n° 09897 | Fiche technique | 70960 caractères | 70960 11749 Temps de lecture estimé : 47 mn |
19/11/05 |
Résumé: Nathalie, mairesse d'une petite ville, Ségolène, son assistante, Elisabeth, papesse des grands crus. Vendanges tardives, ou vengeances tardives ? A vous de le découvrir. | ||||
Critères: fh ffh grp fbi hbi fplusag amour vengeance trans facial fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo hdanus partouze | ||||
Auteur : Balou (Epicurien, amoureux des Femmes) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Vendanges tardives Chapitre 01 | Épisode suivant |
Il pleuvinait. Ses talons aiguilles résonnaient sur le trottoir mouillé. Elle serrait les pans de son manteau contre sa poitrine. Cinq heures du matin à Beaune, en bas résilles et guêpière, elle rentrait chez elle.
Grande jeune femme blonde, la cinquantaine, Elisabeth attirait inexorablement le regard des hommes. Des cheveux dorés mi-longs, une grande et belle bouche pulpeuse, un petit nez en trompette, des yeux bleu azur, une démarche souple et svelte, voilà le portrait de cette bourgeoise de province.
Elle trouva sa Mini garée plus loin, s’y engouffra et démarra en trombe. D’une pichenette, elle actionna le lecteur CD. Le "Nabucco" de Verdi emplit l’habitacle.
« Mon mari est un nase » pensa-t-elle. Pourtant elle ne divorcerait pas, lui non plus d’ailleurs n’en avait pas envie, cela risquerait de détruire leur image de marque dans la région. En tant qu’homme public, son mari se devait d’être exemplaire. Elisabeth, quant à elle, possédait un domaine viticole qui lui permettait de vivre en toute indépendance financière. Leur fille unique étudiait à Paris, et elle se foutait royalement de la vie dissolue que menaient ses parents.
Tout en conduisant vers son manoir, Elisabeth se remémorait la soirée écoulée. Elle avait snifé comme tout le monde un peu de substance illicite pour se mettre en forme. Bernard, son maître de chais, l’avait rapidement mise à l’aise; ensuite au fil de la soirée, la partouze avait débuté pour se terminer il y a près d’une heure.
Ensuite, il lui avait bandé les yeux pour la guider vers le club des « onze mille verges ». Elle avait prodigué plusieurs fellations d’affilée, sans connaître l’identité des mâles élus.
Bernard était non seulement son spécialiste en vinification, mais aussi son amant et son maître de sexe. Il ressemblait à un célèbre ex-animateur d’émission littéraire, avec ses petites binocles et ses cheveux bruns légèrement bouclés.
* * * * *
Balou rentrait chez lui à pieds, sa voiture était en panne. Son pub préféré avait fermé, cette marche allait le dégriser un tant soit peu, pensa-t-il.
La pluie semblait avoir cessé. Il aperçut à une centaine de mètres, une petite voiture qui roulait à vive allure. « Il y a vraiment des gens tarés au volant » fut sa dernière pensée avant de voir la voiture faire une embardée en voulant éviter le chat qui gambadait au milieu de la rue.
Le véhicule renversa plusieurs poubelles, il glissa sur la chaussée humide. Les pneus crissèrent douloureusement. Enfin, la mini rouge stoppa à quelques mètres de Balou, au bord du trottoir.
Balou courut porter secours au conducteur. Il ouvrit la porte et une tignasse blonde s’affala à ses pieds.
« Sacrebleu, une Nana !». La fille se rattrapa aux bras de Balou et vomit dans le caniveau. Il constata qu’un talon de ses escarpins était brisé, et écarquilla les yeux lorsqu’une cuisse « résillée » apparut entre les pans déchirés du manteau.
Elisabeth releva pour la première fois la tête vers Balou, elle le dévisagea avant de lâcher :
Balou reconnut immédiatement la jeune femme, Elisabeth Dupont, la propriétaire de la célèbre Maison Dupont, propriétaire éleveur de grands crus. Il ne dit rien et l’aida à remettre de l’ordre dans sa tenue.
Elle s’assit au volant, claqua la porte et actionna le démarreur.
Peine perdue, la voiture ne démarrait plus.
Balou s’éloigna, mains dans les poches, « voilà ce qui arrive lorsqu’on joue au bon samaritain, ça m’apprendra », pensa-t-il.
Une portière claqua.
Elle le regarda ahurie, se sentant découverte et prise en faute.
Balou déverrouilla le capot moteur. À l’aide d’une lampe torche prêtée par Elisabeth, il tenta de vérifier l’état du moteur et du circuit électrique. Puis il se remit au volant pour essayer de redémarrer la Mini.
Le moteur crachota quelques instant, avant de s’arrêter définitivement.
En fait, Elisabeth s’aperçut qu’elle n’avait pas les papiers du véhicule, aucun moyen de rejoindre son domaine.
Fébrilement, elle tapota le numéro de Bernard. La voix nasillarde de la messagerie s’enclencha, là aussi chou blanc.
Balou la regarda, il remarqua son désarroi.
Au bout de quelques minutes de palabre, Elisabeth décida d’accompagner Balou. « Je vais me réchauffer pendant une heure, ensuite j’aviserai » pensa-t-elle. « Il est hors de question que mon mari apprenne mon escapade nocturne ».
Elle avait froid et frissonnait nue sous son manteau. Il s’était remis à pleuvoir, l’air froid s’insinuait entre ses cuisses. Elle sentait les bouts de ses seins pointer, mais ce n’était pas de désir. Sa guêpière la serrait un peu trop. Elle se sentait fatiguée après cette nuit de luxure, à marcher en compagnie d’un inconnu qui lui avait offert son hospitalité. « Après tout il est sympa, et serviable, ce qui est tellement rare à notre époque » se dit-elle en resserrant le col de son manteau.
L’appartement de Balou était un modeste deux-pièces de célibataire. « L’ordre ne règne pas vraiment ici » pensa Elisabeth en pénétrant dans le salon.
Elisabeth se regardait dans le miroir défraîchi. Le lavabo n’était pas de prime jeunesse non plus.
« Je suis vraiment une vieille salope » se dit-elle en se regardant dans la glace. La cinquantaine légèrement entamée, Elisabeth disposait encore de beaux atouts. La chevelure blonde, ses yeux bleus, sa démarche féline, sa bouche pulpeuse, attiraient encore les hommes. La peau de son cou était encore ferme comme celle de son ventre et de ses fesses.
Elle fila sous la douche. L’eau chaude lui fit le plus grand bien. « Prenez un drap de bain, et mon peignoir » avait suggéré Balou derrière la porte de la salle de bains. Elisabeth se savonna vigoureusement en appréciant la douce chaleur de l’eau.
Balou s’activa dans la cuisine. Il dénicha des croissants surgelés qu’il passa au micro-onde. L’odeur de café embaumait l’appartement. « Nom d’une pipe cette femme a de la classe, c’est bien ma veine, j’ai intérêt à assurer » pensa Balou.
Il était fébrile, n’ayant pas pour habitude de recevoir des femmes de ce standing. Ses maîtresses ou compagnes étaient généralement issues de la classe moyennement ouvrière et jamais il n’avait eu l’occasion de côtoyer de gens de la jet set. « Allons mon gars, ce n’est qu’une nana, faut te ressaisir » lui souffla une petite voix.
Elisabeth éclata de rire en voyant Balou sursauter devant elle. Il avait le dos tourné et préparait un plateau de café avec croissants.
Elle dévora les croissants avec grand appétit. Balou la détailla, lui jetant des regards appuyés entre deux gorgées de café. Elisabeth portait son peignoir, bien trop grand pour elle. Ses cheveux mouillés lui donnaient un air de gamine polissonne.
Elle sourit.
Tous deux devisèrent ainsi de longues minutes sur la vie en général, mais aussi sur leur vécu respectif.
« Je me suis trompé sur ce garçon » s’avoua-t-elle, « il ferait presque le gendre idéal ». Elle détailla Balou discrètement. Grand brun, une barbe de deux jours, des cheveux coupés courts, une allure élancée, beau trentenaire ténébreux. Il était aux petits soins avec elle, et surtout il faisait un bon café !
Ils se regardèrent yeux dans les yeux. Aucun des deux ne voulait rompre l’enchantement de ce moment délicieux, fait de silences et de sous-entendus.
Eli se leva de table. Un pan du peignoir desserré, laissait entrevoir une cuisse blanche fuselée. Elle se dirigea lentement vers la salle d’eau. Balou la suivit des yeux.
Elisabeth sentait le regard de Balou peser sur elle. « Allons, ma vieille, tu te fais des idées. S’il savait la nuit que j’ai passée, il prendrait ses jambes à son cou ».
Balou alluma une cigarette. Il toussota car la nuit dernière il avait déjà abusé du tabac en dégustant des breuvages irlandais avec ses potes. « Sacrée bonne femme » se dit-il, « elle a du tempérament à revendre, j’en suis sûr ».
Enveloppée dans son manteau pour cacher sa presque nudité, Eli se tenait dans l’encadrement de la cuisine.
Revêtue du tricot de laine, Elisabeth ressortit de la salle de bain. Elle appela un taxi, puis son garagiste.
Balou, avait un petit pincement au cœur, il aurait bien voulu qu’elle reste encore un peu en sa compagnie.
Ils se firent de chastes bises sur les joues, puis Elisabeth dévala les escaliers pour rejoindre son taxi. Elle lui avait lancé « Nous restons en contact, d’accord ? ».
Balou tint de longues minutes contre son visage, le peignoir qu’Eli avait porté. Il respirait l’odeur de cette femme. Son parfum, il le photographiait olfactivement pour le conserver en lui…
* * * * *
Plusieurs jours passèrent. La ville de Beaune était en pleine effervescence, un scandale financier secouait la cité, obligeant le maire en poste à démissionner. Il s’agissait du mari d’Elisabeth.
Le même jour Balou reçut par transporteur une caisse en bois de douze bouteilles d’un excellent grand cru. Elisabeth le remerciait pour son hospitalité. Balou était ravi, sa belle blonde BCBG ne l’avait pas oublié. Il se promit d’aller la voir au domaine pour la remercier personnellement, mais il fallait attendre que la tension politique soit retombée.
Nathalie Vaillant fut élue mairesse après des élections anticipées. Balou avait voté pour elle, non qu’il fût un passionné de politique, mais il appréciait les idées de cette jeune femme de la même génération que lui. À 37 ans, Nathalie entrait par la grande porte « politicienne ». Brune, jeune femme élancée, cheveux courts, elle incarnait la nouvelle vague. Dynamique, bonne économiste, elle ralliait à elle la majorité des suffrages.
Balou avait déjà eu l’occasion de discuter avec elle lors d’un salon où l’entreprise qui l’employait vendait des biens d’équipement aux collectivités. Ils avaient vite sympathisé autour d’un verre. Balou apprit que Nathalie était mère de famille, qu’elle avait deux enfants, un mari informaticien.
Les liens professionnels qui les unissaient allaient certainement se renforcer dans les semaines à venir.
« Vous avez un nouveau message ». Balou assis devant son écran, cliqua immédiatement vers l’icône concernée. Il lut attentivement le mail, un sourire aux lèvres. Nathalie lui confirmait leur entrevue pour le lendemain matin. Il s’agissait d’équiper les Ateliers Municipaux de diverses fournitures servant à gérer les espaces verts de la municipalité. Un marché juteux pour Balou.
A l’heure prévue, Balou se présenta à l’hôtel de ville. Nathalie le reçut chaleureusement avec une poignée de main ferme, mais douce.
Habillée d’un tailleur bleu marine, tout le charme de la mairesse était palpable. La jupe bien taillée permettait d’apprécier le galbe des jambes fuselées de bas noirs, elle moulait admirablement les hanches et le fessier. Balou n’en perdait pas une miette. Leur conversation dura presque deux heures, où argumentaires, plans, étude de la proposition commerciale, se débattaient passionnément entre eux.
Leurs regards se croisèrent. Les yeux verts de Nathalie hypnotisaient Balou. L’instant était magique. Ils restèrent ainsi à se dévisager sans retenue. Avec un sourire en coin, Nathalie laissa ses pensées libertines vagabonder vers son interlocuteur. « Décidément, je suis folle, c’est l’approche de la quarantaine qui démultiplie mes envies sexuelles », se dit-elle. Elle gigota sur son fauteuil. Elle se voyait prise par derrière, debout, le ventre plaqué contre son bureau, fesses offertes à Balou. Il la sodomisait lentement en caressant ses hanches fines. Inconsciemment Nathalie entrouvrit ses lèvres, le bout rose de sa langue apparut à la vision de Balou. « Bonté divine, elle me drague ou quoi ?», songea Balou, « il est vrai qu’elle a une belle bouche dessinée pour l’amour, il devait être délicieux de se perdre entre ses lèvres de soie ».
Pendant un bref instant, Nathalie s’était déconnectée de la réalité. Elle rougissait légèrement, ce qui rajoutait encore à son charme indéniable.
« On dirait que ce mec lit dans mes pensées, il faut que je retrouve mon sang-froid ». Nathalie se sentait prise en faute. Pourtant, ce moment était plaisant. Elle se sentait comme une adolescente partant à la découverte de ses envies.
Ils quittèrent la mairie à pied pour la vielle ville.
Le repas se déroula de la meilleure façon qui soit. Au café cependant, Balou remarqua que le regard de son invitée se perdait souvent dans le vague.
Balou sentait que le courant passait bien entre eux. Nathalie ne le laissait pas insensible non plus. De plus, il avait également remarqué son enthousiasme, ses petits sous-entendus, ses non-dits, lors du déjeuner. Ils avaient refait le mode, et chacun avait lâché quelques informations personnelles sur sa vie privée.
Nathalie regardait les mains de Balou. Elle les imaginait courant sur son corps, caressant sa poitrine, ses hanches, son ventre.
Elle gloussa. Ils rejoignirent l’Hôtel de Ville en marchant côte à côte. Leurs mains parfois se frôlaient, ils riaient, heureux d’être ensemble.
D’autorité, elle ferma la porte à clé. Balou l’avait vu faire.
Nathalie, debout face à Balou, lui prit la main et la porta à sa joue. Puis, elle déposa un doux baiser au creux de sa paume.
Balou se rapprocha d’elle. Lentement leurs lèvres se rapprochèrent. Nathalie se colla à Balou, leurs bouches se soudèrent ensuite dans un baiser passionné. Leurs langues jouaient une sarabande infernale. Les mains caressaient, pétrissaient, se découvraient.
Balou se débarrassa de sa veste, Nathalie déboutonna sa chemise, ensuite elle embrassa la velue poitrine. Balou s’adossa au mur, lorsqu’il vit sa cliente déboutonner son pantalon pour en extraire une verge déjà tendue.
Pantalon tirebouchonné à ses pieds, Nathalie lui administrait une caresse buccale qui le fit chavirer. Il se voyait disparaître dans cette bouche douce et chaude. Les lèvres de son amante le pompaient lentement, sa langue virevoltait sur lui. Il haletait, déjà au bord de l’explosion.
Mais Nathalie arrêta également sa succion.
Elle présenta à Balou son fessier relevé, cambrée, le ventre collé au meuble et jupe relevée.
Balou caressa tout d’abord les fabuleuses fesses rondes et fermes. Ensuite, il frotta son gland violet et circoncis contre les lèvres intimes humides. Cet attouchement déclencha un râle de bonheur à Nathalie. D’une poussée il la pénétra jusqu’à la garde, en agrippant les hanches fines. Nathalie poussa un juron, elle était remplie entièrement. Son ventre palpitait autour de l’énorme hampe qui la pilonnait inlassablement. Balou laissait ses mains courir sur la peau de son dos, sur ses flancs. Ensuite il introduisit un, puis deux doigts dans le pertuis défendu, heureux de constater la facilité de dilatation de la petite rondelle. À nouveau Nathalie gémit d’aise. Cette double pénétration la rendait folle de plaisir.
Balou guida Nathalie pour la faire agenouiller, toujours en elle. En levrette, il continua à la besogner sur la moquette. Chaque coup de boutoir la secouait comme un fétu de paille. Elle hoquetait, ses ongles griffaient le tapis. Son ventre brûlait d’un feu grégeois. Elle jouissait enfin, emportée dans une divine extase. Elle mordait dans sa main pour étouffer ses hurlements.
Soudain, Nathalie sentit que Balou se retirait. Immédiatement elle écarta à deux mains ses fesses pour faciliter la pénétration anale.
Enfin il était en elle, il la possédait. Balou en avait rêvé. Nathalie savourait ce moment si particulier, son fantasme se réalisait aussi.
Assise à son bureau, Ségolène perçut un feulement dans le bureau de Madame la Mairesse. Elle avait une ouïe très fine qui lui rendait bien des services. « Ma parole, ils baisent !», se dit-elle, le rouge aux joues. Elle se rapprocha et colla son oreille à la paroi de la porte. « Oui incontestablement, ils font l’amour ». Elle entendait les gémissements de sa patronne, mêlés à ceux de Balou. Elle aurait bien aimé être avec eux…
Ségolène était une jeune femme brune, cheveux longs légèrement ondulés, fine et toujours souriante. Un visage angélique complétait son fin minois. Elle était de la même génération que Nathalie, fidèle et loyale depuis plusieurs années. Mais là, Nathalie faisait fort, jamais elle n’aurait pensé que sa patronne oserait faire ça au bureau…
Elle eut soudain chaud. Son entrecuisse s’humidifiait, se lubrifiait pour réclamer son dû. « Je ne vais tout de même pas me masturber ici ? », fut sa seule pensée sensée avant que sa main ne relève sa jupe et s’engouffre dans la luisante fente, l’autre caressant la douce peau épilée.
Balou accéléra encore sa cadence. Son ventre claquait contre les fesses de Nathalie, qui elle-même se masturbait. Elle sentait le poids de Balou sur elle. Lentement, elle fléchit, Balou sur elle. Il jouit ainsi entre ses fesses, presque couché sur Nathalie. Le plaisir déferla en eux par vagues successives. Ils hurlèrent leur joie ensemble dans un tourbillon merveilleux.
Balou embrassa le dos de son amante, sa bouche remonta vers sa nuque. Il se retira lentement d’elle, puis ses lèvres déposèrent une multitude de baisers sur les fesses de Nathalie.
Tous deux reprenaient leur respiration, allongés sur la moquette.
Elle se lova contre son amant, et les yeux dans les yeux elle ajouta :
Balou lui sourit.
Puis ils éclatèrent de rire.
Nathalie fondait devant cet homme. Elle avait à nouveau envie de lui. Sa main masturba délicatement le membre flasque. Balou se laissa faire. Sa vigueur reprit et dans une infinie tendresse il pénétra Nathalie dans la position la plus conventionnelle. Ils jouirent encore. Nathalie griffa le dos de Balou, elle lui mordit le bras. Lui, essaya de se retenir le plus longtemps possible face à cette femme déchaînée dont la passion le surprenait quelque peu.
Habillée, remaquillée, la belle mairesse papillonnait dans l’hôtel de ville. Elle avait constamment un sourire aux lèvres, bref elle était radieuse. Balou l’avait quittée peu avant, en lui promettant de la revoir. Elle avait lâché après un dernier baiser « Je crois que je suis amoureuse de vous ». Ensuite, elle avait refermé la porte de son bureau.
Ségolène avait dévisagé Balou lorsqu’il passa près de son bureau.
« Fichtre, elle en a de la chance, Nathalie !», pensa-t-elle.
Assise, jambes croisées, elle demanda à son assistante de s’asseoir en face d’elle.
Nathalie se releva et s’approcha de Ségolène. Celle-ci se leva à son tour. Les deux femmes s’enlacèrent et s’embrassèrent à pleine bouche.
Ségolène lui rendit son baiser. Elle serrait Nathalie fortement contre elle, puis ajouta :
Elles pouffèrent de rire, telles deux collégiennes chapardeuses.
* * * * *
« Sacrée journée », se dit Balou en s’endormant ce soir-là dans son lit de célibataire.
Ce samedi matin, il s’était promis d’aller remercier Elisabeth pour son cadeau, c’était la moindre des choses. Il l’avait appelée pour la prévenir, elle était ravie, « Je vous ferai visiter le domaine, et nous goûterons quelques crus », lui avait-elle proposé. Il s’était évidement vite empressé d’accepter, étant amateur de bons vins lui aussi.
Une Elisabeth en « Milady farmer » l’accueillit par une chaude poignée de mains.
Elisabeth colla ses lèvres sur les joues rasées de frais de Balou, ce qui le surprit agréablement. Elle portait une veste de velours couleur rouille, un pantalon écossais, une épaisse chemise assortie à sa veste, d’affreuses bottes complétaient le tableau.
Elisabeth pouffa de rire. Sa belle chevelure blonde ondulait dans le petit vent.
Balou lui emboîta le pas, ils descendirent dans les chais.
Elle lui fit visiter les caves où étaient entreposées les barriques pour les mois à venir. Elle lui expliqua le processus de la récolte, la mise en barrique, la vinification. Balou écoutait attentivement, tout en admirant cette flamboyante quinquagénaire.
Ensuite ils dégustèrent quelques verres de grands crus.
La conversation dérapait délicieusement, c’est du moins ce que pensait Elisabeth, « ce garçon est euphorique, serait-ce déjà l’effet du vin ? «
Balou regarda Elisabeth, elle s’était rapprochée de lui, elle plaqua une main sur sa braguette.
Tout de suite, sa langue suça son lobe tendrement.
Elisabeth continua de masser l’entrecuisse de Balou. Elle sentait la vigueur qui cognait contre le tissu.
Adossé à la barrique de chêne, Balou se laissait emporter par la bouche de cette maîtresse-femme.
La lente fellation reprit. Elisabeth aspirait goulûment cette verge qui l’avait tant faite fantasmer l’autre matin. Elle savourait et jubilait d’entendre Balou gémir. Le tenir ainsi à sa merci, elle adorait. « J’aurais tellement aimé qu’il me prenne dans la salle de bains lorsque je portais son peignoir ». Elle pensait à tout cela en administrant sa fellation, heureuse que l’après-midi s’annonce si radieux.
Balou voyait la bouche l’aspirer. La langue rose courait ensuite sur son tronc, puis revenait taquiner le gland violacé. La salive coulait aux commissures des lèvres, humidifiant la hampe à merveille.
Dans la cave, un jeune homme trentenaire se faisait sucer par une blonde et belle quinquagénaire, agenouillée à ses pieds. Le bruit des succions et des gémissements emplissait le cellier.
Elisabeth prenait son temps, elle ne voulait pas précipiter les choses. Elle voulait que Balou, se souvienne à jamais de cette caresse qu’elle lui offrait. Sa bouche arrêta un instant son action. Elisabeth admira l’engin qui tressautait devant son visage. Long, épais, de violettes veines couraient sous la fine peau, le gland ressemblait à une grosse et alléchante framboise. De belles bourses se balançaient au rythme des succions. Des cuisses velues et musclées portaient cet homme si attachant.
Elle déposa de tendres baisers sur les muscles des jambes, ses mains caressèrent les cuisses, puis remontèrent vers le sillon fessier. Les longs ongles des doigts titillèrent délicatement la petite rondelle. Elisabeth sentit le garçon frémir sous cet attouchement. Un doigt explorateur insinua très lentement entre les fesses. Inconsciemment, Balou écarta légèrement ses jambes pour faciliter la pénétration anale. Il haletait, et commençait à transpirer malgré la fraîcheur du lieu. L’autre main le masturbait gentiment. Elisabeth rapprocha ensuite sa blonde chevelure pour caresser ainsi la verge bandée. Puis, elle frotta ses joues, son menton, avec le gland turgescent, et à nouveau ses cheveux reprirent le relais des câlins.
Balou ferma les yeux.
Elisabeth lécha les gouttes translucides qui s’échappaient de la petite fente, l’excitation était à son comble.
Puis elle accentua la poussée de son doigt entre les fesses de Balou, de petits va-et-vient prirent la suite, ce qui le fit gémir. Sa petite culotte à elle était mouillée de désir, elle fondait, se consumait. Mais avant toute chose, Elisabeth voulait boire la semence de Balou.
Elle entama dans l’instant une succion bien plus accentuée. Sa main avait quitté l’anus masculin pour rejoindre les bourses pleines de Balou, qu’elle tenait doucement dans sa paume. La sœur jumelle enserrait la base du sexe. La bouche suça frénétiquement l’objet tant désiré. Les lèvres soudées allaient sceller la délivrance ultime.
Elisabeth savait maintenant que son bel étalon arrivait au point de non-retour. Les frémissements annonciateurs du plaisir parcouraient la verge. Elle accéléra davantage ses mouvements buccaux. Elle sentit Balou se cramponner à la barrique, son sexe semblait encore grossir entre ses lèvres déjà distendues.
Un cri.
Suivi d’une longue plainte stridente. Balou explosait dans sa bouche. Il hurlait comme un damné. Jamais elle n’avait entendu un homme crier sa joie de la sorte.
Elisabeth dut lâcher la hampe, sa bouche se retira, mais sa main la tenait toujours fermement. Elle dirigea le gland face à elle, ferma les yeux et se laissa inonder de la blanche semence chaude et grasse. Elle avala le nectar qu’elle avait déjà en bouche. Elle sentait les puissants jets s’abattre sur son menton, dans ses cheveux dorés, sur ses joues.
Agenouillée devant son mâle, elle récoltait le plaisir attendu.
Balou faillit s’évanouir, tant l’orgasme avait été dévastateur. Il eut la nette impression de se liquéfier, de se vider entièrement dans la bouche d’Elisabeth. Il hurla comme jamais il n’avait hurlé grâce à une femme. Un long feulement s’échappa de sa gorge. Il vit Elisabeth se reculer, tout en gardant sa main autour de son membre. Cette vision provoqua un second orgasme, et d’autres giclées puissantes atterrirent sur le visage de sa maîtresse. Il continua de crier en l’aspergeant longuement.
Le silence revint. Elisabeth était assise adossée au mur, elle léchait chaque traînée de laitance maintenant refroidie. Balou, quant à lui, reprenait son souffle. Sa verge ramollie était encore extrêmement sensible.
Balou se rapprocha d’Elisabeth. Il lui prit la main, elle se redressa. Leurs visages se touchaient, ils s’enlacèrent et se donnèrent un baiser enflammé. Elisabeth était conquise. Ce mâle, collé à elle avec son pantalon tirebouchonné à ses pieds, était émouvant. Elle aimait la douceur de sa bouche, sa langue impérieuse titillait la sienne.
* * * * *
Allongés côte à côte dans l’immense lit à baldaquins, Elisabeth et Balou reprenaient leur souffle après plusieurs corps à corps enflammés.
Elle lui avait raconté ses expériences nocturnes avec Bernard son maître de chais, mais également maître de sexe. Grâce à lui, elle avait découvert en elle une soif de sexualité que son mari et ex-maire, ne lui apportait plus depuis belle lurette.
Elisabeth repensait à ses ébats de tout à l’heure avec Balou. Il avait été d’une extrême douceur, s’attardant à lui prodiguer une densité de caresses sur chaque parcelle de son corps. Sa bouche, ses mains, l’avaient faite crier de joie. Ensuite tête-bêche, ils s’étaient rendus mutuellement heureux. Puis Balou avait continué à la caresser, s’attardant à câliner sa rondelle, ses fesses, aussi bien avec ses doigts qu’avec sa bouche. Sa langue avait lubrifié le tendre accès pendant de longues minutes, durant lesquelles elle s’était masturbée pour lui. Le plaisir avait été divin comme à chaque fois.
« Prends-moi maintenant », avait-elle gémi en lui présentant ses fesses écartées. La hampe de Balou avait pénétré le sillon anal avec aisance, jusqu’à la garde. Elle avait crié son bonheur de se sentir ainsi comblée. Lui, son amant, avait débuté de lents va-et-vient avant d’accélérer progressivement. En même temps, il caressait son abricot d’amour, ses doigts à nouveau la firent défaillir.
Longtemps, ils étaient restés imbriqués de la sorte, savourant leur union charnelle, jusqu’à la délivrance suprême.
Allongée, sa tête reposant sur la poitrine de Balou, Elisabeth jouait avec les poils, puis elle suçait les tétons qui durcissaient et dardaient sous ses lèvres. Sa douce main se rapprocha du membre au repos. Les doigts fins s’enroulèrent autour du tronc, une lente masturbation débuta.
Balou soupira. Il voyait la main d’Elisabeth manier avec agilité son sexe qui reprenait peu à peu de vigueur.
Sa maîtresse ne dit rien, elle souriait. Il se pencha vers elle, embrassa son cou, puis sa bouche descendit vers sa poitrine dont il téta goulûment les majestueux globes. Elisabeth vit la verge croître sous sa main, elle accentua ses va-et-vient. La bouche de Balou remonta vers ses épaules, sa langue progressa sur sa peau jusqu’aux oreilles. Elisabeth frissonnait de plaisir.
Elisabeth écarta ses cuisses pour que Balou s’unisse à elle. Il la pénétra doucement. Un doux et chaud ventre l’accueillit. Immédiatement Elisabeth noua ses jambes autour des hanches masculines.
Balou lâcha un râle, puis débuta ses mouvements du bassin. Sa verge sortait presque entièrement du ventre affamé, pour ensuite s’enfoncer loin, très loin dans le puits de l’amour. Elisabeth, de ses deux mains, s’accrocha au cou de son amant.
Balou noya son regard dans ses yeux bleus. Ils restèrent ainsi soudés jusqu’à l’orgasme qui ne tarderait pas. Elisabeth se mordait la lèvre inférieure, son cou palpitait, sa respiration s’accélérait, son ventre la brûlait. Balou posa sa bouche sur ses lèvres, il l’embrassa passionnément tout en continuant son pilonnage. Elle perdait haleine, elle s’arracha aux lèvres de Balou, puis elle lança un hurlement aigu. Elle jouissait, l’orgasme la faisait trembler, elle donnait de violent coups de reins face au pubis de son amant.
Balou regarda Elisabeth crier son bonheur avec ravissement. À son tour, il fut emporté par le plaisir. Dans un ultime soubresaut, il éjacula en elle, mêlant ses gémissements aux cris de son amante.
La nuit tombait vite en ce mois de novembre. Elisabeth avait raccompagné Balou jusqu’au portail du domaine. Elle lui fit promettre de renouveler ces moments d’extase, chose qu’il accepta volontiers. Maintenant, au volant de sa voiture il s’interrogeait. « Comment vais-je faire ? Va falloir que je m’organise entre la brune et la blonde ». Il sifflotait gaiement.
* * * * *
La livraison des marchandises à la mairie s’était parfaitement bien déroulée. L’équipement des ateliers municipaux prenait belle tournure. De plus, le boss de Balou l’avait gratifié d’une prime exceptionnelle, au regard du marché qu’il avait décroché.
Il appela Nathalie sur son portable, il souhaitait fêter cela avec elle. Mais au fond de lui, il savait bien qu’un dîner en tête à tête en ville, surtout le soir, était impossible avec sa mairesse adorée.
Balou entendait des chuchotements et des petits rires.
L’ascenseur referma ses portes dans son dos.
Balou suspendit son bras en l’air, il allait appuyer sur la sonnette, lorsqu’il vit devant lui une jeune femme brune, cheveux en queue de cheval et sourire enchanteur.
Elle lui prit d’autorité le bras et l’entraîna dans l’appartement. Il lui offrit une boîte de chocolats suisses.
Elle déposa deux chastes bises sur les joues de Balou.
Tous les trois éclatèrent de rire. Balou leur annonça qu’il voulait fêter la naissance du partenariat entre la mairie et sa société.
Ségolène s’empressa de retourner à la cuisine, laissant Nathalie et Balou seuls au salon.
Elle se cala contre lui. Il la prit dans ses bras, elle se laissa aller, et ils unirent leurs lèvres passionnément. Leurs dents s’entrechoquèrent, leurs bouches se dévoraient, leurs mains palpaient, caressaient alternativement les fesses et les hanches. Debout au milieu du salon, ils tanguaient, ventre contre ventre, bouche contre bouche.
Ségolène se tenait dans l’embrasure de la porte, puis elle déposa une bouteille et un seau à glace sur la table basse. Balou sursauta, mais Nathalie restait collée à lui.
Balou se sentait affreusement mal à l’aise. Il n’était pas dans ses habitudes d’exposer publiquement ses liaisons. « Publique, oui c’est le terme exact, ma maîtresse est une femme publique », se dit-il en souriant.
Le vin était excellent, Balou déboucha une seconde bouteille.
Balou était assis sur le canapé aux côtés de Ségolène et face à Nathalie. Il ne cessait de reluquer les jambes de sa voisine, puisque Ségolène portait une minijupe du plus bel effet. Des bas couleur chair, un pull ultra-court laissait voir son ventre plat. Elle portait un parfum à la fois ambré et floral. En se levant pour resservir un peu de vin, sa main gauche prit appui sur le genou de Balou. Il lui sembla que ce geste n’était pas innocent. « Arrête de te faire des idées mon pote, elle doit être un peu pompette elle aussi », se dit-il. Balou apprit que Ségolène était la plus fidèle collaboratrice de Nathalie, elles étaient amies depuis l’enfance.
Balou se sentit rougir, les deux jeunes femmes s’esclaffèrent. Nathalie se leva, elle poussa la table basse de côté. Puis, elle s’agenouilla devant Ségolène et lui caressa les cuisses.
Ensuite, elle se redressa pour embrasser Ségolène. Toutes deux roulèrent sur le tapis. Nathalie avait relevé la minijupe et colla sa bouche dans l’entrecuisse de son amie. Balou avait les yeux exorbités devant ce spectacle. Une violente érection cognait contre le tissu de son pantalon.
Les deux femmes s’étaient déshabillées. Balou admirait la langue de Nathalie s’enfonçant dans l’orchidée luisante. Ségolène était complètement épilée, elle gémissait couchée, sous la bouche vorace. Elle regarda Balou droit dans les yeux
Balou n’en pouvait plus, il jeta à son tour ses vêtements aux quatre coins du salon. Nu, agenouillé près des deux femmes, il se masturbait frénétiquement.
Elle déposa ses doigts sur la hampe dressée, puis la rapprocha de ses lèvres.
Elle avala le sexe de Balou. Sa petite bouche était distendue par l’engin. Elle le pompa allègrement, en prenant les bourses velues dans sa main. Balou lui caressait les cheveux, il haletait.
Il quitta un peu à regret la petite bouche divine pour se positionner devant le fessier de Nathalie. Sa verge cognait contre les fesses. D’une main, il s’agrippa aux hanches et de l’autre il se guida dans le ventre mielleux. Il croisa le regard de Ségolène, qu’il ne quitta pas des yeux un instant. Il allait et venait en Nathalie, comme s’il faisait l’amour à Ségolène.
Nathalie, savait que son amie adorait ce genre de trio. Elle aussi d’ailleurs. Son ventre dégoulinait de son jus, Balou la limait puissamment. Les cris de plaisir de Ségolène s’apparentaient à des couinements de souris, elle jouissait déjà. Nathalie but son nectar, puis elle introduisit trois doigts en elle, ce qui provoqua un hurlement de joie à Ségolène. Elle fouilla son ventre, Ségolène continua de hurler de bonheur, Balou la regardait frémir et jouir.
Ensuite, après cette première vague d’orgasmes, Nathalie laissa sa bouche reprendre le relais. Elle plaqua ses mains sur le ventre de Ségolène, sa bouche rivée contre son abricot d’amour. Sa langue jouait avec le bouton dressé, elle le titillait, le suçait. Ensuite deux, puis trois doigts pénétrèrent à nouveau le ventre de Ségolène. Celle-ci hurlait sous les caresses de son amie, elle avait le regard fixé sur Balou, qui lui-même labourait Nathalie.
Ségolène dans un dernier extrait de lucidité cria :
Nathalie, la bouche baveuse de nectar féminin, n’en pouvait plus. Elle explosa également sous les assauts de son amant, en regardant Ségolène jouir à son tour. Dans son dos, elle entendit Balou grogner, puis dans une ultime poussée qui la plaqua contre le ventre de Ségolène, il vociféra leurs deux prénoms, en éjaculant abondamment dans son antre de délices.
Balou se rapprocha des deux femmes, une fine pellicule de sueur enveloppait leur corps de liane. Il embrassa tout d’abord le dos, les fesses, les hanches, de Nathalie. Sa bouche remonta vers le sillon des seins, puis la gorge fut baisée, ensuite les lèvres masculines trouvèrent celle de Nathalie. Ségolène ne demeura pas en reste. Elle se lova entre eux deux, de sorte à avoir la hampe de Balou devant sa bouche. Immédiatement ses lèvres se posèrent sur le membre. Elle sentit un frisson parcourir la colonne de chair ramollie. Balou frémit lui aussi, « Je vais mourir d’amour, si ça continue », pensa-t-il.
« Fichtre ! Elle aussi, elle s’y met », pensa Balou.
Nathalie se dégagea gentiment de l’étreinte de Balou. Elle le poussa doucement, pour qu’il s’allonge sur le dos. Ségolène l’avait gardé en bouche, en le tenant fermement à la base du tronc, jusqu’à ce qu’il soit complètement couché sur la moquette. En un clin d’œil Nathalie rejoignit son amie entre les cuisses écartées de Balou, elle désirait également savourer sa semence.
Les deux jeunes femmes unirent leur dextérité. Les deux bouches suçaient, léchaient, alternativement la verge maintenant à nouveau érigée tel un menhir gaulois. L’une pompait, pendant que l’autre langue léchait. Les quatre mains pétrissaient les cuisses, le ventre poilu, certaines pinçaient les tétons des seins. Une autre inséra un doigt entre les fesses masculines. Balou se tendait, se cabrait, il fermait les yeux, il gémissait sous tant de félicité offerte par ces déesses.
Aussitôt, les deux femmes, approchèrent leur visage devant le gland gonflé, l’une masturbait la colonne du bonheur, l’autre tenait délicatement dans sa main les bourses génitrices du suprême nectar. Elles entrouvrirent simultanément leur bouche lorsqu’elles sentirent les soubresauts annonciateurs de l’éruption de lave, langues tendues pour réceptionner les premiers jets.
Balou se redressa, il s’appuya sur ses coudes. Ce qu’il voyait, jamais il ne l’avait vécu. Deux superbes créatures le suçaient à tour de rôle. Elles frottaient aussi sa verge contre leurs joues, leur menton et leur poitrine. Ces frottements étaient délicieux, leurs gorges admirablement profondes, le pompaient comme jamais. Il se voyait à chaque fois disparaître entièrement, soit dans l’une, soit dans l’autre des bouches amoureuses. Elles étaient prêtes. Ségolène, prit la verge entre ses doigts, un dernier coup de poignet, et instantanément, l’éjaculation commença.
D’abord, Ségolène recueillit dans sa bouche les premières salves. Peu après, elle laissa Nathalie se faire asperger des décharges suivantes, qui atterrirent sur sa langue, aux commissures des lèvres, mais également sur son menton et ses joues. De concert, ensuite les deux bouches nettoyèrent la verge avec attention.
Balou se crispa, tendu comme un arc, il se vit éjaculer dans la bouche de Ségolène. Celle-ci conserva ses lèvres soudées à lui, elle le pompa fabuleusement. Il sentit sa semence monter du creux de ses reins, passer par sa verge à une vitesse folle, et exploser entre les divines lèvres de sa fellatrice.
Dans la continuité, il vit également Nathalie, recevoir les jets suivants sur son visage et ses épaules. Toutes deux, happèrent, sucèrent, léchèrent, le menhir de leur si surprenant amant.
Les deux femmes dormaient enlacées dans le lit. Balou s’était doucement esquivé. Il avait revêtu son boxer et une chemise, pour se faufiler sur le bacon et savourer une cigarette. L’air frais de la nuit lui fouetta le sang. « Sacrées nanas, ces deux-là, moi qui pensais qu’Elisabeth était lubrique, je suis mal barré. Putain, j’ai intérêt à faire gaffe. Le moindre faux pas et je risque de perdre le marché avec la mairie », furent les pensées qui accaparèrent Balou de longues minutes, pendant qu’il fumait son américaine blonde de l’inévitable cow-boy.
* * * * *
Elle avait revêtu une nuisette qui moulait admirablement son corps. Ses cheveux auburn, étaient en pagaille, ce qui la changeait de son éternelle queue de cheval.
Elle était célibataire, cela Balou l’avait deviné, mais au grand dam, jamais il n’aurait imaginé que Nathalie et Ségolène, étaient toutes les deux bisexuelles. Il devait avouer que cela lui en bouchait un coin.
Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent tous les deux attablés dans une espèce de taverne asiatique, où chinois, thaïlandais, et vietnamiens se retrouvaient. Pour Balou, cet endroit lui faisait l’effet d’un tripot de Macao. Cependant, il avoua à son hôte féminine que la cuisine était excellente. Jamais il n’aurait pensé que Beaune regorgeait de si différents plaisirs, qu’ils soient charnels ou culinaires.
Balou ne comprit pas le sens de la phrase de Ségolène. Il mit cela sur le compte de l’ébriété qui la gagnait après la troisième bière thaï.
La serveuse portait une robe moulante fendue jusqu’en haut des cuisses. Epaules nues, cheveux noirs tombant en cascade dans son dos, petite bouche souriante, regard de braise, telle était Fleur, la patronne des lieux. Et dire que Balou l’avait comparée à une simple serveuse…
Fleur était dynamique, et avenante. Elle était aux petits soins avec ses clients. Ségolène voyait que Balou lorgnait les cuisses et le fessier de Fleur.
La discussion en resta là. Tous deux devisèrent de tout et de rien tout au long du repas. L’amour leur avait ouvert grandement l’appétit.
Balou sursauta. Fleur lui murmura dans le creux de l’oreille, d’une voix rauque et sensuelle :
Fleur avait quasiment collé son ventre sous le nez de Balou. Ségolène trouvait la scène comique, elle voyait que son compagnon était affreusement gêné. Les autres clients autour d’eux souriaient tous également, devinant que la « Patronne » des lieux avait jeté son dévolu sur un nouvel hôte.
La jeune femme asiatique battit des cils, elle se passa la langue sur la lèvre supérieure, puis enchaîna tout doucement, en collant sa joue à son oreille :
* * * * *
3 heures passées.
Balou rentrait chez lui. « Bonté divine, quelle soirée, quelle nuit », pensa-t-il. La cerise sur le gâteau avait été Fleur le transsexuel. Elle l’avait masturbé en public dans le restaurant, une fois le service terminé. Agenouillée à ses pieds, elle l’avait ainsi caressé longuement, ses petites mains avaient été d’une douceur extrême.
Les hommes s’étaient rapprochés d’eux, certains se masturbaient aussi. D’autres voulurent que Balou les suce, mais il refusa poliment et fermement.
Fleur le fit jouir dans sa bouche, puis elle frotta son pénis érigé contre le sien.
Le reste de la soirée, Ségolène et Balou, la passèrent à regarder Fleur sodomiser ses habitués, ou se faire asperger elle aussi de laitance délivrée par l’assistance. D’autres se vidèrent entre ses fesses. Femmes et hommes se livrèrent à une orgie, où les rouleaux de printemps pénétraient les corps assoiffés de plaisirs, où des pâtes servaient à enchaîner de-ci delà un mâle… Cuisine et sexe se mêlaient pour le bonheur des clients de Fleur. Ni Ségolène, ni Balou ne voulurent se joindre à eux. Cependant Balou était stupéfié par les relations très particulières qu’entretenaient Nathalie et Ségolène.
Demain est un autre jour, se dit-il en s’endormant seul dans son lit.
* * * * *
Elisabeth proposa à Balou de l’accompagner un soir dans le club très fermé des « Onze mille verges ».
Elisabeth s’énervait au téléphone, Balou le sentait bien au ton de sa voix.
Il fallait vraiment savoir qu’un établissement de « tolérance » se trouvait au sous-sol de cette grande bâtisse. Le monde de la jet-set se retrouvait dans ce lieu feutré, où smokings et robes du soir se mêlaient. Balou fut agréablement surpris par la qualité de mets proposés sous forme de buffet, du reste, le vin était également à la hauteur de ses espérances. Il ne regrettait nullement d’être venu avec Elisabeth. Elle lui avait présenté du beau monde, ce qui l’intéressait naturellement pour ses affaires. Plus tard dans la soirée, Balou faillit avaler son toast de caviar de travers…
Elisabeth avait reconnu l’assistante de Nathalie la nouvelle mairesse.
Balou se sentait affreusement mal, il se dandinait lamentablement d’un pied sur l’autre.
Balou s’interposa entre les deux femmes, avant que la situation ne dégénère.
Elisabeth dévisagea son amant, les lèvres pincées, outrée par cette nouvelle.
Clac !
Elle gifla Balou, puis tourna immédiatement les talons.
Balou se massait la joue qui le brûlait, il but une gorgée de vin et répondit :
Elisabeth était invisible, pourtant Balou savait qu’elle avait rendez-vous avec Bernard. Ségolène quant à elle, fut accaparée par un groupe de trois femmes, qui l’emmenèrent discrètement à l’écart. La soirée commençait.
Les lumières baissèrent d’intensité, par endroit la pénombre régnait. Plusieurs femmes frôlèrent Balou, laissant leurs mains s’égarer. Des soupirs, des frottements, des gémissements, commençaient à se faire entendre. Au détour d’un couloir, Balou pénétra dans une pièce qui lui semblait ronde. En son centre Elisabeth, nue, les yeux bandés, assise sur un tabouret, était entourée d’une dizaine d’hommes nus également, verges dressées. Elisabeth les suçait et les masturbait de ses deux mains. Derrière elle, se tenait son maître de chais, le fameux Bernard. « Effectivement, on dirait le sosie d’un célèbre ex-animateur d’émission littéraire », se dit Balou.
Un sentiment de gêne s’empara de lui, voir ainsi sa maîtresse livrée à ces hommes ne lui plaisait guère. Il s’approcha du groupe. Elisabeth souriait, elle rigolait même lorsqu’elle le pouvait. Elle prenait indéniablement un malin plaisir à offrir sa bouche et ses caresses de cette façon. Une once de jalousie parcourut Balou. Allez, tu savais très bien à quoi t’attendre en venant ici ».
Balou sursauta. Nathalie se tenait à côté de lui.
Bouche contre bouche, ventre contre ventre, ils s’enlacèrent, se caressèrent, se malaxèrent, intensément. Nathalie avait relevé sa robe, Balou agenouillé à ses pieds, butinait son orchidée mouillée. Adossée à un mur de velours, elle appuyait la tête de son amant contre le centre de son plaisir.
Cette longue supplique attira un groupe de femmes, suivi d’hommes qui se masturbaient en les suivant. Les femmes étaient habillées de la classique robe du soir, alors que les hommes étaient dans la simple tenue d’Adam.
Certaines branlaient, d’autres suçaient, mais aucun attouchement masculin n’était permis. Ségolène était parmi le groupe. Elle avait le sexe d’un notable parisien en bouche, mais elle le quitta pour embrasser Nathalie qui gémissait sous la langue de Balou.
Il fut happé par deux autres femmes qui lui administrèrent une double fellation. Ségolène et Nathalie s’embrassèrent goulûment. Les hommes à proximité se masturbaient avec frénésie devant le spectacle que le trio offrait. Nathalie, le ventre en feu, explosa dans une myriade d’orgasmes. Balou conservait sa langue en elle, ensuite ses doigts la pénétrèrent à leur tour. Ségolène lui mordillait le bout des seins. Offerte ainsi à ses deux amis, elle laissa venir à elle la tempête du bonheur.
* * * * *
Le tabouret du bar grinçait. Balou dégusta sa bière. Cette soirée délirante lui avait donné soif. Les filles s’étaient gentiment moquées de lui, lorsqu’il avait râlé en constatant que sa veste de smoking était maculée de tâches de sperme.
Nathalie le regarda intensément, puis répondit :
Balou au fond de lui avait un léger penchant pour Elisabeth, il devait se l’avouer, en fait il l’avait dans la peau. Nathalie, il le savait et elle le savait aussi, ne briserait jamais son couple pour lui. Quant à Ségolène, il adorait son caractère de fofolle et sa souplesse au lit. Mais ses envies allaient toujours vers Elisabeth, même si ce soir ils étaient en froid. Il expliqua cela aux deux femmes, avec calme et fermeté. Il était clair pour lui que leurs liens intimes étaient brisés.
« Je vais voir avec Elisabeth, si toutes les trois on ne pourrait pas se venger », fut l’idée qui germa dans l’esprit de Ségolène.
* * * * *
La bouche un peu pâteuse, des picotements au niveau des articulations, le réveillèrent complètement. « Putain j’y vois rien, et je suis attaché, merde c’est quoi ce délire ! ». Balou réfléchissait, il essayait de se rappeler comment s’était terminée la soirée d’hier soir. Pas moyen de s’en souvenir, il se rappelait simplement la discussion avec Nathalie et Ségolène.
« Bon, bon restons zen. Je suis couché à priori sur un matelas, les yeux bandés, poignets et chevilles attachés aux extrémités du lit. Ecartelé qu’il est là, Balou ». Cette constatation lui arracha un sourire.
Le bandeau lui fut enlevé. Il cligna des paupières. Elisabeth se tenait debout devant lui. Il était nu. Elle portait une guêpière noire, des bas résille assortis, de hauts escarpins complétaient sa tenue affriolante. Ses lèvres rouge sang et ses ongles de la même teinte se posèrent sur la poitrine de Balou. Elle embrassa, puis mordilla les tétons. Ensuite, ses ongles griffèrent son ventre, ce qui fit gémir son amant. Les doigts longs s’enroulèrent autour du membre qui débutait son érection. Ils le branlèrent délicatement.
Nathalie et Ségolène apparurent à leur tour. Elles portaient une tenue identique à Elisabeth, mais rouge pour l’une et blanche pour l’autre.
Elle pompait, Elisabeth branlait, et Ségolène se mit à califourchon sur la poitrine de Balou en offrant son ventre à sa bouche. Il était aux anges. En un éclair, tout cessa. Les trois femmes quittèrent le lit. Ségolène lança :
La porte se referma. Balou était perplexe. Des rires, de la musique, il parvenait à entendre ces sons étouffés par les murs. « Elles doivent faire une sacrée nouba », se dit-il. Il resta ainsi seul plusieurs minutes à gamberger.
Nouveaux rires. La porte s’ouvrit. Fleur ouvrait le passage, suivie par Ségolène et Bernard. Immédiatement, Ségolène se mit à quatre pattes sur la moquette et offrit son fessier à Bernard. Elle écarta des deux mains sa fente déjà luisante. Bernard ne se fit pas prier, il s’agenouilla devant cette offrande, et pénétra d’un coup de rein Ségolène qui gémissait.
Bernard taquina ainsi Balou, lui ne perdait aucune miette, il pestait intérieurement. Ségolène râlait, elle encourageait Bernard, elle lui criait qu’il était bon, et elle regardait Balou bien droit dans les yeux, tout en se faisant prendre de cette manière. Fleur était nue. Avec sa peau ambrée, sa ronde et voluptueuse poitrine, son membre long et fin tressautait devant les flancs de Balou, elle se tenait debout près du lit.
Le gland cogna contre l’épaule de Balou. Celui-ci détourna son visage. Fleur n’insista pas. Elle grimpa sur le lit entre les cuisses écartées. Ensuite, avec souplesse, elle se coucha sur Balou, dans la position du missionnaire. Leurs ventres ainsi accolés, leurs verges se touchaient. Elle simula des va-et-vient et embrassa fougueusement Balou. Il se laissa faire, la langue experte s’enfonça au fond de sa gorge, puis cette satanée langue lécha ses lèvres, remonta vers ses oreilles auxquelles elle offrit également de divines caresses. Balou gémissait, sa hampe maintenant énorme jouait avec celle de Fleur. À côté de lui, Ségolène hurlait son plaisir, chevauchée par Bernard. Il aperçut aussi Elisabeth et Nathalie qui imbriquées tête-bêche, se donnaient du bonheur. « Je nage en plein délire », fut sa dernière pensée avant que Fleur ne lui présente à nouveau sa verge devant le visage…
Nathalie et Elisabeth se redressèrent, elles ne voulaient manquer sous aucun prétexte cette première fellation de Balou. Elisabeth se tenait derrière sa jeune amante, ventre collé à ses fesses. Une main baladeuse lui caressait les seins, l’autre s’insinuait dans son ventre chaud. Nathalie gémit en écartant légèrement ses cuisses.
Ségolène, hurlait maintenant, Bernard venait de la sodomiser profondément. Il s’accrochait à ses hanches et donnait de grands coups de boutoir. Ségolène se cambrait, sa main fouillait son ventre, elle jouissait comme une folle, ses cheveux longs lui couvraient le visage. La chambre résonnait de gémissements, de cris de plaisir, hommes et femmes se libéraient dans une complète luxure.
Le sexe était doux et chaud. Le gland certes plus petit que le sien, il le pompait maintenant magistralement. Fleur gémissait au-dessus de lui, elle lui caressait ses cheveux taillés en brosse. Elle avança un peu son bassin, de manière à ce que Balou puisse correctement la sucer.
Balou s’activa du mieux qu’il put, toujours attaché au lit. Fleur veillait à ce qu’il ne s’étouffe pas, elle le câlinait comme une femme expérimentée avec un jeune puceau.
À califourchon au-dessus du ventre de Balou, Fleur prit sa verge entre ses doigts et la dirigea vers celle de son amant. Elle les frottait l’une contre l’autre. Balou se contorsionnait pour davantage accentuer cette caresse, il donnait également de furieux coups de reins pour venir à la rencontre de la verge ambrée.
Devant le lit, Elisabeth et Nathalie, enlacées se masturbaient mutuellement. Leurs doigts en elles, les faisaient gémir. Elles regardaient Balou toujours attaché qui se faisait branler par Fleur. De l’autre côté du lit, Bernard continuait ses assauts dans le petit fessier de Ségolène. Tous deux étaient également proche de l’extase.
Nathalie admira l’agilité de Fleur. La différence de gabarit entre le transsexuel asiatique et Balou était frappante. Elle, si frêle et délicate, lui costaud et poilu. Nathalie aimait également la finesse de la verge ambrée qui se frottait contre le gourdin de Balou. Cette vision lui procura de délicieux frissons. Son ventre en feu sous la main d’Elisabeth, elle se laissa aller à la jouissance lorsqu’elle vit la prodigieuse explosion provoquée par Balou. Les deux sexes éjaculèrent ensemble, Fleur masturba par de longs coups de poignet le membre de son amant. Elle jouit en aspergeant la velue poitrine par de petits jets rapides. Ensuite elle se pencha pour avaler le sexe de Balou, elle pompa les dernières gouttes de sève, ce qui fit à nouveau hurler son amant velu.
Il était midi. Un homme nu, allongé dans un lit à baldaquins, fumait une cigarette. Enfin, il pouvait se ressourcer après le week-end orgiaque. Sa maîtresse Elisabeth, en ce lundi matin, avait entamé une procédure de divorce contre son mari et ex-maire. Elisabeth voulait que Balou reste habiter avec elle. Chose délirante à ses yeux. Le comble, elle voulait l’épouser.
« Putain, qu’est-ce qui m’arrive ? Que dois-je faire ? »
Certes, il éprouvait pour cette femme un sentiment amoureux bien plus fort qu’avec Nathalie et Ségolène, mais à ce jour, il ne se voyait pas du tout en ménage avec quiconque. Il savait que Bernard et Ségolène étaient devenus plus qu’amant, quant à Nathalie, elle se consacrait exclusivement à sa fonction de première citoyenne de la ville, sa vie amoureuse était devenue par conséquent inexistante.
Elisabeth, en guêpière noire, s’avança vers le lit, une bouteille et deux verres à la main.
Balou éteignit sa cigarette dans le cendrier, en regardant d’un air perplexe, la belle quinquagénaire grimper sur le lit…
FIN
Notes :
Suite des aventures de Nathalie, dans une prochaine histoire…
Il s’agit avant tout par ce texte d’exprimer mon amour et mon profond respect aux femmes qu’on appelle communément « mûres ». Je n’aime pas cet adjectif, mais je parlerais plutôt « d’expérience, de classe, de sensualité, de passion maîtrisée ».
Octobre 2005