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Temps de lecture estimé : 15 mn
02/02/06
Résumé:  Depuis l'ouverture de mon 13ème magasin et la mésaventure que j'avais connue avec ma première cliente, l'affaire ne marchait pas comme je l'aurais voulu.
Critères:  fh extracon travail amour fmast cunnilingu pénétratio fdanus
Auteur : Eric  (Chuuuut.)            Envoi mini-message

Série : Ma dernière boutique

Chapitre 02
Et mon quotidien est venu la bouleverser aussi...

Depuis l’ouverture de mon 13ème magasin et la mésaventure que j’avais connue avec ma première cliente, l’affaire ne marchait pas comme je l’aurais voulu. Là, j’ai voulu comprendre ce que nous avions vécu. J’ai voulu savoir si elle avait ressenti les mêmes choses que moi. C’est alors qu’elle m’a tout raconté.


Les perspectives annoncées par le propriétaire du centre commercial étaient très alléchantes. De ce fait, la redevance fixe qu’il nous demandait chaque mois était, elle aussi, assez impressionnante. Si les clients avaient été au rendez-vous, nous aurions supporté cette charge financière sans mal. Malheureusement, les jours passaient et se ressemblaient : le bide !



12 septembre



Monsieur Freek est mon expert comptable depuis toujours. Il connaît mon affaire et je pense qu’il n’a jamais eu à regretter de m’avoir pris pour client. Non seulement il gère la comptabilité de tous mes magasins mais en plus, je lui donne quelques travaux supplémentaires à titre personnel. Travaux bien évidemment rétribués au tarif en vigueur.



Et je lui expliquai alors la problématique de la redevance mensuelle au centre commercial que je trouvais exorbitante au regard du chiffre d’affaires généré par le centre.



J’attendis quelques instants avant d’avoir l’assistante.



Les jours ont passé. Peu à peu, les clients se faisaient plus nombreux mais la fréquentation n’atteignait pas celle escomptée quelques mois auparavant.



16 septembre, 17h50


Je déteste arriver en retard à un rendez-vous. Du coup, je traînais déjà dans le quartier de Beaubourg depuis quelques instants quand je me rendis compte qu’il était temps pour moi d’aller à mon rendez-vous. J’arrivai en bas de l’immeuble et sonnai à l’interphone. La porte s’ouvrit tout de suite et la pancarte indiquait que le cabinet d’expertise était situé au 7ème et dernier étage. Arrivé sur le pallier, je sonnai à la porte du cabinet. J’étais un peu anxieux car la réponse de la juriste à mon problème allait ou non me permettre d’envisager l’avenir plus sereinement dans ce centre commercial. La porte s’ouvrit automatiquement et j’entendis des pas dans le couloir des bureaux en entrant dans les locaux.


Je fermai la porte derrière moi en me retournant au moment même où Maître Ruelle arriva pour me saluer. Elle était derrière moi et nous ne nous vîmes que lorsque je me tournai face à elle.


(De mémoire, il y eu à cet instant un moment unique pour moi. Un moment où je me suis demandé si je ne rêvais pas. J’étais figé. Mon interlocutrice aussi par la même occasion. Je me demande même si elle et moi n’avons pas eu un léger étourdissement en nous voyant).


J’avais face à moi la femme qui, quelques semaines plus tôt, étais devenue ma première cliente de ma 13ème boutique. Elle était devenue aussi une femme que j’avais connue très intimement. À cet instant, toutes les images se rappelaient à ma mémoire. Le café tombé, les mouchoirs, sa jupe relevée, son sexe rasé et le goût de ses sécrétions intimes sur ma langue, sa peau sur mes doigts, ses fesses, fermes et douces, son orgasme, ses pleurs aussi, ses aveux de pécheresse…



Elle semblait avoir repris le dessus bien plus rapidement que moi. Je la suivis dans le couloir dans un silence monacal. Nous arrivâmes dans son bureau, il était très chaleureux avec une moquette épaisse un peu sombre, un grand bureau en bois sombre aussi, une petite table de réunion et quelques sièges en cuir. Sur un meuble, on pouvait voir tous les manuels juridiques possibles et imaginables, quelques bibelots de style africain ainsi que quelques photos professionnelles.



Elle s’installa de l’autre côté du bureau, dans un grand fauteuil en cuir noir qui lui donnait une grande prestance. Elle portait encore un tailleur, de couleur rouge et un top noir qui laissait entrevoir son cou très long. Ses cheveux étaient attachés et relevés derrière sa nuque. Ses grands yeux me fixaient pendant que j’ôtais mon blouson et le posais sur la chaise face à son bureau.



Je me suis dit alors que soit elle se foutait ouvertement de moi, soit elle était tellement gênée qu’elle en devenait irritable. Je préférais crever l’abcès.



Il y eut un long silence pendant lequel j’ai vu son visage fondre petit à petit.



Son visage s’empourpra alors.



Elle me fixa droit dans les yeux et je vis enfin un sourire se dessiner sur son visage. Dieu qu’elle était belle. Des yeux remplis de douceur, les traits fins, des cheveux brillants. Elle avait bonne mine en plus, le teint hâlé, les dents parfaitement blanches et le grain de sa peau était extrêmement fin. Elle se leva, fit le tour de son bureau et se posa entre moi et son bureau, les fesses posées sur le bord, les jambes tendues et croisées.



Elle me regarda longuement, ses grands yeux dans les miens. J’en étais gêné et je déteste ça. Ça me rend irritable. Je me sentais comme un gamin pris en flagrant délit de vol de bonbon dans le placard de la cuisine.



Je répondis honnêtement.



Je ne savais pas quoi répondre. Bien sur que je pouvais faire quelque chose ! Il me suffirait qu’elle s’allonge là sur son bureau et que je lui fasse l’amour comme une bête ! Mais en y repensant bien, je savais au fond de moi que le sexe n’avait pas grand chose à voir avec mon état. La raison de ma nervosité était toute autre et je commençais tout doucement à m’en rendre compte. Pour autant, il était hors de question de lui avouer la vérité pour le moment.



Touché ! Je m’étais aperçu de ma bourde en la prononçant.



J’avais prononcé ces quelques mots avec une voix très douce et le plus calmement possible. Elle reprit le même calme pour me dire :



Et elle retourna derrière son bureau pour ouvrir mon dossier.



Je lui expliquai alors ma petite mésaventure avec le centre commercial. Cela dura une bonne heure, pendant laquelle elle m’exposa très professionnellement toutes les implications juridiques du contrat que j’avais signé. Nous parvînmes finalement à trouver des voies possibles pour faire en sorte de pousser le centre commercial à renégocier le contrat avec moi. Je lui demandai aussi d’être mon conseiller juridique sur ce point. Je m’étais fait avoir une fois, pas deux !


A la fin de cette discussion, j’étais beaucoup plus détendu et j’avais pu apprécier chez Maître Ruelle des compétences techniques de grande valeur. Elle manipulait les points de droit avec aisance et comprenait les problèmes du petit commerce avec beaucoup de compassion. Elle aussi était très détendue. Cela se sentait dans sa façon d’être. Nous n’avions plus abordé les sujets sensibles qui nous unissaient et nous éloignaient à la fois.


Je me sentais fourbu, courbaturé et j’avais besoin de me dégourdir les jambes. En me levant, je lui demandai si elle avait une machine à café. Elle leva le regard vers moi en souriant.



Je partis dans un grand éclat de rire.



Elle devint aussi rouge que sa veste et se leva en souriant.



Elle passa devant moi et je la suivis en marchant deux mètres derrière elle. Cela me donnait l’occasion d’admirer ses jambes longues et fines, ainsi que sa démarche, très élancée, très élégante. Les bureaux étaient déserts. Nous passions devant des espaces vides, parfois mal éclairés, pour arriver finalement au lieu de repos des employés du cabinet. Là, une machine à café me versa un café très fort et très serré pendant qu’elle se versait un thé au citron dont les vapeurs montaient jusqu’à son visage.


Elle s’assit sur un tabouret de bar, à côté d’une table ronde très haut perchée. Pour ma part, je restai debout à côté d’elle, trempant mes lèvres dans le café bouillant.



Ses jambes croisées faisaient remonter sa jupe et laissaient entrevoir un morceau de cuisse que j’avais déjà eu l’occasion de toucher de très près. Cette vision eut un effet soudain sur moi et je sentais bien que le désir montait doucement.



Je ne savais pas trop comment prendre ses paroles. Nous nous approchions d’une discussion beaucoup moins professionnelle et j’adorais ça. Pour autant, je n’étais pas du tout certain qu’elle éprouvait le même désir.



Cette phrase eut un effet assez dur sur moi. Tous mes espoirs partaient en fumée.



Elle resta de marbre mais son visage paraissait un peu plus sombre.



Je pris une inspiration profonde.



Son regard se troubla un peu. Je la vis trembler pour amener son verre de thé à la bouche.



Elle venait de brûler la lèvre avec le thé. Je me levai pour chercher de l’eau à la fontaine et lui tendis un verre d’eau fraîche pour atténuer la douleur.



Elle leva les yeux vers moi, les joues rouges et le regard brillant. Je m’approchai alors d’elle, en prenant sa tête entre mes mains et posai délicatement mes lèvres sur la commissure des siennes en un baiser doux et tendre. Je glissai alors jusqu’au centre de sa bouche en effleurant ses lèvres. Son parfum m’enivrait et la douceur de sa peau était un enchantement.


Mes mains glissèrent sur son cou et j’appuyais ma bouche plus forte sur la sienne, ma langue venant au-devant d’elle. Je trouvai alors une langue chaude et douce qui m’accueillit avec douceur et beaucoup d’entrain, elle venait et tournait sur moi, découvrant l’intérieur de ma bouche, dessinant des ronds à n’en plus finir. Un ballet de langues dansait entre nos lèvres, léchant, humidifiant chaque parcelle rencontrée.


Je pris ses lèvres dans les miennes et tirai un peu dessus puis rejoignis sa bouche dans un baiser de plus en plus pénétrant. Peu à peu, le combat de langues cessa sans vainqueur et ma bouche se promena alors vers le lobe de son oreille pour descendre le long du cou lentement. Mes mains en profitèrent pour ôter la veste du tailleur qui tomba au sol derrière elle, découvrant alors les épaules nues sous le top noir.


Ma bouche en profita pour descendre plus encore sur sa gorge et bifurqua pour se glisser sur son sein. J’embrassai le tissu et sentis sous mes lèvres le téton se dresser doucement. Là encore, elle ne portait rien. Sa poitrine ne semblait pas très volumineuse mais ses seins étaient fermes et sensibles. Ma langue titilla son téton au travers du tissu et je sentis un frisson la parcourir lorsque je refermai mes lèvres dessus.


Au bout de quelques instants, n’y tenant plus, je pris son top dans mes mains pour le lui faire enlever. Elle leva alors les bras et je vis ce que je pensais ne plus jamais voir : son verre de thé, emporté par l’élan, tomba de la table haute pour se répandre sur la veste au sol.


Alors que le gobelet tournait encore sur lui même, nous nous sommes regardés, ahuris, et sommes partis dans un fou rire commun.



En disant cela, je m’étais rapproché d’elle en la prenant par les hanches et l’avais mise dos au mur en nous écartant de la flaque de thé. Ma bouche avait repris sa danse dans son cou avant de revenir sur ses seins, nus à présent. Ils étaient superbes, fiers et visiblement très sensibles. Les pointes s’érigeaient sous ma langue à chaque passage, de plus en plus rouges et tendues ; je les pris les dans mes mains et entrepris de les caresser, lentement tout d’abord, puis de plus en fort, les pinçant un peu, beaucoup, alternant les coups de langue, les pincements et les étirements.


J’entendais son souffle plus fort, entrecoupé de gémissements légèrement plaintifs. En relevant la tête, je vis son regard un peu vitreux, hagard, presque perdu. Ma bouche se plaqua sur la sienne avec force pendant que mes mains ôtaient la jupe rouge en faisant glisser la fermeture de hanche…


Elle était nue, uniquement chaussée de ses chaussures noires d’été. Nos bouches encore collées, je décidai de venir poser ma main entre ses cuisses, juste pour sentir l’état d’excitation de ma douce. Je ne fus pas déçu, les lèvres intimes étaient déjà ouvertes, reluisantes de cyprine et chaudes comme la braise.


Mon majeur put s’introduire en elle sans difficulté alors même que ses cuisses s’ouvraient pour me faciliter l’accès. Sa bouche s’ouvrit plus grand pour libérer un léger râle de plaisir. Elle approcha son visage de mon cou et me mordit doucement pour me signifier son état.


Je sentis sa main descendre sur mes hanches et revenir sur mon entrejambe. Au contact de mon sexe, elle put sentir que j’éprouvais pour elle un désir d’une belle taille. De fait, j’étais prêt à exploser et la caresse qu’elle entamait était de nature à me conduire à une jouissance rapide, même au travers de mon pantalon.


Elle déboutonna rapidement le haut, après avoir enlevé la ceinture puis plongea ses doigts dans mon boxer pour sortir mon sexe tendu comme un arc. Elle eut alors ces quelques mots :



Mon pantalon glissa sur mes chevilles alors que, ressortant ma main de son sexe, j’entrepris de soulever une cuisse pour lui ouvrir les jambes. Elle prit mon sexe en main et le pointa directement sous elle. Au contact du gland sur son sexe, nos regards se croisèrent. Nos sourires de bonheur furent simultanés lorsque d’un léger coup de rein je glissai lentement en elle. Ses lèvres intimes s’ouvraient largement à mon sexe et le coulissement fut aisé tant elle était trempée.


Malheureusement, la position ne permettait pas de l’investir totalement et Anne s’en aperçut rapidement. Elle fut la première à demander une autre position et je fus très surpris de la voir se retourner les mains sur le mur, reins cambrés, la tête tournée vers moi en me disant :



Je ne me fis pas prier et revins immédiatement entre ses jambes. Elle était tellement grande que mon sexe trouva presque naturellement l’entrée de son sexe, même si la tendance naturelle dans cette position est située légèrement plus haut.


Lorsque je la pénétrai à nouveau, je pus prendre tout mon temps et admirer les fesses largement ouvertes de ma belle, avalant mon sexe de toute sa longueur. Je coulissais en elle si lentement que je l’entendis en profiter en poussant un râle de plaisir pendant toute l’intromission.


Arrivé au bout, je mis un coup de rein supplémentaire pour essayer de la remplir le plus possible. C’était divin, la chaleur de son sexe, l’humidité croissante de sa vulve me rendirent fou. Peu à peu, sortant presque totalement d’elle, j’entamai un va-et-vient puissant en elle, tenant fermement ses hanches et pilonnant son fessier du mieux que je pouvais.

Je la vis poser un pied sur une chaise pour mieux s’ouvrir et sentis d’un coup les doigts d’une main venir s’occuper de son petit clitoris. Ses doigts touchaient mon sexe de temps en temps et caressaient mes couilles en même temps.

C’en était trop. Je voulais décharger en elle mais en même temps qu’elle. Je mis alors un doigt sur son anus qui m’était offert mais au moment où je poussais doucement, elle se retourna vers moi en hurlant son bonheur :



Ma main revint vers ses hanches et je la maintenais fermement pour venir en elle et me répandre lentement dans son ventre dans de grands coups de reins. Elle avait les jambes en coton et ne se portait presque plus pendant que moi j’étais encore tout crispé de jouissance.


Elle s’appuya totalement contre le mur et ferma les yeux pour se calmer. Je me retirai d’elle doucement et l’embrassai dans le dos, calmement, en descendant jusqu’aux reins. Elle découvrit alors une chose que personne ne lui avait jamais faite auparavant. Ma bouche descendit encore, jusqu’aux fesses, entra dans son sillon fessier pour venir sous elle et boire sa jouissance. Je la lapais doucement, ressentant encore les spasmes et les frissons de son corps.


Au bout de quelques minutes, j’ai ramassé nos vêtements et je l’ai prise avec moi pour la conduire à son bureau.



Nous étions ouverts depuis plus de deux mois à présent. Sans vouloir nous lancer des fleurs, la boutique était réellement superbe et nous y avions investi non seulement beaucoup d’argent mais aussi tout notre temps.