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n° 10038Fiche technique20101 caractères20101
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09/01/06
Résumé:  Nathalie souhaite toujours reconquérir Balou qui lui coule des jours heureux avec Elisabeth. Les mois ont passé, Ségolène a épousé Bernard. Lequel Bernard a quitté le domaine d'Elisabeth.
Critères:  fh fplusag photofilm fmast fellation pénétratio fdanus aliments fantastiqu
Auteur : Balou  (Epicurien, amoureux des femmes)            Envoi mini-message

Série : Vendanges tardives

Chapitre 02
Vengeance tardive


Il s’agit de la suite de « vendanges tardives », texte 09897.

Nathalie souhaite toujours reconquérir Balou qui lui coule des jours heureux avec Elisabeth. Les mois ont passé, Ségolène a épousé Bernard. Lequel Bernard a quitté le domaine d’Elisabeth.


Le mois de juin cette année aura été très chaud à n’en pas douter. Le ciel bleu azur enchante la Bourgogne.

Elisabeth, nue, nageait dans la piscine. Bronzée intégralement, elle était resplendissante. Sa chevelure dorée lui donnait encore davantage de charme. À 55 ans, elle vivait une folle histoire d’amour avec Balou, son cadet de presque 20 ans. Tous deux vivaient intensément chaque instant, ils savouraient la joie d’être ensemble, amoureux comme de jeunes adolescents.

La sirène blonde et ambrée continua ses longueurs un petit moment. Ensuite elle sortit de l’eau majestueusement, c’est du moins l’impression qu’avait Balou en la regardant. Elle lui souriait en avançant vers lui. Balou admira sans se lasser la finesse de son corps, les hanches admirablement dessinées, les fesses rebondies bien hautes, la poitrine ronde et ferme au bouts dardés de couleur caramel. Les petites rides aux commissures des lèvres ajoutaient encore à sa beauté. Elle s’agenouilla près de lui.



Balou se masturbait, allongé sur le transat.



Elle plongea vers le dard turgescent. Balou frissonna, prisonnier dans cette bouche ; des gouttelettes d’eau ruisselaient des cheveux d’Elisabeth sur son ventre. Il soupira d’aise. Sa compagne le pompait comme elle savait si bien le faire, elle l’avalait presque entièrement pour ensuite remonter vers le gland violacé, puis replonger à nouveau. Ce délice était à n’en pas douter une preuve d’amour qu’elle lui prodiguait.

Soudain, il frémit davantage. Balou vit Elisabeth enduire sa verge de confiture de fraise. Elle lécha doucement le membre sucré. Le contraste entre la douce chaleur des lèvres, puis la fraîcheur de la confiture, arracha des gémissements à Balou. Elisabeth jubilait. Elle trempa carrément le gland dans le pot, puis elle suça sa friandise avec appétit.



Il éjacula à longs jets de sève dans le pot de confiture qu’Elisabeth maintenait fermement devant le gland. Elle se mordit la lèvre inférieure, heureuse de pouvoir déguster ainsi un mélange sucré-salé de si bon matin.

Elisabeth se saisit d’une petite cuiller en argent, elle mélangea le chaud nectar à la marmelade, puis dégusta lentement sa divine mixture. Balou la regarda amoureusement, un sourire aux lèvres. Il se leva et lui embrassa ses épaules :



Ainsi s’écoulaient les week-ends dans la propriété d’Elisabeth, faits d’une débauche de luxure entre les deux amants, le tout pour leur plus grand bonheur, du moins jusqu’à ce jour.


ooOoo


L’angle était parfait, le paparazzi ajusta son appareil et photographia la scène.

« Sacrément excitante, la mère Elisabeth » songea le photographe en mitraillant la blonde fellatrice. La position peu confortable et dangereuse ne lui permit pas de profiter entièrement de l’habileté buccale d’Elisabeth. Il descendit rapidement de l’arbre où il était grimpé, puis escalada le muret pour se retrouver côté chemin forestier. Il enfourcha sa moto et démarra rapidement. « Cela vaut son pesant de cacahuètes » se dit-il.

Les photos parurent le lendemain dans la presse à scandale. On voyait parfaitement Elisabeth caresser buccalement son jeune amant au bord de la piscine.

Cette parution engendra un véritable cataclysme dans la sacro-sainte notoriété de la profession viticole de la région. Mais Elisabeth n’en avait cure, elle assuma parfaitement sa liaison avec Balou. Son affaire n’en fut pas pour autant amoindrie, au contraire son entreprise engrangea de nouvelles commandes.

Par contre, l’image de Balou fut écornée, notamment auprès de son patron et de ses clients. Elisabeth contacta son avocat afin d’intenter un procès au journal infâme.


ooOoo


Nathalie en avait bien évidement eu vent et avait vu les photos compromettantes. Elle ne se réjouissait pas vraiment, mais intérieurement elle se sentait ravie que Balou soit ennuyé par la publication de ces clichés. Cela étant, elle savait que la personne qui avait commandité cette action voulait d’abord déstabiliser la papesse des grands crus de Bourgogne. Hélas, c’est l’inverse que se produisit. Car en effet, Balou faillit perdre son emploi suite aux manques de résultats dus à la chute de ses ventes.

Nathalie envoya plusieurs courriels à son ancien amant qu’elle souhaitait reconquérir. Malheureusement pour elle, il restait froid et distant. Leurs rapports étaient strictement professionnels.


ooOoo


Durant les mois d’été, Elisabeth avait invité sa fille Florence à se reposer au domaine. Sa fille âgée de 25 ans étudiait les Beaux-Arts à Paris. Blonde comme sa mère, grande et svelte, cheveux coupés à la garçonne, une peau légèrement dorée par le soleil, elle respirait le dynamisme et la joie de vivre. Célibataire, elle se consacrait entièrement à ses études, laissant les amourettes et galipettes de côté.

Elle fut agréablement surprise par la vie harmonieuse que sa mère et Balou menaient. Florence n’avait jamais vraiment aimé ses parents, mais elle devait admettre que sa mère revivait depuis sa séparation avec son père. Balou, elle l’appréciait sans plus, cela dit « ma mère a bon goût » pensa-t-elle, un sourire en coin.

Florence avait éclaté de rire en voyant les photos publiées par la presse. Elle bannissait évidemment les agissements des paparazzis. Mais elle devait avouer que sa mère était talentueuse.

En fin d’après-midi, elle lézardait au soleil, au bord de la piscine, n compagnie d’Elisabeth.



Florence était perplexe, sa mère était sacrément amoureuse pour réagir de la sorte. Elle imagina son futur beau-père, c’était très drôle.



Elisabeth sourit jaune, elle savait que sa fille avait raison sur le fond.



Elles devisèrent ainsi de longs instants, heureuses de se revoir et de partager une vie de famille quasiment retrouvée, une sérénité qui leur avait fait souvent défaut.


ooOoo


Nathalie, debout dans son bureau, devant la fenêtre de l’hôtel de ville, regardait le bleu azur du ciel. Elle était mélancolique. Souvent elle pleurait seule, elle se maudissait de n’avoir pas été plus présente, de ne pas avoir pu éloigner Elisabeth loin de son bien-aimé. Que pouvait-elle faire maintenant pour regagner l’amour de Balou ? Elle pensait à tout cela, le regard dans le vague.

« Pandora, mais oui ! Elle, elle saura m’aider », Nathalie souriait maintenant. Elle regarda son reflet dans le miroir. « Je suis encore belle et désirable, malgré ma perte de poids ». Elle était grande et brune, les cheveux courts coiffés de manière désordonnée qui lui donnait presque l’air d’une punkette. Elle portait un tailleur-pantalon vert olive et un top orangé très flashy. Ses petites fesses sublimement moulées dans le tissu, n’attendaient que des mains masculines…

En pensant à cela et en se regardant dans la glace, une once d’humidité vint lui taquiner son intimité. « Six mois sans homme, c’est trop long ». Elle se lécha la lèvre supérieure, puis ses doigts fins remontèrent vers sa poitrine ronde. Immédiatement, les bouts dardèrent, ils réclamaient une bouche vorace….


Elle pensait à Balou, à ses mains, son torse velu, à la puissance de ses coups de reins, bref à son homme ! Elle le désirait plus que tout. Elle quitta rapidement son bureau, entra dans les toilettes et verrouilla prestement la porte. « J’en peux plus, il faut que je jouisse ! ». Elle se déshabilla rapidement, elle voulait être nue. Elle se coucha dans l’étroite pièce, la froideur du carrelage sur ses fesses la fit frissonner. Elle releva son bassin, de telle sorte que ses jambes prennent appui sur le mur des toilettes. Elle écarta ses cuisses. Une main caressa ses seins, l’autre inséra immédiatement deux doigts en elle. Ainsi allongée, Nathalie avait l’impression que ses jambes reposaient sur les épaules de Balou pendant qu’il la besognait.

Elle sentait le poids de son amant, sa hampe enfin en elle, la pénétra longuement. Les bouts de ses seins pointaient vers le plafond, elle les pinça, ce qui lui arracha un premier cri d’extase. Elle se mordit la lèvre inférieure pour ne pas hurler, d’autres orgasmes irradièrent son ventre. Elle donnait de violents coups de reins, ses doigts poisseux remplaçaient la verge sublime. Dans un dernier spasme, elle roula sur le côté et à quatre pattes, elle inséra un doigt dans son pertuis serré. Elle continua de jouir, en s’imaginant sodomisée longuement.


« Mon dieu, je suis folle », se dit-elle en se rhabillant. « Mais c’était terriblement bien. Il faut absolument que je vois Pandora ».


ooOoo


Pandora Gomez était ce qu’on appelle communément une « originale » ou une « mystique ». Toujours vêtue de noir été comme hiver, elle ressemblait aux chanteuses de rock gothique, un visage très pâle, des lèvres sombres. Grande et élancée comme Nathalie, sa noire et longue chevelure rappelait par instant la mère Morticia d’une célèbre famille américaine. Elle était veuve depuis plusieurs années. Mère à 15 ans d’une petite fille, elle avait trimé toute sa vie pour élever dignement son enfant. Son mari Luis était maçon, décédé sur un chantier à Paris. Jamais plus depuis sa disparition, elle n’avait touché un homme. À 40 ans, elle conservait pourtant encore tout son charme. Chaque jour, elle se recueillait sur la tombe de Luis, elle lui parlait et elle lui racontait sa vie.

Pandora tenait un commerce de fleurs, mais elle avait également des talents d’herboriste et d’apothicaire. Les gens venaient la voir pour se faire soigner grâce aux plantes et aux onguents qu’elle préparait. Le tout dans la clandestinité bien entendu.


ooOoo


Pandora accueillit Nathalie dans son magasin, après la fermeture. Toutes deux se connaissaient de vue et s’appréciaient. Nathalie savait que cette femme disposait de talents cachés. Certains habitants la considéraient comme une sorcière. La réputation de Pandora n’était plus à démontrer, mais elle restait discrète sur ses succès, ses clients aussi d’ailleurs.

Malgré la température supérieure à 25°, Pandora portait une longue robe fourreau noire . Seuls ses bras blancs étaient découverts.

Nathalie lui raconta tous les évènements des derniers mois en détail. Pandora assise à son bureau, écouta attentivement sa cliente.



Les jours passèrent. Nathalie avait réussi à dénicher quelques poils et cheveux sur l’encolure de la veste de Balou, une chance que sa pilosité soit si importante, puis elle lui avait subtilisé son briquet Zippo. Le soir même, elle avait foncé chez Pandora pour lui remettre son précieux butin.


Le lendemain matin, elle avait justement rendez-vous avec Balou.

Dix heures sonnèrent à l’horloge en face de la mairie. Sa nouvelle secrétaire le fit entrer dans son bureau. Tous deux se saluèrent en se faisant une chaste bise sur les joues.



Balou lui tendit une chemise cartonnée rose.

Soudain, il ressentit une étrange chaleur dans tout son être. Il mit ceci sur les excès de la nuit dernière avec Elisabeth. Quelques minutes passèrent, Nathalie et lui échangèrent leur point de vue sur les affaires en cours.

Ensuite l’exquise chaleur refit surface, mais elle se focalisait sur son bas-ventre. Sans qu’il s’y attende, il fut prit d’une violente érection. Assis devant le bureau de Nathalie, il se contorsionnait sur son siège, ne sachant plus comment se positionner. Il regardait son interlocutrice en rougissant, les yeux exorbités.



Balou se roulait par terre sur la moquette. Elle le vit déboutonner son pantalon, puis arracher son boxer. Elle vit devant elle son Balou, agenouillé avec une monstrueuse érection. Jamais encore elle n’avait vu Balou aussi excité.



Nathalie sourit intérieurement, Pandora avait frappé.



Balou se releva, sa hampe tressauta devant lui. Il essaya en vain de cacher son érection.



Elle s’avança vers lui après avoir verrouillé la porte de son bureau. Nathalie avait troqué ses éternels tailleurs pour une jupe assez courte qui mettait en valeur ses jambes fuselées. Un petit débardeur moulait son ventre et ses seins.

Balou, debout, jambes nues, tenait dans la main sa verge raide. Il regarda s’approcher Nathalie. Face à lui, elle posa sa main douce sur l’objet de son désir. Balou ferma les yeux, car elle débuta une lente masturbation.



La main continua, les doigts fins enroulés autour de l’énorme tronc coulissaient lentement. « Humm c’est chaud, si doux, j’en avais perdu l’habitude » songea Nathalie. Elle avait envie de Balou, envie de lui à en crever. Son ventre mouillé, s’ouvrait déjà comme une fleur.

Elle se retourna, ôta sa culotte, remonta sa jupe pour offrir ses petites fesses rondes à Balou.

Il s’agenouilla devant ce fessier offert, frotta son gland devant l’orchidée luisante, et d’un coup de bassin, il pénétra Nathalie qui gémit d’aise.



Balou ressentit à nouveau cette exquise chaleur l’envahir. Une boule de feu remontait dans ses cuisses, puis arriva dans son ventre. Il avait l’impression que ses testicules allaient exploser. La chaleur irradia ensuite sa hampe, ce qui l’entraîna à accélérer encore ses coups de boutoirs.



Elle fut également enveloppée par la source de chaleur.



Il s’accrocha aux hanches de Nathalie, « Je deviens dingue, mais bon sang que c’est bon ». Jamais il n’avait ressenti une telle extase, tout son corps vibrait maintenant. La boule de feu s’était liquéfiée dans ses veines et diffusait cette félicité toute nouvelle pour lui.


Nathalie se mordait la paume de la main pour étouffer ses hurlements. Son ventre irradié lui envoyait une multitude d’orgasmes. Elle avait l’impression qu’elle allait exploser, tant le plaisir était foudroyant. Les grands coups de reins de Balou la secouaient comme un fétu de paille, elle griffait la moquette et haletait sous le déluge du bonheur.


Enfin l’exposition finale leur arracha des hurlements qui résonnèrent même à travers la paroi du bureau. Heureusement que la pause déjeuner permettait ce genre de « débats ». Nathalie se laissa complètement aller, cria des insanités en jouissant plusieurs fois d’affilée. Quant à Balou, il éjacula puissamment après un ultime coup de boutoir, dans le ventre de sa bien-aimée.


Allongés en cuiller sur la moquette, tous deux restèrent imbriqués quelques minutes. Balou respirait l’odeur de son amante, il lui caressait les cheveux, il embrassait sa nuque et ses épaules.



A suivre…