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Temps de lecture estimé : 10 mn
02/09/05
Résumé:  Le lendemain, Claire doit faire face....
Critères:  fh vacances fsoumise hdomine humilié(e) voir lingerie fmast fellation ecriv_f
Auteur : Solenn      

Série : Pauvre petit chat malade

Chapitre 02 / 03
Jeux de pouvoirs

Saleté de réveil ! Je crois que c’est ce que je hais le plus en colo, cette putain de sonnerie qui vient te prendre la tête tous les matins. Allez courage, plus que treize jours ! Y’a quand même un truc bizarre ce matin, je mets un moment à comprendre quoi, peut-être le fait que je dorme juste en jean ? Tout à coup, tout me revient en tête… Quelle honte ! Je lâche mon t-shirt tout collé… Vite il faut que je me reprenne en main… dans une demi-heure les chiards vont se réveiller… il faut que je reprenne mes esprits. Après tout, une directrice est censée savoir gérer les périodes de crise !


Bien, prenons les choses dans l’ordre ! Tout d’abord, ce matin… il faut que je propose une lessive… non, le plus urgent d’abord, la douche ! Je jette mon t-shirt en boule dans un coin, je déboutonne vite mon jean, attrapant au passage ma petite culotte de coton rose, avec des imprimés blancs. Heureusement que personne ne l’a vue celle là ! Je passe vite fait un short, un t-shirt propre, j’empoigne ma serviette, mon gel douche et me voilà à foncer dans le couloir en direction des sanitaires. Y’a déjà une douche qui coule, j’en choisis une un peu plus loin et me déshabille sans cérémonie ! Une bonne douche froide pour me remettre les idées en place.


Tout à coup, dans la douche d’à côté, j’entends Julien qui se met à chantonner… je me sèche discrètement. Pourvu qu’il ne remarque pas ma présence, je ne saurais pas quoi faire si je me retrouve en face de lui. Au moment où j’allais ouvrir la porte pour sortir discrètement, rassurée par le bruit de l’eau qui coule, ainsi que le son tellement mélodieux de la Marseillaise chantée à tue-tête par Julien, j’entends la voix de Sophie…



Toujours au bon moment, cette pétasse !



Je n’ose plus sortir de la douche, dépêche-toi d’aller prendre ta douche !



Mon cœur fait un bond. Quoi ! Il a couché avec cette pétasse ! C’est pas possible. C’est vraiment le dernier des pauv’nazes ce mec… Et franchement qu’est-ce qu’elle a à vouloir coucher avec lui, c’est un thon… Comment ça je suis jalouse ? Faut pas déconner, jalouse de cette chaudasse qui peut pas aligner trois mots ?



Ah ben, voilà qui est bien parlé…



Oui ben, c’est bon, on a compris que t’étais une nympho…



J’entends le bruit du verrou, puis le bruit de frottement de tissus… Mais putain, quel lâche !


Je profite qu’ils soient occupés pour tourner très doucement la poignée de ma douche, la serviette autour de la poitrine, le short et le t-shirt à la main… je m’éclipse discrètement vers la sortie des sanitaires… Allez, jette un coup d’œil, t’en meurs d’envie ! Non mais ça va pas non… Allez, juste quelques secondes… je reviens en arrière, pose mon oreille contre leur porte qui s’entrouvre… Ils n’ont même pas fermé, les enfoirés… je pousse un peu plus la porte, heureusement ils me tournent le dos… Julien plaque la tête de Sophie, penchée en avant, contre le mur de la douche, et s’active derrière elle… Il a un beau cul ! Poilu mais musclé ! Et rond ! Bon, ma grande, tu te calmes et tu t’en vas. Tous les deux commencent à haleter… je peux pas partir maintenant… N’empêche c’est vraiment une chienne, celle-là, elle insiste pour se faire prendre en levrette dans la douche, j’y crois pas !


Au bout de quelques secondes… (minutes ?) tous les deux, dans un miaulement étouffé, semblent s’effondrer…

Je pars en courant, juste le temps d’entendre :



Je cours, surveillant derrière moi que personne ne sort des sanitaires, et essayant tant bien que mal de retenir ma serviette, pour rejoindre ma chambre.


Je regarde ma montre, plus que trois minutes avant d’aller réveiller les enfants ! Je fouille dans mon sac à la recherche d’une culotte propre… celle-là fera l’affaire ! Elle est blanche, en coton, avec juste quelques motifs bleus. Y’a pas à dire, elle a plus de gueule que celle d’hier ! J’enfile mon jean et replonge dans mon sac à la recherche d’un t-shirt quand me vient une inspiration soudaine… Il serait peut-être sage, ma grande, de te mettre un soutien-gorge aujourd’hui. Heureusement, j’avais eu l’idée d’en emmener deux, avec des petits coussinets, au cas où… Hop, un t-shirt noir, et c’est parti pour une nouvelle journée… Debout tout le monde !



Au petit déjeuner, j’ai ignoré Sophie, qui me lançait des regards du genre qui veut dire "toi ma salope, t’es grillée". Mais bon, après tout, faut pas déconner, je suis majeure, je fais ce que je veux, et puis je suis directrice, donc c’est moi la cheffe. Je ne vais pas me laisser emmerder par cette nympho. Me voilà toute revigorée, prête à assumer mes fonctions ! Allez, je vais aller superviser le chauffage du lait à la cuisine ! Ça c’est un boulot de directrice ! J’entre dans la cuisine…



Pas de réponse.



Je me retourne et, en voyant Julien, je baisse les yeux, puis la tête, honteuse… C’est pas vrai ! En deux mots, il arrive à me calmer !



La tête basse, je murmure :



Je reste la tête basse, sans oser bouger.



Écarlate, j’attrape le bouton de ma braguette, je l’ouvre doucement…



J’ouvre la fermeture Éclair, écarte les pans de mon jean, et le baisse très doucement, au ras des mes fesses, à la limite de ma culotte.



J’y crois pas, alors lui il porte des vieux slips délavés, et moi "trop sexe la culotte". Au moins la mienne est propre ! Malgré tout, je pose mes deux mains sur la table, bien trop basse à mon goût, offrant ma culotte à sa vue…



Je le regarde, implorante. Il reste de marbre. Alors je prends mon courage à deux mains, espérant de toutes mes forces que personne ne s’inquiète du retard du lait ! Mon jean tombe à mes pieds. Je me penche à nouveau en avant, attendant que la fessée tombe.


Je sens la chaleur de sa main… la fessée ne vient pas… je n’ose pas me retourner… tout à coup :



Enfoiré, t’aurais pas pu taper plus fort !



Et tout à coup, sans que j’aie eu le temps de sentir qu’il l’avait attrapée, il baisse brusquement ma culotte et me donne une dernière grande fessée. Puis s’en va me laissant une fois de plus dans une situation plus qu’embarrassante, le jean par terre, la culotte aux genoux, penchée en avant sur la table.

Au moment de quitter la cuisine, il me lance :



Je ravale mes larmes et me relève en me frottant les fesses. C’est ce que je préfère chez moi, et lui il tape dessus. J’en étais là de mes lamentations, quand j’entends quelqu’un s’approcher de la cuisine… À toute vitesse, je remonte ma culotte et mon jean, essayant tant bien que mal de le fermer avant que la porte ne s’ouvre. Mickael entre.



Je quitte à mon tour la cuisine, emportant une tranche de pain que je mangerai dans mon bureau. Hors de question que je croise encore quelqu’un d’autre pour l’instant.


Je m’attèle donc aux tâches administratives qui m’incombent… Ma chaise est loin d’être confortable, et j’ai encore les fesses douloureuses. Je prends le planning : cet après-midi, c’est piscine et… bordel non !


Pour la piscine, le maître nageur est sur place, alors il y a un animateur qui en profite pour prendre un congé, et devinez qui c’est ? En trois heures, il va avoir le temps de s’amuser ! Je me revois en culotte dans la cuisine, attendant en tremblant que la fessée arrive, et puis la sensation tellement humiliante de la petite culotte baissée sur les genoux… je mouille. Mais c’est pas possible d’être aussi perverse, comment on peut aimer ça, j’en reviens pas ! En tout cas, si on est vraiment tranquille, j’aurai peut-être une petite chance qu’il me prenne enfin ! Non mais ça va pas, toi ! Allez, remplis tes factures…


La matinée passe ainsi entre factures et émotions… J’attends avec impatience et je redoute le départ à la piscine… Toujours à mon bureau, j’entends les cris des enfants s’estomper. Mon cœur commence à s’emballer. J’entends son pas, je tremble. Il ouvre la porte et, sans s’approcher de moi, me dit :



Sans attendre une seconde, je me lève, laissant mes affaires en plan, et pars le plus dignement possible dans ma chambre. Là, je tourne en rond en attendant qu’il arrive, et en imaginant ce qui allait pouvoir m’arriver… L’attente m’insupporte ! Ça fait combien de temps maintenant ?


Comme pour répondre à ma question, la poignée de la porte de ma chambre s’abaisse et Julien rentre, cool, dans ma chambre. Sans prêter attention à moi, il observe mon lit, mes vêtements qui traînent un peu partout, mes sacs. Puis il daigne enfin me parler et se tourner vers moi…



À peine une demi-seconde d’hésitation, je me dis qu’il vaut mieux obéir si je ne veux pas me faire traiter d’un nom qui ne fait pas plaisir ! Je déboutonne une fois de plus mon jean, et l’enlève complètement… chatte échaudée craint l’eau froide !



Là je comprends pas bien, qu’est-ce qui le met dans un état pareil ? C’est quand même pas parce que ma culotte est humide, j’espère !



Je me retrouve à nouveau dans cette position dégradante du petit chat malade, mais cette fois en culotte. Il a vite fait de me la baisser une fois de plus au niveau des genoux et de me fesser vigoureusement, en me gratifiant d’un petit mot tendre à chacune de ses fessées. Au bout de la cinquième fessée, il m’ordonne :



Je m’exécute, toujours la culotte aux genoux. Pour la première fois, je lui expose ma toison. Il se baisse pour l’observer… passe les doigts dessus… je mouille comme jamais… je tremble aussi. Il la caresse et me lance…



Puis il se relève et me regarde droit dans les yeux…



Je reste les mains sur la tête, essayant de bouger le moins possible. Il ouvre mon sac et en sort un par un chaque vêtement.



Quelle humiliation, une à une toutes mes culottes y passent, agrémentées d’un petit commentaire…



Il rassemble toutes les culottes dans un coin de la chambre et revient vers moi…



Il enlève mon t-shirt et m’arrache mon soutien-gorge noir.



C’est d’ailleurs ce qu’il fait en me prenant la main, tenant de l’autre comme il peut le stock de sous-vêtements qu’il jette au passage dans une poubelle du couloir. Il me traîne nue jusqu’à la chambre de Sophie. Là, il ouvre sa valise, et fouille trois minutes pour en sortir un string orange, avec un papillon à l’arrière…



Je passe mes jambes dans le string et le remonte doucement… Il me regarde et me dit :



J’avais oublié la traditionnelle boum de mi-colo, pour que les gamins nous lâchent un peu la grappe… celle où il faut danser avec ceux que personne n’invite… Je ne sais pas ce qu’il y avait prévu, mais il bandait grave !



Il déboutonne son pantalon, baisse son slip, le même qu’hier visiblement, et prend ma tête entre ses mains, pour que je le suce. Il imprime lui-même le mouvement de ma tête. Sa queue durcit un peu plus, très rapidement, dans ma bouche. Mais, une fois encore, son manque d’endurance lui joue des tours. Il me fait arrêter très vite en repoussant ma tête, et prend sa queue en main.



Je passe ma main à l’intérieur du string, et passe mon index, je caresse doucement mon clitoris déjà tellement humide… Mes mouvements commencent à être de plus en plus insistants et appuyés, provoquant une chaleur intense et des gémissements de chienne (ce que je ne croyais pas être) quand, soudain, il lâche tout son sperme sur ma poitrine…



Dégoûtée, je prends malgré tout sa queue mollissant en bouche, avalant avec difficulté le sperme restant. Une fois propre, il me dit :



Puis il quitte la chambre.