Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 10119Fiche technique9993 caractères9993
Temps de lecture estimé : 6 mn
05/02/06
Résumé:  Après un premier jeu (voir le premier texte de la série, n°09955), ma collègue me fait aller un peu plus loin dans la soumission soft.
Critères:  fh collègues travail volupté hsoumis exhib fmast jeu
Auteur : Alpin en string  (La trentaine, Haute-Savoie, aimant les balades...)            Envoi mini-message

Série : Ma collègue

Chapitre 02
Le sweat en polaire

Mais que fait-elle ? Voilà dix jours que ma collègue et moi avons réalisé ce petit jeu de soumission et pourtant elle agit comme si de rien n’était. Elle se comporte avec moi de la même manière qu’avec n’importe qui d’autre. Elle va arriver à me faire douter. Je vais finir par croire que tout cela n’est jamais arrivé et ne tient que du fantasme.


Pourtant, il me suffit d’y penser pour être à nouveau excité et sentir mon sexe se durcir sous le string. D’ailleurs, mon gland perle rien qu’en me souvenant de l’odeur agréable de sa culotte, du goût délicieux de son doigt détrempé de mouille qu’elle m’avait donné à sucer. Souvent, j’essaie de m’isoler, de glisser un doigt dans mon prépuce, de caresser doucement mon gland humide pour pouvoir ensuite le lécher en imaginant que c’est le sien.


Mais rien dans son attitude ne laisse supposer qu’elle a envie de recommencer ou qu’elle garde simplement un agréable souvenir de ce moment que nous avons partagé.


Ce matin, elle ressemble à une adolescente : un jean, un sweat ample en polaire et ses cheveux ramenés en arrière en queue de cheval. Certains pourraient ne pas la trouver sexy. Moi, au contraire, la douceur de la laine polaire me donne envie de tendres câlins, la tête posée contre sa poitrine qui dessine de bien jolies petites courbes sous le vêtement trop large. C’est fou comme cette jeune femme m’excite, même aussi simplement vêtue !


Nous sommes seuls dans la pièce, les autres arrivent dans une demi-heure. Je lui lance une banalité :



A l’idée qu’elle est nue sous son sweat, je sens mon string se gonfler d’excitation. Décidément, je réagis à la moindre de ses sollicitations ! Elle renchérit en me disant :



Elle se penche alors légèrement en avant et fait bouger son torse de droite à gauche, donnant à son sweat un mouvement de va-et-vient latéral. J’imagine le doux tissu caresser alors la pointe de ses seins à chaque changement de sens.



Comme dans un soupir de contentement, elle lâche :



Pour me prouver qu’elle ne me ment pas, elle se redresse alors et remonte doucement son sweat sur sa poitrine. Le tissu relevé découvre d’admirables petits seins rendus fermes par l’excitation. Je ne dis rien, énormément troublé par cette si charmante vision. Elle glisse ensuite son index dans sa bouche entrouverte, l’humidifie légèrement de sa salive. Son doigt se pose doucement sur son sein gauche et commence à tourner doucement autour du téton durci. Sous l’effet du plaisir procuré par cette délicate caresse, elle penche sa tête en arrière, les yeux mi-clos. Ainsi cambrés, ses seins n’en sont que plus fermes, tendus vers moi, presque offerts.



Maladroitement, je me penche vers elle, posant délicatement mes lèvres sur sa mamelle. Je la sens frémir au contact de ma bouche. Je pince tendrement le téton, le tire légèrement pour essuyer les quelques traces de sa salive qui l’humidifie encore. Je relâche mon emprise, passe ma langue sur mes lèvres pour en profiter également, la goûter un peu.


Elle se redresse, prend une chaise et l’avance vers moi.



Je m’exécute sans un mot. Elle m’enjambe alors, me fait face, presque assise à califourchon sur mes cuisses, juste à bonne hauteur pour présenter sa poitrine à ma bouche. J’avance la tête, tire la langue et la pose sur son téton durci. Je commence à le léchouiller et à tourner doucement sur l’aréole. Je suçote ensuite le téton, le serrant délicatement entre mes lèvres, et très vite j’enchaîne les embrassades à pleine bouche et les coups de langue fougueux sur ces deux mamelons tendus et offerts. Mes caresses ne doivent pas être si désagréables et maladroites car elle se met à soupirer.



Elle se relève, recule un peu et regarde attentivement ma braguette. Devant l’insistance de son regard, j’écarte doucement les cuisses tout en me penchant légèrement en arrière. Elle pose sa main sur une de mes cuisses et remonte jusqu’à saisir en douceur mon sexe gonflé sous le string. Elle le malaxe ainsi à travers le pantalon.



Elle saisit la braguette et la fait glisser. Elle l’écarte suffisamment pour engouffrer sa main dans la moiteur de mon entrejambe. Je sens ses doigts partir à la découverte de mon string. Ils en font le tour, se glissent entre mes cuisses pour vérifier que le tissu se resserre bien en un simple bandeau s’enfonçant entre mes fesses. Son doigt remonte ensuite sur mon sexe gonflé et s’arrête sur la tache de mouille laissée par mon gland baveux d’excitation. La coquine le fait doucement tourner sur place, puis avec une pression de plus en plus importante. Je le sens qui, à travers le tissu du string, plonge dans le prépuce et vient titiller la sensibilité extrême de mon gland mis à nu. La réponse ne se fait pas attendre très longtemps. Ma verge est parcourue d’un léger spasme et sécrète une nouvelle grosse goutte séminale qui ne rend que plus poisseuse la caresse que ma collègue m’inflige.



Son doigt humidifié luit sous la lumière du néon. Elle l’essuie doucement sur son sein, en décrivant des cercles de plus en plus petits et finissant sur le téton dressé. Elle pose ensuite sa main sur ma joue et d’une exquise caresse glisse sur ma bouche. Elle pose alors son doigt sur mes lèvres dont elle force l’entrée. Son doigt glisse de toute sa longueur dans ma bouche. Ma langue l’entoure, le lèche avec gourmandise alors qu’elle le fait déjà lentement ressortir. Je serre les lèvres pour essuyer du mieux que je peux la mouille qui le couvrait encore.


Elle se redresse, se met debout devant moi, jambes légèrement écartées. Elle défait le bouton de son jean avec un sourire mutin et glisse sa main dans sa culotte. Je devine à travers le tissu le doigt qui fouille entre ses cuisses, qui écarte ses lèvres et s’enfonce de toute sa longueur dans sa chatte qui doit être dégoulinante et chaude. Elle retire très vite sa main, exhibant alors un doigt poisseux de cyprine qu’elle essuie à son tour sur son deuxième sein. À nouveau, elle me le donne à lécher et c’est avec application que je le nettoie avec ma langue et mes lèvres, m’enivrant du goût âcre et délicieux de son intimité.


Elle se repositionne pour m’offrir ses seins à lécher. Je me presse contre eux tel un nouveau-né assoiffé pour profiter de ces tétons parfumés. Mes lèvres lui caressent fougueusement les seins, je lui titille les bouts tendus, lui lèche avec gourmandise les aréoles. Elle vibre de plaisir et lâche entre deux soupirs :



Je continue à la lécher ainsi, coinçant parfois ses tétons entre mes lèvres et les lui tordant, lui titillant doucement. Son corps semble onduler au rythme des caresses que subit sa poitrine. J’imagine sa culotte qui doit être détrempée de plaisirs. Elle doit être aussi poisseuse que mon string qui s’humidifie : je ne cesse de sentir mon gland perler de grosses gouttes qui se répandent contre mes couilles.


Elle glisse à nouveau sa main dans son pantalon, sous sa culotte et se met à se caresser franchement. Ses ondulations se font plus rapides, sa respiration plus saccadée au fur et à mesure que son désir monte, excitée par mes caresses buccales sur ses seins et par son propre doigt qui doit tourner dans sa chatte ou titiller son clitoris. Je desserre l’emprise de mes lèvres sur ses tétons au moment où elle se cambre en poussant un râle sourd, son corps vibrant sous la tension, secoué de spasmes de plaisirs. Elle retombe alors doucement, ressort sa main et s’assied sur mes genoux, les yeux fermés. Sans dire un mot, elle repose son doigt sur ma bouche. Je l’entrouvre pour le laisser pénétrer, fermant à mon tour les yeux, profitant de l’explosion de sens que me procure le contact sur ma langue de ce doigt humidifié par l’orgasme. Je le suce, l’aspire avant qu’elle ne m’en prive.


Trop vite, elle se relève et retourne à son bureau. Après s’être rapidement rhabillée, sans même m’adresser un regard, elle fait un geste de la main comme pour me chasser. Je comprends que notre petit jeu de soumission s’arrête là pour aujourd’hui et je retourne, encore abasourdi par cette nouvelle expérience, à ma petite vie ordinaire.