n° 10081 | Fiche technique | 21844 caractères | 21844Temps de lecture estimé : 14 mn | 25/01/06 |
Résumé: Après l'intermède avec le chauffeur de taxi, Christèle et son amant sont de retour à l'hôtel pour un "repos" bien mérité... | ||||
Critères: fh collègues hotel amour volupté cunnilingu anulingus pénétratio fdanus glaçon fouetfesse | ||||
Auteur : Sun Tsu Envoi mini-message |
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Nous sommes assis à l’arrière du taxi, tu as ta tête sur mon épaule et tu te reposes, après toutes ces émotions. Je sens ton souffle contre mon cou et je l’écoute, à la fois apaisé et doux. C’est bon de t’avoir à mes côtés, si tu savais…
Mais nous arrivons en bas de l’hôtel, le chauffeur s’arrête et se retourne vers nous :
En désignant Christèle qui s’est redressée, nue sous le manteau, je lui réponds en écartant les pans :
Je sors de la voiture et tiens la portière ouverte pour laisser Christèle sortir. Nous faisons les quelques pas vers la porte de l’hôtel et je sonne pour appeler le portier de nuit.
Celui-ci arrive, manifestement réveillé par mon coup de sonnette, ce qui me donne une idée.
Alors qu’il se baisse pour déverrouiller la serrure du bas de la porte, d’un geste brusque j’enlève le manteau des épaules de Christèle qui se retrouve tout aussi nue que tout à l’heure dans le parking.
Elle ne bronche pas, malgré la situation et le froid vif qui doit la pénétrer, et je vois la chair de poule se former sur sa peau.
La tête du veilleur, quand il se relève ! Il en est littéralement bouche bée et n’arrive pas à détacher les yeux du corps de Christèle. Au bout d’une bonne fraction de seconde, il finit par ouvrir la porte, toujours l’air ahuri.
Je me penche légèrement vers lui pour lui dire :
Je te prends par le bras et nous traversons le hall désert, sous le regard du pauvre garçon qui va certainement avoir du mal à s’endormir maintenant…
Arrivés dans la chambre, nous nous dirigeons rapidement vers la salle de bains pour prendre une bonne douche réparatrice, mais cette fois-ci nous restons sages.
Nos mains restent bien chastes et nous savourons au contraire le bonheur d’être tous les deux sous l’eau qui ruisselle, à nous passer mutuellement le gel douche sur nos peaux. La tienne est tellement plus douce et sensuelle à toucher.
Nous nous enroulons dans nos serviettes et je te prends dans mes bras pour te serrer contre moi et t’embrasser doucement.
Je prends le téléphone et finis par tomber sur notre petit veilleur de nuit qui manifestement n’est plus du tout endormi…
En raccrochant, je souris à Christèle :
Quelque temps après, on frappe à la porte et je vais ouvrir, c’est bien notre charmant garçon. Il doit avoir à peine vingt ans et n’est pas mal du tout. En tout cas, la bosse qui déforme son pantalon me laisse croire que, en effet, il s’est fait plein d’idées depuis son réveil. Bah ! Ça lui fera au moins un souvenir lorsqu’il se branlera tout à l’heure !
Il s’avance en hésitant un peu et semble être déçu de voir Christèle sagement enveloppée dans sa serviette et assise dans le fauteuil.
Il s’attendait à quoi ? À la trouver offerte à lui sur le lit, peut-être ? Ah là, là, ces jeunes… Il dépose le plateau et se retourne vers moi avec le papier à signer. Je m’exécute et lui fais comprendre qu’il peut y aller. Au passage, je lui glisse un billet dans la main et lui dis :
Le pauvre rougit jusqu’aux oreilles et bredouille un merci inintelligible avant de s’éclipser.
Je débouche la bouteille et nous verse deux coupes. Tout en en tendant une à Christèle je continue :
Nous trinquons et savourons le champagne en silence.
En te regardant, je ne peux m’empêcher de te détailler et de ressentir de doux picotements dans mon bas-ventre, comme si la douche et le champagne avaient fait disparaître toute fatigue. Une idée me vient.
Je te prends par la taille et t’embrasse doucement, tout en laissant mes mains glisser sur ta peau sous la serviette qui t’entoure. Délicatement, je la fais glisser à terre et te pousse vers le lit.
Mais ton sourire coquin me dit tout le contraire, à moins que ce ne soit qu’une impression ?
Debout devant toi, je commence par t’embrasser dans le cou, tout en massant doucement ta poitrine. Je sens déjà tes pointes qui durcissent d’attente et d’excitation, mais cette fois-ci il va falloir que tu attendes…
Après, je te bascule doucement sur le lit où tu te retrouves étendue, les bras remontés derrière la tête et les cuisses écartées.
Debout en face de toi, je laisse à mon tour tomber ma serviette et tu peux constater que ma queue est bien raide et dressée : j’ai envie de toi. Mais j’ai surtout envie de te faire languir longtemps… très longtemps…
Je te rejoins sur le lit et, accroupi à côté de ton corps, je me penche en avant pour embrasser doucement ton épaule, ton cou, ton menton, tes lèvres, tes yeux, ton front. Puis je redescends vers ton épaule gauche et glisse ma langue jusque sur la peau de ton sein gauche, puis le sillon entre tes seins et enfin ton sein droit.
Ensuite, ce sont tes tétons que je serre doucement entre mes dents, d’abord l’un, puis l’autre. De ma main droite, je glisse sur ton ventre, jusque vers l’intérieur de ta cuisse droite, que je masse doucement, sans cesser de mordiller ta pointe tendue.
Tout en passant à ta cuisse gauche, je passe à ton sein gauche et je refais la même chose. Je sens ta respiration qui s’alourdit et ton bassin qui bouge doucement.
Ma main se plaque contre ton sexe et je masse doucement tes lèvres du plat de la main, jusqu’à ce que je sente ta mouille m’inonder les doigts.
Tes seins sont tendus à l’extrême, leurs pointes fièrement dressées. Je sens que ton excitation est revenue entière et que ta fatigue de tout à l’heure s’est envolée. Je me mets à califourchon sur toi, la queue raide contre ton ventre, et passe mes mains dans ton dos. Tu n’as pas le droit de bouger.
Je me penche un peu et prends chacun de tes tétons entre le pouce et l’index et je commence à les pincer tout en tirant dessus, comme tu aimes, mon amour.
Sans arrêter de les "maltraiter" ainsi, je me penche en avant et embrasse ton ventre, puis lèche ton nombril. Ma langue continue sa progression, cette fois vers ton sexe que je devine haletant et en attente.
Sans lâcher tes seins, me voilà installé entre tes cuisses. Mon sexe me fait mal, tellement j’ai envie de le plonger en toi d’un coup fort. Mais j’ai décidé d’attendre et de te rendre folle, alors je vais m’y tenir.
J’ai une vue superbe sur ton sexe et l’accès à ta grotte d’amour. Tes lèvres sont luisantes de mouille et s’ouvrent légèrement, laissant deviner les replis de ta chatte trempée.
Je souffle doucement sur ton sexe et je te sens réagir. Tes hanches bougent et tu tentes de projeter ta chatte vers ma bouche. Mais je m’écarte imperceptiblement, afin que tout ce que tu puisses sentir ne soit que mon souffle sur ta fente humide.
Alors que tu bouges de plus en plus, je prends pitié et me rapproche de tes lèvres. Je sens le goût légèrement sucré-salé et si particulier sur le bout de ma langue et commence à te pénétrer doucement de celle-ci. J’adore goûter ton sexe quand il s’offre ainsi à moi. Ma langue glisse en toi et je commence à la bouger entre tes grandes lèvres.
Mes mains pincent toujours tes seins, je n’ai pas arrêté de les malaxer entre mes doigts. Je plaque mes mains sur chacun de tes globes et commence à les masser l’un contre l’autre, tout en lapant ton jus de petite salope en chaleur.
Tu es bien chaude maintenant, je peux le sentir et le goûter en même temps.
Je lâche tout à coup tes seins et viens écarter ton sexe avec mes doigts ainsi libérés. Je vois ton clitoris dressé et le prends entre mes lèvres, puis entre mes dents, juste assez pour te faire gémir de plus belle.
Je lape ta vulve à grands coups de langue. Entre ma salive et ta mouille, tu es complètement inondée. As-tu déjà giclé avec ton foutre ? As-tu déjà coulé dans un abandon complet ? Ce serait bien de te sentir couler sur ma queue, m’inondant de ton jus, non ? Mais ce sera peut-être pour plus tard….
Pour l’instant je continue avec ma bouche à te rendre folle, folle de désir, folle de frustration et, surtout, folle de plaisir…
Tu es bien écartée et j’ai une vue plongeante sur tes chairs ouvertes et luisantes d’envie. Comme j’aimerais m’enfoncer en toi, là, tout de suite… mais non, il ne faut pas…
Je m’allonge sur toi pourtant, te faisant sentir le bout de mon chibre contre tes lèvres ouvertes. Il suffirait d’un tout petit coup de reins pour qu’il entre en toi et te pourfende comme une épée le ferait d’un melon mûr. Car tu es mûre là, mûre d’être pénétrée, prise, assaillie. Mais il te faut encore attendre…
Nos bouches se rapprochent, même si tu n’as toujours pas le droit de bouger tes bras, encore moins tes mains, tu peux m’embrasser. Et je sens à la fougue de ton baiser que tu prends beaucoup de plaisir à ce petit jeu. Nos langues mènent une sarabande endiablée et s’enroulent l’une autour de l’autre. Nos lèvres sont soudées et c’est comme si tout notre amour et toute notre envie s’y trouvaient concentrés.
Une fois encore, je dois t’abandonner.
Je me redresse au-dessus de toi et, ce faisant, ma queue te pénètre… oh… juste un tout petit peu, juste un court instant, mais assez pour toi (et pour moi, j’en conviens !), pour que tu aies un aperçu de ce que ce sera lorsqu’elle te prendra vraiment et que je te baiserai comme une petite catin… mais tout à l’heure mon ange, tout à l’heure…
Je suis maintenant à califourchon sur ton corps et j’ai avancé mon sexe devant ta bouche.
"Suce moi, petite chienne ! Prends cette queue dans la bouche et goûte-la. Tout à l’heure, elle te fera hurler de plaisir, quand elle sera au fond de toi. Je veux que tu aies un avant-goût !"
Tu ouvres la bouche et me happe avidement ; je sais bien que tu ne te fais pas prier pour ce genre de traitement.
Je sens tes lèvres chaudes m’envelopper et je peux voir tes joues se creuser pour bien m’aspirer jusqu’au fond de ta bouche. Ta tête fait des allers-retours dessus et, je l’avoue, tu t’appliques bien.
Exceptionnellement, je t’autorise à te servir de tes mains et, là encore, tu ne te fais pas prier. Tu empoignes mon sexe d’une main alors que de l’autre tu agrippes mes couilles que tu masses à l’unisson.
La sensation est délicieuse et je dois faire attention de ne pas jouir et t’envoyer tout mon foutre dans la gorge.
Je me retire un peu, mais tu ne lâches pas. Comme un animal qui tient à sa proie, tu tiens à avoir ma queue. Tout en la tenant d’une main, tu te mets à la lécher avec ta langue, depuis la base jusqu’au gland que tu agaces du bout de ta langue pointue et vicieuse. Mon corps est parcouru de mille et une décharges délicieuses et j’ai bien du mal à retenir « l’ultime décharge ». Pourtant j’aimerais voir mon foutre gicler sur ton visage, dans ta bouche et sur tes lèvres, de longues saccades épaisses que tu te ferais une joie d’accueillir dans un rictus obscène et fiévreux. Une autre fois je le ferai, promis.
Je me dégage doucement de ton emprise et redescends sur ton corps pour en embrasser, lécher, mordiller chaque parcelle, depuis la base de ton cou jusqu’au-dessus de ton sexe, toujours aussi béant et dégoulinant de ton jus de femelle en chaleur.
Le grain de ta peau est si doux, les odeurs mélangées de tes produits de corps, de ta transpiration et de ton excitation sont enivrantes ; je prends un plaisir infini à m’occuper de ton corps de la sorte, si tu savais…
Je t’aide à te retourner, afin que tu te mettes à quatre pattes maintenant.
Tu sais parfaitement ce à quoi je veux en venir et tu en frémis d’avance ; tu aimes que je m’occupe de ton petit trou intime. Le mélange de plaisir, d’abandon et d’humiliation que tu ressens dans ces cas te fait toujours mouiller un peu plus et là ça va être encore plus fort…
Tu te cambres bien en face de moi, le cou pratiquement sur le lit et ton cul bien ferme pointé vers moi.
J’observe et admire un peu la cambrure de ton dos, tout en caressant doucement tes fesses. Mes mains décrivent des cercles imaginaires sur la peau douce et veloutée de ton petit cul. Insensiblement, ces mouvements me permettent d’écarter de plus en plus les deux lobes et d’admirer ton oeillet pour le moment encore fermé, mais qui déjà palpite, je le devine, d’anticipation.
Je m’avance un peu plus et pointe ma langue dessus.
L’amertume que je recueille sur le bout de celle-ci m’électrise et manque pratiquement de me faire jouir !
Doucement, je laisse glisser ma langue sur les plissures afin de m’enivrer de ce goût et de sentir tes chairs "interdites" réagir.
Est-ce ce goût si particulier ? Est-ce le côté "interdit" de cette partie de ton anatomie (même si je sais que tu adores…) ? Est-ce la perversité de la pratique ?
Je pense que c’est un mélange des trois.
Ces trois choses et ce que je ressens pour toi font que je voudrais continuer des heures et des jours à t’éveiller aux sens de ton corps, mon amour.
Ta rondelle commence doucement à s’ouvrir sous les effets de ma langue, je peux voir ta cible brune s’épanouir comme un bouton de rose et s’offrir à moi.
C’est peut-être pour cela qu’on appelle ça une faire une "feuille de rose" ?
Je sens ton cul remuer et tes reins tenter de propulser celui-ci à ma rencontre dès que tu sens le contact de ma langue. Ta respiration s’est faite plus lourde et de petits gémissements s’échappent de ta bouche.
J’imagine ton visage tendu sous les sensations, tes yeux fermés, ta bouche légèrement entrouverte pour laisser échapper tes petits cris qui, je le sais, se transformeront tout à l’heure en hurlements de plaisir. Patience, mon ange, la délivrance de la jouissance viendra… Pour le moment, je veux te maintenir en perpétuel déséquilibre, juste au bord de l’orgasme que tu attends, le souffle de plus en plus lourd.
Ma langue te pénètre maintenant de mieux en mieux et je peux atteindre tes parois intimes. Je maintiens tes fesses écartées d’une main, fais glisser l’autre sur ta chatte et enfonce un, puis deux, puis trois doigts à l’intérieur de ta caverne de plaisir.
Je te branle au même rythme que ma langue te fouille, je sais que ce traitement va te faire jouir, alors j’arrête bien vite.
Un cri de frustration t’échappe et tu cries :
Pour toute réponse, je m’écarte un peu de toi, cessant tout contact avec ton corps et te fais remarquer :
Sans te laisser le temps de répondre, j’assène deux claques retentissantes sur ton cul ; tes fesses rougissent instantanément, manifestement je n’y suis pas allé de main morte !
Sur ces paroles, je m’éloigne de toi et du lit. Je vais chercher quelque chose sur la table, mais sans me presser. Au passage, je peux voir mon profil dans le miroir en pied, avec mon sexe dressé et raide comme il ne l’a jamais été (à moins que ce ne soit qu’une impression… ?) et, au bout du gland, quelques perles de liquide s’échapper… Je vais avoir du mal à tenir, je crois bien !
Je me retourne et tu n’as pas bougé, en effet. J’admire ton corps offert de manière impudique, ton cul encore rougi en l’air et ta respiration toujours aussi lourde.
Le ton de ma voix ne souffre aucune discussion, et en effet tu t’exécutes sans broncher.
Que tu es belle ainsi, mélange de beauté racée et de perversité assumée…
Je m’approche de toi et observe ton trou qui est maintenant aussi brillant que ton sexe.
Sans te prévenir, j’applique brusquement le glaçon dessus et pousse afin de l’enfoncer en toi.
Tu cries sous l’effet de surprise, mais tu as la présence d’esprit de ne rien changer à ta position, maintenant toujours tes fesses écartées.
C’est presque dommage, j’aurais bien aimé t’administrer une claque ou deux… tant pis, ce sera pour une prochaine fois…
Alors que tu frétilles sous l’effet subit du froid dans cet endroit si particulier, je rajoute rapidement trois autres glaçons. J’ai un peu de mal avec le dernier et je dois m’aider de mon index pour bien le faire pénétrer.
Je le fais bouger dans tes entrailles qui sont maintenant aussi trempées que ta chatte et je t’entends reprendre tes gémissements.
Après plusieurs allers-retours je n’y tiens plus, il est temps de t’envoyer au fond du précipice (et de me soulager !!!).
Je te retourne sur le dos et soulève tes jambes en les calant sur mes épaules. Je suis à genoux devant ta chatte et, lentement, fais entrer ma queue en toi, sans arrêter, jusqu’à la sentir buter au fond de ton vagin chaud et détrempé.
Je m’arrête un instant pour savourer la sensation d’être ainsi enveloppé de volupté. Ton bassin bouge de manière frénétique et désordonnée et tu halètes en appelant ces "coups forts" que tu aimes tant.
Je glisse ma main sous tes fesses et te sodomise d’un coup avec mon pouce.
Grâce aux glaçons, tu coules tout autant du cul que de la chatte et je me mets à te labourer les deux orifices avec de moins en moins de retenue.
Je sens autour de mon doigt et de ma queue des spasmes, annonciateurs de ta jouissance.
Tu cries de plus en plus fort et, au moment où ton cri se transforme en longue plainte d’abandon, alors que tous tes muscles m’enserrent du mieux qu’ils peuvent, dans un dernier mouvement de reins je finis par moi aussi me laisser aller, et je gicle par longues rasades au fond de toi.
Je te remplis de mon foutre en tremblant de tout mon corps tellement j’ai moi aussi attendu cet instant, et j’ai l’impression de ne jamais avoir autant joui ; ma queue est prise de soubresauts et c’est comme si je n’allais jamais arrêter de m’épandre dans ta grotte…
Dans un dernier râle, je m’effondre sur ton corps et t’embrasse rageusement. Nous transpirons tous les deux abondamment et nos corps sont brûlants.
Ma queue reste en toi, encore un peu bandée (mais nettement moins qu’il y a quelques secondes, j’en conviens…) et je veux rester en toi pour toujours.
Toute la tension sexuelle s’est maintenant bel et bien évaporée et ce n’est plus que de la pure tendresse et du pur bien-être qui nous envahissent, dans les bras l’un de l’autre, alors que nous reprenons lentement notre respiration et nos esprits…