n° 10262 | Fiche technique | 21516 caractères | 21516Temps de lecture estimé : 13 mn | 28/03/06 |
Résumé: Marie continue ses découvertes. | ||||
Critères: f h fh travail telnet voir vidéox fmast hmast intermast fellation init | ||||
Auteur : Jfcorto Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La journaliste stagiaire Chapitre 02 | Fin provisoire |
Marie continue ses découvertes du monde du plaisir.
Après sa première expérience, Marie passa une nuit très agitée. Les images de la soirée lui apparaissaient en flash, effrayantes tant elles étaient crues, mais déclenchant chaque fois, malgré elle, des bouffées de plaisir qui lui nouaient le ventre. C’est comme une porte qui s’était entrouverte sur un nouveau monde inconnu. La raison lui disait de la refermer bien vite, cette porte, de rester dans son monde rassurant mais plus austère, quand ses sens l’incitaient à franchir le pas, à aller goûter à de nouveaux plaisirs défendus mais enivrants. Elle se sentait dans la peau d’Eve avant de croquer la pomme.
Son éducation très classique et bourgeoise lui avait inconsciemment fait adopter une attitude prude et réservée, tant dans son habillement, son maintien, que sa vision du sexe. Par force elle était arrivée à se considérer comme une beauté très banale. C’est pourquoi elle était surtout fascinée par le désir qu’elle avait vu grandir dans les yeux des hommes présents à la soirée, au rythme de son abandon.
Elle s’était découvert un pouvoir de séduire, d’attirer l’attention des hommes qui la valorisaient, même si les conditions heurtaient sa morale. De même, sa vison des choses du sexe lui semblait bien étroite par rapport à ce qu’elle avait vu en une seule soirée, et sa curiosité naturelle lui donnait envie d’en savoir plus. Par contre, la gêne de s’être ainsi livrée aux assauts d’un inconnu, malgré l’intense plaisir qu’elle y avait pris, la rendait trop mal à l’aise.
Au réveil, Elle se sentait toujours indécise mais finit par prendre une décision : d’accord pour continuer l’enquête, pour en apprendre plus sur ce monde inconnu, mais refuser de se voir embarquer dans des situations aussi scabreuses que la nuit dernière.
En arrivant au bureau, elle eut un moment d’appréhension avant d’aller voir Pierre, compte tenu de la soirée précédente. Mais ce dernier, malin, l’accueillit de manière très naturelle, comme si il ne s’était rien passé.
Pierre comprit qu’il ne fallait pas la brusquer et reconnut lui-même que la soirée avait été beaucoup plus loin qu’il ne l’avait prévu. Mais au vu de sa tenue, cela avait manifestement eu des effets sur Marie. En effet, le matin, le cœur léger d’avoir pris cette décision, elle avait fait face à sa garde robe, qu’elle trouva d’un seul coup bien classique et peu en ligne avec son désir de tester sa séduction. Ayant la matinée libre, elle avait décidé de faire les magasins et fit des emplettes de quelques robes et tenues qui la mettaient plus en valeur, restant malgré tout classe sans être trop sexy. Allant jusqu’au bout de sa logique, elle avait complété ses achats par quelques pièces de lingerie moins sages que d’habitude qu’elle s’était jusqu’à présent interdit de mettre car jugées trop frivoles. Elle s’était beaucoup amusée, se sentant comme une petite fille achetant plein de gâteaux dans une boulangerie.
Elle avait choisie pour aujourd’hui un tee-shirt rouge un peu satiné ras du cou et une jupe assez légère assortie qui s’évasait à partir de la taille jusqu’au dessus du genou, dévoilant ses jambes fuselées. Tendu par sa belle poitrine, le coton soyeux marquait assez précisément le dessin de son balconnet et jusqu’à sa texture, que Pierre devina de dentelle. Il ne pouvait s’empêcher de se remémorer des images de son corps offert et ne voulait pas fermer la porte, s’il voulait avoir une chance de redécouvrir ses charmes.
Rassurée, Marie vaqua à ses occupations, notant sans déplaisir que sa tenue lui attirait de nombreux regards intéressés, assortis de compliments plus ou moins légers mais toujours flatteurs. Elle était surprise de l’impact que pouvait avoir juste une tenue sur la gente masculine.
Mais elle attendait surtout impatiemment, malgré une légère appréhension, que Pierre la rappelle. En fin d’après midi, il la convoqua.
En quelques mots, il lui expliqua comment cela fonctionnait et sur quels sites aller.
A partir du moment où elle ne pouvait être que spectateur, cela lui convenait parfaitement, aussi répondit-elle en souriant
Et il s’éclipsa du bureau.
Ce que Pierre avait omis d’ajouter, c’était que sa Webcam, sans être connectée à Internet, enregistrait tout sur son ordinateur et qu’il avait hâte d’être au lendemain pour se passer le film. Peut être qu’il y découvrirait des choses intéressantes !
Le lendemain, il arriva au bureau assez tard et croisa Marie à la machine à café.
Ce point particulier, plus la gêne qu’elle avait manifestée dans sa réponse le rendirent impatient de visionner le résultat et il partit s’enfermer dans son bureau pour ouvrir le film.
Marie apparut en gros plan à l’écran, manipulant la souris et fixant l’écran avec application. Un petit cadre en bas de l’écran lui permettait également de voir ce qu’elle regardait. Au fil de son surf, il la vit ouvrir de grands yeux quand elle commença à tomber sur des Webcams assez coquines de filles qui s’exhibaient, surprise de leur impudeur. Elle passait de Webcam en Webcam, ne semblant pas se lasser de découvrir de nouvelles filles.
Mais cela manquait d’action, et il accéléra le film, craignant de rester sur sa faim. Il commençait à désespérer quand il la vit au bout d’un moment se reculer dans le fauteuil, décroiser les jambes comme pour se mettre plus à l’aise. Se remettant en mode lecture, il se rendit compte qu’elle était tombée sur la Webcam d’un homme qui dansait devant son micro. Cela semblait amuser Marie, mais son sourire se figea quand l’homme commença à retirer son tee-shirt, dévoilant un corps musclé. Quand il attaqua le pantalon, il vit une des mains de Marie comme mûe d’une vie indépendante se poser sur son ventre et commencer un discret massage dont l’amplitude augmentait lentement, allant d’abord à frôler la base de ses seins jusqu’à les escalader progressivement. Le massage se transforma alors en palpation plus franche. Il ne rêvait pas, elle commençait bien à se caresser devant le spectacle !
Marie en effet, déjà passablement excitée par la découverte de cet univers, avait senti d’un seul coup une boule de chaleur l’embraser à la vue de l’homme à l’écran. Presque inconsciemment sa main s’était posée sur son ventre, pour naturellement monter sur ses seins qui commençaient à l’irradier d’une douce chaleur, comme pour se calmer. Mais elle ne fit qu’augmenter son désir, appelant plus de caresses, encore dans un cercle pervers.
Pierre profita de la main qui maintenant pétrissait doucement les globes opulents, et se bénit d’avoir investi dans une Webcam de qualité lui permettant de voir avec précision les pointes durcir et pointer à travers les tissus.
Il la vit jeter un coup d’œil un peu inquiet derrière elle, mais semblant rassurée par la tranquillité du bureau, elle lâcha la souris et glissa ses deux mains sous le tee-shirt. Elles entraînèrent le tissu dévoilant la fine dentelle de son balconnet noir, dégageant largement les flancs généreux de sa poitrine, révélant par transparence ses auréoles brunes bien dessinées et le détail de ses tétons dressés, que ses doigts fins vinrent agacer. Quand l’homme retira son caleçon, elle entrouvrit la bouche et sa respiration se fit plus haletante.
Marie, quand elle avait découvert le sexe de l’homme déjà dressé, avait senti comme une décharge électrique au creux de son ventre, et son autre main était venue naturellement se poser sur ses cuisses, avant de se plaquer en leur creux à travers la jupe, comme pour de nouveau calmer un feu qu’elle ne fit qu’attiser. Elle retrouvait inconsciemment ses gestes d’adolescente encore vierge quand elle avait commencé à découvrir le plaisir des caresses solitaires.
Mais sa mère l’avait surprise un jour dans sa chambre en pleine séance d’onanisme, la main plaquée sur son sexe nu. La honte ressentie, alliée au discours moralisateur et outré de sa mère, lui avait fait cesser ces pratiques à jamais, du moins le croyait-elle. Car, le souffle court, la plaisir grandissant, sa main si fit plus pressante contre son ventre, retrouvant avec délices les sensations de sa jeunesse.
Pierre vit les pans de sa jupe glisser sur ses jambes, dénudant ses cuisses jusqu’à révéler le triangle étroit de satin noir moulant son sexe. Le ballet des doigts se fit plus précis, glissant le long de sa vulve à travers le fin tissu qui marquait maintenant nettement la fente de son sexe. Marie poussa un petit gémissement quand l’homme, à l’écran, commença à se masturber, et remonta sa jupe sur sa taille, exposant complètement sa culotte étroite dessinant le relief de sa toison.
Pierre vit sa main se faufiler sous l’élastique, dévoilant un bref instant quelques boucles noires de sa toison, se glisser contre son mont de Vénus et ses doigts se nicher entre ses cuisses, directement contre sa vulve, pour une caresse plus précise. Elle ouvrit le compas de ses jambes, permettant à ses doigts un mouvement plus ample qu’elle accompagnait du bassin.
Marie, fascinée par le sexe dressé, se laissait aller au plaisir inexorable qu’elle sentait monter en elle et gémit quand ses doigts vinrent tournoyer sur son clitoris.
Mais ce fut pire quand, dans le champ de la caméra, apparut une fille blonde, nue, qui vint embrasser l’homme, fixant la caméra avec un sourire, tout en flattant son sexe de la paume. Lui appuyant sur les épaules, l’homme la fit mettre à genoux face à son sexe dressé. Sans sourciller, la fille vint lécher du bout de la langue le gland turgescent. Cela rappela la scène de la boîte à Marie, quand la blonde avait commencé à sucer son deuxième partenaire, faisant encore monter son excitation.
Jamais elle n’avait osé sucer un homme, tant à cause la perversion de la caresse que de la peur de mal s’y prendre. Aussi, sous l’anonymat d’Internet, se laissait-elle aller à apprécier la technique de la fille qui s’activait maintenant goulûment sur la hampe dressée, tout en accentuant sa caresse, essayant d’imaginer la sensation d’une colonne de chair envahissant sa bouche.
Le satin noir moulait suffisamment le ballet pervers de ses doigts pour que Pierre puisse voir un doigt se courber pour mieux disparaître manifestement dans son vagin. Il ne regrettait vraiment pas son subterfuge qui lui permettait d’admirer de nouveau cette superbe fille à demi dévêtue se donnant du plaisir.
Mais il n’était pas au bout de ses surprises comme en témoignait la porte de son bureau qui venait de s’ouvrir doucement, laissant apparaître l’homme de ménage.
Ce dernier, un jeune beur plutôt bien bâti se figea, yeux écarquillés devant le spectacle. Même de dos, à moitié cachée par le fauteuil, le tee-shirt troussé sur la dentelle noire de son soutien-gorge, ses cuisses nues, le mouvement de ses mains et les gémissements de la fille ne lui laissaient pas de doute sur l’activité à laquelle elle se livrait. Marie, toute à son plaisir, ne l’avait pas entendu rentrer et le laissait savourer le spectacle quasi surréaliste de son abandon inconscient. Jeune étudiant, il faisait ce boulot pour payer sa chambre et avait peu le temps de fréquenter des filles. Il ferma discrètement la porte et sans bruit, sortit son sexe qu’il commença à masturber, profitant sans gêne du spectacle qui lui était offert.
Marie avait fini par sentir une présence et fit tourner le fauteuil. Elle resta tétanisée à la vue du jeune homme, ouvrant juste la bouche en un cri muet, semblant hypnotisée par le ballet de la main qui coulissait sur la verge tendue. Ce dernier eut la même réaction en découvrant le corps magnifique de cette brune, une main enfouie entre ses cuisses écartées, l’autre plaquée sur son soutien-gorge. Marie ne pouvait jouer les offusquées alors qu’elle-même se permettait de se caresser dans un bureau. De plus, le sexe dressé était un hommage direct qui la confortait inconsciemment dans sa capacité de susciter le désir chez les hommes, lui embrasant les sens.
De nouveau, les appels de son corps prenaient le pas sur la raison. Il y eut un silence pendant lequel, comme un automate, il s’approcha presque à la toucher. Comme dans un rêve, il vit la main délicate se lever et venir timidement se poser sur son sexe qui sembla bondir entre les doigts fins. L’encerclant, elle commença à le masturber délicatement, faisant coulisser sa main tout le long de la verge, dégageant le gland violacé, qui palpitait à 50 cm de son visage.
Marie hésita encore un moment, mais décida de laisser libre cours à son fantasme d’enfin sucer un homme, posa ses lèvres closes sur le gland dans un baiser d’abord chaste avant de sortir un petit bout de langue. Elle découvrit alors pour la première fois le goût salé du sexe d’un homme, et trouva cela plus agréable qu’elle ne l’avait pensé. S’enhardissant, elle entrouvrit les lèvres, le laissant s’enfoncer dans sa bouche jusqu’à le sentir palpiter contre son palais. Le grognement de l’homme l’encouragea et en élève consciencieuse, elle s’appliqua à reproduire les gestes de la fille à l’écran.
Aussi Pierre vit-il les lèvres coulisser sur la hampe jusqu’à mi-membre avant de remonter lentement jusqu’au prépuce et de nouveau l’avaler, dans un mouvement qui s’accéléra, accompagnant la caresse de sa main bien serrée sur la tige de chair. Elle le sentit grossir encore plus dans sa bouche, la rassurant sur le fait qu’elle semblait bien s’y prendre.
Les mains qu’il avait posées sur ses épaules descendirent lentement sur sa poitrine jusqu’à soupeser les globes lourds qu’il vint pétrir à travers la dentelle. Marie gémit et le laissa faire glisser les bretelles sur ses bras. L’homme admira un instant les seins magnifiques qui s’épanouirent, libérés de leur carcan, avant de reprendre sa caresse à même la peau nue, appréciant la douceur et la fermeté de son buste malgré son volume. Il s’attarda sur leurs pointes dressées, tiraillant les tétons aussi larges et durs que des bouts de crayon. Instinctivement, elle s’était cambrée comme pour mieux s’offrir aux caresses. Elle avait maintenant sorti le sexe de sa bouche pour mieux le lécher sur toute sa longueur, suivant de la langue les veines gonflées.
Voulant encore plus profiter de ce corps, il se pencha et, abandonnant sa poitrine, descendit sur son ventre. Mais quand il atteignit la bande de peau nue libérée par la jupe troussée, au ras de sa culotte noire, il la sentit se crisper et resserrer instinctivement les cuisses. Ne voulant pas la brusquer, il glissa alors sur les hanches juste barrées par l’attache étroite de son sous-vêtement pour descendre ensuite sur le côté et le haut de ses cuisses en une lente caresse sensuelle. Sa patience porta ses fruits et il la sentit se détendre, ses cuisses se desserrer lentement. Voulant assurer le coup, il se contenta de continuer de tourner autour de ses cuisses, s’enhardissant juste à en flatter l’intérieur, là où la peau est la plus douce. Les sens exacerbés, Marie en arrivait maintenant à espérer qu’il aille plus loin et ouvrit plus largement le compas de ses jambes, en une invite muette. Elle ne put s’empêcher de pousser un cri rauque quand le tranchant de la main vint alors se plaquer contre son intimé à travers le satin et commencer à lui masser le sexe. Elle se mit bientôt à onduler du bassin sous la caresse. Elle ne réagit pas quand, attrapant le devant de sa culotte, il la fit glisser fébrilement jusqu’à mi-cuisses, dénudant son bas ventre, se contentant d’avaler à nouveau goulûment son sexe.
Ainsi exposée face à la caméra, Pierre put tout à loisir apprécier le détail de son intimité. Au creux de sa toison brune, il distinguait sans mal la bosse luisante de son clitoris gonflé par les caresses précédentes, et la fente bien dessinée de son sexe.
Les doigts du jeune beur vinrent dégager le bouton délicat pour mieux l’agacer avant de se glisser entre ses lèvres qui s’ouvrirent comme la corolle d’une fleur gorgée de soleil, dévoilant l’orée rose pâle de son vagin, brillant de son plaisir.
Il remonta plusieurs fois le long du sexe ouvert, lui faisant creuser le ventre. Quand il força enfin l’étroite ouverture, Marie sentit avec délice son doigt se frayer un chemin sans difficulté au fond de son vagin. Elle glissa alors une main sur ses testicules qu’elle malaxa doucement, tandis que son autre main vint lui caresser les fesses.
Elle le laissa ainsi aller et venir plus librement dans sa bouche et il en profita pour augmenter l’amplitude de son bassin. Lui calant une main derrière la nuque, il disparaissait maintenant jusqu’au trois-quarts entre les lèvres pulpeuses, son gland déformant à chaque poussée ses joues rondes.
Marie gémissait maintenant bruyamment, surtout qu’un deuxième doigt avait rejoint le premier au creux de ses cuisses pour mieux la masturber au même rythme que sa fellation, s’enfonçant sans difficulté dans le ventre trempé, l’incendiant.
L’homme commença à grogner et Marie eut un instant de panique quand elle sentit le sexe palpiter au fond de sa gorge, annonçant la venue de sa jouissance, hésitant à le laisser venir dans sa bouche. Mais le mouvement de recul qu’elle amorça quand les premiers jets brûlants vinrent cogner le fond de sa gorge fut de toutes façons freiné par la main qui lui calait la tête et elle le laissa se déverser abondamment dans sa bouche.
La sensation du liquide brûlant et salé au fond de sa gorge, alliée aux doigts qui se crispèrent au fond de son vagin lui déclenchèrent un formidable orgasme qui la fit s’arquer sur le fauteuil, le bassin agité de soubresauts incontrôlés. Déglutissant, elle avala le sperme, le cerveau en feu. Elle avait pris un immense plaisir à sucer cet homme, regrettant inconsciemment de ne pas avoir découvert ces sensations plus tôt. Cela ne faisait que renforcer son désir de continuer dans sa recherche de nouvelles sensations.
Il se retira, un peu chancelant, balbutia un « heu, merci mademoiselle » emprunt d’un respect un peu décalé après la fellation qu’elle venait de lui prodiguer et, se réajustant hâtivement, disparut.
Pierre avait également joui à l’unisson derrière son écran. Il n’en avait pas tant espéré. Cette fille était vraiment d’une sensualité incroyable et pendant qu’il admirait une dernière fois le galbe parfait de ses seins dressés et la fente luisante restée entrouverte avant qu’elle se rhabille, un peu hébétée, il essayait d’imaginer la prochaine étape où il pourrait l’emmener et lui faire découvrir de nouvelles frontières à franchir….