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n° 09828Fiche technique23734 caractères23734
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Temps de lecture estimé : 14 mn
28/10/05
Résumé:  Quand les femmes se déchaînent et mènent le jeu.
Critères:  2couples couplus vacances piscine voir exhib strip lingerie nopéné échange humour
Auteur : Bali balo

Série : La piscine

Chapitre 03 / 03
Piscine du soir... et Final

Les filles ont voulu aller faire du lèche-vitrine. De toute évidence, elles n’avaient pas envie de nous traîner derrière elles. Alors, nous avons passé l’après-midi sur le circuit de Kart, occupation virile s’il en est.


Nous rentrons en fin d’après midi, les filles sont déjà là, fort affairées. On prépare une grosse salade, et on de met à table, en parlant de choses et d’autres. Visiblement, ces dames ne sont pas à la conversation. Une fois le repas rangé, elles nous collent devant la télé avec la console de jeux :



Ce n’est que plus d’une heure après qu’elles nous appellent. Elles nous installent sur deux fauteuils, près de la piscine. La nuit tombant, elles ont allumé plusieurs torches de jardin. Elles disparaissent dans la petite cuisine d’été attenante et en ressortent bientôt : Sophie porte un magnifique plateau de cocktails, de verres empanachés de pailles, de parasol en papier, de tranche d’orange et de citron : une vraie pub. Martine porte un plateau de fruits colorés et le pose à côté de nous. Elle nous annonce :



Elles disparaissent à nouveau. Nous voilà comme des pachas, vautrés dans les fauteuils, sirotant nos cocktails, attendant une surprise qui ne devrait être que bonne, pour nous faire avaler les relevés de carte bleue à la rentrée…


Sophie apparaît la première, marque un temps : et puis elle marche, comme un mannequin pour un défilé de mode. Et quel mannequin ! Elle est vêtue d’une petite robe assez moulante qui met en valeur ses formes de manière tout à fait intéressante. Elle passe devant nous, fait demi-tour, et sous des applaudissements polis, va accueillir Martine, qui apparaît à son tour, vêtue d’une grande robe boutonnée sur le devant, assez vaporeuse, vaguement transparente. Murmure d’admiration. Elle aussi défile devant nous, sans un regard. Elle a toutefois du mal à reproduire l’air d’incommensurable ennui et de profond dédain de mise habituellement chez les mannequins…


Les deux filles se retrouvent devant nous, semblant toujours nous ignorer. Elles sont toutes les deux face à nous, Sophie devant Martine. Celle ci attrape alors le bas de la mini robe de Sophie, et la soulève, nous dévoilant d’abord le haut des cuisses puis un ravissant petit slip rouge vif orné de petites perles, puis son ventre plat, et un soutien-gorge assorti au slip, hyper pigeonnant et laissant deviner le haut des aréoles. La robe s’envole. Les choses deviennent intéressantes. Les applaudissements sont déjà plus nourris.


L’air toujours aussi neutre, Sophie se retourne et son slip se révèle être un string, qui met en valeur les fesses rebondies qu’il ne saurait cacher. Le petit triangle de tissu rouge en haut s’engage et se perd dans la raie des fesses, comme pour en marquer narquoisement le caractère mystérieux et interdit… Le contraste entre ce triangle rouge bien vif et ces fesses uniformément brunes est éblouissant !


L’admiration est moins discrète, plutôt « ouhai ! » que murmures, les applaudissements s’affermissent. Nos sexes commencent à ouvrir un œil.


Sophie est bien campée sur ses jambes un peu écartées. Elle nous tourne le dos, face à Martine. Elle commence alors à défaire un à un les boutons de la grande robe. Elle prend doucement son amie par les épaules, nous la présente face à nous, et fait lentement glisser la robe à terre. On découvre alors un ravissant ensemble de fine dentelle, très blanc sur le bronzage intense, bustier dont le laçage devant est un peu indiscret, et petit short, bien couvrant devant, mais derrière soulignant malicieusement le galbe des fesses dont il laisse entrevoir le bas, l’entrejambe disparaissant entre elles. Mignon et adorable.


Nos deux mannequins esquissent quelques pas le long de la piscine. Nous commençons à remuer un peu sur nos fauteuils. Les applaudissements gagnent en ferveur, nos sexes commencent à s’étirer.


Elles disparaissent à nouveau, pour revenir cette fois en maillot de bain. Celui de Martine apparaît devant relativement sage, une pièce dégageant quand même pas mal les seins, et les hanches assez haut, accentuant la silhouette élancée. Celui de Sophie tient plutôt du symbole : devant, c’est un micro string, minuscule triangle de tissu qui contient à peine le mini triangle de poils et le renflement de son sexe. Ce triangle est accompagné de deux compères cachant avec une pudeur exclusive ses aréoles. Comme sa poitrine n’est pas très grosse, les triangles sur les seins sont parfaitement adaptés, ce qui évite tout aspect vulgaire. Elles évoluent devant nous, puis se retournent. De dos, le maillot de Martine est en fait un string, avec deux fines attaches vers la taille et deux fines bretelles qui rejoignent le haut. Cela forme un ensemble terriblement sexy. Quant au maillot de Sophie, il est pratiquement invisible de dos, les attaches se confondent avec la peau, ses fesses sont complètement libres : on a vraiment l’impression qu’elle est nue.


On a la bouche sèche. On se regarde, pleins d’admiration et d’émerveillement. Rien à dire ! On réajuste la position sur les fauteuils, histoire de laisser à nos sexes un peu de place.


Les filles s’en vont, se tenant par le petit doigt. On ne sait pas trop ce qu’elles peuvent inventer de plus. Elles reviennent rapidement, pour le final : elles sont cette fois complètement nues à part un foulard noué autour d’un poignet. Souriantes, elles poursuivent leur défilé de mode devant nous, de plus en plus échauffés. Elles s’exhibent de face, de dos, de profil, nous permettant de regarder sans s’en cacher, d’admirer, de comparer… Nous restons scotchés sur nos fauteuils. Enfin, elles nous adressent un salut théâtral, sous les applaudissements cette fois très nourris.


Elles s’approchent de nos fauteuils, mais, alors que nous nous levons pour les féliciter, elles nous repoussent sans ménagement sur nos sièges, et, détachant leur foulard de leur poignet, elles le nouent autour de nos têtes pour nous masquer les yeux. Et nous prenant par la main, elles nous font lever, et entreprennent de nous déshabiller, sans un mot. Quand nous sommes nus, elles nous guident vers le bord de la piscine, et nous font asseoir sur la margelle, les pieds dans l’eau, et aussitôt nous les entendons plonger et recevons les éclaboussures.


Je n’ai pas joué à Colin Maillard depuis mon enfance, mais je sens que cette partie va nous plaire. Nous nous laissons glisser dans l’eau, et nous dirigeons vers les clapotis que font les filles. J’effleure un sein, je crois reconnaître celui de Martine, mais elle s’esquive, et ma cuisse touche une fesse, bien poilue. Ce n’est pas ce que je cherche. Une main effleure ma queue, exerce une discrète pression et s’envole. Je plonge dans cette direction et agrippe des hanches pleines et voluptueuses, qui ne sont pas celles de Martine. Je l’attire vers moi, jusqu’à sentir ses fesses au contact de mon sexe, la plaque contre moi et pars à la découverte de ses seins. Elle s’échappe vivement pendant que Martine m’attaque par derrière pour me retenir.


Mais je sens qu’elle lâche prise, elle-même happée par une autre paire de bras. Et puis je la sens passer très vite à côté de moi, je n’ai pas le temps de la retenir. À un moment, je sens un baiser furtif sur mon sexe, et tout de suite un corps passer entre mes jambes. Je le bloque, et j’ai tout le loisir de reconnaître les fesses de Sophie, et d’insinuer ma main entre ses cuisses écartées. Mais très vite elle se retourne, et se dégage d’une grande poussée sur mes fesses. Et tout de suite, je sens la main de Martine qui me sert douloureusement les couilles. Je trouve ses épaules, et appuie dessus pour amener son visage sous l’eau au niveau de mon ventre. J’entends un gargouillis, elle se débat, je lui plaque son visage contre mon sexe, mais je sens les seins de Sophie contre mon dos et ses cuisses autour de mon bassin. Je lâche Martine, qui peut enfin respirer, j’arrive à faire un rapide demi-tour pour me trouver face à mon assaillante, qui a toujours les jambes autour de mon bassin, ma verge est maintenant contre son sexe, j’agrippe ses fesses et la plaque contre moi. Elle fait quelques rapides frottements puis, d’un coup de reins, elle s’éloigne en riant. J’entends également Martine qui glousse :



Le jeu continue, de plus en plus énervant, toujours fait de caresses esquissées, de contacts inaboutis, au hasard… Au hasard, pas tant que ça, puisque si les hommes sont aveuglés, les filles ne le sont pas et ce sont bien elles les maîtres du jeu !


Quand nous n’avons plus rien trouvé depuis un moment, nous enlevons nos bandeaux, et trouvons les deux filles debout sur le bord de la piscine applaudissant en rigolant :





chap 4 : Final




Nous sortons de l’eau. Sophie me tend une serviette de bain :



Je la frotte vigoureusement, puis plus doucement sur des régions réputées fragiles. Arrivé au bas ventre, mes mouvements se font plus doux, plus délicats, pas trop quand même ! Et bien sûr mon sexe commence à réagir. Martine lui donne une petite tape :



Et elle lui fait des caresses comme à un petit toutou en lui disant des mots gentils. Le toutou en question commence à redresser la tête.



Martine se retourne vers lui :



Martine me surprend. On n’avait jamais envisagé ce genre de situation… Et elle se met à genoux devant Jean Pierre, et prend son sexe entre ses mains.



Et les deux filles nous entreprennent. Martine, méticuleuse, a pris presque religieusement l’engin de Jean-Pierre entre ses deux mains, et le branle doucement et méthodiquement, tandis que Sophie me fait des agaceries du bout des doigts, avant de le prendre dans sa main et de commencer un va-et-vient très doux. À ce train là, et dans l’état d’excitation où nous a mis le jeu de Colin Maillard, les érections sont rapides et vigoureuses. Quand je sens que ça commence à bientôt trop faire, j’interromps le jeu



Les filles s’écartent et nous contemplent. À vrai dire, la queue de Jean Pierre est plus grosse que la mienne, ce qui n’a pas une importance fondamentale. Par contre, nous bandons tous les deux biens durs !



On est tous les deux, là, avec notre érection… Désignant sa queue du menton, Jean-Pierre demande :



Elle s’agenouille devant son homme, approche sa bouche… Martine, décidément de plus en plus surprenante, l’arrête :



Tu parles si les mecs sont d’accord ! Jean Pierre et moi nous étendons sur les matelas au bord de la piscine, et les filles s’installent commodément à côté de nous. Ça me fait tout drôle de voir la bouche de Martine s’approcher de celle d’un autre homme, mais je suis très rapidement consolé par le contact de la langue de Sophie. Elle est plutôt moins délicate que Martine, qui déploie toujours mille préliminaires du bout des lèvres et de la langue avant de l’engloutir. Par contre, l’impression que Sophie va me happer complètement lorsqu’elle le prend en bouche est absolument prodigieuse.


Martine a plus de mal avec la bite de Jean-Pierre, plus épaisse. Elle la lèche par côté, comme un esquimau, puis prend le gland entre ses lèvres, en le titillant du bout de la langue et en branlant doucement le manche. Sophie, elle, a dégagé le mien de sa bouche, et elle me baise maintenant voluptueusement les testicules, qu’elle prend ensuite en main pour remonter sa bouche tout le long de ma verge, baisant et léchant, jusqu’au gland, avant de m’engouffrer à nouveau presque jusqu’à la racine. J’ai l’impression qu’elle va aspirer et me vider complètement de ma substance ! J’aperçois le bout pointu de la langue toute rose de Martine qui taquine le tour du gland de son partenaire. Et puis, finalement, elle arrive à en engouffrer pas mal.


Enserrant d’une main la base de ma verge, Sophie entame un va-et-vient de sa bouche, appuyé d’abord, puis plus léger, mais plus rapide. Elle a la science merveilleuse de rester en deçà de la douleur, mais au-delà du plaisir. Martine triche un peu et complète les mouvements de va-et-vient de sa bouche, par des mouvements synchrones de sa main autour du membre, de plus en plus dressé. Quand elle sent que je vais jouir, Sophie ne manifeste pas du tout le désir de se dégager, au contraire : elle me happe encore plus profondément, encore plus à fond, encore plus fort, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche. Je sens les jets de sperme, qui me semblent bien plus longs et abondants que d’habitude. J’imagine sa bouche toute pleine, mais elle a une capacité prodigieuse. Elle relève la tête, finit d’avaler, et me demande :



Un peu hébété quand même, je regarde du côté de Martine et Jean-Pierre. Elle a sorti la queue de sa bouche et la branle vigoureusement pour recevoir voluptueusement le sperme sur son visage d’abord, puis sur ses seins. Elle se redresse, recueille la semence sur son visage avec ses doigts, qu’elle suce comme elle ferait d’une crème. Puis, regardant Jean-Pierre droit dans les yeux, avec son sourire le plus pervers, elle étale le reste sur ses seins, doucement, dans une caresse d’une infinie douceur d’abord, puis plus rapide, plus ferme. Elle est à genou par terre, assise sur ses talons, elle écarte les genoux et tout en continuant à caresser ses seins d’une main, elle descend l’autre vers son ventre, vers sa fente, glisse un, puis deux doigts dans sa minette, caresse son clitoris, abandonne ses seins, et se masturbe frénétiquement à deux mains, deux puis trois doigts dedans, d’autres sur le clitoris dans un tourbillon hallucinant. Elle rejette la tête en arrière, les yeux révulsés, elle est agitée de spasmes, pousse un gémissement de jouissance.



♥ ♥ ♥


Pendant que Martine est allée sous la douche, Sophie s’est absentée également. Nous restons avachis sur nos matelas, encore sous le charme… Les filles reviennent :



Nous allons chercher une bouteille de champagne au frigo, l’appareil à musique et quelques CD. Jean Pierre met un slow hyper langoureux. Pour commencer, j’ai pris Martine dans mes bras, nous sommes bien serrés l’un contre l’autre, sirotant une flûte de champagne. Sophie et Jean-Pierre font de même. On est tous les quatre, nus, à danser un slow au bord d’une piscine paradisiaque… Elle est pas belle, la vie ? Suit une danse nettement plus agitée, qui nous permet de vérifier la fermeté impeccable des seins de nos compagnes, qui se déhanchent furieusement autour de nous. À vrai dire, nous restons quasi immobiles à les regarder… Une fois la danse finie, elles se précipitent sur le champagne.


Pour le slow qui suit, nous échangeons nos partenaires. Les plaisanteries se font moins vives, les mains ne sont plus à la taille, mais déjà sur les fesses ou derrière les épaules pour mieux sentir les seins contre sa peau. Mon érection devient indiscrète, mais je n’en suis plus gêné. Un coup d’œil vers Martine et Jean Pierre. Elle s’est retournée, et je vois une main de Jean Pierre lui caressant les seins, l’autre partant à l’exploration de son bas ventre… J’imagine la bite de J.P. dressée tout contre ses fesses… Soudain Sophie renverse la moitié de la coupe entre nous, éclaboussant ses seins, mon torse, nos ventres… Alors, tout naturellement, pour ne rien laisser perdre, je lèche la précieuse boisson sur elle. Je prends ses seins dans mes mains, et lèche précautionneusement les bouts et les aréoles, puis tout le sein, puis entre eux. Je descends, jusqu’à son nombril, puis jusqu’au petit triangle de sa toison. Elle se retourne d’autorité, et je me trouve en face de ces fesses tant convoitées. Je les regarde, émerveillé, et je dépose un tas de petits bisous dans le creux au-dessus du sillon. Puis je descends doucement, sans insister, sans pénétrer, tout le long du sillon.


Martine, elle, a largement écarté les cuisses pour laisser errer la main de Jean Pierre, dont les caresses se font plus précises : j’aperçois un doigt pénétrer doucement dans son vagin, j’aperçois un doigt qui a trouvé le clitoris et l’explore…


J’imprime une légère pression sur les hanches de Sophie, elle tombe à genoux sur le matelas, les genoux écartés. À genoux derrière elle, je l’enlace, prend ses seins, son ventre, son sexe en couvrant son cou de baisers furieux. Toujours à genoux, elle s’est renversée en arrière. Je verse du champagne sur son torse, et caresse, caresse, lèche, embrasse. Elle a largement écarté les genoux, mes doigts la pénètrent sans difficulté, accueillis qu’ils sont par l’excitation. Ma langue va recueillir les gouttes de champagne qui égouttent en bas de son ventre, et le mélange avec les gouttes de son plaisir est extraordinaire.


Martine et Jean Pierre sont en position de soixante-neuf. Il lui broute le minou sauvagement pendant qu’elle poursuit son apprentissage de gorge profonde.


Sophie est restée sur les genoux écartés, mais elle s’est maintenant penchée en avant, la tête appuyée sur ses coudes… Alors, là, c’est magnifique. Le cul de Sophie, somptueux, triomphant, formidable, là, pour moi. Religieux ! Je m’approche, subjugué par le spectacle, ce sexe long, large, amazonien, bordé de ses poils frisottés, mais qu’elle a rasés plus haut, autour de son petit trou au faux air d’innocence. Je tombe à genoux et je l’embrasse. Petits baisers d’abord, comme pour se présenter et pour faire connaissance. Exploration avec la langue ensuite, les abords d’abord, bien méticuleusement, au bord des grandes lèvres, autour de la petite porte…


Je reprends la bouteille de champagne et la vide entre ses fesses. Et puis, écartant doucement ses fesses à deux mains, je lape le liquide à grands coups de langue, sur toute la hauteur, du haut de la raie des fesses jusqu’à son petit bouton. Et puis je caresse, avec le tranchant de ma main d’abord, avec un, deux, trois doigts…


Elle a bien creusé les reins, et son sexe est là, devant moi, ouvert, presque béant, comme appelant ! J’y engouffre ma langue, ma main, ma bite, et à nouveau la langue… J’écarte les fesses au maximum, pour y enfourner mon visage, ma bouche, mon nez… J’écarte encore, titille le petit trou avec le bout de ma langue, puis le lèche, titille encore, essaye de le pénétrer. Ma langue bute, je mets un doigt, puis deux, Sophie gémit, et ce n’est pas de douleur.


Martine chevauche maintenant J.P., furieusement, en prenant ses seins à pleine main et en criant. J’ai pénétré Sophie, son sexe autour du mien. J’essaye de goûter à fond ce contact, de m’enfoncer au plus profond, j’entame le va-et-vient, sortant presque complètement, et m’enfonçant à nouveau jusqu’à la garde. Mes mains tantôt enserrent ses hanches, tantôt écartent ses fesses comme pour l’ouvrir en deux. Cet œil noir qui me regarde m’appelle, et, au bout de quelques va-et-vient dans son vagin, je me présente à l’entrée de petit trou, déjà bien travaillé par mes doigts. Mon sexe est déjà tellement lubrifié, tellement dur et elle tellement offerte que je pénètre presque sans difficulté. Une de mes mains lui creuse les reins, tandis que l’autre est retournée en bas : mon pouce a pris la place de ma verge, et laboure son vagin et son clitoris. Elle geint, je la pilonne furieusement, ma queue bien serrée, à chaque avancée la jouissance s’approche, je sens qu’elle va jouir, elle crie, elle jouit, je jouis, j’éjacule, j’explose, je me désintègre, je me pulvérise, je me vide en trois ou quatre giclées orgiaques,… Orgie de cul !


J’en ai des petites bulles devant les yeux, je m’écroule sur le matelas à côté d’elle, à l’état de ballon de baudruche vide… Martine est affalée à côté de J.P. sur le dos, cuisses repliées et écartées, les deux mains sur le sexe… Elle se tourne sur le côté, en chien de fusil, toujours les mains entre les cuisses.


Sophie prend la bouteille, la regarde, la retourne :




FIN