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Temps de lecture estimé : 22 mn
28/08/05
Résumé:  Au cours d'un soirée avec nos amis échangistes, les femmes nous font une surprise très "pénétrante".
Critères:  2couples couplus double sandwich hgode échange
Auteur : Verdi  (Suite et fin de "Sueur Torride")      

Série : Sueurs torrides

Chapitre 02
Soirée à quatre fort spéciale et très hot

Résumé du récit précédent paru sous le titre « Sueurs torrides :


Claire et moi (Alain) avons fait la connaissance d’un couple échangiste, Carine et Gérard.

Très larges d’idées, très libérés, très sympathiques, ils font tout pour que nous, les débutants, perdions nos inhibitions en douceur. Pourtant, si Claire avait laissé tomber tous ses tabous, je ne parvenais pas à accepter le moindre contact sexuel avec Gérard. C’était plus fort que moi.

Une séance dans un sauna assez spécial, dans lequel j’étais entré tout à fait par hasard, m’avait emmené à la découverte d’excitations et de plaisirs jusque-là inconnus.

Claire et Carine décidèrent de profiter de mes bonnes dispositions pour faire tomber mes ultimes barrières lors d’une soirée à quatre.



Les jours qui nous séparaient de notre soirée du samedi avec Gérard et Carine étaient passés très vite. Pendant la semaine, Claire avait tout organisé pour que cette rencontre avec eux soit une réussite. Elle avait concocté un beau petit menu tout en finesse et légèreté qui, s’il lui donnait pas mal de travail de préparation, lui permettait de rester un maximum de temps à table avec nos amis. Elle avait téléphoné plusieurs fois à Carine et était même allée deux fois chez elle, je ne sais pour quelle raison. Je supposais qu’elles mettaient leur petite surprise au point. Plusieurs fois je tentai d’en savoir plus, mais chaque fois je me heurtai à un « Tu verras bien. »


Le samedi matin, après les dernières courses, Claire me demanda de l’aider à ranger la chambre d’amis.



Peu de temps après, la chambre était prête à accueillir les futures réjouissances de la soirée. Nous étions en train de contempler notre œuvre, quand je pris Claire par la taille et la collai à moi. Je lui caressai le flanc à travers le tissu de son tee-shirt qui recouvrait le léger pantalon de toile. Elle mit sa main de pareille façon sur ma taille mais, passant sous mon polo, me caressa la peau. À mon tour, je glissai ma main sous le tissu et par de petits mouvements la promenai sur ses hanches, montai un peu, sentis la légère protubérance latérale de son sein, montai encore jusque sous son bras, puis repris la caresse dans le sens descendant. Puis, en élargissant le mouvement de ma main, je pris le sein à pleine main. Dès que mes doigts rencontrèrent le mamelon, celui-ci se mit à gonfler et à durcir. Claire poussa un soupir. Elle se colla encore plus à moi et leva la tête en souriant, puis mit ses lèvres sur les miennes et m’embrassa tendrement.



Je l’ai lâchée et nous sommes redescendus au rez-de-chaussée pour poursuivre les préparatifs de la soirée.

Vers dix-neuf heures, nous étions fins prêts. Claire venait juste de redescendre après avoir fait un brin de toilette et s’être habillée pour la soirée. Elle avait passé une robe blanc cassé, boutonnée sur le devant, et qui lui descendait presque jusqu’aux genoux. Une large ceinture de cuir entourant sa taille cintrait la robe et mettait sa silhouette en valeur. Les deux boutons du bas n’étaient pas fermés, ce qui dévoilait un peu ses cuisses à chaque pas. Le col profond en V dont la pointe descendait entre ses deux seins révélait la fine armature de son soutien-gorge blanc, dont la forme et le fin tissu ne dissimulaient pas grand-chose de sa belle poitrine.

Grande et mince, mais pas maigre, Claire avait une poitrine qui, sans être opulente, se remarquait par ses seins bien droits et très fermes. Sa poitrine, ses hanches et ses fesses bien dessinées lui donnaient un corps parfaitement proportionné et très sensuel. Son visage ovale, surmonté par des cheveux bruns coupés à la garçonne, était éclairé par des yeux marron. Ceux-ci étaient discrètement maquillés.


Venant vers moi, elle me demanda comment je la trouvais.

Je la pris dans mes bras et lui chuchotai à l’oreille combien je la trouvais belle et attirante. Elle me déposa un doux baiser sur les lèvres. Tout en la tenant serrée contre moi, je lui caressai les fesses et sentis à travers le tissu les fines lanières de son string. Je répondis à son baiser. Je sentais les douces effluves de son eau de toilette titiller mes narines.

Je me dis que j’avais bien de la chance de l’avoir pour épouse. Non seulement était-elle jolie, gentille, d’humeur égale, bonne maîtresse de maison, mais aussi femme merveilleusement sensuelle et sexy.

C’est alors que retentit la sonnette de la porte, brisant la magie de cet instant. Elle me regarda et me dit doucement :



Quelques minutes plus tard, Carine et Gérard étaient assis dans le divan de notre salon. Je nous ai servi un verre et nous avons trinqué en formulant divers vœux. La conversation allait de la santé au temps qu’il faisait en passant par le travail, la circulation, l’avancement des travaux de réfection de leur maison de campagne, bref des dialogues de début de soirée entre amis qui ne se sont plus vus depuis plusieurs jours.

Tout en participant à la conversation, j’observais discrètement nos amis.


Gérard, la quarantaine, est grand (1,85 m) et solidement bâti. Malgré son aspect costaud, c’est un homme doux et très délicat. Il est en plus très sympathique. C’est un homme qui profite de la vie et qui veut goûter à tous les plaisirs que celle-ci peut lui offrir.

Le sexe en faisait partie. S’il avait une préférence pour l’amour avec les femmes, il nous avait avoué sa bissexualité, prétendant qu’il fallait goûter à tout. Il avait d’ailleurs essayé de m’y entraîner, mais je n’y avais pas jusque-là pas encore cédé. Mais, depuis mon après-midi au sauna, où j’avais goûté et apprécié les premières caresses que me donnait un homme, j’avais changé d’avis et si, ce soir, il essayait à nouveau, je savais que je ne résisterais plus.


Carine, elle, est un peu plus petite que Claire. Elle est gentille et aussi sympa que son mari, et son visage est toujours éclairé par un sourire. Malgré ses presque quarante ans, elle a gardé un corps ferme et mince. Sans être un canon de beauté, elle avait des formes tout à fait agréables, avec une chute de reins qui attire le regard, et des seins bien faits dont les gros mamelons pointaient au travers du léger tissu de son chemisier. Elle avait beaucoup de charme et respirait la sensualité.


Après un second verre, Claire nous a proposé de passer à table. Le repas, délicieux, lui attira nos compliments unanimes. Après quoi, nous sommes revenus nous asseoir au salon pour y prendre le café.

La conversation, sage au début de la soirée, est devenue, sans doute aidée en cela par les apéros et le vin, plus coquine avec de petits sous-entendus parfois osés. Mais nous savions tous les quatre pourquoi nous étions réunis et comment la soirée allait se terminer, aussi personne ne s’en formalisa, bien au contraire.

À un moment, Carine nous demanda si nous retournions passer nos vacances à Port Leucate, comme l’an dernier.



J’allai chercher les deux CD contenant les photos dans l’étagère, puis éteignis le plafonnier, ce qui diminua la luminosité dans le salon, mais augmenta la sensation d’intimité. J’allumai ensuite le téléviseur et le lecteur de CD et insérai le premier disque.



Je changeai de Cd et mis en route. Je retournai m’asseoir à côté de Claire. Carine et Gérard étaient à notre gauche, serrés l’un contre l’autre, lui son bras autour de ses épaules tandis qu’elle avait déposé la main sur sa cuisse.

Je fis défiler les photos. Les premières nous montraient à la plage, nus, bronzant au soleil ou nous baignant.

Les suivantes étaient, elles, beaucoup plus osées. J’avais photographié Claire et Annie pendant qu’elles s’adonnaient aux plaisirs lesbiens. Il n’y avait pas de poses dans leurs attitudes, c’était du pris sur le vif et on pouvait voir qu’elles prenaient grand plaisir aux caresses qu’elles échangeaient.

D’autres photos me montraient faisant l’amour de différentes façons avec l’une ou l’autre des deux femmes. Tantôt elles me suçaient, tantôt on me voyait leur lécher le sexe ou les pénétrer.

Nous regardions défiler les photos en silence. Claire et moi, serrés l’un contre l’autre, nous sommes regardés en souriant. Je lui ai déposé un léger bisou sur les lèvres, puis lui ai passé la main sous le bras et l’ai posée sur son sein que j’ai commencé à caresser doucement. Elle a glissé sa main entre mes deux jambes, aussi haut que possible, presque contre mon sexe déjà gonflé par l’excitation due au rappel des souvenirs de nos ébats avec Annie.

Je constatai que la vue de notre trio en action ne laissait pas non plus Gérard et Carine indifférents. Gérard avait passé son bras autour de la taille de Carine et avait plongé sa main sous le tissu de sa blouse, lui caressant le bas du dos. Elle avait glissé sa main entre deux boutons de sa chemise à hauteur de la ceinture.

Je faisais défiler lentement les photos sur l’écran. Lorsqu’une d’elles était particulièrement suggestive, je l’y laissais un peu plus longtemps pour permettre à notre imagination de faire son travail d’excitation sensuelle. Cela ne manquait pas son effet car, tant chez eux que chez nous, les mains se firent plus baladeuses, les caresses plus précises, plus appuyées. Les boutons se dégrafèrent, les fermetures Éclair descendirent Les vêtements s’ouvrirent, laissant apparaître les sous-vêtements sous lesquels les mains glissaient pour palper ce qu’ils cachaient. Je vis Claire tendre la main vers Carine et lui caresser le ventre entre les pans de son chemisier largement ouvert, puis remonter vers sa poitrine, ensuite redescendre vers son ventre, ses cuisses et, en remontant, passer sous la jupe. Je vis la main s’arrêter à hauteur du bas-ventre et les doigts remuer doucement. Carine se pencha vers elle et lui tendit ses lèvres. Elles s’embrassèrent. Pendant ce temps, Gérard et moi caressions nos femmes respectives. Notre excitation à tous était devenue telle que nous ne regardions plus les photos que d’un rapide coup d’œil. Finalement nous sommes arrivés à la dernière. J’éteignis le téléviseur.


Ce fut comme un signal pour aller plus loin encore dans notre déshabillage et nos caresses. Bientôt Claire et Carine ne furent plus vêtues que de leurs soutiens et leurs minis slips. Elles entreprirent alors de nous dévêtir aussi. J’observai que, tant chez Gérard que chez moi, les photos, les femmes à présent presque nues, les caresses aussi avaient fait leur effet, et que notre sexe était quasiment bandé et à peine contenu par nos slips.

À ce moment, Carine chuchota quelque chose à l’oreille de Claire. Celle-ci semblait d’accord et soudain, ensemble, elles se levèrent.



Et sans attendre la réponse elles partirent toutes les deux vers l’escalier montant à l’étage.

Nous sommes restés tous les deux assez interdits, nous regardant, étonnés.



Sur quoi, il se débarrassa de son slip. Je fis de même. Mon sexe bandé pointait fièrement. Le sien aussi. Plus gros, plus épais que le mien, il était néanmoins un peu plus court.



Il allait répondre quand Claire nous appela depuis l’étage.

Quand nous sommes entrés dans la chambre d’amis, elles n’y étaient pas. La pièce était seulement éclairée par deux petites appliques. Nous nous sommes installés sur les matelas pour les attendre.

Soudain, elles entrèrent à leur tour. Devant leur apparition, nous sommes restés bouche bée.


Toutes les deux nues, elles avaient placé autour de leur bas-ventre une large ceinture couleur chair. Sur cette ceinture était fixé un gros sexe mâle en érection. Celui-ci était maintenu en position par deux lanières entourant leurs cuisses juste sous les fesses. C’était une vision surnaturelle que ces deux filles, si jolies dans leur nudité de femme, affublées de cet attribut masculin.

Devant notre air interdit, elles éclatèrent de rire.



Je disais ça tout en sachant cependant que j’irais jusqu’au bout, car j’avais compris que les femmes avaient organisé cela à mon intention, afin que je puisse, sans avoir à le provoquer moi-même, donner à Gérard ce qu’il me demandait depuis longtemps.


Je n’avais pas fini ma phrase que Claire s’approchait de moi. Agenouillé devant elle, j’avais ce sexe artificiel à hauteur de la figure. Je le pris entre les doigts. À y regarder de près, ce gode était parfaitement imité. Il lui manquait juste la chaleur et les vibrations.



J’ouvris les lèvres et sortis la langue que je promenai sur le gland. J’en fis le tour puis léchai la colonne de plastique jusqu’à la ceinture, puis revins vers le gland. Je posai mes lèvres sur celui-ci et je le laissai glisser à l’intérieur de ma bouche. Je jetai alors un regard vers Carine et Gérard, pour voir ce qu’ils faisaient. Je fus surpris. Ils ne m’observaient pas, Gérard avalait comme moi la queue que lui présentait sa femme. Claire avait posé les mains sur mes tempes et rythmait le va-et-vient du gode dans ma bouche. Je lui mis les mains sur les fesses, et les caressai légèrement. Je glissai mes doigts entre les deux fesses et allai de haut en bas, passant doucement sur son petit trou, à la même cadence que le pénis allait et venait entre mes lèvres.

Soudain, j’entendis Carine dire :



Elle se retira et alla se placer devant Gérard alors que Carine venait placer "sa queue" devant ma bouche. Je l’avalai et la branlai avec les lèvres comme je venais de le faire avec celle de Claire. Je lui fis la même caresse entre les fesses puis, passant ma main par-devant, entre les deux jambes, je plaçai mon pouce sur ses lèvres intimes. Les autres doigts tendus palpaient l’espace entre ses deux fesses. Je sentis, à l’humidité qui sortait d’entre ses lèvres, qu’elle s’excitait de plus en plus. Bientôt j’eus la main trempée de sa liqueur de plaisir.

Cela dura plusieurs minutes, puis ce furent les femmes qui nous sucèrent. Sans doute pour que nous gardions nos sexes excités et en érection, à leur usage personnel.


Nous avons encore changé de partenaire. Gérard et moi étions agenouillés côte à côte, face aux deux femmes debout, côte à côte elles aussi. Elles se tenaient par la taille et se caressaient mutuellement les seins tout en s’embrassant. Tous, nous sentions de plus en plus l’excitation monter en nous.

À ce moment, je fis ce que Gérard attendait depuis si longtemps. Je posai ma main libre sur le bas de son dos et commençai à le caresser en descendant petit à petit vers ses fesses. J’en arrivai à glisser mes doigts entre celles-ci et à les tourner autour de l’anus. Il me jeta un coup d’œil de biais et, retirant une main des fesses de Carine, il la posa sur les miennes. Il entreprit de me rendre mes caresses anales et, finalement, presque en même temps que moi, il fit pénétrer un doigt dans mon cul. Comme les miens, ses doigts firent doucement quelques mouvements de va-et-vient. Je fus surpris de ne ressentir aucune douleur, mais plutôt de trouver cette intrusion agréable et excitante. Ce que je faisais était d’ailleurs particulièrement excitant. Je suçais le sexe artificiel de Claire, un doigt inséré dans sa vulve et un doigt de l’autre main pénétrant le cul de Gérard. Que peut demander de plus un amateur de plaisirs sexuels ?

Puis Carine a proposé à Claire de se sucer l’une et l’autre.

Elles se couchèrent tête-bêche et commencèrent aussitôt à se prodiguer une fellation sur leur membre factice. Gérard et moi nous sommes regardés et, sans un mot, nous nous sommes allongés comme les femmes. Ensemble, nous avons saisi le sexe de l’autre et nous nous sommes doucement caressés. Son sexe était gros, dur, chaud, palpitant d’excitation. Je fis lentement glisser ma main le long de la grosse colonne de chair. Il m’en fit autant, s’attardant sur le gland qu’il avait humidifié avec un peu de salive. Finalement, le premier, je me penchai et posai mes lèvres sur le sommet de sa queue que je laissai pénétrer à l’intérieur de ma bouche. Il poussa un gémissement de plaisir. Puis il me rendit la caresse buccale et, dans une belle harmonie, nous nous sommes fait une divine fellation.


Nos deux compagnes, sans doute lassées de sucer leur membre inerte, nous regardaient en souriant. Elles se glissèrent à nos côtés et par de langoureuses caresses firent monter notre excitation. Je sentis la main de Claire caresser mon dos, puis descendre vers mes fesses et s’insérer entre elles, allant jusqu’à titiller mes testicules, puis remonter. En passant sur mon trou, un doigt s’y appuya, puis la main, glissant à nouveau vers le bas, retourna vers les testicules gonflés tant par les caresses que par l’excitation de la fellation que me faisait Gérard. Carine devait, elle aussi, fortement exciter son mari, car je sentis dans ma bouche la queue de Gérard palpiter de plus en plus. Je dois avouer que je sentis moi aussi le plaisir monter.

Soudain, Claire cessa ses caresses et se leva. Je vis qu’elle prenait quelque chose sur la tablette près du lit. Elle vint se rallonger derrière moi et, après avoir fait quelque chose que je ne pus voir, reprit ses caresses entre mes fesses. Je compris de suite ce qu’elle avait fait. Ses doigts, couverts d’une sorte de pommade, glissèrent vers l’anus et l’en enduisirent. Je sentis qu’elle cherchait à en assouplir l’entrée en faisant pénétrer l’onguent. Petit à petit, elle parvint à entrer un doigt, qu’elle enfonça doucement. Elle me préparait comme quand j’avais l’intention de la sodomiser. Quand son doigt fut enfoncé à fond, elle le remua, revint en arrière et l’enfonça à nouveau plusieurs fois, puis je sentis qu’elle y mettait un second doigt. Mon excitation monta encore d’un cran et je sentis que Gérard arrivait au bord de la jouissance. Néanmoins, il se retira de ma bouche, sans doute pour ne pas y éjaculer et se recula, de sorte qu’il cessa aussi de me sucer le sexe. Il se tourna vers Carine et ils commencèrent à se caresser mutuellement en nous regardant.

Voyant cela, Claire retira ses doigts et me chuchota à l’oreille de me mettre à genoux. Une fois que je fus dans cette position, elle se mit derrière moi et, plaçant ses mains sur mes hanches, commença à frotter son gode entre mes fesses. Quand elle plaça le gland sur mon anus, j’eus un frisson de plaisir. Lentement, elle fit entrer le gland et entreprit d’aller et venir doucement dans mon orifice jusque-là inviolé, le pénétrant un peu plus loin à chaque mouvement. Je ressentis un peu de douleur à cette intrusion, mais le plaisir que celle-ci me procurait la compensa largement. Peu à peu, elle parvint à faire entrer le pénis jusqu’au bout et je sentis son ventre battre contre mes fesses. Enfoncée à fond, elle arrêta de bouger, se pencha en avant, prit mon sexe en main et le masturba.


Carine et Gérard se rapprochèrent et se mirent à nous caresser. Carine se plaça de façon telle que je puisse l’embrasser et la caresser, tandis que Gérard faisait de même avec Claire. Celle-ci lui prit le sexe en main et se mit à le masturber en même temps que le mien, tout en continuant à m’enculer.

Ni lui ni moi n’aurions pu résister longtemps à ce traitement. Je sentis la jouissance monter, je sentis mon sexe commencer à frémir de volupté. L’orgasme était proche. Le gode enfoncé en moi augmentait encore la puissance du plaisir. D’une voix rauque, j’en fis part à Claire. Celle-ci cessa aussitôt de manipuler ma queue et se recula rapidement, retirant le gode de mon cul. Elle me demanda alors de me mettre sur le dos. Pendant ce temps, en quelques mouvements rapides, elle se débarrassa du sexe artificiel qui la ceignait. Tournant la tête vers nos amis, je vis Carine faire pareil, Gérard étant déjà allongé, le sexe dur bien dressé.

Presque ensemble, toutes les deux s’assirent sur notre ventre et d’un geste précis s’empalèrent sur nos sexes.


Il ne fallut à Claire que quelques mouvements d’allées et venues pour me ramener aux portes de l’extase. Je la regardai et elle comprit que j’allais jouir. Elle fit alors quelques mouvements du bassin et je ne pus plus me retenir. Je sentis les spasmes de l’éjaculation se succéder et les jets de sperme cogner contre les parois de son vagin. C’était tellement puissant que j’en grognai de plaisir. Soudain je sentis que Claire tremblait aussi et jouissait à son tour en poussant un long cri. Celui-ci fut amplifié par ceux que poussaient Carine et Gérard, eux aussi en proie à leur plaisir orgasmique.

Claire se laissa tomber sur moi et m’embrassa amoureusement.




Le petit dialogue avait fait retomber notre excitation et je sentis que mon sexe perdait de sa rigidité. Claire se releva délicatement et se mit debout.



Quelques minutes plus tard, nous étions assis sur les matelas en train de savourer un verre de vin. La pause ne dura pas longtemps.

Nos sens se réveillèrent et s’échauffèrent petit à petit. Nous échangions au début des petites caresses qui, au fur et à mesure que le temps s’écoulait, devinrent plus précises, plus coquines, plus excitantes. Les femmes n’avaient plus remis leur gode ceinture. Elles s’offraient à nous dans leur superbe nudité. Gérard et moi, succombant aux caresses, avions le sexe presque bandé. Les femmes se penchèrent et entreprirent une douce fellation pour en parfaire la rigidité. De notre côté, nous léchions leurs seins aux tétons grossis de plaisir, tout en titillant les lèvres de leur sexe déjà fortement mouillé de liqueur vaginale.


Nous nous sommes placés en carré. Claire suça Gérard, qui lécha le sexe de Carine, qui me suça alors que je léchai Claire. Nous formions ainsi un quatuor parfait. Après quelque temps, nous changeâmes de position afin de changer de partenaire.

Ensuite, Claire me fit coucher sur le dos, m’enfourcha et s’empala sur ma queue raide. Carine fit de même avec Gérard qui était allongé en sens contraire au mien. Les deux femmes, tout en étant pénétrées par nous et en remuant des hanches dans une parfaite harmonie, s’étaient penchées l’une vers l’autre et, tout en se donnant moult caresses, s’embrassèrent à pleine bouche. Pour couronner cette étreinte, je sentis Gérard glisser une main sous mes fesses et, d’un doigt, forcer doucement mon orifice anal. Je lui rendis la même caresse avec un plaisir que je ne cherchais plus à dissimuler.

Claire et Carine haletaient de plus en plus et leurs gémissements de plaisir témoignaient de leur excitation grandissante. À un moment, Gérard demanda si elles voulaient changer de partenaire. Elles acquiescèrent, et ce fut Carine qui vint me chevaucher tandis que Claire se laissait pénétrer par Gérard. Cette permutation eut pour effet d’aiguiser plus encore nos sens déjà tellement exacerbés. Les filles se déchaînèrent et, tout en se pelotant entre elles, montaient et descendaient leur sexe le long de nos membres. Finalement, leur rythme devint endiablé, ce qui nous amena vers un puissant orgasme collectif. Ma queue tressauta dans le ventre de Carine, éjaculant mon sperme que je sentis cogner contre les parois de son vagin, tandis qu’elle inondait mon bas-ventre de sa liqueur vaginale. Je regardai du côté de Claire, qui droite comme un I, tremblait d’excitation, les spasmes de son corps révélant l’intensité de son orgasme.


Lentement, les spasmes et les râles que nous poussions diminuèrent, puis cessèrent. Petit à petit, nous avons repris nos esprits et les femmes encore un peu haletantes se sont retirées pour s’étendre à nos côtés. Nous sommes restés allongés sans mot dire pendant de longs instants, savourant rétrospectivement les moments forts que nous venions de passer et, après quelques minutes, lovés les uns contre les autres, nous fûmes envahis d’une douce somnolence.


Un bon bout de temps s’était écoulé lorsque nous reprîmes nos esprits.

C’est Carine qui, en se réveillant, se colla encore plus près de moi et me sortit de ma torpeur. Je vis que Claire était allongée tout contre Gérard, une jambe passant au-dessus de ses cuisses. Je tendis ma main vers elle, passant au-dessus du corps de Carine et doucement lui caressai les seins. Cela la réveilla à son tour et, gémissant de contentement, elle se mit à promener sa jambe doucement sur les cuisses et le bas-ventre de Gérard à qui qui ce frottement excitant arracha un grognement de plaisir.

Carine, qui me tournait le dos, frottait par de petits mouvements de hanches ses fesses contre mon bas-ventre, accrochant mon sexe à chaque passage, ce qui eut pour effet de m’exciter petit à petit. Je retirai ma main des seins de Claire et commençai à la promener sur le corps de Carine, à palper ses endroits les plus sensibles. Cela l’échauffa tant qu’elle souleva un peu la jambe pour permettre à ma queue enflée de s’insérer entre ses cuisses, tout contre sa vulve. Je fis quelques lents mouvements de va-et-vient et sentis bientôt ses lèvres intimes s’humidifier abondamment. J’avais posé la main sur son clito et le faisais rouler entre deux doigts, ce qui l’amena à gémir de plaisir.


Claire et Gérard n’étaient pas en reste et, tournés l’un vers l’autre, s’embrassaient à pleine bouche tout en se pelotant allègrement. Claire avait en main la queue de Gérard et la branlait lentement tandis que sa main à lui disparaissait entre les cuisses de ma femme. Tout à coup, Carine se souleva un peu et dit :



En deux temps, trois mouvements, Gérard était allongé sur le dos et Carine se mit à califourchon au-dessus de lui. Elle prit la queue bandée de son mari, la plaça à l’entrée de son sexe et se l’enfonça à moitié. Je me positionnai derrière elle et lui massai doucement l’anus, puis demandai à Claire de me passer l’onguent qu’elle avait utilisé avec moi. J’en mis un peu sur mon index et un peu sur l’anus même. J’entrepris alors d’insérer mon doigt dans son cul. Comme elle en avait envie, ce fut facile, et je pus bientôt y glisser un second doigt. Son trou était maintenant assez souple et assez large pour que je puisse la prendre sans lui faire de mal. Je retirai les doigts et pointai ma queue à l’entrée de l’orifice. Lentement, je poussai et parvins petit à petit au plus profond de son cul.

Alors commença le ballet des mouvements que nous tentions d’harmoniser afin de nous procurer un maximum de plaisir.

Claire, elle, après avoir seulement observé, se décida à participer en usant des ses mains et de ses lèvres sur nos trois corps unis par nos sexes. Elle nous caressa, lécha les seins de Carine, nous embrassa. Elle avait aussi une main posée sur son propre sexe et se masturba ardemment. Bientôt, tous les quatre, nous poussâmes râles et gémissements de plaisir. Je sentis, au fur et à mesure de mes allers et retours entre les fesses serrées de Carine, que ma queue commençait à vibrer. Je perçus aussi les frottements du membre de Gérard dans le vagin de Carine. Celle-ci tremblait de plaisir et le faisait savoir par de profonds feulements. Ma jouissance était proche, aussi je ralentis la cadence pour pouvoir faire durer un peu plus le plaisir qui me submergeait.

Gérard et Carine, eux aussi, étaient près du but. Claire, elle, se doigtait toujours.

Soudain elle me demanda de la prendre et de venir la faire jouir. Carine me dit :



Je me retirai doucement du cul de Carine et me tournai vers Claire. Elle était toujours à genoux, la main entre les cuisses. Je passai derrière elle et, la faisant pencher en avant, lui pénétrai le vagin d’un élan vigoureux. Elle était trempée de mouille et je pus lui enfoncer la queue jusqu’au plus profond de son sexe. Après quelques mouvements, elle criait déjà de plaisir et jouit presque immédiatement une première fois. Les spasmes qu’elle déclenchait eurent raison de moi et à mon tour j’éjaculai en longues saccades. Les secousses de ma jouissance lui provoquèrent un autre orgasme encore plus fort que le premier. Elle n’arrêtait pas de vibrer et de gémir, et les parois de son vagin se contractaient spasmodiquement autour de mon sexe, ce qui mit un paroxysme à notre orgasme.

Carine et Gérard avaient atteint, eux aussi, le septième ciel. Elle s’était écrasée sur lui et l’embrassait tendrement tout en remuant encore doucement les hanches, le sexe de son mari toujours profondément enfoui en elle.

Lentement, comme presque à regret, l’excitation due à nos ébats diminua, les femmes se retirèrent et s’allongèrent à nos côtés. Nous étions tous heureux d’avoir reçu et procuré tant de plaisirs. Nous savourions ensemble ces moments où nous avions assumé nos fantasmes et nos envies.

Sachant qu’il y aurait encore d’autres soirées entre nous, je ne regrettais même pas de ne pas avoir eu l’occasion de me faire pénétrer par Gérard, ni l’occasion de le sodomiser. Le monde ne s’est pas fait en un jour…

Après nous être rafraîchis, nous sommes redescendus au salon et avons encore bavardé en buvant un verre.


Peu après, nos amis, malgré notre souhait de finir la nuit ensemble, sont rentrés chez eux, nous remerciant pour la soirée qu’ils avaient partagée avec nous et nous promettant la pareille, tout aussi excitante, lors de notre prochaine rencontre.

Claire et moi sommes montés dans notre chambre. Nous nous sommes couchés, lovés l’un contre l’autre et nous nous sommes endormis ainsi, heureux d’avoir une fois de plus assouvi nos envies et nos fantasmes pour la plus grande satisfaction de nos sens.