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Temps de lecture estimé : 14 mn
07/09/05
Résumé:  Deux femmes plus deux godes plus un homme donnent un après-midi torride.
Critères:  ffh couple inconnu vacances collection voir nudisme fellation cunnilingu anulingus 69 préservati double fsodo partouze piquepince conte
Auteur : Libertin72            Envoi mini-message

Série : Cap d'Agde

Chapitre 03
La tente à cul

Ce matin-là, Katia et moi avions paressé longuement, profitant des premières heures plus fraîches de la journée. Mes rêves de cette nuit-là avaient certainement été très lubriques, car je présentais une érection particulièrement dure que Katia, profitant lâchement de mon sommeil, avait entrepris de déguster pour le petit déjeuner.


Emergeant tout doucement des bras de Morphée pour me retrouver dans ceux, non moins agréables, de mon amie, je me gardais bien de me manifester et je la laissais parcourir mon sexe du bout de la langue. Elle avait posé sa joue sur mon ventre et, entre mes paupières mi-closes, j’apercevais ses cheveux brillant doucement dans la semi obscurité et son épaule bougeant doucement au rythme de ses effleurements sur mon sexe et mes bourses. Cette caresse était réellement divine, irréelle, aérienne, il ne s’agissait même pas réellement d’une fellation, mais juste d’une manifestation de tendresse pour dissoudre les brumes de mon sommeil. Après plusieurs minutes, je sortais un peu de ma torpeur et je posais ma main sur son épaule que je caressais doucement, puis sur sa tempe que je massais du gras du pouce.


Sa tête remontait maintenant lentement, laissant dans son sillage les traces humides de ses baisers sur mon ventre, mon nombril, mes seins. Quand enfin nos bouches se rejoignirent, c’est d’une voix encore voilée de sommeil qu’elle me murmura « bonjour chéri ». Les minutes, les heures peut-être, que sais-je, qui suivirent furent un espace hors du temps où deux amants se redécouvrent. Chaque paume caressant une hanche, chaque dent agaçant un sein, chaque langue fouillant une oreille ou une bouche, chaque doigt s’insinuant dans un sexe, chaque ongle griffant un dos n’était là que pour apprivoiser le corps de l’autre et quand l’orgasme arriva, il n’était pas seulement l’expression d’un plaisir sexuel fulgurant, mais aussi la marque d’une fusion entre deux amants dans un même bonheur.


Il était déjà près de treize heures quand la faim (vous savez … celle qui fait sortir le loup de bois) me fit sortir du lit. Un inventaire très rapide du réfrigérateur vide ne nous laissait plus que l’option d’aller déjeuner au restaurant du camping. Nous voici donc en route en nous tenant par la taille, après avoir noué un paréo (bleu pour moi et jaune pour elle) autour de nos tailles.


Un peu plus tard, installés devant un poulet frites, nous discutions tranquillement tout en regardant le ballet des campeurs se rendant à la plage. Au hasard des passages, l’œil était accroché par la courbe d’un sein particulièrement agréable, un sexe masculin muni de bagues, un joli petit cul ou une verge démesurée. Mais ces visions fugitives me ramenaient toujours à Katia, chaque jour qui passe je la trouve plus belle que la veille, son visage fin, ses yeux verts et rieurs, ses lèvres charnues et parfois boudeuses… Je dois dire que, après une semaine de plage, elle était bien plus dorée et plus appétissante que le volatile qui garnissait nos assiettes.



En effet, je venais d’apercevoir, se dirigeant vers le bar, la jeune femme qui m’avait offert un spectacle très sensuel dans les sanitaires (voir chapitre précédent)



En passant devant notre table pour aller commander sa consommation au bar, l’inconnue des douches me fit un sourire de connivence auquel je répondis d’un signe de la main. Soudain je vis Katia faire de grands gestes en regardant par-dessus mon épaule et en se fendant de son sourire 3bis (le plus ravageur, celui qui fait atterrir un moine tibétain en pleine lévitation). En me retournant, je vis ma compagne de toilette, un verre de bière à la main cherchant du regard une table libre dans le bar bondé. Me joignant à Katia, je l’invitai par gestes à nous rejoindre et, me levant galamment, je lui présentai une chaise où elle s’installa après avoir soigneusement étalé sa serviette pour éviter le contact de ses fesses nues sur le plastique du siège.


"Ponjourrr che m’abbel ….." Malheureusement, son prénom était totalement imprononçable, je vais donc user de mon droit d’auteur et, pour le reste de ce récit, la rebaptiser Gréta. Afin de ne pas imposer au lecteur la difficile interprétation plus ou moins phonétique de nos échanges verbaux ponctués d’éclats de rire et de mimes (entre mes quatre mots d’Allemand, ses huit mots de Français et nos deux douzaines de mots d’Anglais communs). Ce fut un de ces moments où on regrette d’avoir passé plus de temps à se pencher sous la table pour regarder les culottes des filles qu’à écouter le prof de langues … mais bon, on y arrive tout de même….


Je vais donc vous résumer le contenu de notre conversation. Gréta habite près de Cologne, elle a 29 ans et vit avec une amie lesbienne ( Gréta est bi). Ce jour-là son amie s’est rendue à Béziers pour piller les magasins de vêtements, de lingerie et de parfum français à la faveur des dernières soldes d’été. Depuis plusieurs années, elles viennent au Cap d’Agde pour donner libre cours à leur sexualité et elles écument les boîtes du village naturiste, capitalisant un maximum d’expériences dans un minimum de temps. Il faut peut-être que je précise pour les lecteurs ne connaissant pas la région que le Cap est une sorte de capitale du sexe. En effet, le village est truffé de boîtes à partouzes, de sauna, de restaurants libertins et le statut « naturiste » du lieu permet à chacun de donner libre cours à ses phantasmes en se promenant en ville dans les tenues les plus osées ( simple filet de pêche, cuir, vinyle, chaînes …) Il n’est pas rare de croiser un homme qui promène sa femme en laisse …


Mais je m’aperçois que je suis en train de me rincer l’œil depuis une heure et que, égoïstement, je n’en fais pas profiter mes lecteurs. Gréta est assurément une très belle femme et elle dégage un très fort sex-appeal. Nageuse de compétition pendant de nombreuses années, elle est très musclée, ses gestes sont fluides, précis. Relativement petite, elle a un côté presque masculin, renforcé par des cheveux blonds coupés très court mais ses grands yeux verts et sa lourde poitrine aux auréoles très foncées qui oscille très légèrement quand elle bouge viennent contrecarrer cette impression et l’ensemble est vraiment très agréable. Sur le sein droit elle porte un petit tatouage représentant un papillon aux ailes fermées ( et les lecteurs de l’épisode précédent se souviendront qu’elle porte tout en bas du dos un tatouage dont les lignes vont se perdre dans le sillon des fesses). Quand elle s’appuie sur le dossier de sa chaise, exposant son sexe totalement épilé, on peut apercevoir deux piercings de diamant sur les grandes lèvres et, plus bas deux petits anneaux dorés. Le contraste entre les deux femmes qui partagent ma table est saisissant et vous conviendrez,, j’en suis sûr, que je suis le plus heureux des hommes entre Gréta, pur produit de salle de sport, et Katia dont les formes rappellent plus une poupée Barbie que monsieur muscle.


Au bout d’une heure de conversation, nous étions donc devenus les meilleurs amis du monde, quand Gréta nous invita à son campement pour nous offrir un verre de schnaps. À quelques dizaines de mètres du bar, son emplacement était fort agréable, entouré d’une haie épaisse et largement ombragée. Gréta et son amie avaient planté leur tente igloo au fond de l’emplacement et déroulé une très grande natte devant l’entrée de la tente pour s’installer à l’abri ( relatif) de la poussière. Nous avions donc entrepris de sceller cette nouvelle amitié en trinquant à l’alcool fort et, après trois verres avalés « cul sec » les oreilles commençaient à me chauffer sérieusement. Gréta, quant à elle, avait visiblement un entraînement suffisant pour encaisser son breuvage, mais Katia, sans être ivre, commençait à être euphorique et riait un peu plus fort que d’habitude. Son état de légère ébriété se confirma quand, voulant se lever, elle trébucha pour atterrir dans les bras de Gréta. Riant de la situation, cette dernière saisit Katia aux épaules et la fit rouler sur la natte tandis que mon amie protestait pour la forme tout en riant aux éclats.


Au bout de quelques secondes, il n’était plus question de jeu. Leur lutte simulée s’était transformée en enlacement et, quand leurs lèvres se rejoignirent en en baiser passionné, la tension sexuelle entre les deux femmes était presque palpable. Dieu merci, la haie était suffisamment épaisse pour assurer une relative discrétion à leurs ébats, car le tableau, pour agréable à regarder qu’il fût, n’aurait sans doute pas été du goût des mères de famille alentour. Les deux femmes maintenant se caressaient, s’exploraient de la main, de la langue et revenaient fondre leurs bouches dans des baisers de plus en plus appuyés. Gréta, se levant d’un bon, prit Katia par la main et l’entraîna dans l’igloo dont elle laissa le rabat ouvert en grand.


Depuis longtemps, le paréo de Katia avait volé et mon amie se caressait sur la cuisse que Gréta avait glissée entre ses jambes. Ses mouvements de bassin, tantôt tournants, tantôt d’avant en arrière, se faisaient de plus en plus rapides tandis que les deux femmes s’embrassaient goulûment en se caressant les seins. Katia, les ongles plantés dans le dos de son amante, arc-boutée sur sa cuisse atteignit très vite son premier orgasme. Moi, j’étais toujours à la porte de la tente et, heureusement pour moi, j’étais caché à la vue des passants, car sinon l’érection distendant mon paréo aurait certainement donné aux enfants des envies d’aller au cirque … N’y tenant plus, je me glissai alors près des deux femmes, tête-bêche à côté de Katia.


Gréta, un genou de chaque côté de la tête de Katia, entendait percevoir la monnaie de sa pièce et mon amie, qui n’est pas avare, avait entrepris de la lui rendre. Sous la lumière bleutée diffusée par la toile, dans la chaleur étouffante de cette tente minuscule en plein soleil, la scène était presque irréelle. De longs sillons de sueur parcouraient le corps des deux femmes, de temps en temps des gouttes perlaient sur les tétons que Gréta malaxait. De mon pouce, j’avais entrepris de caresser le sexe de Katia tantôt en tapotant gentiment le clitoris, tantôt en le faisant rouler et en le frictionnant tout en allant régulièrement chercher du lubrifiant entre ses lèvres. De son côté, elle jouait de la langue pour donner du plaisir à Gréta. Je voyais distinctement sa langue agacer le clitoris gonflé, ses lèvres l’aspirer le faire rouler, puis la langue descendre, jouer avec les piercings qui lançaient de brèves lueurs. Un peu plus bas encore, sa langue agitait frénétiquement les deux anneaux passés dans les grandes lèvres avant que les dents ne s’en emparent puis que la langue, devenue pointue et longue, ne fouille au plus profond de la vulve de Gréta qui, tordue de plaisir, s’était introduit un doigt dans l’anus.


Pendant tout ce temps, notre nouvelle amie n’était pas restée passive. Se penchant, un peu en avant, elle avait saisi mon sexe de plus en plus dur et, à travers la soie du paréo, elle me branlait doucement en alternant les mouvements amples de la base de la tige jusqu’en haut avec des petits coups de poignet circulaires sur le gland. Mon sexe coulait abondamment et les mouvements de Gréta, en étalant mon jus sur toute la verge décuplaient encore le plaisir et la douceur de cette caresse dans la soie. Katia, ne voulant pas être en reste, avait passé une main sous le tissu et me massait doucement les testicules, se permettant de temps en temps un index inquisiteur vers mon anus.


Après avoir joui de la langue de Katia, Gréta s’était dégagée et mon amie, profitant de cette liberté, m’avait prestement délesté du paréo pour prendre mon sexe dans sa bouche. Gréta de son côté farfouillait dans un sac de sport dont elle sortit un petit gode. Relativement court, mais d’un diamètre conséquent, il était fait d’une matière translucide bleue qui laissait voir des billes métalliques. Il n’était que semi-rigide et oscillait un peu dans sa main. À sa base, il était muni d’une molette et d’une lanière courte et large ainsi que de deux autres lanières plus longues et très fines.


Gréta avait entrepris de disputer un bout de ma queue à Katia qui, pour mon plus grand plaisir, est de nature partageuse. Les deux femmes s’activaient donc sur mon sexe, suçant, léchant, mordillant, gobant. De temps en temps, leurs lèvres se retrouvaient au sommet de ma verge et mon gland se retrouvait mêlé à leur baiser, aspiré par ces bouches qui se cherchaient, bousculé par ses langues qui s’enlaçaient. Moi, j’étais rendu bien haut sur un petit nuage et je devais lutter pour ne pas exploser de plaisir sous ces assauts, mais l’instant était trop magique et je ne voulais à aucun prix mettre fin à ce plaisir. La main de Gréta ne restait pas inactive puisqu’elle avait entrepris de se caresser avec le gode bleu. Je le voyais à quelques centimètres de mon visage, glisser entre les lèvres en s’accrochant aux anneaux, écarter les plis intimes de la jeune femme, forçant le passage vers son ventre, mais sans toutefois y pénétrer, et ensuite tanguer, rouler sur un clitoris bandé à l’extrême.


De mon côté, j’avais maintenant entrepris de masser le point G de Katia en caressant l’intérieur de son vagin de deux doigts légèrement repliés vers son Mont de Vénus. Ce traitement produisait un effet visible sur mon amie qui avait déjà joui deux fois et qui, à nouveau, serrait mes doigts trempés dans l’étau de son sexe. Prenant la main de Gréta, j’entrepris alors de la diriger. Je voulais voir ce gode dans son sexe, je voulais la voir et l’entendre jouir de ce jouet. Petit à petit, lors des allées et venue du sexe bleu entre ses lèvres, j’appuyais de plus en plus et le gros gland translucide progressait à chaque fois de quelques millimètres, avant de ressortir puis de revenir. Quand enfin le gland disparut entièrement, Gréta poussa un profond soupir et, en se cambrant au maximum, s’empala d’une seule traite sur cette fausse queue qui lui distendait le sexe. Laissant le gode enfoncé jusqu’à la garde, je manipulais la molette pour faire vibrer très doucement les billes tout en le faisant tourner lentement sur son axe. L’effet de ces caresses ne se fit pas attendre et Gréta qui avait délaissé mon sexe pour se concentrer sur son plaisir jouit bruyamment, tendue comme un arc sur les épaules et les talons, les fesses à quarante centimètres du sol.


Katia, insatiable, continuait sa fellation en s’arrêtant quand elle sentait monter mon plaisir pour repartir de plus belle dès que l’alerte était passée. Voulant jouir de ma langue, elle s’était installée, un genou de chaque côté de ma tête, m’offrant toute latitude pour explorer ses moindres recoins. Katia possède un très gros clitoris, elle bande vraiment, presque comme un mec, sachant par expérience qu’elle aime particulièrement que je lui suce sa « petite bite » comme elle l’appelle, je m’activais avec la langue et les lèvres, un peu comme une femme pendant une fellation. Le goût un peu âcre mélangé au sel de la sueur qui lui ruisselait entre les fesses était vraiment un nectar dont je ne me lassais pas, léchant, aspirant, en demandant toujours plus. De temps en temps elle se cambrait un peu et mon nez entrait dans son vagin, se cambrant plus elle offrait son anus à ma langue avide qui se faisait dure et inquisitrice pour forcer cet œillet serré.


Pendant que je m’occupais de Katia, j’entendais toujours le léger bourdonnement du gode et des bruits d’objets entrechoqués qui attisaient ma curiosité. J’eus très rapidement une explication à ces bruits : Gréta avait été compléter son équipement dans la caverne d’Ali Baba. En effet, le premier gode toujours vibrant dans son vagin avait été rejoint par une ceinture de cuir à laquelle étaient attachées les lanières, mais le plus spectaculaire dans l’harnachement de la jeune Allemande était sans conteste l’énorme sexe de vingt centimètres légèrement recourbé qui était fixé sur son pubis. Ainsi équipée, notre amie aurait fait passer nombre de porn-star mâles pour des enfants de cœur, surtout après la démonstration quelle nous fit de sa maîtrise de l’engin.


Mais n’anticipons pas, à ce point du récit, j’étais dans l’incapacité de vous faire cette description, la tête entre les cuisses de Katia, suant sang et eau pour ne pas jouir tandis qu’elle ne s’en privait pas en m’abreuvant jusqu’à plus soif de son nectar secret. J’eus donc la surprise de découvrir cet énorme appendice quand Gréta, qui était venue s’agenouiller derrière mon amie, vint présenter un gland dont je n’aurais pas fait le tour avec la main à deux millimètres de mon nez. Poussant tout doucement, elle écarta les lèvres qui semblèrent épouser la forme du gode, l’aspirer. Le vagin résista un peu, protestant contre la taille inhabituelle du membre qui prétendait entrer, mais finit par céder aux mouvements conjugués des bassins de Katia et de Gréta. Quand enfin il céda, d’un seul coup, Katia étouffa un cri. De plaisir ? De surprise ? De douleur ? Je ne sais pas, mais ce qui est certain c’est que quand Gréta commença ses allers et retours dans son ventre, les gémissements de mon amie et ses exhortations à se faire baiser plus fort et plus loin ne manifestaient plus aucune douleur, mais un plaisir violent.


De mon poste d’observation, je ne manquais rien de cette pénétration contre nature, impressionné de voir défiler devant mes yeux une telle longueur de bite qui allait et venait maintenant librement et ressortait de plus en plus couverte de cyprine. Quand enfin le pubis de Gréta claqua pour la première fois sur les fesses de Katia, cette dernière poussa une sorte de grognement sourd tout en s’accrochant à mon sexe et en balayant mon ventre de ses seins, prise de spasmes désordonnés. Profitant de la situation, je glissais une main entre les cuisses de Gréta et, progressivement je montais la fréquence des vibrations de son gode vaginal au maximum puis me dégageais des cuisses de Katia pour laisser les deux femmes à leur plaisir. À ce niveau de fréquence, les vibrations du gode que serrait Gréta dans son ventre se propageaient dans sa fausse bite. À chaque fois qu’elle se dégageait pour revenir de plus belle à la charge en ponctuant ses coups de reins de claquements sonores, je voyais distinctement les soubresauts qui agitaient l’énorme sexe. Elles jouirent ainsi plusieurs fois, chaque fois plus fort que la précédente.



C’était Gréta qui m’invectivait ainsi en me tendant un préservatif et du gel (qu’elle avait probablement préparé en sortant le gode du sac) tout en continuant à baiser sa complice. Mon anglais n’étant pas totalement nul ( bon, j’ai peut-être un vocabulaire ciblé …) je m’empressais de revêtir l’indispensable sésame aux plaisirs extraconjugaux et vins prendre ma place dans la file derrière notre nouvelle amie. Le paysage était réellement paradisiaque de ce point de vue. Katia, à genoux, les seins écrasés sur le matelas pneumatique qui ondulait à chaque mouvement, se cambrait au maximum pour offrir son sexe distendu par le jouet qui la labourait. Gréta, derrière elle, luisante de transpiration, les seins tressautant à chaque claquement de son ventre sur les fesses de sa victime, m’exposait son cul ou les arabesques d’un tatouage semblaient prendre vie à chaque contraction des muscles de ses fesses.


La préparation de son anus encadré par les deux lanières qui remontaient vers la ceinture ne fut qu’une formalité et la facilité avec laquelle elle accepta mes deux doigts enduits de gel me démontra sans hésitation que je n’étais pas le Christophe Colomb de cet hémisphère. Quelques mouvements lents suffirent à mon sexe pour se frayer un chemin au plus profond de ses entrailles et là, je connus la plus extraordinaire des sensations de sodomie de ma (relativement) longue expérience. Le gode vaginal fonctionnait toujours à plein régime et venait me masser le gland à travers la fine paroi me séparant du vagin. Cette caresse à la fois douce, rapide et extrêmement insistante vint très rapidement à bout de ma résistance et je jouis à longs jets, planté jusqu’à la garde dans ce cul bourdonnant, accroché des deux mains à la ceinture du gode, pendant que Gréta criait son plaisir au rythme de mes soubresauts.


Quelques secondes plus tard, c’est trois amants épuisés, moites de plaisir, qui s’enlaçaient, s’embrassaient. Katia m’avait enlevé le préservatif et, le tenant par le haut, jouait avec sa langue pour faire se balancer le réservoir plein de mon sperme. Gréta, ne voulant pas être en reste, s’était jointe à son jeu et les deux femmes se livraient à une espèce de partie de ping-pong où je faisais le filet, s’échangeant la balle de latex, qui tournait, rebondissait, au gré des coups de langue. Quand enfin Gréta, saisit la base du préservatif pour le vider de son contenu, c’est deux langues avides qui se tendirent pour recueillir mon sperme, puis les deux femmes (certainement par désir d’équité) s’embrassèrent longuement mêlant leurs salives et mon jus avant de retomber sur ma poitrine, repues.


Après avoir aidé notre amie à remettre un peu d’ordre dans le champ de bataille de sa tente, nous nous quittions sur la promesse d’une soirée où elle souhaitait nous faire rencontrer son amie. Enchantés par cette perspective, mais, pour ma part, un peu inquiet de ne pas tenir le choc sans dopage si la copine est du même tonneau que Gréta, nous nous séparâmes sur un dernier baiser …