n° 10150 | Fiche technique | 28605 caractères | 28605Temps de lecture estimé : 18 mn | 15/02/06 |
Résumé: Denise poursuit le récit de la noce de son cousin Rodolphe. La mère de la mariée est insatiable : jusque-là elle s'est retenue, mais... | ||||
Critères: fhh extracon alliance fête collection exhib noculotte entreseins double | ||||
Auteur : Amenophis (Amenophis5) |
Épisode précédent | Série : Un parfum d'autrefois Chapitre 14 / 14 | FIN de la série |
A la suite de sa confession, Valérie, la bonne de Denise, avait quitté l’appartement pour profiter de sa journée de congé. Vincent avait voulu rejoindre le domicile d’Elizabeth. De nouveau en tête-à-tête, Didier avait alors sollicité Denise pour qu’elle continue à lui relater les événements consécutifs au mariage de son cousin Rodolphe.
« Le personnage qui domina la journée du samedi fut sans conteste Marianne, la mère de Marjorie. Obnubilée par mon cousin et taraudée par l’envie que j’avais de pouvoir accomplir mon « vœu », j’avais carrément négligé les autres participants à la noce. Beaucoup ne méritaient rien de mieux d’ailleurs, mais Marianne était un cas à part. C’est vrai que la veille, elle s’était faite un peu discrète. Sans doute à la demande de sa fille… Ou plutôt de son gendre. Car sur le plan familial, le mariage de Rodolphe et Marjorie c’était un peu l’alliance de la carpe et du lapin. Côté du marié c’était très coincé, alors que côté de la mariée, c’était la liberté des mœurs. Bien que ne connaissant pas sa belle-mère, qui vivait moitié en Suisse, moitié à Nice et qu’il n’avait rencontrée que la veille du mariage, il savait par Marjorie qu’elle avait une totale liberté sur le plan sexuel. Riche et déjà deux fois veuve, elle consommait les hommes avec gourmandise et sans modération. Craignant le clash, surtout avec sa mère, mon cousin avait chapitré sa future épouse qui avait elle-même fait la leçon à la sienne. Marianne s’était donc tenue très sagement durant les cérémonies et le repas. Elle était accompagnée d’un jeune homme d’une vingtaine d’années. Ce qui avait quand même choqué la mère de Rodolphe, qui n’en avait rien dit, mais qui affectait un air on ne peut plus pincé. Quant au père de mon cousin, il avait souri d’un air complice, sans non plus faire de commentaire. Le gigolo, lui, il était aux petits soins pour sa compagne. Mais je ne les vis jamais dans une attitude déplacée ou même équivoque.
Marianne avait 45 ans. Elle était superbe. Mince, bien pourvue en seins, haut plantés et fermes, les hanches rondes sans excès, brune aux yeux bleus. Bref quadra, mais plus que mettable par n’importe qui. Et avec ça, une morale on ne peut plus élastique ! La totale pour déclencher un truc tout à fait explosif ! La veille, elle avait mis un chapeau, style belle-mère à la noce, une robe assez stricte, et s’était très bien tenue. Le contrat avec sa fille étant respecté, le samedi elle se considérait libre. Et Marianne libre….
Déjà la tenue avait changé. Elle portait une robe légère, très ample qui arrivait au-dessous des genoux, mais décolletée au maximum, tant en profondeur qu’en largeur. Question de ça, sa poitrine était bronzée. Elle se tenait très bien sans soutif, et faisait loucher tous les hommes présents, d’une famille comme de l’autre. En plus, lorsqu’elle se penchait un peu en avant (et elle trouvait souvent un prétexte pour le faire) de côté on voyait son sein entièrement nu, mamelon et téton compris. Tous les regards étaient tournés vers elle. Les hommes admiratifs chuchotant entre eux, les femmes aux commentaires acerbes et prêtes à lui arracher les yeux. Après avoir promené ses seins d’un groupe à l’autre, elle mit le comble à l’exhibitionnisme en s’assoyant dans l’herbe contre un arbre, genoux relevés contre sa poitrine, jupe couvrant sagement ses genoux. Sauf que les sept ou huit personnes qui étaient dans le champ de vision purent constater qu’elle n’avait pas de culotte, et qu’elle s’était taillé le minou en ticket de métro. Les plus proches avaient donc une vue imprenable sur le clitoris de la belle-mère. Cette exhibition dura peu de temps parce que Rodolphe fut averti presque immédiatement par un de ses copains :
Mon cousin dépêcha immédiatement son épouse pour rétablir la situation. Marjorie, copine comme tout depuis la nuit passée, me demanda de l’accompagner et de rester discrètement à quelques mètres pour éloigner les éventuels importuns. La conversation mère fille fut tenue sur un ton assez bas, mais virulent.
Ca n’a pas traîné ! Marianne avait décidé de rattraper le temps perdu, elle est donc partie en chasse. Et pour commencer, elle jeta son dévolu sur le père de Rodolphe. Scénario catastrophe pour ceux qui souhaitaient que la noce soit la plus « soft » possible. En fait la pruderie des parents de mon cousin venait essentiellement de la mère. Comme un certain nombre d’épouses, Françoise, qui n’avait jamais été portée sur le sexe, avait considéré qu’une fois ménopausée, la sexualité était quelque chose d’inutile. À éviter au maximum ! Et le devoir conjugal ajusté au strict nécessaire. Jean-Claude, son mari était donc réduit à la portion congrue. À 55 ans, même si certains hommes ont une baisse de régime, une fois par mois ce n’est pas beaucoup ! Alors, les plus hardis se révoltent, et lorsqu’une jeunette (séduite par la position sociale et le train de vie qui va avec) passe à portée et leur prouve qu’ils peuvent encore avoir une vie amoureuse, crac ! C’est divorce et remariage ! Et celle qui est laissée pour compte se plaint de ces salopes qui piquent les maris. Sans comprendre qu’elles sont fautives à 100%. Et puis il y a ceux qui subissent l’épreuve en silence, ou presque, en trouvant des palliatifs : putes, films pornos, maîtresse, etc…
Mon tonton était de ceux-là ! Frustré, mais vigoureux, et prêt à compenser la monotonie de sa vie conjugale ! Marianne, avait bien remarqué les regards que le beau-père de sa fille ne cessait de lui jeter, (en plus, il était de ceux qui avaient vu, quand elle s’était assise dans l’herbe, qu’elle n’avait « pas de lolotte »). Elle avait donc compris qu’il était très émoustillé par sa plastique et sa tenue sexy et avait décidé de jeter son dévolu sur celui qui, à ses yeux était le symbole incontesté de la rigueur traditionnelle du mariage.
Petit aparté sur le sujet du : « pas de lolotte ». Si Marianne ne mettait, la plupart du temps, pas de sous-vêtement, c’était d’abord par confort et conviction personnelle. Elle trouvait les culottes inesthétiques, et les strings désagréables car toujours en train de se coincer dans la raie. Mais il y avait plus que ça. Comme toutes les femmes qui connaissent bien les hommes, elle savait parfaitement que c’était un fantasme des plus répandus parmi la gent masculine. Ils rêvaient de ça depuis qu’ils étaient tout petits. « Voir sous les jupes des filles » comme chante Souchon. Les jambes d’accord ! Mais c’est surtout par attrait de la foufounette, hein ? Et quand il y en a une qui ne met pas de culotte, alors là ! Ca excite tout ce petit monde, même si on la traite de « salope »… Ça c’est d’ailleurs surtout vrai chez les ados et les jeunes adultes. Après, on sait… On apprécie… Et même carrément, faut le dire, on en redemande… Ce n’est pas pour ce qu’on voit. Parce que les trois quarts du temps on ne voit rien ! Ou presque rien… Mais c’est l’idée qu’on s’en fait !
Bref, voilà Marianne en chasse ! En plus, le père de Rodolphe avait un attrait supplémentaire : il était double ! Et oui, Jean-Claude avait un frère jumeau, Jean-Luc ! Et ça, pour Marianne c’était un truc nouveau. Jamais elle ne s’était tapée des jumeaux. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Sauf sur deux points : ils n’avaient pas les mêmes vêtements, il était donc facile de les distinguer, et Jean-Luc était resté célibataire. Je crois que quand il avait vu avec qui son frère était marié, il avait jugé prudent de ne pas convoler. Mais pour Marianne, les différences n’avaient aucune importance, seuls les symboles comptaient. Et des symboles, il y en avait deux : le père du mari de sa fille et sa gémellité… Engager la conversation avec le père de Rodolphe fut facile. Quoi de plus naturel que les parents de jeunes mariés échangent des propos. Je ne sais pas ce qu’ils se disaient, mais le tonton Jean-Claude avait les yeux rivés dans le décolleté de Marianne et semblait bredouiller. Familièrement elle lui prit le bras et l’entraîna vers le lieu où son frère jumeau bavardait. Jean-Claude l’interpella, et il vint rejoindre le couple. Tous trois entamèrent une promenade dans le parc de l’ancienne abbaye qui avait été louée pour l’occasion. Marianne entre les deux jumeaux appuyait chacun de ses seins contre le bras de ses compagnons. Le trouble s’accentua, et comme j’étais à proximité en train d’observer le manège, il me sembla bien que les pantalons de mes tontons étaient déformés par deux belles bosses. Et puis, d’un coup je vis Marianne trébucher. L’instant d’après, elle avait dans la main le talon qui venait de se détacher de sa chaussure droite. Etait-ce un heureux hasard ? Le fit-elle exprès ? Je n’ai jamais su. En tout cas, si c’était exprès, c’était drôlement fortiche. Discussion :
Rodolphe, en grande conversation avec ses copains, nota à peine ce que lui disait son père. Ils partirent donc sans avoir vraiment attiré l’attention. Mais, l’absence se prolongea et bientôt, je vis ma tante Françoise qui, allait de groupe en groupe en demandant si quelqu’un avait vu son mari. Prévoyant la catastrophe j’allai vite retrouver Marjorie.
On a fait la route à tombeau ouvert. Notre chance a été que mon oncle a voulu réparer la chaussure à tout prix AVANT. Mais quand nous sommes arrivés, Marianne était en train de payer la réparation en nature. Ils étaient dans la chambre de jeune homme de Rodolphe. Ils devaient être pressés et croyaient bien ne pas être dérangés car la porte était restée ouverte. Les tontons étaient à poils. L’un d’eux (lequel ? Je ne sais pas) était allongé au bout du lit avec les jambes qui pendaient en dehors, et Marianne, nue également, s’était placée entre ses jambes, et maintenait la verge toute bandée entre ses seins qu’elle pressait et faisait monter et descendre le long de la tige dans une superbe cravate de notaire. Mon oncle était aussi bien pourvu que son fils, (ou que son neveu, allez savoir !) parce qu’elle était assez longue pour que sa partenaire puisse en même temps lui lécher le gland d’une langue experte. L’autre tonton la prenait en levrette à grands coups de queue. Mon premier mouvement fut de retenir Marjorie pour que mon tonton Jean-Claude puisse aller au bout. Soit entre les nichons de la belle-mère soit dans sa… son… Je ne pouvais pas voir si le tonton qui tenait l’arrière la baisait ou la sodomisait. En tout cas c’était le père de Rodolphe qui avait louché comme un malade sur cette magnifique paire de seins depuis le matin ! Enfin, pour qui que ce soit, ça devait être quelque chose de se faire masturber le sexe dans le sillon séparant ces deux superbes globes tout de douceur et de velouté. Mais Marjorie avait trop peur que Françoise découvre le tableau :
Sur cette injonction Marianne tourna la tête, abandonnant le gland de mon tonton. Mais lui devait être super excité, car il ne put se retenir de décharger. Décidément c’était le week-end des giclées perdues. Il devait être en manque depuis longtemps le tonton en question, parce qu’il a éjaculé fort et longtemps. Les deux premières décharges se perdirent dans les cheveux de Marianne. Le temps qu’elle constate que c’était sa fille qui était là, et, magnifique de sang-froid, elle reprit la bite juteuse entre ses lèvres et s’appliqua à sucer pour augmenter le plaisir de son partenaire et recueillir la blanche semence dont elle semblait friande. Manifestement mon oncle ne s’était rendu compte de rien et jouissait comme cela ne lui était pas arrivé depuis bien longtemps peut-être. Celui qui était derrière était sourd lui aussi parce qu’il continuait à pilonner les fesses de la mère de Marjorie avec une ardeur redoublée. Il ne tarda pas, lui aussi, à décharger en se plaquant le plus qu’il pouvait contre la croupe offerte. Celui qui avait inondé de sperme les seins de la dame réalisa le premier que nous étions là ! Il tenta de se redresser, écarlate.
L’autre tonton avait aussi réalisé ce qui se passait. Dans la confusion, il s’était retiré un peu vite du corps accueillant de Marianne, et sa verge détumescente, avait laissé couler un long filet gluant sur la descente de lit avant qu’il mette les mains en conque pour protéger son sexe de nos regards.
J’ai donc embarqué Marianne et Marjorie et nous sommes revenus à l’Abbaye après être passés en ville rechausser Marianne. Quand nous sommes arrivés, Françoise était partie. Elle rencontra son mari et son beau-frère sur le chemin du retour. Les explications furent un peu chaudes pour cause d’abandon de noces, mais le drame fut quand même évité.
Seule Marianne était frustrée. Elle nous fit une scène sur le chemin du retour.
Marjorie me jeta un œil noir.
En rentrant Marianne a montré ses chaussures à tout le monde, et embrassé, pour les remercier de la réparation, les jumeaux quand ils sont revenus. Il y eut bien quelques esprits chagrins pour faire des commentaires sur celle qui faisait réparer sa chaussure et allait en acheter une autre paire, mais bon ! Tout s’est bien terminé. Voilà ! »
Ils prirent leur douche ensemble, et s’amusèrent à se savonner l’un l’autre. Denise enduisant de savon à deux mains le sexe de son jeune amant et le masturbant ensuite entre ses jambes serrées. Tandis que Didier insistait d’une main sur les seins qui durcissaient de plaisir, et de l’autre il massait les fesses et la raie culière avec délectation. Denise se frottait si bien la vulve et le clitoris sur la verge bien dure de Didier, qu’elle eut un nouvel orgasme. Le jeu aurait pu continuer, mais l’heure tournait et nos deux tourtereaux, après s’être vêtus légèrement, s’empressèrent d’aller se restaurer.
A suivre…