la preuve quand elle joui une seconde fois sans que j’aie fait le moindre mouvement.
Insatiable, elle commence alors à onduler des fesses. Comprenant le message je commence mes allers-retours, sortant presque totalement pour revenir chaque fois plus fort, plus profondément…
Mes doigts s’activent frénétiquement sur le clitoris de mon amante. Katia est maintenant totalement allongée sur l’évier, cramponnée des deux mains au robinet. Elle jouit sans discontinuer, enchaînant orgasme sur orgasme en criant son amour et son plaisir et en me demandant de la baiser toujours plus fort, toujours plus vite.
Répondant à sa demande, je la sabre maintenant comme un hussard. À chaque nouveau coup de reins, le claquement de mon ventre sur ses fesses vient ponctuer ses cris de plaisir et le camping-car se balance sur ses suspensions, tandis que la vaisselle tinte doucement dans les placards. Quand enfin je la rejoins, mon plaisir explose au plus profond de son sexe, je me vide, je fusionne avec elle, mon orgasme est tellement fort qu’il en est presque douloureux. Je reste ainsi très longtemps cramponné à ses hanches, sonné, KO debout…
Je lui réponds alors, avec une mauvaise foi évidente :
A suivre