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Temps de lecture estimé : 18 mn
29/03/06
Résumé:  Ce récit est la suite de : "Les surprise de Nadette" et de : "Nadette a des idées". Nos nouveaux amis de Pithiviers arrivent à Paris, pour une visite
Critères:  2couples couplus voir photofilm lingerie fgode fdanus fsodo
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Nadette m'étonne

Chapitre 04
Le samedi


Dans les starting-blocks



Valérie et Renaud doivent arriver samedi en fin de matinée. Ils déjeuneront à la maison, avant de profiter de leur passage à Paris pour faire quelques courses l’après-midi. Le vendredi soir nous conduisons notre fiston chez sa grand-mère pour toute la fin de semaine. Ce jour là je suis sorti un peu plus tôt du travail pour aller faire une course rue La Fayette, dans une petite maison bleue, sise au fond d’une cour.


Samedi matin, nous ne faisons pas la grasse matinée. Ce que j’ai en tête, outre les courses de la veille, nécessite un peu de temps de préparation, moins toutefois que la réalisation du film de Nadette. Cela coûte bien moins cher également. J’ai encore des palpitations en pensant à la facture du matériel vidéo. Mais bon il faut assumer ses folies. Ce fut durant une recherche Internet, sur différentes formes d’art méso-américain, que cette idée m’était venue. J’étais tombé par hasard sur un site fort éloigné de ma recherche originale. J’avais appelé ma chérie, pour lui montrer. Elle trouva le concept intéressant. Nous allons donc passer à la réalisation.


En se levant Nadette se déshabille. Je suis un peu nerveux car c’est une première pour nous deux. Je me demande comment je vais me débrouiller. Pour elle, qui doit rester passive, c’est plus facile. Mais bon ! Je ne peux rester à hésiter et à me poser des questions métaphysiques toute la matinée. Il me faut passer à l’acte sans plus tergiverser. Je sors et prépare le matériel acheté la veille.




Pour faire un vêtement il faut être un bon … peintre



Je suis prêt à me lancer dans la réalisation de ma première peinture corporelle. Une fois le principe acquis, nous avions regardé sur Internet pour en voir un petit plus. Nous avons été étonnés du nombre de références concernant la peinture corporelle ou body painting. Nous ne pensions pas qu’il y aurait autant de sites consacrés à ce sujet, dans le domaine non anthropologique. Nous avions discuté de ce que j’allais peindre. Nous étions tombés d’accord. Je tenterais de réaliser un vêtement. En bas un bermuda façon jean avec une ceinture, en haut un maillot rayé verticalement, avec une encolure en V. Je me lance. Je débute en appliquant les trois couleurs principales : bleue pour le jean, verte et jeunes pour les rayures de sept centimètres de large. Cela n’a pas été trop compliqué. De temps en temps Nadette glousse car cela la chatouille un peu. Quand je m’attaque à ses tétons, ils se dressent. Lorsque vient le tour de l’entre jambe, ce n’est pas seulement parce que cela la chatouille que Nadette glousse. Mais nous n’avons guère le temps d’aller plus avant dans un petit moment de détente câlin, d’autant que la peinture séchant n’est pas un facteur franchement propice aux rapprochements.


Une fois le « gros œuvre achevé », je passe aux détails : la ceinture, les coutures, le col. C’est un peu plus délicat. Il faut savoir le geste précis. Mais in fine je ne m’en sorts pas si mal que ça. Voyant cela je décide de parachever mon « œuvre » en peignant un écusson sur le « maillot » au niveau du sein gauche de Nadette. Pour faire un clin d’œil à nos invités, je reproduis les armoiries de Pithiviers : D’azur à trois chardons d’or, tigés et feuillés du même ; au chef de gueules chargé d’une fleur de lis d’or. Nous sommes tous deux plutôt satisfaits du résultat final. Pour permettre à mon ouvrage de sécher, ma chérie vaque vêtue de la tenue que je lui ai faite. Lorsque je l’aperçois, j’ai vraiment l’impression qu’elle est habillée.




Ils arrivent



Avant l’arrivée de nos invités, Nadette va passer une robe, sans rien dessous pour éviter que les sous-vêtements ne gâtent mon travail du matin. Rien n’est visible de ce qu’elle porte à moins que ce ne soit ne porte pas sous sa robe. Quand ils sonnent à la porte nous sommes fin prêts. Après s’être embrassés, sauf Renaud et moi qui échangeons une fort masculine poignée de main, nous allons prendre l’apéritif au salon. Bien que nous ne nous soyons rencontré qu’une fois il y a plusieurs mois de cela, le courant repasse entre nous. Nous papotons comme des amis de longue date. Nous apprenons que les problèmes de santé de Renaud ont été plus graves que ce qu’ils nous avaient racontés précédemment. Le diagnostic des médecins du CHR d’Orléans a été réservé pendant plusieurs jours quant ses chances de s’en sortir. Aujourd’hui il est tiré d’affaire et a pu recommencer ses activités tant professionnelles que sportives.


Nous finissons de manger tôt. Après le repas, pour que tout l’après-midi ne soit occupé par les courses, Valérie et Renaud décident d’aller chacun de leur côté faire leurs courses. Comme ils ne sont pas très familiers de Paris, nous leur proposons de les accompagner. Nadette et Valérie partent vers des magasins de fringues, ouf j’y échappe. Je susurre à l’oreille de ma belle tandis que nous nous préparons :



Renaud et moi allons traîner du côté de la rue Montgallet dans les boutiques d’informatique. Il fait quelques emplettes. Je résiste à la tentation, le souvenir de la facture du matériel vidéo m’y aide puissamment. Une fois qu’il eut trouvé tout ce qu’il cherchait et même plus, Renaud me demande si je connais une boutique de lingerie pour faire un cadeau à sa femme. Pas de problème je connais, Nadette m’a déjà entraîné plusieurs fois dans ces lieux de perdition. Il y achète quelques dessous des plus coquins. Je me laisse allé moi aussi à prendre pour ma douce un petit body string qui devrait lui aller à ravir. Nous rentrons ensuite tranquillement à la maison peu avant 17 h 00, précédant de peu ces dames.




Essayage



Tandis qu’ils sont dans le salon à se raconter leurs courses. Nadette et moi allons dans la cuisine pour chercher des rafraîchissements. Elle en profite pour me dire :



Ce que fait ma chérie en un tour de main Après vérification je fais quelques raccords à l’entrecuisse, plus pour le plaisir que par réelle utilité. Cela fait, je recommande à Nadette d’attendre un peu avant de remettre sa robe. Je retourne auprès de nos amis avec les boissons. Quand Nadette nous rejoint quelques minutes plus tard, Renaud et moi offrons à nos chéries leurs cadeaux. Nadette déballe rapidement le sien et me remercie d’un doux baiser. Valérie commence d’ouvrir les siens quand ma puce renverse « malencontreusement » le fond de son verre sur sa robe. Elle se lève et lance :



Valérie poursuit donc. Nadette profite que nous soyons accaparés par l’ouverture des paquets pour revenir discrètement dans la pièce vêtue du costume de mon cru. Valérie déballe un premier soutien-gorge en dentelle, puis un deuxième un peu plus réduit et enfin un troisième qui visiblement ne doit pas cacher la pointe des seins. Apparaît ensuite une petite guêpière. Vient le tour des slips. Le premier en dentelle est assorti au soutien-gorge de même matière. Deux strings jumeaux suivent dont la quantité de tissu n’a pas du pesé sur le chiffre d’affaire du fabriquant. Un troisième string enfin, qui présente la particularité d’être fendu, je vous laisse deviner à quel niveau. Renaud propose alors à sa belle :



Cette dernière se lève sans barguigner et se déshabille, faisant durer le plaisir avant de se retrouver entièrement nue. Elle essaye en premier son ensemble en dentelle, le fait admirer sous toutes ses coutures. Elle se change pour la guêpière dont la blancheur fait ressortir sa toison brune. Elle enfile un ensemble string soutien-gorge. Vient ensuite le tour du dernier soutien-gorge, qui comme je le soupçonnais ne couvre pas les tétons et du string « aménagé ». L’effet est saisissant. J’ai immortalisé ces instants par quelques photos et de la vidéo. La certaine raideur que je ressentais depuis quelques temps en est accentuée.




Découverte.



Valérie se retourne vers Nadette :



L’attention jusque là concentrée sur la première se reporte sur la seconde que je dissimule partiellement. Valérie s’exclame alors :



Son regard se fait plus attentif. Elle se rapproche et s’exclame :



Elle passe sa main sur l’écusson qui orne la poitrine de ma chérie. Comme pour bien se convaincre qu’elle n’a pas des visions elle tâte le téton de ma chérie.



Elle joint le geste à la parole. Sa main s’égare dans la toison de Nadette qui ne bronche pas.



Je ne puis m’empêcher de répondre en la regardant avec insistance :





Au travail un jour de congé



A mon retour Valérie a quitté ses sous-vêtements qui la déshabillaient et se tient debout au milieu du salon.



Cela convient à Valérie. Je commence par dessiner le projet sur le corps de Valérie. J’applique ensuite le rouge. Ses seins aussi se dressent sous la caresse du pinceau. Je passe ensuite au beige su short. Après avoir regardé quelques temps Nadette lance :



Il acquiesce et la suit vers la cuisine.


Arrivant presque à la fin je demande à Valérie :



Sitôt demandé sitôt fait. Placé comme je le suis, je m’aperçois que l’exercice n’a pas laissé mon modèle de glace. Elle aurait même plutôt tendance à fondre. Plus par provocation que par nécessité, j’insiste avec le pinceau sur les zones sensibles, allant jusqu’à chercher entre les lèvres le petit bouton. Lorsque je me redresse en disant :



Un ange passe. Je passe à la finition sans plus de commentaires. Coutures, lacet et œillets en haut, coutures et froncé à la taille avec quelques touches plus sombres en bas. Je ne suis pas mécontent de l’effet général. Surtout pour le caraco dont « le laçage très lâche » découvre partiellement la poitrine. Valérie me demande alors :



Je veux bien et me remets au travail. Comme nos conjoints reviennent elle leur demande :



Nadette attrape Renaud par le bras :



Je l’emmène devant un miroir. Elle se déclare ravie du résultat. Nous retournons au salon et appelons les exilés. Valérie joue les mannequins vedettes pour présenter sa nouvelle tenue. Elle remporte un vif succès.



Il pelote un peu les seins de sa compagne évitant le blason pas encore tout à fait sec.



Je prends ces dames de face, de profil, de dos, seules, ensemble ou encadrant Renaud. Je laisse le Canon pour le caméscope. Elles font tour à tour, puis ensemble une prestation style défilé de mode. Elles présentent la poitrine de l’autre, se tiennent les tétons comme sur le tableau représentant Gabrielle d’Estrée et de sa sœur la duchesse de Villars. Elles frottent leurs pointes de seins les unes contres les autres, ou leurs fesses. Elles jouent ensuite à je te tiens, tu me tiens par la barbichette, avec leur barbichette du bas. Et finissent par s’effondrer sur le canapé en riant à qui mieux mieux. Je coupe la caméra et annonce :



Comme nous entamons les crudités Nadette annonce :



Valérie n’insiste pas, mais l’on sent que cela la démange.




La Soirée



Le repas achevé, je laisse Nadette finir de débarrasser, pour aller me rafraîchir, imité un peu plus tard par Renaud. Après notre retour elle dit :



Tout le monde se retrouve à la salle de bain. Ces dames rentrent ensemble sous la douche. Quand l’eau commence à couler, la peinture disparaît petit à petit. Elles se frictionnent pour accélérer le processus, seules pour commencer, mutuellement ensuite. Cela provoque de nouvelles crises de rire. Elles finissent par sortir, toujours pouffant, pour enfiler un peignoir.



Et tout le monde de retourner au salon. Cela lui va à ravir, mettant en valeur son petit cul dont la blancheur est rehaussée par le noir du tissu. Elle décide de la garder. Valérie quant à elle remet son string fendu et son mini soutien-gorge et dit :



Nadette me pousse hors de la pièce :



De son côté Valérie entraîne Renaud en disant :



Dans la chambre je me déshabille et enfile un T-shirt qui m’arrive au bas des fesses. Renaud quant à lui revient vêtu d’un string.



Renaud s’installe sur le canapé sa moitié sur les genoux. Je dois délaisser Nadette pour m’occuper du projecteur. Les images commencent à défiler, montrant comment occuper (agréablement) un après-midi d’attente à Pithiviers. Je m’agenouille derrière ma chérie, lui masse le cou, les épaules, en profitant pour faire glisser les bretelles de son body. Quand je me relève pour changer de chariot, elle a les seins découverts. La projection finie, elle se retrouve avec son body roulé jusqu’au hanche. Il faut dire qu’elle y mit du sien en prenant bien soin à ne pas s’appuyer sur le dossier. Nos hôtes ne sont pas restés inactifs. Quand je rallume le soutien-gorge de Madame, pourtant fort discret, gît sur le plancher.



Elle abandonne son body qui la gêne et vient m’aider à remplacer le projecteur diapo par le vidéo projecteur que j’ai emprunté au bureau. La lumière éteinte je vais m’asseoir sur le canapé, Nadette venant se pelotonner sur mes genoux.



Avec la télécommande je lance le film. Retentit alors la très solennelle Marche royale de Jean-Baptiste Lully. Ça fait grandiose. Après une trentaine de secondes le générique commence à défiler.




Une production Nadette et Bernard


Fouilles curieuses au bureau


Réalisation Nadette et Bernard


avec Nadette, dans le rôle d’Emmanuelle, la secrétaire


Bernard, dans le rôle du patron….




D’ailleurs tout est Nadette et Bernard : scénario, dialogues, prise de vue, montage… etc., sauf à la fin la musique avec : Jean-Baptiste Lully ; Jacques Offenbach ; Richard Wagner ; Wolfgang Amadeus Mozart ; Antonio Vivaldi ; les Frères Jacques ;Colette Renard pour quelques chansons paillardes et Les Charlots, Merci patron. Arrivent enfin les premières images. Le début est assez sage. Plus le temps passe et plus les scènes deviennent chaudes. L’érection qui m’était venue pendant la projection des diapos revient de plus belle. Ma chérie se blottit contre moi. Mes mains parcourent son corps en un doux massage : les genoux, les jambes, le ventre, les épaules, la nuque, le dos. Je frôle ensuite les attaches de ses seins et m’égare parfois dans ses poils.


A côté Renaud se montre plus direct. J’entends la respiration saccadée de Valérie et le glouglou de sa chatte visitée par des doigts inquisiteurs. Je continue de prendre mon temps. Cela n’empêche pas Nadette de s’agiter de plus en plus. Elle va au-devant de mes caresses, bombant la poitrine, écartant les cuisses. Quand enfin ma main effleure la pointe tendue de ses seins elle laisse échapper un profond soupir. Mais je n’insiste pas davantage. Mes mains hantent à nouveau des zones plus périphériques. Je laisse passer de longues minutes avant de n’atteindre ses tétons de nouveau. Je m’y attarde un peu avant de les abandonner pour me diriger avec la lenteur d’un escargot asthmatique vers sa toison. Mes doigts jouent avec ses poils, s’éloignent, reviennent, s’attardent pour repartir maintes fois avant de s’installer. Mon autre main se glisse sous son bras et saisit un sein qu’elle caresse et serre délicatement. Je sens sur ma cuisse l’écoulement de la chatte de ma chérie. Il faut dire que cela fait plus d’une heure que je la tiens sur le grill.


Du coin de l’œil j’ai vu (et entendu) Valérie prendre son pied. Elle a ensuite libéré de son étroit écrin de tissu le sexe de son chéri et s’est empalé dessus. Elle le chevauche avec conviction.


Sur l’écran le film en arrive aux dernières scènes, les plus hard. Présentement on y voit Nadette se ramoner la chatte avec un rouleau à pâtisserie et le cul avec un pilon. Bientôt ce sera la scène finale. Celle un peu acrobatique où ayant commencé par la fister, je l’encule.


Quand commence la chevauchée des Walkyries qui l’accompagne, je décide de passer à la vitesse supérieure. Je frotte, pince et étire son sein un peu plus fort. L’autre main descend du mont de Vénus, écarte les lèvres et dégage le clitoris gonflé pour le frictionner. Tout le corps de ma chérie se raidit à ce contact. J’insiste. Son ventre ondoie. Son souffle se fait plus rapide. Elle réprime un cri quand le plaisir la prend. Elle se laisse aller contre mon épaule Je ne crois qu’elle voit grand-chose de la fin du film.




Après le spectacle en boîte, le spectacle en direct



Quand le mot fin disparaît de l’écran, je dépose ma chérie, dont les jambes ont l’air un peu molles, et me lève pour éteindre le vidéo projecteur et allumer la lumière. Mon sexe tendu à me faire mal à l’air de jaillir de mon t’shirt. Je reviens m’asseoir près de ma chérie. Valérie qui est descendue de sa monture applaudit :



Elle les prend sans faire de commentaires pour les regarder de plus près. Renaud l’encourage :



Elle hésite à peine. Elle s’assoit les fesses au ras du bord du clic-clac, que je viens d’ouvrir, et écarte les cuisses. Elle est déjà bien lubrifiée. Je reprends ma caméra pour ne rien perdre de la suite des évènements. Elle dégage son petit bouton qu’elle taquine avec entrain. De temps à autre, un ou deux de ses doigts s’égarent dans sa chatte. Elle reprend le rouleau à pâtisserie et se frotte la tirelire avec. Elle l’ajuste et commence à le faire entrer. Son mari l’interrompt pour la faire mettre à quatre pattes. Il prend alors les choses en main. C’est lui qui se charge de faire entrer l’instrument bien au fond de la grotte d’amour, puis de le faire tourner et aller et venir. Il demande à Nadette de le relayer. Après une fraction de seconde d’hésitation, elle obtempère. Alors, il prend le pilon qu’il enduit d’huile d’amande douce, de même que ses mains. Il écarte les fesses de Valérie et du bout des doigts commence à lui titiller son petit trou. Après l’avoir bien assoupli, il lui présente le pilon, qu’il entreprend de lui faire avaler. Il y parvient sans trop de difficulté. Ses deux trous occupés, elle se met à se caresser son bouton avec entrain. Un orgasme la secoue. Elle s’effondre. Renaud retire amoureusement les deux instruments qui comblaient sa femme.


Je profite de la fin du spectacle, pour déposer ma caméra et attirer Nadette sur mes genoux. Je la câline, puis la fais mettre à quatre pattes à côté de sa consœur qui émerge doucement. Je m’installe derrière elle et la baise. Je me retire, mes doigts vont chercher un peu de mouille. Je replante mon pieu dans sa chatte. Mes doigts lubrifiés vont agacer son autre orifice. Le spectacle a complètement ramené à la réalité Valérie. Après s’être contentée de profiter de la scène, elle se glisse sous ma puce pour s’occuper de ses seins ballottant. Je me retire une nouvelle fois de sa chatte pour placer mon sexe un peu plus haut. Je pousse doucement. La porte étroite s’ouvre. Bientôt toute ma tige disparaît. Je commence alors un lent va-et-vient. C’est alors que de légers attouchements sur mon pieu, m’informent que Valérie ne s’occupe plus seulement de la poitrine de ma chérie. Ainsi sollicitée, elle ne résiste pas longtemps. Ma virilité est serrée comme dans un étau. Je me vide dans son cul avant d’en être expulsé.


L’heure est déjà bien avancée. Tout le monde est un peu las, aussi la décision de rejoindre Morphée est-elle adoptée. Après de rapides ablutions, chacun rejoint sa chambre. Quant à Nadette et moi point n’est besoin de nous chanter de berceuses pour que nous nous endormions.