- — Bon, tout ça c’est parfait mes cousin cousine, mais vous nous devez quand même quelques précisions. C’est quoi cet endroit ? C’est qui Charlotte ? Une tenancière de boîte échangiste ? Une vraie comtesse ? C’est un peu mystérieux, tout ça !
- — Oui, c’est vrai. Quand on ne connaît pas, c’est sans doute un peu compliqué, dit Marjorie. Voilà ! Charlotte est une vraie comtesse, la Comtesse de N. Pour expliquer, il faut remonter un peu dans le temps. Les Comtes de N. sont de vieille souche noble. Ils ont été ruinés lors de la crise de 1929 et ont perdu tous leurs biens. Dont cette propriété. Mais dans des conditions peu claires qui ont amené des procès à n’en plus finir. Pendant la guerre, le château a été transformé, par ceux qui se l’étaient approprié, en lupanar de luxe pour les officiers généraux allemands. Toutes les pièces ont été transformées en chambres et en suites, et décorées dans le style adéquat. Avec des grands lits, des miroirs partout et des tableaux de scènes érotiques. Celle-ci est la plus sobre, car elle a été débarrassée de ses miroirs et de ses tableaux par le Comte de N. lorsqu’il a habité le château à nouveau. À la fin de la guerre, les propriétaires ont été condamnés pour collaboration, et la propriété a été quasi abandonnée. Après de longues procédures, le dernier Comte de N. a pu rentrer en possession de son château. Mais il n’avait pas un sou vaillant pour l’entretenir. Au cours d’un dîner chez des amis communs, il a rencontré Charlotte. Je dis Charlotte, mais son vrai prénom, c’est Monique. C’est une cousine de ma mère, et elle est tout ce qu’il y a de plus roturière. Mais elle a un beau cul, elle sait s’en servir, et surtout elle a aussi la tête bien faite ! Par ailleurs, comme le reste de la famille, elle n’a aucun tabou sur le sexe. Le Comte de N. ne s’était jamais marié, car il se considérait trop pauvre pour épouser une femme de son rang. Sa vie sexuelle était donc restée très misérable. Monique a flairé le beau parti, le titre et la propriété. Je ne connais pas les détails, mais si elle lui a fait subir le même traitement qu’à Fabien, le vieux célibataire frustré a dû être immédiatement séduit. Bref, le Comte est devenu fou d’elle. Il a oublié sa volonté de convoler avec une noble et il l’a épousée officiellement. Au grand dam de ses pairs ! Du coup, Monique en a profité pour changer de prénom, et devenir Charlotte Comtesse de N. Tout ça était bel et bon, mais il n’y avait toujours pas d’argent. On a beau parler d’amour et d’eau fraîche, ça ne suffit jamais. Et surtout pas à Monique qui n’avait pas épousé le comte pour tirer le diable (et seulement le diable) par la queue. Alors pour entretenir la propriété, Charlotte/Monique a décidé de revenir à ce qui avait fait les beaux jours du château pendant la guerre : le cul. Elle a transformé le château en hôtel pour « patron voulant baiser avec sa secrétaire » et la fermette en boîte échangiste. C’est plus tendance, plus facile à gérer, et moins risqué qu’une maison de passe. Le Comte de N. avait presque 70 ans. Il a eu du mal à suivre sa femme sur le plan sexuel. Tant dans le lit conjugal que lors des soirées échangistes auxquelles il assistait. Toutes ces femmes nues et voraces avec qui batifoler après tant d’années de privation, il était comme un gosse dans un magasin de jouets… Alors, il s’est mis à prendre des produits soi-disant aphrodisiaques pour pouvoir assurer. Comme il avait déjà le cœur fragile, ça n’a pas traîné… Charlotte est donc une veuve éplorée (vous avez vu ?) depuis deux ans. Elle continue à gérer la propriété d’une main sûre, et comme elle trie les clients sur le volet, elle fait les délices des échangistes de la bonne société avec ses soirées.
- — Et Carla ?
- — Carla est au service de la Comtesse avec son petit ami Philippe. Carla est femme de chambre et Philippe fait l’entretien de la propriété. Mais ils sont aussi serveurs et surtout force d’appoint au club. Vous avez vu Carla à l’œuvre ? Philippe est un étalon capable de bander toute une soirée et de satisfaire toutes celles qui n’ont pas eu leur comptant d’orgasmes durant les échanges entre participants. Il est très prisé parmi ces dames. Certaines ne viennent que pour avoir droit à un seul coup de sa grosse queue. Il est presque aussi bien monté que Fabien.
- — Alors ce soir, il y a partouze ?
- — C’est normalement tous les samedis soirs… Plus quelques soirées en extra, dit Marjorie en habituée. Mais tu as entendu, ce soir, c’est spécial. Ça se fera au château. Et si Charlotte dit qu’elle a peu de monde, c’est qu’elle a trié les participants. Je pense qu’elle a dû jouer sur notre mariage pour sélectionner et monter une de ses soirées qui font la réputation de la maison. La quantité, elle n’en veut pas. Elle trie sans pitié ! Que des couples motivés. Mais quand je dis motivés, c’est homme et femme. Si l’un des deux ne participe pas, une fois ça va, deux fois c’est la liste noire. Pas de mecs seuls ! Elle sait très bien qu’une bonne partouze, c’est les femmes qui la font, pas les hommes ! Bref, elle a choisi la qualité et elle a raison.
- — En attendant, il faut qu’on aille quand même retrouver notre noce, dit Rodolphe à sa nouvelle épouse qui venait de nous éclairer sur le château et ses habitants.
Nous avons donc rejoint la famille et les amis. Ils accueillirent les mariés avec des cris de satisfaction, des « Où étiez-vous passés ? » de la part de la famille de Rodolphe et des remarques salaces sur ce qu’avait dû subir la mariée de la part de sa propre famille.
Mais aucun ne savait réellement que la mariée avait été particulièrement bien honorée. Et pas seulement par son mari.
* * * * *
- — Ouf, dit Denise. Voilà ! Tu connais tout sur mon dépucelage ! J’arrête de raconter !
Didier avait terminé son petit déjeuner depuis longtemps. Le récit de sa logeuse continuait à l’émoustiller au plus haut point, et son érection devenait douloureuse à force d’être restée durement tendue si longtemps.
- — Oui tu as raison, ma Denise. Il est temps de faire une pause dans ton récit… En attendant de reprendre, on pourrait peut-être s’occuper de ça. Regarde dans quel état j’étais pendant tout ce temps.
Et Didier, se renversant sur sa chaise, abaissa son shorty, et en extirpa sa virilité triomphante.
- — Mais mon chéri ! C’est pas raisonnable ! Bander comme ça au petit déjeuner, alors que tu m’as barbouillée de ta jute il y a moins d’une demi-heure. C’est moi qui te fais cet effet-là ?
- — Bien sûr ! Toi avec ta nuisette tendue sur tes nénés ! Et aussi tes récits de baise à tout-va, tiens ! Denise, tu ne peux pas me laisser comme ça ?
- — Non mon chéri ! Je ne te laisse pas comme ça ! Recule un peu ta chaise, enlève ton caleçon et allonge tes jambes.
En donnant ses instructions, Denise avait pris sa nuisette à deux mains en croisant les bras et l’avait fait passer lentement par-dessus sa tête. Ce mouvement mettait son corps en extension et révélait en un court strip-tease, son pubis à la courte toison blonde, son ventre velouté au nombril bien dessiné, puis ses jolis seins ronds, en commençant par le léger pli du dessous pour continuer avec les mamelons bien dressés dans leurs aréoles rose pâle. Quand sa tête émergea du tissu froufroutant, elle vit que Didier, les yeux rivés sur sa poitrine, n’avait pu résister au magnétisme érotique que son corps dégageait. Il avait empoigné son sexe et entamé une lente masturbation.
- — Ne va pas trop vite mon chéri. J’arrive !
- — Oui, viens ! J’ai vraiment envie de te la mettre.
Sans attendre, la jeune femme enjamba son jeune amant en lui tournant le dos. Elle lui présentait ainsi ses fesses. Ecartant les lèvres de son sexe de ses deux doigts, elle descendit lentement sur la verge que Didier tenait à deux mains pour la présenter à l’entrée de cette chatte tant convoitée. Les souvenirs qu’elle avait évoqués ainsi que la vue de son locataire en érection avaient suffisamment éveillé les sens de Denise pour qu’elle mouille abondamment. D’ailleurs, sa nuisette qui gisait sur le sol de la cuisine, était tachée d’une large auréole humide à l’endroit où elle s’était assise. C’est donc sans difficulté que la verge de Didier entra dans la grotte d’amour de la jeune femme. Tandis qu’il lui caressait les fesses avec douceur, Denise appuya le bas de son ventre de ses deux mains pour faire saillir son mont de Vénus. Elle se pencha en avant pour contempler sa chatte et au-dessous, le sexe qui la pénétrait. Elle aimait cette vue qu’elle trouvait très émoustillante. Puis, elle bascula vers l’avant et prenant le bord de la table à deux mains, elle se mit à monter et chevaucher le membre qui lui servait de pivot. Petit à petit, elle accéléra ses mouvements, car elle sentait venir l’orgasme.
- — Oh, ça vient mon chéri ! Ça vient ! Retiens-toi, toi ! Surtout, retiens-toi ! J’ai besoin que tu restes dur dans ma chatte… Oui, ça y est ! Je jouiiiiis !
Didier s’était conformé à la demande de sa logeuse, restant stoïquement raide comme la justice. Sa verge était soumise à rude épreuve, car le vagin de Denise était chaud et dégoulinait de mouille. Mais il arrivait tant bien que mal à se contrôler pour ne pas éjaculer. Pour ce faire, il se concentrait sur la jouissance de Denise en tâchant de l’accompagner dans sa jouissance. Cette dernière n’avait pas cessé son mouvement de monte et baisse, s’empalant à chaque descente jusqu’aux testicules du garçon. Pendant qu’elle déchargeait, elle avait un peu ralenti la cadence, mais dès que son orgasme s’apaisa, elle repartit de plus belle. Quelques nouveaux coups de queue, et elle coulait à nouveau, inondant les couilles de son partenaire toujours stoïque et vaillant. En quelques minutes, elle eut ainsi cinq ou six orgasmes. Enfin elle se renversa sur le torse de Didier, en levant les bras pour s’étirer.
- — Huuuum ! Mon chéri, c’était merveilleux. Caresse-moi les seins ! Oui comme ça c’est bon ! Oui, pince-moi les pointes ! Huuuum ! Pas trop fort chéri. Un peu, mais pas trop !
C’est à ce moment que la porte de la cuisine s’ouvrit sur une jeune femme rousse aux cheveux courts, plutôt gironde et qui devait avoir environ vingt-cinq ans. Le couple lui faisait face. Elle resta figée dans l’encadrement de la porte, la bouche ouverte pendant plusieurs secondes.
- — Oh ! Pardon, Madame Denise. Excusez-moi, bredouilla-t-elle en devenant écarlate.
- — Valérie ! Quelle bonne surprise, dit Denise qui avait récupéré son sang-froid. Que faites-vous là petite vicieuse ! Vous êtes bien de repos aujourd’hui ?
- — Oui Madame, mais… Oh ! Madame, je vous laisse !
Et la bonne reculant commençait à fermer la porte.
- — Venez ici, Valérie. Ne partez pas ! Venez près de moi au contraire.
- — Madame ! Je ne peux pas ! Je n’ose pas ! C’est gênant, vous êtes…
- — Je suis nue en train de faire l’amour, oui ! Et alors ? Ne me dites pas que vous êtes choquée.
- — Euuuuh ! Non, mais Madame, vous… C’est gênant !
- — Il y a bien des circonstances semblables où vous n’étiez pas gênée du tout. Voulez-vous que je vous rafraîchisse la mémoire ?
- — Madame, je…. Madame je ne vois pas ce que Madame…
- — Peu importe ! On verra plus tard ! Venez ici vous dis-je !
La jeune femme finit par s’approcher. Quand elle fut à peu de distance du couple, Denise se redressa, se séparant du membre viril qui la pénétrait. Didier était quand même un peu embarrassé, et de ce fait son érection fondit comme neige au soleil. Son sexe luisant de sécrétions se reposait sur son ventre.
- — Valérie, regardez ! Vous impressionnez notre locataire. Il y a quelques secondes, il m’a fait jouir plusieurs fois de suite et merveilleusement bien. Et maintenant il débande sans avoir joui lui-même. C’est un peu votre faute, non ?
- — Madame… Je ne pouvais pas savoir ! Je… Je regrette !
- — Et bien il faut réparer ça, Valérie ! Venez !
Et Denise attira sa bonne vers Didier, et la contraint à s’accroupir. En même temps, elle faisait le tour de la chaise, pour se placer de l’autre côté dans la même position.
- — Allez ma fille. Vous êtes experte pour faire bander un homme ? Prenez sa bite dans votre main.
- — Oh, Madame ! Je ne peux pas… Monsieur Didier !
- — Vous trouvez que sa queue n’est pas digne de vous ?
- — Je n’ai pas dis ça !
- — Alors, allez-y ! Ne vous faites pas prier ! Là c’est bien ! Oui, c’est ça, caressez le gland ! Encore… Qu’attendez-vous pour le prendre en bouche ? Vous savez aussi tailler les pipes, n’est-ce pas ? Et bien, allez-y !
Sur l’injonction de sa patronne, Valérie avait pris la verge de Didier entre ses lèvres et commençait à le sucer avec application. Ce dernier, sans doute encore un peu sous l’effet de la surprise, avait du mal à retrouver son érection. Denise se releva, et vint mettre ses deux seins sur le visage du garçon, tandis que de la main gauche elle prenait la tête rousse de la pipeuse pour la forcer à accélérer sa fellation. Léchant avec délices les magnifiques tétons, la verge bien sucée par une bouche toute chaude, Didier fut bientôt en grande forme. Denise satisfaite, fit se relever Valérie.
- — Vous avez une culotte ? Oui ? Enlevez-la ! Voilà ! Maintenant, venez vous asseoir sur ce jeune homme et vous empaler sur la belle bite que vous avez fait bander.
- — Madame ! Je… Je suis fiancée… Enfin j’ai un copain…
- — Et alors ? Vous êtes fidèle ? Vous vous réservez pour lui ? C’est nouveau ça… Ne me faites pas rire ! Vous n’avez jamais baisé pour le plaisir ?
- — Si, mais…
- — Non ! Pas comme ça ! Mettez-vous dans l’autre sens.
Obéissante, Valérie s’assit à califourchon sur Didier en lui tournant le dos comme l’avait fait Denise. Le garçon qui avait déjà fait la manœuvre avant n’eut aucune hésitation et dirigea sa verge vers l’entrée du sexe de sa nouvelle partenaire, puis, lorsque le gland eut écarté les grandes lèvres, il prit les hanches de la jeune femme à deux mains et l’attira vers le bas pour la pénétrer entièrement. Lorsque cette position fut atteinte, Denise repoussa sa bonne contre le torse masculin, elle se plaça à genoux entre les jambes de Didier, et portant sa bouche sur le clitoris et la base de la verge, s’activa d’une langue pointue et fouilleuse. De son côté, Didier tenant toujours les hanches de la jeune femme, et sentant qu’elle était un peu passive, l’incita du geste à monter et descendre le long de son membre viril. Timide au début, Valérie se laissa prendre à l’érotisme de la situation, appréciant le sexe qui la pénétrait, et les coups de langue de sa patronne qui commençaient sérieusement à agir. Elle ne tarda d’ailleurs pas à avoir un orgasme.
- — Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu, je jouis ! Oh c’est bon ! Oh Madame Denise qu’est-ce que vous me faites ? Aaaaah !
Une mouille abondante accompagna ce premier orgasme, et Denise ne manqua pas de lécher la base de la verge le long duquel cette cyprine coulait.
- — Continue Didier ! Continue à la baiser ! Retiens-toi de décharger ! Retiens-toi ! Elle va encore jouir.
Et Denise reprit son titillement du bout de la langue sur le clitoris qui, gonflé de sang, était de plus en plus proéminent. Le résultat ne se fit pas attendre et Valérie jouit de nouveau. Elle aligna comme cela cinq ou six orgasmes de grande intensité. Denise avait toujours la bouche collée à la jonction des deux sexes et continuait ses coups de langue sur le clitoris de la bonne.
- — Oh ! Je vais jouir, dit soudain Didier. Ça vient trop !
- — Oh, non Monsieur Didier ! Non, je ne prends pas de pilule, dit Valérie en se relevant.
Le sexe de Didier se retrouva à l’air libre, agité de soubresauts caractéristiques de l’annonce d’une bonne éjaculation. L’étudiant fit un gros effort pour éviter que sa semence ne gicle contre les fesses de la bonne qui était restée au-dessus de lui.
- — Vous ne prenez pas la pilule et vous avez un fiancé à qui vous êtes fidèle ? Petite menteuse ! Oh la menteuse ! Didier, tu avais des velléités de t’essayer à la sodomie, non ?
- — Ben oui ! Mais vite parce que j’ai mal aux couilles !
- — Oh, non Madame ! Je n’ai jamais…
- — Arrêtez ! Vous continuez à mentir. Venez là !
Denise en un tournemain mit la jeune femme nue. Puis, après un rapide débarras des reliefs du petit-déjeuner, elle la fit se pencher en avant sur la table de la cuisine, les seins écrasés sur la toile cirée, les deux mains tenant les côtés, les jambes écartées, présentant sa chatte et la raie de ses fesses à la concupiscence de Didier.
- — Didier, viens ! Viens mon chéri ! Tu vas tâter de ce petit cul !
- — Comme ça ? À sec ?
- — Ne t’en fais pas tu ne seras pas le premier ! Mais si tu veux, on peut refaire le coup du « Dernier Tango à Paris »
Et Denise s’empara de la motte de beurre qui était restée sur la table. En préleva une grosse noisette dont elle enduisit l’anus de Valérie.
- — Tiens comme ça c’est prêt. Tu peux l’enfiler.
Didier ne se le fit pas dire deux fois, et poussa son gland contre le petit anneau brun enduit de beurre. Il n’eut aucune peine à entrer, et sa verge glissa sur toute sa longueur, jusqu’à ce que ses testicules viennent s’appuyer sur l’abricot de la jeune femme.
- — Oh ! C’est bon son cul. Il est bien serré ! Oh, je vais lui juter dans le cul !
- — Oui vas-y Didier ! Vas-y chéri ! Mets-lui tout !
Il ne fallut que deux ou trois allers et retours pour que le jeune homme éjacule. Il le fit longuement abuté contre les fesses et le sexe de Valérie.
- — Là, je lui mets tout ! Oh que c’est bon de juter dans son p’tit cul !
- — Oh Monsieur Didier, elle est bonne votre queue, mais vous avez déchargé trop tôt, je n’ai pas pu jouir !
- — Trop tôt ? T’as pris ton pied au moins six fois lorsque je te baisais. Et tu réclames encore ? J’en pouvais plus moi… Eh ! Denise, qu’est-ce que c’est que cette mijaurée ? Elle fait l’innocente, et puis après elle trouve que c’est pas assez !
- — Ah, voilà ! Quand on veut baiser à plus de deux il faut assumer ! Ça veut dire qu’il faut que tu retrouves la forme. Demande-lui de te sucer ! Et crois-moi, elle n’est pas innocente du tout !
- — Oh Madame Denise ! protesta Valérie.
- — Bon, dit Didier en retournant s’asseoir sur sa chaise. Innocente ou pas, tu viens me sucer ?
Valérie s’accroupit à nouveau entre les jambes du jeune homme, et après une rapide toilette à l’aide d’une serviette qui gisait sur la table, enfourna le sexe qui avait perdu de sa superbe, et commença derechef une nouvelle fellation. Denise, appuyée contre la table regardait la scène avec intérêt, mais sans plus. Elle avait un certain nombre de griefs contre Valérie, et voulait vider l’abcès d’une part, et comme la bonne l’avait surprise en pleine action avec son locataire, faire en sorte qu’elle soit complice pour rester discrète. Ce dernier point n’était pas garanti, car la jeune femme était d’une nature complexe et plutôt vicieuse, et pas seulement sur le plan sexuel. Pour l’instant, elle suçait avec application et avec succès semble-t-il, car Didier retrouvait une belle vigueur. C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée retentit.
- — Continuez ! Je vais voir ce que c’est !
Tandis que Valérie continuait son action sur le gland et la verge de Didier, Denise alla voir à travers l’œil qui garnissait la porte d’entrée, quel était l’importun qui venait les déranger. C’était Vincent, le jeune homme par qui toute cette histoire avait commencé puisqu’il avait été le premier à se faire initier par son amie Elizabeth. Denise eut un sourire de plaisir. Elle aimait bien Vincent avec qui elle avait aussi fait l’amour. C’est donc sans hésitation qu’elle ouvrit la porte, mais en cachant sa nudité derrière le panneau afin qu’on ne puisse la voir du palier. En même temps, elle mettait un doigt sur ses lèvres pour intimer l’ordre de se taire à son jeune visiteur. Vincent entra, la regardant avec étonnement puis convoitise en la voyant entièrement nue devant lui.
- — Denise qu’est-ce tu… dit-il mezzo voce.
- — Chut ! Ne parle pas ! On va faire une surprise à Didier !
- — À Didier ? Mais tu es à poil ? Ça veut dire que…
- — Oui ! Hier quand il est rentré, on a fait l’amour, et depuis on n’a pas arrêté soit de baiser, soit de parler de cul. Il a voulu que je lui raconte mon dépucelage…
- — Et bien bravo ! Ça a dû être quelque chose ! Moi aussi j’aurais bien aimé entendre tes souvenirs de jeunesse ! Et puis je suppose que ça devait être excitant et que ça lui redonnait envie de baiser à tout bout de champ.
- — C’est à peu près ça.
- — Une bête de sexe alors ton locataire ? Où il en est maintenant ?
- — Il se fait sucer par Valérie qu’il vient de sodomiser.
- — Valérie ? Ta bonne ? Et bien il va plus vite que moi ! Et c’est quoi ta surprise ?
- — Ben toi ! Tu te déshabilles, on entre dans la cuisine et on entame une petite partie carrée. Je lui en ai parlé, mais il n’en a jamais fait !
- — Je veux bien. D’autant que je suis un peu en manque en ce moment : Elizabeth a quasiment disparu. Par contre, je suis pas dans l’ambiance.
- — Tu parles, il y en a pour quelques secondes. Tu me pelotes un peu partout. Qu’est-ce qui t’excite ? Mes seins ? Mes fesses ? Ma chatte ? Choisis ! Et puis tu me donnes ta bite, je te suce, et t’es en forme.
Il ne fallut pas longtemps à Denise pour faire bander Vincent, déjà fortement émoustillé par les formes arrondies de la jeune femme. Dès qu’il eut une belle érection, ils pénétrèrent dans la cuisine ou Valérie continuait de sucer la queue de Didier. Mais fatiguée d’être accroupie, elle s’était relevée, et présentait son fessier en haut de ses jambes tendues. Didier fermait les yeux pour mieux savourer les coups de langue sur son gland, il ne vit donc pas venir son copain qui se présenta derrière les fesses de la bonne. Il lui prit la hanche d’une main, et de l’autre guida sa bite toute bandée dans la chatte offerte. Valérie eut d’abord un mouvement de recul devant cette intromission qu’elle n’attendait pas. Mais Vincent força pour entrer et elle céda facilement, tendant même ses fesses vers l’engin qui venait de l’enfiler. Mais comme le nouvel arrivant se mit à la pilonner, elle communiqua ses mouvements à celui qu’elle suçait avec application, ce qui lui fit ouvrir les yeux.
- — Vincent ? Qu’est-ce que tu fais là ?
- — Ben, tu vois je viens t’aider à embrocher la demoiselle.
- — C’est toi qui as sonné ?
- — Oui, c’est lui ! dit Denise. Et maintenant que c’est équilibré, j’espère que vous allez vous montrer à la hauteur les gars. Moi, je suis de nouveau toute excitée. Alors, je vais commencer par profiter de cette belle queue que m’a préparée la bonne, mais après on change ! J’ai envie de Vincent aussi.
Sans se désunir, le couple Vincent - Valérie laissa la place à Denise qui s’assit à califourchon sur Didier et s’enfonça sa bite aussi loin que possible en elle avant de le chevaucher. Didier la tenait aux hanches, mais elle lui suggéra de lui peloter les seins d’une main et de tâcher de lui masser le clito de l’autre. Didier réussit à atteindre le bourgeon de chair du pouce, et à le faire rouler. Jointe à de légers pincements sur les mamelons, cette caresse fut efficace et accéléra considérablement l’orgasme qui secoua violemment Denise qui s’accrochait au cou de son partenaire pour soutenir ses jambes flageolantes. De leur côté, les deux autres ne restaient pas inactifs. Valérie toujours prise en levrette avait repris sa position le buste allongé sur la table, mais curieusement, après avoir ôté la toile cirée et mis le bois de la table à nu, elle s’était placée de façon à être en diagonale, c’est-à-dire qu’elle avait l’entrejambe placé juste au coin de la table. Elle s’était laissée limer la chatte un moment, puis elle avait réclamé de son partenaire qu’il change d’orifice. Vincent ne se fit pas prier, bien qu’il soit tout à fait satisfait du vagin qui lui était offert. La bonne une fois emmanchée se redressa légèrement. Elle avait ainsi à chaque pénétration, le clitoris qui s’écrasait contre le coin de la table qui lui entrait un peu dans la moule. Et lorsqu’elle entendit sa patronne gémir, elle l’accompagna de ses cris de plaisir, mouillant abondamment sur le coin qui lui avait martyrisé le sexe.
- — On change ? demanda Vincent à son copain.
- — On change ! Allez les filles, changement de partenaire.
- — On pourrait peut-être aller dans un endroit plus confortable que la cuisine, dit Denise. Je sais que Valérie apprécie le coin de la table, mais on trouvera autre chose.
- — Si Madame nous emmène dans sa chambre, elle pourra sortir son superbe godemiché vibrant. Ça remplace avantageusement le coin d’une table.
- — Vous fouillez Valérie ?
- — Non ! C’est Mons… Euh ! Je l’ai vu par hasard… Un jour que Madame ne l’avait pas rangé.
- — Vous mentez mal ma fille. Votre début de phrase est révélateur ! Rassurez-vous, je savais tout…
- — Eh les filles ! Vos querelles, c’est pour plus tard. Pour l’instant, vous êtes priées de coopérer. On voudrait ne pas débander Didier et moi, alors on y va ?
C’est donc dans la chambre de la maîtresse de maison que se poursuivit la partie carrée. Le lit était très large et plutôt haut. Denise qui devait y avoir pensé avant, ordonna à Valérie de s’allonger sur le dos au bout de la couche en légère diagonale, de façon à ce que ses jambes soient à l’extérieur et que sa tête soit proche du bord droit. Elle-même vint se placer tête-bêche au-dessus de la bonne, à genoux, mais avec les cuisses très écartées de façon à ce que sa chatte soit à portée de langue de Valérie.
- — Allez les gars, choisissez, dit-elle en plongeant sa tête entre les cuisses de la jeune femme.
- — Tu choisis quel cul, Didier ?
- — Je crois que je vais prendre la bonne.
- — Bon ! Je prends donc la patronne.
Les filles étaient déjà bien lubrifiées, nos deux compères n’eurent donc aucune peine à les enfiler. Didier avait investi avec délice la chatte de Valérie et lui soutenait les jambes qu’elle avait écartées en V. Chaque fois qu’il la pénétrait, son ventre butait contre la tête blonde de sa logeuse qui tentait avec pas mal de succès de lécher le clito de la bonne. Vincent, lui, avait pris Denise en levrette et la pilonnait en la tenant aux hanches pendant que Valérie jouait de la langue sur le clitoris de sa patronne et sur les couilles du baiseur. C’était les filles qui étaient les plus sollicitées, car, remplies vaginalement, elles étaient aussi agacées clitoridiennement. Aussi ne tardèrent-elles pas à jouir, inondant de mouille les verges de nos deux étudiants. Ces derniers faisaient de la résistance, et tâchaient de ne pas décharger de suite afin de provoquer plusieurs orgasmes chez les filles.
- — On change ? proposa Vincent pour faire un peu retomber la pression qui était très forte, car il trouvait le vagin de Denise particulièrement chaud et soyeux.
- — D’accord !
Les hommes changèrent immédiatement de partenaire, passant sans transition d’une chatte à l’autre, de la blonde à la rousse et vice versa. Mais en recommençant à aller et venir dans ces fourreaux étroits, chauds et gluants de foutre, la tension érotique redevint aussi forte, car la chatte de Valérie était aussi serrée que celle de sa patronne. Vincent sentit donc à nouveau que ses glandes étaient prêtes à expulser leur trop-plein. Les femmes, de leur côté, continuaient à se gougnotter autant que faire se peut, et comme elles n’avaient aucune raison de se retenir, un nouvel orgasme presque simultané les submergea de nouveau. Vincent eut vraiment l’impression qu’une très grande quantité de foutre suintait de toutes les parois du vagin de Valérie. D’ailleurs, ses coups de queue provoquaient un chuintement mouillé de plus en plus prononcé, et Denise grognait en redoublant d’ardeur à lécher le clitoris éclaboussé chaque fois qu’en faisant entrer sa bite à fond il expulsait plusieurs gouttes de mouille.
- — Ah ! J’en peux plus ! Je vais décharger !
- — Non ! Attends !
Denise avait soudainement abandonné le clitoris de sa bonne, et profitant d’un mouvement arrière du jeune homme, elle attrapa la tige en grande partie hors de son orifice, et la fit sortir complètement, frottant fortement au passage le gland sur le clitoris de Valérie. Cette seule action déclencha chez Valérie une nouvelle expulsion de cyprine qui cette fois vint simplement mouiller un peu plus la raie de ses fesses déjà gluante de mouille. Denise entre temps avait gobé la bite de Vincent, et lui appliquait une fellation appuyée, insistant sur la base du gland. L’effet fut instantané, l’étudiant éjacula avec force toute sa semence.
- — Oh ! Putain que c’est bon ! Oh, je jouis ! Oooooh ! Denise ta langue… Oh ce que c’est bon !
- — Moi aussi, ça vient ! Je vais la remplir par l’autre côté ! cria Didier.
En effet, quelques va-et-vient supplémentaires et il éjaculait, enfoncé jusqu’aux testicules dans le vagin brûlant de sa logeuse. Il resta collé contre les fesses de sa logeuse jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme eût quitté son méat. C’est alors seulement qu’il se retira de l’accueillant vagin. Sa verge était moins triomphante, mais conservait quand même une certaine rigidité. Lorsqu’il eut quitté la chatte de Denise, son sperme mêlé de mouille commença à perler au bout du clitounet. Valérie, sans l’ombre d’une hésitation, recueillit avec avidité la liqueur spermatique. Ce goutte à goutte s’accéléra lorsque Denise, contractant son ventre et son vagin, expulsa la plus grande partie de l’éjaculat. La jeune bonne n’eut pas un mouvement de recul, et absorba toute la semence sans broncher.
Les garçons avaient débandé. Les vagins étaient encore bien « graissés ». Le privilège de la femme étant d’avoir des orgasmes à répétition, Denise et Valérie étaient encore en état de poursuivre leurs jeux érotiques. Laquelle des deux fit appel au godemiché ? Ce n’est pas important ! Toujours est-il qu’un engin noir en forme de phallus, équipé de piles et animé d’un mouvement vibratoire fût bientôt entre les mains de Denise qui l’appliqua avec précision sur le clitoris de sa bonne. Cette dernière sauta quasiment en l’air. Clitoridienne avant tout, ce traitement la faisait littéralement exploser. Il ne fallut que quelques dizaines de secondes pour qu’à nouveau elle jouisse. À peine était-ce terminé que Denise s’appliquait le même traitement agrémenté de quelques pénétrations vaginales. Elle ne fut pas, elle non plus, très longue à jouir violemment.
Le calme était revenu dans la chambre de Denise. Les quatre protagonistes soufflaient après s’être donnés à fond. Ce fut Vincent qui rompit le silence.
- — Je suis vraiment content d’avoir baisé Valérie. Elle est bonne et elle jouit bien. Mais… Je n’ai pas bien compris Denise. Tu as l’air d’avoir un sacré différend avec elle, c’est quoi ?
- — Oui, je lui en veux… Ou plutôt je devrais lui en vouloir… Et en fait ce n’est pas vraiment le cas. Simplement, je veux que vous sachiez Valérie que je ne suis pas dupe et que je connais beaucoup de choses de vous.
- — Mais Madame…
- — Valérie, ne protestez pas. J’ai dit que je ne vous en voulais pas. Voilà ! Elle y a fait allusion tout à l’heure d’ailleurs quand elle a commencé à dire comment elle connaissait l’existence du godemiché. En fait ce gode c’est Henri, mon mari qui l’a acheté soi-disant pour moi, mais moi je n’ai jamais été très attirée par ce type d’engin. Je préfère les vrais. Non, c’était pour elle ! Parce qu’en fait Mademoiselle Valérie… Mais au fait, vous pourriez raconter vous-même votre histoire. En commençant par le début. La petite sainte Nitouche que vous voyez là a commencé sa carrière chez des amis de mon mari. Allez Valérie, racontez !
- — Oh, Madame ! C’est gênant !
- — Assez de simagrées. Vous voulez que ce soit moi qui le fasse ?
- — Euh ! Non, bon ! Après tout, je n’ai rien fait de grave ! Voilà ! En arrivant de mon village, je suis entré au service des de B… suite à une petite annonce. J’ai été reçu par Madame. Je n’avais pas de référence à présenter puisque je n’avais jamais travaillé. Elle m’a dit que ça ne faisait rien, et elle m’a emmenée dans sa chambre. Là elle ma prise dans ses bras, et m’a demandé si je savais être gentille, car elle avait un grand besoin de tendresse. Je ne savais pas quoi répondre ! Alors elle a passé sa main sous ma jupe, caressé les fesses, puis elle est venue devant, a écarté ma culotte et elle m’a masturbé le clitoris… Comme vous avez pu le voir, je suis très sensible à cet endroit. Tout de suite j’ai senti mes jambes qui flageolaient, j’ai été obligé de m’accrocher à son bras, et j’ai joui sur ses doigts. Elle m’a dit que c’était bien. Elle a ouvert son corsage et m’a demandé de lui sucer les seins. Je l’ai fait, mais elle trouvait que je ne la tétais pas assez fort, alors j’y suis allé franco, à lui faire mal. Et elle a joui. Puis elle m’a dit de mettre ma main entre ses cuisses. Elle n’avait pas de culotte, et sa chatte entièrement rasée était trempée. Elle s’est allongée sur le lit, et elle m’a dit de tout lécher. Je l’ai fait, et elle a joui à nouveau. Après elle m’a dit qu’elle avait un rendez-vous, mais que j’étais embauchée, à la condition de toujours être gentille avec elle. Voilà, le service n’était pas très dur. L’après-midi, je faisais toujours la sieste avec Madame, elle me faisait toujours un petit cadeau. Monsieur, je ne le voyais pratiquement pas, il rentrait tard et ne dînait presque jamais avec Madame. Et puis elle a voulu que je me fasse des couettes et que je m’habille avec une jupe plissée et des socquettes, style lycéenne, mais sans culotte. Et un jour Monsieur m’a vu avec mes couettes et ma mini écossaise plissée. Il m’a appelé dans son bureau, m’a dit de venir près de lui, puis de me lui tourner le dos et de ramasser un papier par terre. J’ai de suite compris, alors j’ai hésité, puis je me suis penchée en avant, et évidemment, assis sur son fauteuil, il a eu une vue imprenable sur mes fesses et mon abricot tout nus. Il y a mis la main sans hésiter, puis il m’a attiré contre lui en me pelotant les fesses, et en mettant son doigt dans mon petit trou. Puis il m’a demandé si je voulais lui faire plaisir. Comme j’ai dit oui, il a ouvert sa braguette et sorti son engin qui bandochait et m’a fait pencher en avant pour le sucer. Pendant que je lui donnais de la vigueur, il n’a cessé de me tripoter les fesses et surtout l’anus. Quand il a été raide, il m’a fait pencher sur le bureau, il a relevé ma minijupe, il a craché un peu de salive dans ma raie, il a présenté sa queue à l’entrée de mon petit trou, il a forcé et c’est rentré. Il a fallu qu’il lime un moment, mais au moment de décharger, il est sorti, et il m’a tout lâché dans la raie. J’avais les fesses pleines de sperme et ça coulait jusque sur ma chatte parce que c’était assez liquide. Il a rabattu ma jupe sur les fesses, et il m’a renvoyé comme ça à mon service, en me disant de ne rien dire et il m’a donné un gros billet. Je suis allé me laver de peur que Madame me demande. J’avais un peu mal, mais pas trop, parce qu’il n’était pas très gros. Depuis ce moment, tous les jours, je faisais la sieste coquine avec Madame, et presque chaque soir, je me faisais enculer par Monsieur. C’était toujours le même rituel : le papier par terre, et le torse sur le bureau. Les seules choses qui ont changé, c’est qu’il me demandait de venir sans soutien-gorge, et de relever mon haut pour que mes seins nus soient écrasés sur le bureau, et que moi, je me mettais sur le coin du bureau pour y frotter mon clito. J’y prenais du plaisir, et ça l’excitait, car il croyait que je jouissais avec sa queue, mais en fait c’était surtout le coin du bureau… Ça a duré comme ça quelque temps ! J’avais une place en or. Je rendais très heureuse la maîtresse de maison qui était de la pelouse comme on dit vulgairement. Pas bi, non ! Lesbienne exclusive ! Et puis je satisfaisais son mari qui aimait mon petit cul. Tous les deux me donnaient des cadeaux. Mais si Monsieur savait que je me faisais des trucs avec sa femme, elle ne savait pas que je me faisais mettre par Monsieur. Et puis un jour elle est entrée dans le bureau au moment où Monsieur me jutait à la raie. Elle aurait pu en profiter et se joindre à nous. Mais je vous l’ai dit c’était une lesbienne pure… Et jalouse avec ça ! J’ai dû quitter la pièce, et l’explication qui a suivi a été orageuse ! Le lendemain j’étais renvoyée par Madame. Mais, avant de partir, Monsieur m’a passé un bout de papier avec un numéro de téléphone à appeler pour une autre place qu’il me recommandait. J’ai appelé, bien sûr, et j’ai eu Monsieur Henri qui m’a embauché pour ici. Voilà !
- — Voilà ! Ce n’est pas tout, dit Denise. Henri m’a donc dit qu’il me donnait une bonne. Comme je ne suis pas tombée de la dernière pluie, j’ai surveillé. Et bien sûr j’ai rapidement eu la preuve que ce que mon mari ne me donnait plus, il le réservait à la bonne, mais à la méthode de son ami. C’est-à-dire habillée en gamine et en sodomie. M’habiller en lycéenne, non merci ! Quant à la sodomie, oui de temps en temps dans le feu de l’action, mais de là à en faire un quotidien, pas question ! Même avec le coin de la table. C’est ce qui explique que j’en veux à Valérie de me faire cocue. Mais qu’une fois la rancœur avalée, je lui suis reconnaissante de prendre la place dont je ne veux plus. D’autant que j’ai beaucoup mieux. Hein, mes amours ?
- — Ça, c’est sûr !
Vincent et Didier s’étaient récriés avec un accord touchant qui lui alla droit au cœur.
À suivre