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n° 10183Fiche technique22013 caractères22013
Temps de lecture estimé : 13 mn
28/02/06
Résumé:  De retour du Bled, mon paternel m'expédie chez M'dame la Comtesse comme homme à tout faire. Et je fais tout...
Critères:  fh fplusag jardin voir odeurs cunnilingu fdanus humour
Auteur : Domi Dupon  (Homme du bon côté de la cinquantaine)            Envoi mini-message

Série : Les chroniques de la Comtesse

Chapitre 01 / 04
Introduction délicate.

EPISODE 1 : Introduction délicate.





Je plongeai de mon lit à la recherche de mon flingue !



Ce n’était que mon père qui tambourinait comme un marteau à la porte de ma chambre. Je ne risquais plus rien ; la guerre, enfin ma guerre, était finie. J’avais été démobilisé depuis une quinzaine de jours et j’avais quitté le Bled pour regagner mon bled de la Chaux sur Main.



Mon réveil me dit qu’il était sept heures ! Presque l’heure du casse-croûte pour mon vieux. Après une nuit de cauchemar éveillé, cela faisait à peine deux heures que je roupillais.



Mon vieux m’en voulait parce qu’avant de partir « servir la France » en Algérie, j’avais fait des études ! Enfin j’avais réussi le concours de l’Ecole Normale et j’étais bachelier ! Il ne voulait surtout pas que son fils qu’était « instructionné » soit vu en train de piocher les vignes.



Marie Angélique de Burnecreuse, Baronne de Saint Vit, Comtesse de La Chaux de Main, 21ème du nom… Tout un poème ! Une légende même ! Son ombre tutélaire planait au-dessus du village. Tout le monde en parlait avec déférence, mais je ne l’avais jamais aperçue. La seule chose que je connaissais : sa Mercedes - la même qu’Hitler, paraît-il – qui traversait le village tous chevaux dehors, mais toutes vitres fermées.



Et mon vieux de m’expliquer que « Madame la Comtesse » ne cherchait pas un vulgaire secrétaire, mais un secrétaire particulier (!) pour l’aider à écrire ses mémoires.


J’avais été libéré en mai; j’devais poireauter jusqu’en septembre pour rejoindre l’Ecole Normale. Ce pouvait être intéressant – en tout cas, ça me changerait les idées - de côtoyer cette ancêtre, dernier bastion de résistance d’une société en voie de disparition. Je me rendis donc aux arguments de mon paternel. À huit heures et demi, j’enfourchai mon vélo et pédalai en direction du château.



**************



La grille du château de La Chaux de Main, que de fois ne l’avais-je longée ! L’exactitude étant la politesse des grands, à neuf heures moins cinq, je désenfourchai mon vélo que j’appuyai contre le mur d’enceinte. Je poussai la porte de service - j’allais quand même pas passer par le grand portail, d’ailleurs j’aurais été en peine car il était toujours fermé à double tour – et pénétrai dans l’antre de la Noblesse (avec un N majuscule). Bon, je vous décrirai pas le parc, ni ne vous donnerai la marque des arbres qui bordaient l’avenue permettant d’accéder au château. Sachez simplement que tout était magnifique.


Le péquenaud servile que j’étais dans ma ford intérieur submergea l’étudiant contestataire. Aussi c’est d’une démarche empruntée, timide que j’enfilai l’allée qui jouxtait le chemin principal. J’étais profondément dans mes pensées lorsque j’entendis un grand cri – féminin apparemment - sur ma droite. Cri suivi du bruit sourd d’un objet lourd qui tombe. Je me précipitai. Au milieu d’une pelouse plus ou moins entretenue, se dressait un grand cerisier chargé de fruits.


A ses pieds, un grand escabeau de bois renversé. Je compris tout de suite ce qui s’était passé. Quelqu’une ramasse des cerises, un geste malencontreux et hop! l’escabeau se fait la malle. Comme il n’y avait personne par terre, la personne qui avait crié devait encore être dans l’arbre. Je m’approchai et levai les yeux.


Spectacle des plus intéressants à un mètre environ au-dessus de ma tête ! C’était bien une femme ! Elle embrassait une grosse branche des bras et des jambes. Ce faisant, sa robe ample et légère était remontée sur son ventre. Le pan arrière pendouillant m’offrait une vision délirante sur sa culotte. Délirante parce que des culottes comme ça j’en avais jamais vu ! Je n’étais pas très calé sur la lingerie féminine – mes seules connaissances venaient de mes virées au B.M.C. (pour les ignares Bordel Militaire de Campagne) – mais en comparaison celles que ma mère achetait chez Madame Isabelle, la mercière du bourg voisin, semblaient modernes.


Imaginez une espèce de bermuda arrivant à mi-cuisses, jambes terminées par un liseré en dentelle de quelques centimètres. Je suis sûr que vous avez déjà vu ça dans des écomusées. Pas vraiment érotique me direz-vous. Certes non, mais cette culotte découvrait des cuisses aux muscles harmonieux. Muscles tendus sous les efforts que devaient faire la femme pour ne pas tomber. Muscles dont la netteté du trait, l’impression de solidité révélaient la sportive. Déjà ces jambes qui disparaissaient sous la rude étoffe blanche avaient de quoi réveiller le cochon qui sommeille en vous.


Mais ce n’était que mise en bouche ! La culotte de la jeune femme – le maintien et l’aspect général de ses cuisses indiquaient sa jeunesse – dans sa chute s’était sans doute accrochée à une quelconque branche ou sous le choc l’antédiluvien sous-vêtement avait-il rendu l’âme. Il en résultait une déchirure longitudinale. Déchirure providentielle qui me permit de constater qu’elle avait la fesse – du moins la gauche – charnue, bien dessinée, que sa toison broussailleuse grisonnait déjà un tant soit peu. Situation d’autant plus bandante que dans les mouvements désordonnés et inefficaces qu’elle faisait pour essayer de monter sur la branche, son petit cul se crispait, faisant ressortir la rondeur de la fesse, soulignant sa fermeté; la culotte malmenée, tour à tour découvrait ou cachait des parties de son intimité. Le plaisir d’attendre l’apparition d’un bout de lèvre, d’une touffe de poils…


Dans mon pantalon de tergal bien repassé que j’avais enfilé pour l’occasion, y’avait réunion au sommet. D’ailleurs, Popaul était tellement au sommet qu’il cognait contre la ceinture pour qu’elle le libère. Je ne sais pas combien de temps je serais resté à contempler ce joli cul si une voix encolérée ne m’avait pas tiré de ma béatitude :



Voix autoritaire de quelqu’un qui a l’habitude d’être obéi. M’dame la Comtesse avait peut-être une petite fille, à moins que ce soit une de ces dames de compagnie qui lèchent le cul à Madame, mais se montrent méprisante envers le bas peuple.



Elle avait pas les yeux dans sa poche et manquait pas de sang-froid. Je ne sus que répondre. Aussi enchaîna-t-elle :



Je ne pus retenir un ricanement.



Elle dégagea d’abord sa jambe droite. J’attrapai sa cheville, ne pouvant ignorer au passage la finesse de l’attache, l’élasticité et la douceur de la peau. J’étais très loin des putes sur le retour que nous consommions au Bled. Je l’aidai à poser son pied chaussé d’une légère sandale sur mon épaule gauche. Nous procédâmes de façon analogue avec la jambe gauche.


Elle se retrouva alors, pieds campés sur mes épaules, jambes pliées entrouvertes, fesses en arrière, bras tendus, mains crispées sur la branche, dans une position acrobatique. J’essayai de me concentrer comme elle me l’avait demandé, mais il aurait fallu que je garde les yeux baissés. Or pour l’aider efficacement, fallait que je regarde vers le haut.


Et vers le haut !! Comment ne pas voir à travers la déchirure de la cotonnade, d’autres fêlures, congénitales celles-là, comme le chantera plus tard Brassens. La végétation pourtant luxuriante ne parvenait plus entièrement à masquer l’entrée de cette déchirure verticale. Je devinai plus que je ne voyais ces grandes lèvres encadrant sa vulve entrebâillée. Cette même végétation, en touffe de boucles brunes/grises, fléchait la raie culière l’air de dire "pour l’anus suivez les flèches". Et surtout, surtout, ces odeurs grisantes : la robe s’étant rabattue sur la face externe des cuisses ramenait vers moi des effluves odorantes que son corps avait libérées durant son combat contre l’arbre. Nouveau retour à la réalité !



Ainsi fut fait ! Ses cuisses glissèrent sur mes épaules, sa robe étant stoppée par ma tête. Contact caressant de cette peau dénudée à travers l’étoffe frustre de ma chemise. Ma bite, de frustration, tressautait dans sa prison. Quelques secondes plus tard, ce fut la sarabande. Un instant, je crus que j’allais éjaculer dans mon slip quand son minou passa à la hauteur de mes yeux. Je n’en avais jamais vu un de si près. Circonstance aggravante, la substance luisante qui en maculait les poils semblait prouver que la dame avait apprécié de s’être montrée.


S’il me restait quelque doute, la manière « fortuite », dont elle vint coller son sexe contre ma bouche les leva. J’étais totalement puceau en la matière, mais j’avais des lettres, en tout cas j’avais eu entre les mains suffisamment de revues pornos pour savoir qu’il y avait quelque chose à faire. Tenant toujours sa branche, elle avait placé ses pieds contre mon ventre. Je lui agrippai les hanches pour soulager l’effort de ses bras. Et je me lançai bravement ma langue à l’assaut.


Ayant joué les débroussailleuses, elle pénétra le vagin effectivement très lubrifié. Inexpérimenté, je remuais ma langue à l’intérieur de cette brûlante cavité mais très vite, j’eus l’impression que malgré l’inconfort de sa position, c’est son sexe qui jouait avec ma langue. Les poils de sa chatte qui bougeait sans cesse m’agaçaient le menton. Un truc ferme se frottait contre le bout de mon nez. J’essayai d’adapter le rythme de mes lècheries à ses mouvements de bassin. Je devais pas trop mal m’y prendre car au-dessus de moi, je l’entendais râler et sa respiration s’emballait.


Mes mains avaient délaissé ses hanches pour soutenir son cul dans ses contorsions. Cul aussi ferme que je l’avais pensé. Je le malaxai sans retenue tout en lui imprimant les impulsions nécessaires à mon minoutage. Devant ses réactions très positives, je prenais de l’assurance. Mon nez jouait avec ce que j’avais compris être son clitounet. Petits frottements, douces pressions. Je le remontais, tournais autour, lui racontais des histoires inuits. Mon nez était tout baveux de sa mouille. Ma langue s’aventurait plus profondément en elle, nettoyant avec une application passionnée jusqu’au dernier repli. Combat perdu d’avance, car plus je nettoyais, plus les parois se couvraient de cyprine. Ma cavalière s’agitait de plus en plus. Soudain, d’une voix limite hystérie, elle déclama :



Ouille ! Ouille ! Elle perdait les pédales. Bizarrement, cela me fit retomber sur terre. J’étais venu pour voir M’dame la Comtesse et j’étais en train de faire minette à sa petite-fille, sa gouvernante ou peut-être sa cuisinière ! Si la mère de La Chaux de Main s’amenait, y’allait avoir du sport. Ces pensées parasites me firent perdre un peu le fil. Mon hôtesse du dessus me rappela à mes devoirs en frictionnant fortement son connet poisseux contre mon visage…



Complètement jetée, c’tte bonne femme ! Mais n’empêche ! Continuer de parler comme dans un salon alors que son cul ne tenait plus en place, chapeau ! Ce devait être une parente pauvre de la Comtesse. Elle parlait trop bien pour être une domestique. Je triquais de plus en plus, ma queue se trouvait de plus en plus étranglée dans mon slip. Mais bon, à la guerre comme à la guerre.

Foin de toute timidité, de toute retenue ! Ma langue reprit ses pérégrinations, ma partenaire ses soupirs et ses délires. Je lui bouffais la chatte comme un malade. Un instant, j’abandonnai son intérieur si confortable pour m’occuper de son clitounet d’amour. Petite tige perdue au milieu d’un buisson détrempé ! Lorsque mes lèvres se refermèrent sur son bourgeon, un frisson nerveux parcourut tout son corps.



Je n’écoutai plus trop ses délires. Il fallait que je l’amène au plaisir avant qu’elle ne se casse sa belle gueule d’aristocrate; avant que la Comtesse alertée par le bruit ne se pointe – heureusement, elle n’avait sans doute pas branché son sonotone ; et surtout avant que je ne me vide dans mon futal.

Je continuais de sucer avec application son bourgeon, à l’occasion le mordillais. À chaque mordillement, frissonnement de la dame de plus en plus prononcé jusqu’à devenir secousse. Peur de la voir tomber ! Pour assurer ma prise, je cramponnai ses fesses; dans ce geste mes index appuyèrent contre son anus. Que n’avais-je fait ! Les secousses grimpèrent de plusieurs degrés sur l’échelle de son cul.



De telles invites ne pouvaient être ignorées ! J’appuyais de mes deux index joints contre cette porte de service qui s’ouvrit sans aucune difficulté. Mes doigts s’y enfoncèrent comme dans du camembert bien fait.



Ce n’était pas si difficile ! Je la ramonais avec force tout en continuant de malaxer ses petites fesses, de sucer/mordiller/lécher son clito. À chaque coup de piston, mon menton s’insérait un peu plus entre ses grandes lèvres démesurément ouvertes, fourbissant l’entrée du vagin. Son souffle s’accélérait. Ses propos n’étaient plus que mots sans suite remplis de tttttttttttt. Son cul s’empalait de plus en plus férocement sur mes doigts. Dans la tourmente j’avais perdu son clito. Mon visage n’était plus qu’un frottoir dévolu à son plaisir. J’étais barbouillé de ses sécrétions.

Soudain, au faîte de son accélération, elle se cabra, pressa puissamment, violemment sa vulve contre mon menton comme si elle voulait qu’il la baise. Elle resta quelques secondes totalement immobile, embrochée sur mes doigts, encastrée dans mon menton. Un silence libératoire remplaça sa logorrhée incohérente. Son corps se décontracta. Sans autre forme de procès, avec une agilité de gymnase, accompagnée par mes mains serviables, elle se laissa glisser jusqu’au sol. Alors que je la tenais encore embrassé, un rien présomptueux je lâchai :



Oup’s ! J’avais dû dire un truc qui fallait pas ! Elle me repoussa brutalement, s’écarta. D’une voix froide, elle me tança :



Devant mon air piteux et ahuri, elle poursuivit :



Ma propriété ! Ma propriété ! Cette femme qui était devant moi, c’était Marie Angélique de Burnecreuse, Baronne de Saint Vit, Comtesse de La Chaux de Main ! Je venais de faire prendre son pied à m’dame la Comtesse ! Non, c’est pas possible, ce devait être sa fille ! Elle était beaucoup moins jeune que je l’avais pensé, même nettement moins. Ces propos délirants me l’avaient fait comprendre. Mais j’avais devant moi une grande femme, mince, cheveux bruns coupés à la garçonne, pas de seins visibles, pas de hanches – mais ça, je l’avais déjà vu ! Cinquante, cinquante-cinq maximum ! Pas une douairière de quatre-vingts piges !

Devant mon air constipé, consterné, elle éclata de rire :



Nouvel éclat de rire.



Je me sentais complètement stupide ! Avec mes remarques à la con, j’avais tout foutu en l’air ! Adieu le boulot tranquille ! Et surtout, j’allais pouvoir aller me palucher. M’étonnerait que M’dame la Comtesse ait envie de côtoyer un tel idiot !



Grand soupir intérieur ! Malgré ses grands airs, elle me plaisait bien Marie Angélique. Il fallait que je montre à la hauteur pour qu’elle m’engage. J’espérais bien qu’au travail s’ajouteraient quelques autres plaisirs… Je la suivis.