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Temps de lecture estimé : 19 mn
27/09/05
Résumé:  Ou comment une jeune femme BCBG découvre un des endroits chauds de Paris, sous le couvert d'un reportage.
Critères:  fh fhh jeunes collègues boitenuit voir pénétratio partouze
Auteur : Jfcorto  (Corto)            Envoi mini-message

Série : La journaliste stagiaire

Chapitre 01
Une stagiaire motivée...

La journaliste-stagiaire ou comment une jeune BCBG découvre les endroits chauds de Paris.




Journaliste réputé d’un magazine, Pierre devait s’occuper d’un article sur les nuits chaudes de Paris, ce qui n’était pas pour lui déplaire, d’autant plus qu’il avait l’autorisation de se faire accompagner dans son enquête par une stagiaire. Or, dans le pool de stagiaires, il avait remarqué une grande brune, Marie, qui lui avait tapé dans l’œil. C’était surtout le décalage entre son aspect réservé et son corps de rêve qui l’avait séduit. Arrivée en hiver, il avait d’abord remarqué son beau visage classique à peine maquillé, avec ses grands yeux noirs et une bouche assez pulpeuse, très BCBG, agrémenté souvent d’une queue de cheval ou d’un chignon. Mais sa tenue vestimentaire sobre à base de pulls et jeans ne lui avait permis de deviner qu’un corps svelte de sportive et une silhouette prometteuse. L’arrivée de l’été avait allégé ses tenues, lui permettant de mieux découvrir la sensualité de son corps au gré de ses rencontres à la machine à café. Ses polos remplaçant ses pulls dévoilèrent une poitrine ronde et très généreuse, qu’elle laissait toujours maintenue dans des soutiens-gorge dont le dessin montrait son goût pour les modèles à balconnets, même s’ils semblaient souvent sages, car blanc uni. De même la toile plus fine de ses pantalons dessinait ses jambes fuselées et qui, quand elle se penchait pour prendre son café, mettait en valeur une croupe ronde et cambrée soulignée par sa taille fine et lui permettant même de deviner plusieurs fois la marque discrète de culottes assez étroites. Mais il put même constater qu’occasionnellement, elle n’avait rien contre la dentelle au gré d’un chemiser un peu trop ajusté, qui tendu par sa poitrine, ouvrait sa boutonnière jusqu’à lui dévoiler de profil le délicat dessin de tulle et satin. Il n’était pas le seul à apprécier ses charmes, mais elle ne semblait pas se rendre compte de l’effet qu’elle produisait. S’il ne pouvait la qualifier de coincée, elle restait malgré tout dans son attitude très timide et peu sûre d’elle et de son pouvoir de séduction. Elle sortait d’ailleurs avec un garçon qu’il avait croisé à la sortie qui semblait plus proche du polar BCBG que du play-boy, avec qui elle devait se marier en fin d’année.


Il fit savoir qu’il recherchait de l’aide pour boucler une enquête sans dévoiler le thème et reçut plusieurs stagiaires dans son bureau, très motivés par l’opportunité. Pour l’occasion, Marie s’était habillée plus classe avec un pantalon de lin fermé sur le côté qui avait le mérite de dessiner parfaitement la déclivité de son ventre légèrement bombé et de mouler de manière prometteuse le bel arrondi de ses hanches et la fourche de ses cuisses. Elle avait troqué son tee-shirt pour un débardeur sans manches à fines bretelles qui dénudait ses jolies épaules. En se penchant sur son bureau pour lui tendre son CV, sa lourde poitrine tendit le tissu, ouvrant son décolleté, dévoilant ses flancs gonflés par les bonnets ajustés de son soutien-gorge, jusqu’au petit nœud de satin blanc qui les séparait. Tout en ne pouvant s’empêcher de la détailler du regard, il la laissa s’enferrer sur sa motivation et son désir d’aller sur le terrain.



Plutôt choquée par la révélation du sujet, elle ne put s’empêcher de rougir, tiraillée entre le désir de bosser avec un journaliste réputé et le côté un peu tabou pour elle de l’enquête.



Touchée dans son orgueil, et ne voulant pas passer par une gourde, elle se résolut à accepter la mission. Il jubila intérieurement à l’idée d’amener cette superbe fille plutôt prude à fréquenter des endroits dépravés, espérant que cela pourrait déboucher sur des choses intéressantes. De son côté, Marie, même effrayée par ce à quoi son acceptation allait l’exposer, se rassura en se disant qu’effectivement, elle ne serait que témoin et qu’elle pourrait toujours se désister plus tard. Il lui tendit la main pour clore le deal, mais sans bouger de sa chaise, l’obligeant à se pencher sur son bureau et à dévoiler une nouvelle fois inconsciemment son décolleté profond, au plus grand plaisir de Pierre.



Marie passa une nuit agitée, qu’elle justifia à son petit ami sous prétexte de la peur de sa première enquête, n’osant lui donner le sujet. Le lendemain, elle lui apparut dans une robe blanche assez simple, boutonnée devant et fermée par une large ceinture, s’arrêtant au-dessus du genou. D’emblée, elle se sentit obligée de se justifier :



Si effectivement la coupe de sa robe était sage, la finesse du tissu blanc la rendait malgré tout assez sexy, dessinant nettement son balconnet blanc tendu par ses globes opulents.



De part sa forme droite, la robe restait plaquée sur ses fesses et dévoilait le triangle blanc d’une culotte remontant haut sur les hanches.



Il avait décidé de commencer de manière soft, en l’emmenant tôt dans un bar, le 41, pour ne pas l’effrayer.


Dans la voiture, il la briefa sur ce qu’il attendait d’elle :



Marie n’osa pas lui demander ce qu’il appelait « jouer le jeu », même si les termes lui firent passer un frisson d’effroi et acquiesça timidement. La boîte était composée d’un bar donnant sur une piste de danse entourée d’alcôves plus ou moins sombres. Ils s’assirent d’abord au bar et il commanda deux coupes de champagne. Marie observa les couples et fut d’abord soulagée de la normalité de l’endroit, fréquenté principalement par des couples plutôt classe, entre trente et quarante ans. Mais elle se rendit vite compte que les tenues des femmes se révélaient plutôt sexy, par le biais de décolletés ouverts ou de jupes courtes ou fendues. Elle détonnait un peu, avec sa robe sage boutonnée de bas en haut et se rappelant les recommandations de Pierre, d’elle-même elle se déboutonna d’un cran en haut et en bas.



Et ce disant, il vint défaire lui-même un bouton de plus dans son décolleté. Tétanisée, elle le laissa écarter les pans jusqu’à révéler le sillon profond de ses seins. De même, il ouvrit la robe haut sur ses cuisses, lui laissant les jambes largement dévoilées.



Elle eut un sourire un peu figé, sentant dans le même temps les regards plus insistants des hommes se poser sur elle, détaillant sans gêne son corps ainsi exposé. Il la laissa s’habituer à l’ambiance. Peu habituée aux regards intéressés, elle se sentait inconsciemment flattée de l’attention qu’elle suscitait. Buvant rarement de l’alcool, elle commençait à se laisser gagner par une douce euphorie. Elle se pencha vers Pierre



La boîte se remplissant, Marie put se rendre compte que l’ambiance devenait effectivement plus hot, les couples se collant plus lascivement et les mains se faisant plus indiscrètes. Le couple voisin n’était pas le moins actif. L’homme qui embrassait sa compagne, une jolie blonde, avait glissé sa main dans le décolleté et lui palpait sans retenue les seins. Sous la pression, le chemisier de la femme s’ouvrit, dévoilant aux yeux de tous sa poitrine nue aux pointes déjà dardées. À une autre table, c’était une brune qui se laissait caresser les cuisses par son partenaire, lui laissant remonter sa jupe, jusqu’à dévoiler la bordure de bas en dentelle noire. Elle écarta alors légèrement les jambes, dévoilant le triangle de soie noire moulant son bas ventre, permettant à la main fureteuse de se couler entre ses jambes en une caresse beaucoup plus intime qui la fit se cambrer légèrement. L’homme croisa à ce moment le regard de Marie, et elle détourna brusquement la tête, rouge de confusion et fixa la piste de danse. Mais là aussi, les couples se lâchaient. Une jeune femme blonde, la tête enfouie dans le cou son partenaire, se laissait caresser les fesses à travers sa jupe courte. Les mains redescendirent sur le haut des cuisses avant de remonter, entraînant le tissu jusqu’à la taille, palpant les fesses dénudées par un string blanc. Marie était sidérée de voir que cela se faisait de la manière la plus naturelle, si ce n’étaient les regards plus appuyés sur les couples qui s’exhibaient, comme si cela était normal de se laisser caresser devant tout le monde. Même si sa vie sexuelle la contentait pleinement, elle se rendait compte qu’elle était assez monotone, se résumant à se faire prendre dans son lit et dans la position du missionnaire. Aussi commençait-elle à être troublée. Pierre s’en aperçut et décida de pousser son avantage.



Elle hésita un instant, mais devait reconnaître qu’il avait raison. Se penchant vers lui, elle posa son visage dans son cou, se gardant bien de l’embrasser réellement. Tournée ainsi vers lui, son décolleté s’était ouvert largement, lui permettant d’admirer les flancs rebondis de sa poitrine moulée de blanc. Il en profita pour passer un bras autour de ses épaules et laissa retomber sa main négligemment sur un sein. Il la sentit instinctivement se tendre, aussi précisa-t-il de manière détachée :



Effectivement Marie n’osa rien dire, préférant croire que cela n’était que destiné à se fondre dans l’ambiance, et, essayant d’ignorer que la main de Pierre se faisait de plus en lourde sur sa poitrine, elle se concentra sur le couple de la piste de danse. Rejoint par un autre homme, la fille dansait en sandwich entre les deux hommes. Le premier avait remonté ses mains sur sa poitrine et glissé sous le débardeur pour mieux palper la poitrine nue sous le tissu, abandonnant ses fesses au deuxième qui les caressait fiévreusement, se glissant parfois entre leur jointure. Pour toute réaction, la femme glissa également sa main sur la braguette des ses deux cavaliers, palpant sans ménagement les sexes durcis qui gonflaient leur pantalon. Marie se sentait de plus en plus troublée, surtout que la main de Pierre s’était faite plus active, caressant doucement la masse chaude à travers le tissu, appréciant la fermeté et la rondeur de son buste, en gonflant les pointes malgré elle. Mais quand elle sentit le bout des doigts venir agacer les pointes, elle se dégagea doucement de son étreinte. Elle découvrit alors qu’un autre couple, faute de place s’était installé à la même alcôve qu’eux, de l’autre côté de la table. Lui, quarante ans, plutôt bel homme et elle, plus jeune, blonde aux cheveux courts, très mince, habillée d’une robe fourreau noire qui dessinait parfaitement le galbe de sa poitrine menue mais ferme. Pierre engagea la conversation, offrant une nouvelle tournée, ravi de la tournure de la soirée. Sentant qu’il aurait du mal à profiter plus de Marie, il pouvait se rabattre sur cette superbe blonde, tout en espérant voir l’homme aller plus loin avec Marie. Ce dernier ne se gênait d’ailleurs pas de la déshabiller du regard, appréciant les bosses tendues de sa poitrine aux pointes maintenant légèrement apparentes et louchant entre ses cuisses. Déjà gênée par son regard, Marie ne se doutait pas que malgré ses jambes serrées, sa robe fendue très haut dévoilait jusqu’à l’éclat blanc de sa culotte. Quand l’homme l’invita à danser, elle paniqua un peu, regardant désespérément Pierre. Mais ce dernier acquiesça avec le sourire. Coincée, elle ne put qu’accepter et se laissa entraîner sur la piste. La sentant crispée, il démarra soft, se contentant de lui poser les mains sur la taille, entretenant une conversation agréable. Elle se détendit un peu et il en profita pour commencer d’une main à lui caresser doucement les hanches pour finir par lui palper discrètement les fesses, tandis que son autre main remontait sur le côté de son buste jusqu’à soupeser la masse lourde. Elle se rappela son rôle et se força à ne pas réagir à ces caresses indiscrètes. Mais pour masquer sa gêne, elle se cacha le visage dans son cou. Déjà excité par les courbes prometteuses de cette brune timide qu’il sentait sous ses paumes, il eut le choc de sentir son corps se coller au sien et sa poitrine ferme frôler son buste. Prenant cela comme une invite, ses mains se firent plus actives, parcourant sa croupe ronde, sentant le contour de sa culotte à travers le tissu de sa robe et empaumant complètement son sein, massant le globe plein. Elle se mordit la lèvre quand elle sentit le sexe de l’homme gonfler contre son ventre. Honteuse, elle sentait son corps réagir malgré elle, sentant une boule de chaleur grossir dans son bas ventre et ses pointes se darder. L’homme s’aperçut de son trouble et poussa son avantage, griffant discrètement ses tétons et descendant sa paume bas sur ses fesses, vint nicher ses doigts au creux de ses jambes. Elle poussa un petit cri malgré elle quand elle le sentit frôler son sexe, sous la robe. Elle accueillit avec un soupir de soulagement le changement de musique, interrompant cette danse lascive qui la troublait beaucoup plus qu’elle ne l’aurait voulue, plutôt contente de retrouver Pierre dont les caresses lui semblaient plus anodines. Mais en revenant à la table, elle eut la surprise de voir que la blonde avait pris sa place et flirtait ouvertement avec Pierre, l’obligeant à se rasseoir à côté de l’homme. Au vu de la pointe de ses seins qui tendait maintenant outrageusement sa robe malgré son soutien-gorge et le rouge de ses joues, Pierre se douta de ce que Marie avait du subir sur la piste. Elle prit son verre pour se donner une contenance, ne pouvant s’empêcher d’observer Pierre caresser la poitrine de la femme en l’embrassant fougueusement, pinçant ouvertement les tétons à travers la robe. L’homme tourna doucement la tête de Marie vers lui et posa ses lèvres sur les siennes. Elle ne se voyait pas refuser ce que sa femme offrait à Pierre et accepta la langue qui s’enroula autour de la sienne tandis qu’elle sentit à nouveau les mains de l’homme s’emparer de sa poitrine. Pierre, déjà bien excité par ce que la blonde lui offrait, appréciait également du coin de l’œil le spectacle des mains de l’homme qui pétrissaient la masse lourde des seins de Marie. Il comprit que l’homme suivrait ses mouvements et que Marie n’oserait refuser se disant qu’il pouvait aller plus loin et profiter des 2 femmes de manière directe ou indirecte. Aussi glissa-t-il sa main dans le décolleté de la blonde et palpa directement la poitrine menue mais ferme, nue sous le tissu. Comme prévu, il put voir la main de l’homme s’insinuer dans la boutonnière de Marie. Sous la pression, un bouton supplémentaire s’ouvrit, dévoilant d’abord largement le sillon profond de son décolleté puis, quand la main repoussa les pans de tissu, le détail de son balconnet de satin blanc moulant les masses opulentes. L’homme la caressa quelques instant à travers le satin, avant de se couler sous le soutien-gorge, directement contre la peau nue, appréciant les rondeurs chaudes, calant les pointes tendues contre sa paume, avant de les pincer doucement. Marie ne savait pas ce qui la gênait le plus, entre le contact des paumes brûlantes contre sa peau nue, le fait de s’exhiber ainsi devant Pierre et les sensations que cela lui procurait malgré elle, comme le prouvait ses tétons maintenant bien gonflés. Pierre se délectait du ballet des doigts qu’il devinait sous le tissu du soutien-gorge, et continuant le jeu, abandonna la poitrine de la femme pour caresser ses jambes, remontant petit à petit le tissu jusqu’à mi-cuisses. Quand l’homme fit de même, Marie tenta de garder les cuisses serrées pour limiter la caresse. Mais la fente de sa robe lui dévoilait les cuisses très haut, permettant aux mains de remonter jusqu’à la limite de leur jointure. Dans le mouvement, les pans s’écartèrent, dévoilant parfaitement le triangle de satin blanc, suffisamment haut pour que Pierre puisse même deviner le relief de sa toison. Dans un premier temps, au grand soulagement de Marie, il se contenta de rester à la limite de sa culotte. Mais avec horreur, elle vit la main de Pierre disparaître sous la robe de la blonde pour se nicher au creux de ses cuisses. Comme un signal, les doigts de l’homme remontèrent d’un cran, se posant d’abord quelques instants sur le doux renflement de son pubis, avant de s’insinuer lentement entre ses cuisses, sans qu’elle puisse l’en empêcher. Elle poussa un petit gémissement incontrôlé quand les doigts vinrent palper son intimité à travers le satin, lui envoyant comme une décharge électrique, lui faisant instinctivement entrouvrir le compas de ses cuisses. Pierre put alors mieux observer le ballet des doigts montant et descendant le long de sa vulve. Le satin blanc marquait maintenant distinctivement la fente de son sexe. Sa propre main se fit plus active entre les cuisses de la blonde. Cette dernière commençait à onduler doucement et il sentit ses doigts se lover contre son sexe et le masser à travers son pantalon. Marie se garda bien de prendre cette initiative, aussi ce fut l’homme qui, lui prenant la main, la posa entre ses cuisses. Marie, les sens déjà en feu sentit sous ses doigts la colonne de chair bondir sous le doux contact. Cette sensation ajoutée au ballet des doigts qui s’étaient concentré sur son clitoris la firent suffoquer. Son cœur s’accéléra et, paniquée, elle sentit une vague de plaisir monter de manière incontrôlable. Brusquement, elle se détacha de lui, échappant à la caresse, la respiration haletante, s’excusant en balbutiant.

En habitué des lieux, l’homme comprit qu’il ne fallait pas précipiter les choses et lui proposa d’aller au bar pour se remettre de ses émotions. Les jambes flageolantes, elle se laissa entraîner, abandonnant Pierre et sa compagne.



Marie n’hésita pas longtemps devant l’opportunité de remplir sa mission, même si elle sentait confusément que cela allait l’entraîner sur une pente encore plus glissante. L’entrée était filtrée par un noir immense, qui, à la grande gêne de Marie, ne se priva pas de loucher sans se gêner dans son décolleté, car dans la confusion, cette dernière n’avait pas rajusté sa robe restée ouverte sur sa poitrine et son soutien-gorge largement dévoilés. L’étage était composé de plusieurs salles avec des grands lits au milieu. Si elle avait été choquée par le spectacle du rez-de-chaussée, elle hallucina devant ce qu’elle découvrit. Elle repéra la blonde de la piste de danse, allongée, complètement nue, seins dressés et cuisses levées, en train de se faire prendre par celui qui lui avait caressé les fesses. C’était la première fois que Marie voyait un autre couple faire l’amour, et de nouveau le trouble s’empara d’elle. La salle était entourée de barres de maintien, comme pour séparer les voyeurs des acteurs. Son accompagnateur, la prenant par la taille, la poussa jusqu’à la barre, se rapprochant à moins d’un mètre du couple. Elle pouvait maintenant percevoir les halètements de la fille et fascinée, elle ne pouvait détacher son regard du sexe luisant de l’homme s’enfonçant dans le ventre offert, au creux sa toison claire et discrète, au vu de tous. La main de l’homme posée sur sa hanche vint glisser à nouveau sur les fesses de Marie, palpant sa croupe ronde, remontant doucement le tissu. Grisée par le troisième verre qu’elle avait bu, elle le laissa cette fois se couler sous sa robe, d’abord contre sa culotte et frémit sous le contact chaud des doigts contre sa peau nue, quand ils s’insinuèrent sous l’élastique, sur le côté, descendant jusqu’au pli sensuel que formaient ses fesses avec ses cuisses. Il appréciait la douceur de sa peau et la fermeté de ses courbes. La respiration haletante, elle sentit à peine, son autre main se poser sur son ventre et remonter le long de sa boutonnière. Quand elle vit le regard des hommes se tourner vers elle, elle comprit qu’il avait discrètement ouvert sa robe, dévoilant aux yeux de tous son buste gonflé son balconnet, son ventre délicatement bombé et l’intégralité de sa culotte de satin blanc recouvrant sa toison. Et encore, elle n’avait pas repéré Pierre qui avait rejoint l’étage au bras de la blonde, l’observant à demi dissimulé derrière une colonne, savourant sa semi-nudité. Elle se sentait débordée par la tournure des événements, à la fois horriblement gênée de s’exhiber ainsi devant des inconnus, mais incapable de résister aux vagues de chaleur qui la paralysaient. Malgré tout, pour échapper un peu aux regards trop directs de ses voisins, elle se libéra de la main glissée sous sa jupe contre ses fesses. Pierre crut qu’elle allait de nouveau refuser d’aller plus loin, mais hallucina quand il vit que c’était uniquement pour l’entraîner dans un des coins moins exposés de la pièce. Par ce geste, Pierre comprit que cette brune aux airs si réservés acceptait implicitement d’abandonner son corps aux caresses avides de l’homme. Ce dernier le sentit aussi et se plaçant derrière elle, vint empaumer son buste superbe, les pouces glissant sur les pointes érigées à travers son soutien-gorge. Les yeux toujours fixés sur le couple en pleine action, elle le laissa profiter sans vergogne de ses appâts, ne réagissant pas quand, se coulant dans le balconnet, il repoussa le tissu pour dévoiler ses seins. Pierre put enfin admirer sa superbe poitrine, aux pointes larges fièrement dressées au centre des ses auréoles brunes. Il vit sa bouche s’entrouvrir quand les mains vinrent soupeser les globes nus, avant de venir tirailler les pointes sombres les faisant encore plus gonfler jusqu’à devenir aussi grosses que des pointes de crayon. Elle ne réagit pas plus quand il descendit ensuite une main le long de son ventre pour palper son mont de Vénus à travers le satin. Là encore, elle tenta de garder les cuisses serrées en une ultime défense. Il remonta alors un peu pour se faufiler sous le tissu, à même le pubis, lui arrachant un petit gémissement quand il vint frôler à nouveau son clitoris. Instinctivement, elle croisa légèrement la jambe comme pour l’empêcher d’aller plus loin, mais le plaisir incontrôlé qu’elle sentait monter en elle la fit malgré elle entrouvrir les jambes, permettant aux doigts fureteurs de parcourir en toute liberté son intimité déjà bien humide. Elle se cambra sous l’exquise sensation, plaquant sans le vouloir sa croupe contre le ventre de l’homme, sentant avec précision la bosse dure de son sexe se nicher entre ses fesses. Dans le délire érotique qui la chavirait, elle était inconsciemment fière du désir qu’elle lui suscitait et ne fit rien pour fuir le contact. Pierre observait, fasciné, le ballet des doigts sous la culotte, qui, sous la pression, commençait à descendre, dévoilant le haut du triangle régulier de sa toison brune. L’homme commençait également à ne plus maîtriser son excitation face à cette superbe brune qui se livrait ainsi, et saisissant sa culotte sur les côtés, la descendit à mi-cuisses, dénudant l’intégralité de son bas ventre. Par un jeu de miroirs indiscrets, Pierre put même admirer la courbure parfaite de ses reins et le sillon profond de ses fesses. Ainsi offerte, elle ne put que laisser les doigts se nicher au creux de ses lèvres trempées, en une caresse très intime. Elle entendit le zip du pantalon de l’homme et sentit brusquement la tige dure et chaude de l’homme battre d’abord contre ses fesses avant de se couler entre ses cuisses, se plaquant contre ses grandes lèvres, affolant ses sens. Pierre voyait le gland apparaître et disparaître par-devant au creux de sa toison. Les mains crispées sur la barre de maintien, elle haletait sous la caresse perverse. La prenant par les hanches, il fit reculer pour mieux offrir sa croupe et Pierre vit le sexe de l’homme se caler au creux de ses lèvres, rentrant la moitié du gland. Mais quand Marie le sentit se nicher à l’entrée de sa grotte trempée, elle paniqua à l’idée de se laisser pénétrer et de tromper ainsi son petit ami. Son vagin se crispa inconsciemment, l’empêchant d’aller plus loin. Pierre vit alors l’homme, le sexe courbé au creux de ses cuisses, reprendre sa caresse des doigts, tournoyant sur son clitoris. Marie sentait ses bonnes résolutions fondre, surtout quand le couple sur le lit fut rejoint par un deuxième homme qui s’avança, sexe dressé vers le visage de la fille toujours pilonnée par le premier. Sans se démonter, la fille ouvrit la bouche et laissa le sexe glisser entre ses lèvres. Marie n’avait jamais osé faire une fellation à son petit copain et le spectacle des lèvres coulissant le long de la tige durcie fit craquer ses dernières barrières. Son ventre se décrispa et, inexorablement, elle sentit le gland franchir le passage étroit permettant à la tige tendue de s’enfoncer à moitié dans son ventre détrempé, lui arrachant un cri rauque. L’homme savoura quelques instants l’exquise sensation que lui procurait le fourreau brûlant enserrant son sexe, avant de pousser son avantage, finissant de la pénétrer par petits à-coups. Pierre, halluciné, vit la verge disparaître complètement entre les cuisses de Marie et le ventre de l’homme se plaquer contre la croupe ronde. Il n’arrivait pas à croire que cette jeune fille sage puisse se livrer ainsi sans retenue en public à un inconnu. La prenant par la taille, l’homme amplifia lentement ses coups de reins, ressortant presque complètement sa verge, la faisant gémir chaque fois que la large collerette de son gland franchissait l’orée de son vagin. Elle n’avait jamais ressenti de telles sensations et haletait sans discontinuer sous les assauts virils. Il sentit son ventre se faire plus accueillant et accéléra le mouvement, la prenant maintenant à grands coups de reins. Les jambes flageolantes, Marie devait se tenir fermement à la barre, fixant toujours le trio au centre de la pièce. Ils firent changer la fille de position, la mettant en levrette. Celui qui se faisait sucer vint se positionner derrière elle et, écartant ses fesses, dévoila l’abricot rougi de son sexe vite réinvesti par le sexe turgescent. Marie savait qu’elle offrait le même spectacle à son partenaire et aux autres hommes qui s’intéressaient de plus en plus à elle, mais n’en avait cure, trop concentrée sur les vagues de plaisir qui l’électrisaient. Elle fut surprise quand il arrêta brusquement ses coups de reins, se contentant de rester à moitié en elle. Elle ondula un peu des fesses comme pour l’inciter à continuer, mais devant son manque de réaction, recula instinctivement elle-même la croupe. Pierre comprit que l’homme voulait que Marie prenne l’initiative et vit ses hanches se mettre en mouvement, glissant elle-même le long de la hampe dressée. Ses lourds seins ballottant entre les pans de sa robe, la culotte toujours baissée à mi-cuisses, le visage hagard, elle offrait un spectacle des plus érotiques, avec ce sexe qui disparaissait régulièrement au creux de ses fesses. C’était la première fois que Marie prenait ainsi l’initiative et elle découvrit le plaisir d’adapter le balancement de ses reins au rythme de son propre plaisir. Complètement dépassée par les sensations de jouissance extrême qui l’envahissait, elle se concentra sur le pieu qui la perforait et se mit à pousser des gémissements incontrôlés. L’homme n’en pouvait plus de résister aux déchaînements de cette BCBG superbe et quand elle plaqua son bassin contre son ventre en faisant tournoyer ses hanches comme pour se faire encore mieux pénétrer, il explosa en elle avec un grognement. Les longs jets brûlants qui inondèrent le fond de son ventre la firent également jouir sans retenue, elle poussa un long cri qui s’atténua dans un sanglot, terrassée par la violence jusqu’ici inconnue de son orgasme. Presque avec regrets, elle le sentit se retirer d’elle, la laissant se rajuster, non sans flatter une dernière fois sa poitrine épanouie, lui murmurant au creux de l’oreille:



Tempes battantes, elle médita sur ces paroles, inconsciemment flattée d’avoir fait jouir cet homme expérimenté, mais effrayée par la réalité de son constat. Si elle ne comprenait pas comment, elle qui n’avait jamais connu que son petit ami, avait accepté de se laisser prendre ainsi par un inconnu, elle devait surtout reconnaître qu’elle avait adoré cela, découvrant des plaisirs insoupçonnés, trahissant une sensualité inconnue. Pierre qui avait adossé la blonde contre le poteau pour la prendre tout en observant Marie, avait également éjaculé entre les cuisses de sa partenaire au spectacle de la jouissance de sa collaboratrice et se dépêcha de descendre pour l’accueillir en bas.



Il la raccompagna chez elle, appréciant une dernière fois le souple balancement de ses fesses sous la robe blanche quand elle traversa la rue, la tête emplie du souvenir de sa croupe nue avalant le sexe durci. Cette fille s’était livrée au-delà de ses espérances pour une première fois, lui laissant espérer d’autres occasions…