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Temps de lecture estimé : 25 mn
08/11/05
Résumé:  Denise poursuit le récit de la noce de son cousin Rodolphe...
Critères:  grp fplusag couplus grossexe fsoumise soubrette noculotte fellation cunnilingu 69 fgode pénétratio fsodo partouze
Auteur : Amenophis      

Série : Un parfum d'autrefois

Chapitre 13 / 14
Suite des noces de Rodolphe



Nous avons donc rejoint la famille et les amis. Ils accueillirent les mariés avec des cris de satisfaction, des « Où étiez-vous passés ? » de la part de la famille de Rodolphe et des remarques salaces sur ce qu’avait dû subir la mariée de la part de sa propre famille.

Mais aucun ne savait réellement que la mariée avait été particulièrement bien honorée. Et pas seulement par son mari.


* * * * *




Didier avait terminé son petit déjeuner depuis longtemps. Le récit de sa logeuse continuait à l’émoustiller au plus haut point, et son érection devenait douloureuse à force d’être restée durement tendue si longtemps.



Et Didier, se renversant sur sa chaise, abaissa son shorty, et en extirpa sa virilité triomphante.



En donnant ses instructions, Denise avait pris sa nuisette à deux mains en croisant les bras et l’avait fait passer lentement par-dessus sa tête. Ce mouvement mettait son corps en extension et révélait en un court strip-tease, son pubis à la courte toison blonde, son ventre velouté au nombril bien dessiné, puis ses jolis seins ronds, en commençant par le léger pli du dessous pour continuer avec les mamelons bien dressés dans leurs aréoles rose pâle. Quand sa tête émergea du tissu froufroutant, elle vit que Didier, les yeux rivés sur sa poitrine, n’avait pu résister au magnétisme érotique que son corps dégageait. Il avait empoigné son sexe et entamé une lente masturbation.



Sans attendre, la jeune femme enjamba son jeune amant en lui tournant le dos. Elle lui présentait ainsi ses fesses. Ecartant les lèvres de son sexe de ses deux doigts, elle descendit lentement sur la verge que Didier tenait à deux mains pour la présenter à l’entrée de cette chatte tant convoitée. Les souvenirs qu’elle avait évoqués ainsi que la vue de son locataire en érection avaient suffisamment éveillé les sens de Denise pour qu’elle mouille abondamment. D’ailleurs, sa nuisette qui gisait sur le sol de la cuisine, était tachée d’une large auréole humide à l’endroit où elle s’était assise. C’est donc sans difficulté que la verge de Didier entra dans la grotte d’amour de la jeune femme. Tandis qu’il lui caressait les fesses avec douceur, Denise appuya le bas de son ventre de ses deux mains pour faire saillir son mont de Vénus. Elle se pencha en avant pour contempler sa chatte et au-dessous, le sexe qui la pénétrait. Elle aimait cette vue qu’elle trouvait très émoustillante. Puis, elle bascula vers l’avant et prenant le bord de la table à deux mains, elle se mit à monter et chevaucher le membre qui lui servait de pivot. Petit à petit, elle accéléra ses mouvements, car elle sentait venir l’orgasme.



Didier s’était conformé à la demande de sa logeuse, restant stoïquement raide comme la justice. Sa verge était soumise à rude épreuve, car le vagin de Denise était chaud et dégoulinait de mouille. Mais il arrivait tant bien que mal à se contrôler pour ne pas éjaculer. Pour ce faire, il se concentrait sur la jouissance de Denise en tâchant de l’accompagner dans sa jouissance. Cette dernière n’avait pas cessé son mouvement de monte et baisse, s’empalant à chaque descente jusqu’aux testicules du garçon. Pendant qu’elle déchargeait, elle avait un peu ralenti la cadence, mais dès que son orgasme s’apaisa, elle repartit de plus belle. Quelques nouveaux coups de queue, et elle coulait à nouveau, inondant les couilles de son partenaire toujours stoïque et vaillant. En quelques minutes, elle eut ainsi cinq ou six orgasmes. Enfin elle se renversa sur le torse de Didier, en levant les bras pour s’étirer.



C’est à ce moment que la porte de la cuisine s’ouvrit sur une jeune femme rousse aux cheveux courts, plutôt gironde et qui devait avoir environ vingt-cinq ans. Le couple lui faisait face. Elle resta figée dans l’encadrement de la porte, la bouche ouverte pendant plusieurs secondes.



Et la bonne reculant commençait à fermer la porte.



La jeune femme finit par s’approcher. Quand elle fut à peu de distance du couple, Denise se redressa, se séparant du membre viril qui la pénétrait. Didier était quand même un peu embarrassé, et de ce fait son érection fondit comme neige au soleil. Son sexe luisant de sécrétions se reposait sur son ventre.



Et Denise attira sa bonne vers Didier, et la contraint à s’accroupir. En même temps, elle faisait le tour de la chaise, pour se placer de l’autre côté dans la même position.



Sur l’injonction de sa patronne, Valérie avait pris la verge de Didier entre ses lèvres et commençait à le sucer avec application. Ce dernier, sans doute encore un peu sous l’effet de la surprise, avait du mal à retrouver son érection. Denise se releva, et vint mettre ses deux seins sur le visage du garçon, tandis que de la main gauche elle prenait la tête rousse de la pipeuse pour la forcer à accélérer sa fellation. Léchant avec délices les magnifiques tétons, la verge bien sucée par une bouche toute chaude, Didier fut bientôt en grande forme. Denise satisfaite, fit se relever Valérie.



Obéissante, Valérie s’assit à califourchon sur Didier en lui tournant le dos comme l’avait fait Denise. Le garçon qui avait déjà fait la manœuvre avant n’eut aucune hésitation et dirigea sa verge vers l’entrée du sexe de sa nouvelle partenaire, puis, lorsque le gland eut écarté les grandes lèvres, il prit les hanches de la jeune femme à deux mains et l’attira vers le bas pour la pénétrer entièrement. Lorsque cette position fut atteinte, Denise repoussa sa bonne contre le torse masculin, elle se plaça à genoux entre les jambes de Didier, et portant sa bouche sur le clitoris et la base de la verge, s’activa d’une langue pointue et fouilleuse. De son côté, Didier tenant toujours les hanches de la jeune femme, et sentant qu’elle était un peu passive, l’incita du geste à monter et descendre le long de son membre viril. Timide au début, Valérie se laissa prendre à l’érotisme de la situation, appréciant le sexe qui la pénétrait, et les coups de langue de sa patronne qui commençaient sérieusement à agir. Elle ne tarda d’ailleurs pas à avoir un orgasme.



Une mouille abondante accompagna ce premier orgasme, et Denise ne manqua pas de lécher la base de la verge le long duquel cette cyprine coulait.



Et Denise reprit son titillement du bout de la langue sur le clitoris qui, gonflé de sang, était de plus en plus proéminent. Le résultat ne se fit pas attendre et Valérie jouit de nouveau. Elle aligna comme cela cinq ou six orgasmes de grande intensité. Denise avait toujours la bouche collée à la jonction des deux sexes et continuait ses coups de langue sur le clitoris de la bonne.



Le sexe de Didier se retrouva à l’air libre, agité de soubresauts caractéristiques de l’annonce d’une bonne éjaculation. L’étudiant fit un gros effort pour éviter que sa semence ne gicle contre les fesses de la bonne qui était restée au-dessus de lui.



Denise en un tournemain mit la jeune femme nue. Puis, après un rapide débarras des reliefs du petit-déjeuner, elle la fit se pencher en avant sur la table de la cuisine, les seins écrasés sur la toile cirée, les deux mains tenant les côtés, les jambes écartées, présentant sa chatte et la raie de ses fesses à la concupiscence de Didier.



Et Denise s’empara de la motte de beurre qui était restée sur la table. En préleva une grosse noisette dont elle enduisit l’anus de Valérie.



Didier ne se le fit pas dire deux fois, et poussa son gland contre le petit anneau brun enduit de beurre. Il n’eut aucune peine à entrer, et sa verge glissa sur toute sa longueur, jusqu’à ce que ses testicules viennent s’appuyer sur l’abricot de la jeune femme.



Il ne fallut que deux ou trois allers et retours pour que le jeune homme éjacule. Il le fit longuement abuté contre les fesses et le sexe de Valérie.



Valérie s’accroupit à nouveau entre les jambes du jeune homme, et après une rapide toilette à l’aide d’une serviette qui gisait sur la table, enfourna le sexe qui avait perdu de sa superbe, et commença derechef une nouvelle fellation. Denise, appuyée contre la table regardait la scène avec intérêt, mais sans plus. Elle avait un certain nombre de griefs contre Valérie, et voulait vider l’abcès d’une part, et comme la bonne l’avait surprise en pleine action avec son locataire, faire en sorte qu’elle soit complice pour rester discrète. Ce dernier point n’était pas garanti, car la jeune femme était d’une nature complexe et plutôt vicieuse, et pas seulement sur le plan sexuel. Pour l’instant, elle suçait avec application et avec succès semble-t-il, car Didier retrouvait une belle vigueur. C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée retentit.



Tandis que Valérie continuait son action sur le gland et la verge de Didier, Denise alla voir à travers l’œil qui garnissait la porte d’entrée, quel était l’importun qui venait les déranger. C’était Vincent, le jeune homme par qui toute cette histoire avait commencé puisqu’il avait été le premier à se faire initier par son amie Elizabeth. Denise eut un sourire de plaisir. Elle aimait bien Vincent avec qui elle avait aussi fait l’amour. C’est donc sans hésitation qu’elle ouvrit la porte, mais en cachant sa nudité derrière le panneau afin qu’on ne puisse la voir du palier. En même temps, elle mettait un doigt sur ses lèvres pour intimer l’ordre de se taire à son jeune visiteur. Vincent entra, la regardant avec étonnement puis convoitise en la voyant entièrement nue devant lui.



Il ne fallut pas longtemps à Denise pour faire bander Vincent, déjà fortement émoustillé par les formes arrondies de la jeune femme. Dès qu’il eut une belle érection, ils pénétrèrent dans la cuisine ou Valérie continuait de sucer la queue de Didier. Mais fatiguée d’être accroupie, elle s’était relevée, et présentait son fessier en haut de ses jambes tendues. Didier fermait les yeux pour mieux savourer les coups de langue sur son gland, il ne vit donc pas venir son copain qui se présenta derrière les fesses de la bonne. Il lui prit la hanche d’une main, et de l’autre guida sa bite toute bandée dans la chatte offerte. Valérie eut d’abord un mouvement de recul devant cette intromission qu’elle n’attendait pas. Mais Vincent força pour entrer et elle céda facilement, tendant même ses fesses vers l’engin qui venait de l’enfiler. Mais comme le nouvel arrivant se mit à la pilonner, elle communiqua ses mouvements à celui qu’elle suçait avec application, ce qui lui fit ouvrir les yeux.



Sans se désunir, le couple Vincent - Valérie laissa la place à Denise qui s’assit à califourchon sur Didier et s’enfonça sa bite aussi loin que possible en elle avant de le chevaucher. Didier la tenait aux hanches, mais elle lui suggéra de lui peloter les seins d’une main et de tâcher de lui masser le clito de l’autre. Didier réussit à atteindre le bourgeon de chair du pouce, et à le faire rouler. Jointe à de légers pincements sur les mamelons, cette caresse fut efficace et accéléra considérablement l’orgasme qui secoua violemment Denise qui s’accrochait au cou de son partenaire pour soutenir ses jambes flageolantes. De leur côté, les deux autres ne restaient pas inactifs. Valérie toujours prise en levrette avait repris sa position le buste allongé sur la table, mais curieusement, après avoir ôté la toile cirée et mis le bois de la table à nu, elle s’était placée de façon à être en diagonale, c’est-à-dire qu’elle avait l’entrejambe placé juste au coin de la table. Elle s’était laissée limer la chatte un moment, puis elle avait réclamé de son partenaire qu’il change d’orifice. Vincent ne se fit pas prier, bien qu’il soit tout à fait satisfait du vagin qui lui était offert. La bonne une fois emmanchée se redressa légèrement. Elle avait ainsi à chaque pénétration, le clitoris qui s’écrasait contre le coin de la table qui lui entrait un peu dans la moule. Et lorsqu’elle entendit sa patronne gémir, elle l’accompagna de ses cris de plaisir, mouillant abondamment sur le coin qui lui avait martyrisé le sexe.



C’est donc dans la chambre de la maîtresse de maison que se poursuivit la partie carrée. Le lit était très large et plutôt haut. Denise qui devait y avoir pensé avant, ordonna à Valérie de s’allonger sur le dos au bout de la couche en légère diagonale, de façon à ce que ses jambes soient à l’extérieur et que sa tête soit proche du bord droit. Elle-même vint se placer tête-bêche au-dessus de la bonne, à genoux, mais avec les cuisses très écartées de façon à ce que sa chatte soit à portée de langue de Valérie.



Les filles étaient déjà bien lubrifiées, nos deux compères n’eurent donc aucune peine à les enfiler. Didier avait investi avec délice la chatte de Valérie et lui soutenait les jambes qu’elle avait écartées en V. Chaque fois qu’il la pénétrait, son ventre butait contre la tête blonde de sa logeuse qui tentait avec pas mal de succès de lécher le clito de la bonne. Vincent, lui, avait pris Denise en levrette et la pilonnait en la tenant aux hanches pendant que Valérie jouait de la langue sur le clitoris de sa patronne et sur les couilles du baiseur. C’était les filles qui étaient les plus sollicitées, car, remplies vaginalement, elles étaient aussi agacées clitoridiennement. Aussi ne tardèrent-elles pas à jouir, inondant de mouille les verges de nos deux étudiants. Ces derniers faisaient de la résistance, et tâchaient de ne pas décharger de suite afin de provoquer plusieurs orgasmes chez les filles.



Les hommes changèrent immédiatement de partenaire, passant sans transition d’une chatte à l’autre, de la blonde à la rousse et vice versa. Mais en recommençant à aller et venir dans ces fourreaux étroits, chauds et gluants de foutre, la tension érotique redevint aussi forte, car la chatte de Valérie était aussi serrée que celle de sa patronne. Vincent sentit donc à nouveau que ses glandes étaient prêtes à expulser leur trop-plein. Les femmes, de leur côté, continuaient à se gougnotter autant que faire se peut, et comme elles n’avaient aucune raison de se retenir, un nouvel orgasme presque simultané les submergea de nouveau. Vincent eut vraiment l’impression qu’une très grande quantité de foutre suintait de toutes les parois du vagin de Valérie. D’ailleurs, ses coups de queue provoquaient un chuintement mouillé de plus en plus prononcé, et Denise grognait en redoublant d’ardeur à lécher le clitoris éclaboussé chaque fois qu’en faisant entrer sa bite à fond il expulsait plusieurs gouttes de mouille.



Denise avait soudainement abandonné le clitoris de sa bonne, et profitant d’un mouvement arrière du jeune homme, elle attrapa la tige en grande partie hors de son orifice, et la fit sortir complètement, frottant fortement au passage le gland sur le clitoris de Valérie. Cette seule action déclencha chez Valérie une nouvelle expulsion de cyprine qui cette fois vint simplement mouiller un peu plus la raie de ses fesses déjà gluante de mouille. Denise entre temps avait gobé la bite de Vincent, et lui appliquait une fellation appuyée, insistant sur la base du gland. L’effet fut instantané, l’étudiant éjacula avec force toute sa semence.



En effet, quelques va-et-vient supplémentaires et il éjaculait, enfoncé jusqu’aux testicules dans le vagin brûlant de sa logeuse. Il resta collé contre les fesses de sa logeuse jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme eût quitté son méat. C’est alors seulement qu’il se retira de l’accueillant vagin. Sa verge était moins triomphante, mais conservait quand même une certaine rigidité. Lorsqu’il eut quitté la chatte de Denise, son sperme mêlé de mouille commença à perler au bout du clitounet. Valérie, sans l’ombre d’une hésitation, recueillit avec avidité la liqueur spermatique. Ce goutte à goutte s’accéléra lorsque Denise, contractant son ventre et son vagin, expulsa la plus grande partie de l’éjaculat. La jeune bonne n’eut pas un mouvement de recul, et absorba toute la semence sans broncher.


Les garçons avaient débandé. Les vagins étaient encore bien « graissés ». Le privilège de la femme étant d’avoir des orgasmes à répétition, Denise et Valérie étaient encore en état de poursuivre leurs jeux érotiques. Laquelle des deux fit appel au godemiché ? Ce n’est pas important ! Toujours est-il qu’un engin noir en forme de phallus, équipé de piles et animé d’un mouvement vibratoire fût bientôt entre les mains de Denise qui l’appliqua avec précision sur le clitoris de sa bonne. Cette dernière sauta quasiment en l’air. Clitoridienne avant tout, ce traitement la faisait littéralement exploser. Il ne fallut que quelques dizaines de secondes pour qu’à nouveau elle jouisse. À peine était-ce terminé que Denise s’appliquait le même traitement agrémenté de quelques pénétrations vaginales. Elle ne fut pas, elle non plus, très longue à jouir violemment.


Le calme était revenu dans la chambre de Denise. Les quatre protagonistes soufflaient après s’être donnés à fond. Ce fut Vincent qui rompit le silence.



Vincent et Didier s’étaient récriés avec un accord touchant qui lui alla droit au cœur.


À suivre