n° 09824 | Fiche technique | 10332 caractères | 10332 1777 Temps de lecture estimé : 6 mn |
27/10/05 |
Résumé: Un bain de minuit en couples, pas de quoi fouetter un chat, mais ça énerve... | ||||
Critères: vacances plage piscine voir exhib humour | ||||
Auteur : Bali balo |
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La journée se passe tranquille, et le soir on va au restaurant au bord de la mer. On est bien, on a bu jusque ce qu’il fallait. En sortant, on va faire un tour sur la plage. On se promène. L’écume brille, éclairée par la lune qui s’est levée au-dessus de la mer, une lune encore assez pâle… On est bien, il ne fait plus chaud, pas encore frais. On enlève les chaussures, et on marche, les pieds dans les petites vagues qui se brisent tranquillement. On dit pas mal de bêtises. Peu à peu, spontanément, sans se concerter, on parle doucement, pour ne pas ternir le charme de la nuit.
On arrive dans une petite crique tranquille. On s’assoit devant la mer, on regarde le scintillement du clair de lune sur les vaguelettes, on parle tranquillement… Et puis on se couche sur le sable pour regarder le ciel. Sophie, qui était silencieuse depuis un moment dit :
Joignant le geste à la parole, elle se lève, fait voler son débardeur par-dessus la tête, se débarrasse de sa culotte puis de sa jupe. La silhouette de son corps nu se détache sur le contre-jour de la lune. Elle est vraiment superbe, avec sa taille fine et ses hanches larges. Elle s’avance dans l’eau, nage un moment, se retourne vers nous :
L’idée de rejoindre la naïade m’émoustille un peu et, le premier, je me lève, me déshabille à mon tour et la rejoins dans l’eau. Du coup nos conjoints respectifs en font autant, et nous voilà tous les quatre à nager dans la semi-obscurité complice du clair de lune. On chahute un peu, quelques frôlements complices, quelques regards, rien de plus. L’eau est quand même fraîche. Mais ce bain de minuit est très agréable, tant par la sensation de se baigner nus dans la nature, que de le faire ensemble.
Je laisse sortir les filles de l’eau avant nous, pour avoir le loisir de les contempler, de dos, éclairées par la lune. Sophie est vraiment somptueuse. Mais le corps de Martine, quoique bien différent, n’a rien à lui envier : elle est plus fine, plus élancée. Ses cuisses sont plus minces, ses fesses moins rondes, mais plus mignonnes… N’empêche que, Sophie, elle a un cul !
C’est alors qu’on réalise qu’on n’a rien pour se sécher ! Mouillés, on a presque froid : les tétons de nos femmes sont aussi dardés que nos sexes à nous sont recroquevillés ! On se frotte mutuellement vigoureusement avec nos mains pour enlever le surplus d’eau et se réchauffer. On avait bien fait quelques vagues strip-pokers dans le temps avec des copains, mais c’était la première fois que Martine et moi nous retrouvions nus en compagnie d’un autre couple. On cache notre excitation en riant un peu trop fort. Finalement, à peine secs, on remet nos vêtements, et on rentre à la villa. Dès notre arrivée, Sophie aspire littéralement Jean-Pierre dans leur chambre. Nous faisons de même.
J’avoue que ce soir-là, en faisant l’amour avec Martine, j’ai pensé plusieurs fois au corps de Sophie… Je l’ai prise en levrette, j’adore cette position de la croupe offerte, du cul triomphant, des seins tombant sous la main, du délicieux frottement sous la verge… Je ne sais pas pourquoi elle m’a dit, après, en se coulant dans mes bras :
Le lendemain matin, je descends assez tôt. Martine dort encore, Jean-Pierre aussi probablement. Sophie est à la cuisine, en train de préparer le café. Elle est vêtue d’un tee-shirt qui lui arrive juste en bas des fesses. Difficile de voir si elle porte un string… ou rien du tout. Je m’approche d’elle sans bruit, la prend par la taille et lui dépose un baiser dans le cou.
Elle se dégage, et commence à disposer des bols sur la table. Je vais vers le frigo pour préparer le petit déjeuner.
Martine, puis Jean-Pierre arrivent ensuite. Martine jette un regard sur la tenue de Sophie. Elle est adorable, ébouriffée, dans un peignoir mis de guingois, sous lequel elle est manifestement toute nue, un de ses mignons tétons d’ailleurs est prêt à faire coucou par l’échancrure. Elle surprend un regard de Jean-Pierre, et se rajuste machinalement.
Dans la matinée, Sophie prend un bouquin et va s’allonger au bord de la piscine avec un livre. Elle est « vêtue » d’un de ces minuscules strings dont elle a le secret. Martine redescend, vêtue d’un maillot presque correct.
Sophie lit un moment, puis se lève un court instant, se débarrasse de son string et explique :
Effectivement, elle n’en a aucune… Elle plonge dans la piscine et nage tranquillement. Je suis un peu plus ému qu’il ne convient, et je n’ose pas enlever mon maillot. Je plonge aussi, et nage un peu auprès d’elle, ce dont visiblement elle n’a rien à faire. Lorsque je ressors de l’eau quelques minutes après, Martine n’a pas bronché. Mais plus tard dans la matinée, elle me glissera :
Cette phrase sibylline me surprend. Je vais pour demander une explication, Martine s’est dérobée.
Pour le repas de midi, nous nous sommes un peu rhabillés. Après le café, Martine sort sur la terrasse, s’étire au soleil. Elle se retourne vers nous :
Elle se campe sur ses jambes et, nous regardant toujours elle fait voler la petite robe qu’elle avait passée sur son maillot, défait posément son soutien-gorge, fait glisser sa culotte et s’en dégage les pieds. Elle se retourne, avance vers la terrasse, étire voluptueusement son corps nu au soleil, et s’étend, sur le dos, jambes écartées, sexe bien offert à la vue de tous. Jean-Pierre, stupéfait, a levé le nez de sa revue. Il me regarde, a un petit mouvement de tête et de sourcils admiratifs. Sophie se lève et s’approche d’elle. Elle se déshabille aussi. Les deux amies sont maintenant assises tout près l’une de l’autre… Elles vont parler à voix basse un bon moment. Nous sentons que ce n’est pas le moment de les rejoindre.