n° 10213 | Fiche technique | 22011 caractères | 22011Temps de lecture estimé : 14 mn | 15/03/06 |
Résumé: Après le retour de leur mission, les deux amants ont eu peu d'occasions de se retrouver tous les deux, jusqu'à ce que... | ||||
Critères: fh collègues travail amour voir fmast hmast fellation anulingus pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Sun Tsu Envoi mini-message |
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Après leur retour de mission, le train-train quotidien a bien (trop) vite repris et Christelle et lui s’en sont retournés à leurs boulots respectifs. Lui un étage plus bas qu’elle, si proches et, pourtant, sans pouvoir se voir comme ils en avaient envie.
Alors ils s’envoient des messages via la messagerie interne et essayent de rester le plus proche l’un de l’autre, si tant est que ce genre d’échange puisse conduire à quoique ce soit d’autre qu’une terrible frustration ! Surtout que leurs petits échanges dérapent bien souvent sur le sexe et leurs envies…
Un soir de désœuvrement chez lui, il surfe sur internet et repense au petit délire qu’il avait eu avec Christelle dans la journée. Ils avaient fantasmé sur elle en train de s’offrir pour un gang-bang pendant qu’il dirigeait les choses ; elle lui avait avoué que l’idée la tentait pas mal.
Alors il se met à faire des recherches sur les club échangistes de Paris, histoire de voir si ceux qu’il connaissait (et avait fréquenté occasionnellement dans le passé) existaient toujours. Sans trop savoir pourquoi d’ailleurs, puisqu’ils n’étaient pas à Paris !
Etant tombé sur un site qui recensait (soi-disant) tous les « coins chauds » de France, il rentre son code postal pour voir. Oh miracle ! Il y a un club à même pas 20 minutes en voiture de son lieu de résidence ! Incroyable, il n’en avait jamais entendu parler, était pourtant passé dans le village proche et n’avait jamais rien remarqué !
Toutes ces années dans la région, même du temps où tout allait bien avec sa femme et ils avaient tout ignoré…
Le club indique son site et il va jeter un œil ; on dirait que l’endroit est assez actif, avec tout un programme pour les 2 semaines à venir etc, etc. Une idée germe dans sa tête et il se dit qu’il va en parler au plus vite à Christelle.
Le lendemain il l’appelle avec un prétexte bidon pour une soi-disant réunion et lui demande de le retrouver dans la salle G 412.
La salle est située dans un aile assez longue, tout au bout du bâtiment, au dernier étage d’un service avec peu de monde ce jour-là. Lorsqu’il arrive, elle l’attend déjà, debout devant la baie vitrée qui donne sur la campagne environnante. Elle porte une jupe noire assez courte, des bas et un chemisier blanc noué au niveau de la taille. Ses cheveux sont rassemblés en chignon et sa posture cambrée fait ressortir ses fesses qu’il sait si douces et accueillantes. Il bande instantanément en la voyant.
Il ferme rapidement la porte à clé et s’approche d’elle ; elle a dû l’entendre,
mais elle ne bouge pas.
Arrivé à sa hauteur, il l’enlace en se plaçant derrière elle et l’embrasse dans le cou. Elle se laisse aller contre lui et lui agrippe les mains pour les diriger sur sa poitrine, qu’il caresse d’emblée. Elle bouge ses fesses pour vérifier s’il bande et, manifestement satisfaite, elle prend sa main droite et la plaque d’emblée sous sa jupe.
Il remarque tout de suite qu’elle a enlevé sa culotte ; elle est tout aussi excitée que lui !
Est-ce l’urgence de leur désir ? Est-ce la crainte d’être surpris ? Les deux ?
Toujours est-il qu’ils ne s’embarrassent pas de préliminaires ; Christelle s’est retournée et, alors qu’ils s’embrassent fiévreusement et avidement, elle est déjà en train de défaire sa braguette. Lui s’est mis à caresser son sexe qui est trempé ; il sent les lèvres s’écarter sous la pression de son majeur. Lentement il l’introduit entre les muqueuses humides et instantanément son érection augmente encore. Il pousse son doigt jusqu’à buter dans le fond du vagin de Christelle dont le bassin ondule déjà frénétiquement et la respiration se fait courte.
Alors qu’ils s’embrassent à pleine bouche, leurs langues emmêlées s’aspirant goulûment, son autre main est remontée sous le chemisier et il a empoigné son sein droit qu’il malaxe sans ménagement. Ça fait tellement longtemps qu’il n’a pas eu la sensation du corps excité de Christelle contre lui qu’il est presque en rage et qu’il la bouscule quasiment dans ses assauts. En même temps, il sait qu’elle aime ça. D’ailleurs, apparemment dans le même état d’esprit, de son côté, elle a extirpé sa bite tendue à bloc de son caleçon et la branle vigoureusement en la serrant de toutes ses forces.
Elle se dégage un peu de lui et, sans lâcher sa queue, l’entraîne vers la table de réunion. Elle s’assied juste sur le bord, écartant largement ses cuisses et lui prend le visage entre les mains. Juste avant de l’embrasser de nouveau elle murmure, d’une voix rauque :
Se détachant de leur baiser, il se recule un peu et ouvre complètement le chemisier de Christelle et dégage ses seins lourds de leur soutien-gorge. Ensuite il remonte la jupe un peu pour bien dégager son cul.
Tout en se branlant doucement devant elle, il la contemple un court instant, comme s’il voulait s’imprégner de la vision de cette femme si belle et en même temps tellement indécente qui s’offre à lui. Elle a le regard trouble et s’enfonce maintenant deux doigts dans sa chatte tout en se pinçant le téton et en tirant dessus, dans un geste particulièrement cru. Il la gardera longtemps en mémoire dans cette posture; c’est sûr.
Joignant le geste à la parole, il se rapproche et fait glisser son gland le long des lèvres luisantes de mouille. Malgré l’excitation qu’il ressent, il veut la faire languir encore un tout petit peu.
De ses mains, il rapproche un peu ses fesses du bord de la table pour que la chatte soit à la hauteur exacte de son membre. Tout en lui écartant les lèvres de ses doigts, il pousse un peu et son gland s’immisce entre les chairs roses qui s’offrent à son regard. Il les voit ensuite se refermer autour de sa colonne et se sent au chaud dans ce con affamé. Il essaye de bouger le moins possible et ressort imperceptiblement avant de rentrer dans sa vulve. Il joue ainsi pendant un petit moment de son sexe à l’orée de celui de sa maîtresse.
Elle bouge son bassin à sa rencontre, comme pour en demander plus, mais lui fait en sorte de ne jamais trop la pénétrer. Elle a fermé les yeux et se mord la lèvre inférieure, comme une élève appliquée et concentrée, elle va à la recherche des sensations de son corps.
Son souffle est lourd et saccadé et c’est à ce moment-là qu’il décide d’aller un peu plus loin en elle. Il force à peine et s’enfonce aux deux tiers, sentant son sexe le happer et l’enserrer délicieusement.
Entamant de lents mouvements de va-et-vient, il prend les tétons durs et tendus entre ses doigts et se met à tirer dessus tout en les pinçant de plus en plus fort. L’effet sur Christelle est immédiat et elle gémit de plus en plus. Il sait qu’elle adore le mélange de plaisir/douleur que cela provoque en elle. Son souffle devient complètement irrégulier et elle l’agrippe pour qu’il la pénètre à fond.
Il accélère maintenant et pousse de tout son poids pour la pourfendre, comme pris d’une rage bestiale et se met à la pilonner de plus en plus violemment. Il lâche ses tétons pour agripper ses fesses et la clouer littéralement avec son membre. À chaque coup, il sent son gland buter au fond du vagin de sa maîtresse, lui procurant des sensations indescriptibles et fortes.
Christelle sent son plaisir la submerger et essaye d’étouffer ses cris en se mordant la main, son bassin bouge dans tous les sens et elle s’abandonne totalement aux coups de boutoir dans sa chatte en feu.
De son côté il sent sa propre sève monter et n’est plus très loin d’exploser à son tour. Après une dernière pénétration il se retire et fait un pas en arrière. De sa main il dirige son sexe gonflé à bloc vers le ventre de Christelle et, étouffant lui aussi au mieux son râle de plaisir, se met à se vider à longue giclées épaisses sur son ventre.
Alors qu’il finit de s’épancher, Christelle passe déjà sa main sur les paquets de foutre et se masse le ventre et les seins comme s’il s’agissait d’une crème de soin. Sa peau devient luisante et, du coup, son excitation reste pratiquement intacte, alors qu’il peine un peu à retrouver son souffle.
Il est comme hypnotisé par les gestes de sa maîtresse, à la fois pervers et ingénus. Ses doigts sont couverts de foutre et, langoureusement, elle se met à les lécher un à un, sans se presser.
Surpris, il ne la quitte pas des yeux et se met à lui peloter les seins dont la texture est maintenant celle de son jus à lui.
Sans attendre sa réaction elle en recueille un peu sur son ventre et glisse son index et son majeur dans sa bouche. Le goût le surprend toujours, même s’il le connaît aussi. Excité par la perversité de la situation, il se met à lui lécher les doigts comme s’il s’agissait d’une queue. Il sent une nouvelle érection poindre et son membre reprend de la vigueur. Christelle attrape son sexe et se met à le masser langoureusement de son autre main et il bande de plus en plus.
Elle le repousse doucement et se relève. Elle fait glisser sa jupe par terre et se retrouve maintenant uniquement avec ses bas et ses escarpins devant lui, le haut du corps luisant de sperme. Elle se retourne et se cambre de manière provocante en se penchant vers la table. D’une main elle écarte ses fesses pour lui offrir une vue plongeante sur son cul.
Tout en se déhanchant un peu, elle fait passer son autre main entre ses cuisses et remonte ses doigts vers son petit trou.
Et là, elle se met à se caresser l’anus, jouant d’abord avec son pourtour, puis appuyant dessus doucement et, finalement, s’enfonçant son majeur dedans.
Et il la voit se pénétrer entièrement du majeur, puis même y ajouter son index.
Elle ressort ses doigts, va de nouveau recueillir ce qui reste de foutre et l’étale sur le pourtours de son anneau, en alternant de brèves incursions dans son fondement avec ses caresses délicieuses.
Il commence à se branler devant le spectacle et son sexe a repris toutes ses dimensions « opérationnelles », malgré l’intensité de leur jouissance de tout à l’heure.
Elle agite maintenant ses fesses devant lui en les écartant au maximum. Il se jette à genoux et empoigne ce cul offert pour y plonger sa langue et le déguster comme un fruit mûr. Elle ne s’y attendait pas, ce n’était sans doute pas dans son scénario, mais toujours est-il qu’elle se laisse aller avec volupté. Il darde sa langue et la pénètre du mieux qu’il le peut.
Il se relève alors et, doucement, fait entrer son majeur et son index pour la pistonner lentement, fasciné par le spectacle de ses fesses offertes dans lesquelles ses doigts disparaissent sans pudeur.
Christelle se dégage rapidement, le fait se relever et le prend en bouche pour une fellation endiablée ; plutôt que de le pomper comme elle le fait d’habitude, elle l’inonde de salive.
Elle se relève et se remet en position et écarte ses fesses des deux mains.
Vu son état d’excitation, il ne se fait pas prier et guide son membre vers la rosace tourmentée. À peine a-t-il posé le bout de son sexe contre elle que ce dernier est comme happé et il s’enfonce d’un seul coup jusqu’à la garde.
Il lui maintient les fesses écartées pour pouvoir profiter de la vue de son membre entrer et sortir de cet endroit si intime et si délicieux et se met à la pistonner à grands coups de boutoir, ressortant presque entièrement avant de s’enfoncer en elle. Le fourreau qui l’enserre lui procure des sensations inouïes et il sent de nouveau sa sève monter en lui.
Conscient qu’il n’arrivera pas à se retenir bien longtemps, il plonge une main en avant afin d’aller caresser le clitoris de Christelle. Il le sent sous des doigts, érigé et se met à le masser tout en continuant de la pénétrer comme elle le lui avait demandé, c’est-à-dire sans ménagement. Il glisse pratiquement aussi bien que s’il la prenait de manière plus classique.
Les mots crus de Christelle finissent par l’achever et, dans un grand râle il se fiche au fond de ses entrailles et se sent gicler. Plusieurs saccades se succèdent sans qu’il ne bouge et ses jambes se dérobent tellement la tension retombe brutalement.
Christelle aussi a joui et reste prostrée contre la table de réunion et ils reprennent lentement leurs esprits et leur souffle, lui affalé sur elle, son membre toujours planté entre ses fesses.
Son sexe perd rapidement sa taille et finit par glisser hors d’elle. Il approche son visage des épaules de Christelle et l’embrasse à la base du cou.
Il commence à se remettre de leurs émotions et il se dégage difficilement d’elle et se redresse.
Sa chemise qu’il n’avait pas enlevée est trempée et toute froissée, ils ont tous les deux les cheveux en bataille et les joues en feu ; pas vraiment le profil des cadres modèles sortant de réunion, ça non !
Il en fait la remarque à Christelle et elle se met à rire.
Ils se rhabillent tous les deux et, alors que Christelle se baisse pour ramasser sa jupe, il peut voir un filet de foutre s’écouler de son trou et glisser le long de l’intérieur de sa cuisse, maculant son bas… Il avance sa main à plat et lui masse l’entre-fesses.
Une fois rhabillés, ils s’installent chacun sur une chaise et finissent de calmer leurs respirations.
Elle le regarde avec amusement et lui répond, du tac au tac :
Ils rient tous les deux et il reprend :
Christelle le regarde, avec un petit sourire en coin et fais semblant de réfléchir.
Christelle rit aux éclats à cette idée et ils se lèvent tous les deux.
Ils s’enlacent une dernière fois pour un baiser langoureux et tendre.
Ils ouvrent la porte et sortent tous les deux de la salle de réunion. Au bout du couloir, elle prend un peu d’avance et continue sa marche seule alors qu’il s’arrête à la machine à café pour prendre un verre d’eau. De loin il peut voir le bas droit de Christelle qui luit étrangement par rapport à celui de gauche… Si les gens savaient !