n° 10154 | Fiche technique | 50187 caractères | 50187Temps de lecture estimé : 29 mn | 16/02/06 |
Résumé: La suite des surprises de Nadette. Un incident nous amène à reprendre contact avec Valérie et Renaud. Nous préparons leur visite. | ||||
Critères: fh couple photofilm facial fellation cunnilingu fgode fist pénétratio fdanus fsodo fouetfesse | ||||
Auteur : Bernard Nadette Envoi mini-message |
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Depuis la surprenante journée de Pithiviers, où Nadette m’avait tant étonnée, les jours, les semaines, puis les mois ont passé. Valérie et Renaud, ont renoncé à monter à Paris, ce dernier ayant eu quelques problèmes de santé. La vie a repris son cours tranquille et un peu monotone. Pour un peu on dirait presque que l’on a rêvé cette journée. Enfin quand je dis tranquille, pas toujours, comme ce vendredi soir. La semaine avait été difficile pour tous les deux. Au bureau de Nadette, l’ambiance était délétère. Une collègue lui faisait la tête sans qu’elle sache pourquoi. De plus, la chef de service devant prochainement partir, une sourde lutte opposait les personnes qui avaient l’espoir de devenir calife à la place du calife. De mon coté, à la suite d’une réinformatisation, il fallait réorganiser les services et se former au nouveau système. Conséquences, nous étions atteints de réunionnite aiguë. Des heures de discussion, parfois orageuses, pour souvent peu de résultats. Et pendant ce temps le travail « courant qui s’accumulait et surtout l’accueil du public et la rapidité avec laquelle nous répondons à ses demandes en pâtissaient. Lorsque j’avais affiché dans mon bureau un petit panneau avec la phrase : « La réunion : une alternative au travail ! Certains avaient peu apprécié. Et la maison, cerise sur le gâteau, notre fiston avait été souffrant toute la fin de semaine précédente.
Ce vendredi soir donc, l’atmosphère est donc tendue à la maison. Nadette, à qui le lourd silence à son travail pèse, veut discuter et moi qui avais été saoulé de paroles, aspire à la tranquillité. Nous ne sommes pas franchement en phase. Chacun est énervé et en veut à l’autre de ne pas répondre à son attente. Nous sommes plutôt chicane qu’harmonie. Une fois le fiston couché et les ablutions faites, Nadette attaque :
Bref c’est mal parti.
Nous continuons quelques temps sur cette mauvaise pente à nous chipoter, jusqu’à ce que Nadette, en voulant ranger je ne sais plus quel papier, laisse échapper un tiroir du secrétaire. Le contenu se répandit. Tandis que je vais récupérer des papiers qui se sont sauvés un peu plus loin, j’entends un sonore : « Merde ! ». Je demande à Nadette ce qu’il y a. Elle me montre un boîtier fracassé dans la chute, probablement par un coin du tiroir. C’est celui qui contient les cédéroms de nos aventures Pithiviéraises. Cela fait un certain temps que nous n’avons pas jeté un coup d’œil dessus, mais nous avons craint tous les deux qu’ils n’aient subit d’irréparables outrages. Précautionneusement, nous dégageons galettes argentées des débris de leur boîtier. Elles n’ont pas l’air endommagées. Je dis :
Nadette m’approuve. Nous laissons tout en plan pour aller à l’ordinateur. Je m’assois et démarre le PC, Nadette se tenant debout à mes cotés. J’insère le cédérom de Renaud et Valérie et lance la lecture. Pendant quelques secondes, rien ne se passe. Nous pensons que c’est fichu, puis les images commencent à défiler, nous replongeant dans cette folle journée. Au bout de quelques minutes, je passe ma main sous la chemise de nuit de Nadette, la glissant entre ses cuisses. Elle les écarte. Avec lenteur je progresse vers son intimité. Quand je l’atteins, je peux constater que le spectacle a sur elle autant d’effet que sur moi dont la queue s’est mise au garde à vous. Sa chatte est humide. Du bout des doigts je parcourre ses lèvres, dégageant son clitoris. De temps en temps j’introduis mon majeur un peu plus profondément. En me levant, je lui retire sa chemise de nuit. Je la prends dans mes bras, la soulève et la porte jusqu’au lit, où je la dépose les jambes pendantes.
J’enfouis ma tête entre ses jambes pour la déguster. À l’entendre cela est plutôt de son goût. Son humeur chagrine et sa tension se sont envolées. Quant à moi si je suis encore tendu, c’était uniquement en dessous de la ceinture. J’écarte de ma langue ses lèvres pour l’enfoncer dans son puits d’amour éclos ou agace son bouton l’aspirant ou le lapant. Un de mes pouces va s’égarer un peu plus bas. Avec un mouvement circulaire, il se fraye un passage, allant chercher de temps à autre un peu de mouille pour faciliter l’opération. Mon pouce après une lente progression finit par disparaître entièrement. Voyant qu’il est bien accueilli, je lui fais faire quelques aller et retour toujours avec le même mouvement rotatif. Depuis Pithiviers Nadette ne m’a pas souvent encouragée à m’occuper de son petit trou, même si maintenant cela se passe plutôt bien. Voyant que ce jour elle s’ouvre à ce genre de sollicitation, je poursuis dans cette voie.
Tout en continuant à m’activer des lèvres et de la langue, mon index et mon majeur, étroitement unis, remplacent mon pouce. Je continue ce jeu quelque temps. Je me dresse emmenant les jambes de ma chérie sur mes épaules. Je sorts mon sexe et le dirige vers sa chatte. Je la pénètre doucement. Brusquement je me retire complètement. Nadette émet un petit grognement de protestation. Je pointe ma queue un peu plus bas et la présente devant la porte étroite. Ma chérie se montre fort coopérative. Voyant mes intentions, elle écarte complaisamment ses fesses à deux mains pour me faciliter l’accès. Je m’enfonce avec bonheur, lentement pour profiter de chaque millimètre de la progression. Je la pistonne ensuite, allant de plus en plus vite et de plus en plus fort, mais sans violence. Le chemin étant ouvert, Nadette lâche ses fesses et une de ses mains ainsi libérée va titiller son bouton. Lorsqu’elle jouit, mon pieu se trouva fortement comprimé. Je me vide dans son cul. Après une nouvelle douche commune, nous finissons de ranger le tiroir et nous endormons rapidement, enlacés.
Le lendemain nous décidons d’appeler Renaud et Valérie. Cette soirée commencée sous de si mauvais auspices et si bien terminée, nous a donné envie de reprendre contact. La santé de Renaud s’est rétablie. Ils acceptent notre invitation à monter à Paris en déclarant que cela leur changerait les idées. Nadette propose qu’ils viennent dans un mois afin de s’organiser pour pouvoir faire garder le fiston. Quand elle a raccroché, je m’étonne :
Nadette accepte d’enthousiasme ma suggestion. Le soir nous sommes en possessions non pas d’une, mais de deux caméras, d’un système de télécommande et de deux petits écrans de contrôles, permettant de visualiser ce qui était filmé tout en étant devant l’objectif. C’est une folie. La facture est salée, qu’importe nous sommes motivés. Nous mettons au point un scénario. Il y a une contrainte, seuls deux personnages peuvent apparaître. Il ne brille pas par son originalité, nous manquons de temps pour faire quelque chose de plus léché. « Coacher par une amie jamais visible (sa voix sera celle de Nadette un peu déformée), une employée timide, effacée et même un peu coincée, essaye de se faire remarquer de son patron qui lui plait bien. Nous pensons à quatre étapes principales :
1) Zèle au travail de l’employée. Le patron la remarque et lui confie des tâches plus importantes.
2) Poussée par son amie, elle change de style : nouveaux vêtements moins vieillots, nouvelle coiffure… etc., afin de mettre davantage d’atouts de son côté.
3) Le patron ne reste pas insensible à ce manège. Il répond aux avances de son employée.
4) Le premier pas franchi les relations deviennent régulières et le patron dégelé entraîne son employée plus loin qu’elle ne le pensait au départ.
Le tournage aurait lieu dans trois lieux principaux :
a) Notre salle à manger et notre chambre pour l’appartement du patron.
b) La chambre d’ami pour le studio de l’employée.
c) Après hésitation, mon bureau que nous irions squatter le dimanche et le soir.
Il va falloir encore faire appel à la bonne volonté de Maman et aux services d’une baby-sitter, pour avoir le temps nécessaire à ce vaste programme. Nous pensions tourner en suivant le scénario, mais les contraintes horaires pour les scènes au bureau nous obligent à modifier nos plans. Un soir, une fois le fiston endormi, nous commençons par une scène sur le changement de style. Nous utilisons la chambre d’ami à la porte dûment fermée à clé.
L’employée que nous avons baptisée Emmanuelle, revient chez elle accompagnée de son amie, que l’on ne verra pas mais que l’on entendra. Elle est vêtue d’un strict tailleur. Elle ramène dans ce paquet de nouveaux vêtements achetés sur les conseils de son mentor. Je me sers de la caméra comme si c’était les yeux de l’amie. Elle commence par changer sa coiffure en abandonnant ses cheveux tirés en arrière, puis applique un discret maquillage. Elle déballe enfin sa nouvelle garde robe composée de jupes courtes et même mini, de chemisiers décolletés, de soutiens-gorge sexy, de string, de porte-jarretelles et de bas. Ensuite je filme les scènes d’essayages, avec quelques beaux strip-teases.
Une fois l’amie partie, Emmanuelle, vêtue d’un string et d’un mini soutien-gorge se regarde dans la glace. Elle ajuste ce dernier. Petit à petit, ce rajustement devient une caresse. Puis d’une main elle écarte son string pour se cajoler le minou. Elle va s’allonger sur le lit pour se masturber longuement. Pour finir, elle saisit une brosse à cheveux sur la table de nuit, pour se l’enfoncer dans la chatte et l’actionner jusqu’à jouir. Cette dernière phase n’était pas prévue. C’était la première fois que je vois ma chérie agir ainsi. Je lui susurre :
Vu mon état d’excitation je suis entièrement d’accord. La mise en place est un peu plus longue, les deux caméras devant être sur pied, sans apparaître l’une dans le champ de l’autre et, en plus, elles doivent être déplacées. De même que ne doit pas non plus se voir, ni les éclairages complémentaires, ni les deux écrans de contrôles. Enfin tout est prêt. Nadette en a profité pour faire un brin de toilette et s’est habillée en nouveau style du personnage : jupe courte, string, chemisier dont les boutons du haut ne connaissent pas les boutonnières et mini soutien-gorge pigeonnant. C’est une scène de la quatrième phase : la première visite du patron chez son employée qui l’a invité à prendre le thé, pour commencer. (La première « visite de l’employée par le patron, la phase trois, devant être tournés au bureau). J’ai placé une caméra au niveau du sol, de manière à prendre sous les jupes de Nadette. La seconde filmant ce qui se passe au-dessus.
Après quelques minutes où nous jouons l’entrée et l’installation à table, laissant, à partir d’un canevas préparé, libre cours à notre imagination pour les dialogues, nous passons au vif du sujet. Nadette/Emmanuelle arrive avec un plateau chargé d’un service à thé et de quelques biscuits. Elle le dépose sur la table. Debout à côté de moi, elle commence à servir. Pour cela elle se penche un peu en avant. Je glisse ma main sous sa jupe et commence à lui peloter les fesses. Imperturbable elle continue le service en parlant de chose et d’autre. J’écarte son string pour m’attaquer à son intimité, tandis que de l’autre main je prends ma tasse et commence à déguster mon thé.
Toujours debout, Nadette a, elle aussi, pris sa tasse et boit son thé comme si de rien n’était, écartant seulement un peu plus les jambes. Quand elle a fini de boire, elle s’appuie sur la table. Grâce aux moniteurs que j’avais placés devant nous, nous voyons ce que filment les deux caméras. Je trouve très excitant de voir mes doigts jouer avec la chatte de Nadette. Avec la télécommande, je mets un petit coup de zoom pour approcher la scène. Je me lève et défais mon pantalon. Je me place derrière ma chérie et la pénètre d’un seul mouvement. Je fais sauter les boutons de son chemisier et jaillir ses seins de son soutien-gorge. Après les avoir cajoler un petit peu, je les libère pour les voir tressauter à chaque coup de queue que je donne. Nadette et moi avons le regard happé par les écrans en face de nous, qui nous renvoient d’un côté mon pieu envahissant le con de ma chérie et de l’autre nos visages et ses seins qui semblent animés d’une vie propre. Cela augmente notre excitation. Nous jouissons presque ensemble. L’heure est bien avancée, nous démontons notre matériel et allons nous coucher. Nous n’avons point de problèmes d’endormissement.
Un jour en semaine, après avoir laissé notre fils aux bons soins de la baby-sitter, nous allons à mon bureau. Ce soir-là nous tournons des scènes des première et deuxième parties. Nous nous amusons beaucoup à filmer l’entreprise plus ou moins maladroite de séduction de l’employée, devant lesquels je dois rester de marbre. Ce qui est loin d’être le cas. Aussi une fois rentrés à la maison et la baby-sitter partie, je prouve à ma chérie que j’étais loin d’être resté insensible à ses charmes.
Le samedi nous avons des amis à la maison. Le dimanche, le petit-déjeuner avalé, après avoir lâchement abandonné notre fils chez sa grand-mère, nous filons rapidement à mon bureau. Nous filmons encore quelques scènes de séduction pour la deuxième partie avant de passer à la troisième.
Nadette/Emmanuelle fonce dans le couloir pour porter un message urgent et me bouscule alors que je sortis de mon bureau un gobelet à la main. Nous fûmes inondés de jus de fruit. D’un même pas nous nous rendons aux toilettes pour essayer de réparer les dégâts. Nous nous retrouvons devant le lavabo. Je retire ma chemise pour pouvoir la nettoyer. Nadette fait de même avec son chemisier, puis avec sa jupe pour n’être plus vêtue que d’un soutien-gorge caractérisé par le peu de tissu qui le compose et d’un string plus pauvre encore en la matière. Elle fait mine de trébucher. Je la rattrape. Elle se suspend à mon cou. Nos lèvres se rejoignent lentement. Et se soudent en un long baiser, durant lequel je me mets à lui peloter les fesses. J’écarte ensuite son string pour investir son sexe. Il est déjà bien mouillé. Je défais son soutien-gorge et la fais s’appuyer sur le lavabo. Avant de poursuivre, je dois m’occuper à déplacer les caméras, en mettant une sous le lavabo et l’autre perpendiculairement à nous. Debout derrière ma chérie je déboutonne mon pantalon et sorts mon sexe. Après l’avoir longuement promené le long de sa fente, je la pénètre enfin. Je ramone son conduit intime, m’efforçant à faire durer le plus longtemps possible. Nadette est très excitée, elle prend deux fois son pied avant que je ne lâche mon foutre. Je laisse tourner la caméra sous le lavabo. On voit nos liqueurs mêlées couler le long de ses cuisses. Après avoir procédé à une toilette intime, nous nous rhabillons.
Nous allons à la cuisine pour nous restaurer. Durant le repas nous discutons de ce que nous allons tourner l’après-midi. Nous établissons un canevas pour les différents dialogues. Nadette, que cela a l’air de beaucoup stimuler, propose une scène supplémentaire non prévue initialement qui me laissa songeur. Le déjeuner finit, je vais m’installer dans mon bureau. Nadette/Emmanuelle frappe à la porte un dossier sous le bras. Je la prie d’entrer. Après une petite conversation très professionnelle elle contourne mon bureau pour y étaler son dossier. Je lui flatte la croupe quand le téléphone, discrètement appelé depuis notre portable sonne. Je décroche. Nous jouons, alors, la classique scène de la secrétaire qui disparaît sous le bureau de son patron pour le pomper. J’ai quelques difficultés à poursuivre la fictive conversation téléphonique pendant que sous le bureau ma puce s’active avec ardeur. Quand elle sent que je vais venir, elle se recule légèrement pour recevoir ma semence sur les lèvres. Elle sort sa langue pour lécher tout ce qui était à portée.
Après une nouvelle séance de toilette et un changement de vêtements nous revenons dans mon bureau. Je dois y enculer "sauvagement" Nadette. Dans le film j’arrive et la prends par son petit trou d’un coup malgré ses protestations qu’elle n’a jamais fait "ça" et que cela lui fait mal, qu’elle ne veut pas. Ses protestations devant progressivement laisser la place à des gémissements de plaisir, avant qu’elle ne prenne son pied. Il n’est pas question de tourner la scène aussi abruptement. Avant de commencer le tournage, Nadette retire son slip et se penche sur le bureau posant sa tête sur ses bras. Elle se cambre au maximum faisant ainsi saillir sa croupe. Je remonte sa jupe sur ses reins, dévoilant ainsi son adorable postérieur. Pour la chauffer un peu, (mais en a-elle vraiment besoin ?) je m’agenouille derrière elle pour faire un broute minou qui fait monter son désir de quelques crans. Je me lève et fais couler un peu d’huile d’amande douce sur la pastille de ma chérie. Du bout d’un doigt je lui masse, avant de l’enfoncer en l’animant d’un mouvement rotatif. Je sens son anneau qui se détend. J’ajoute un deuxième doigt. Quand nous sentons le terrain suffisamment préparé, je l’essuie.
Tandis qu’elle remet son slip, je lance les caméras. Au début de la scène elle est seule dans mon bureau préparant des dossiers. Je rentre dans la pièce. Arrivé derrière elle, je sorts mon sexe, la plaque sur mon bureau, retrousse sa jupe et arrache son slip. La maintenant fermement je me présente devant sa porte étroite. Je m’efforce d’avoir l’air de forcer violemment un passage récalcitrant. Nadette quant à elle proteste vigoureusement comme si j’inaugurais la voie sans ménagement. Si nous n’avions convenu d’un code pour qu’elle puisse m’avertir si je lui faisais mal, je croirais qu’elle est entrain de souffrir le martyr. Petit à petit elle cesse ses véhémentes protestations pour gémir doucement, avant de laisser échapper des râles de plaisir. Toujours fiché en elle, je recule jusqu’à mon siège pour m’y asseoir. Je le fais pivoter et rouler pour bien être dans le champ des caméras. La première prend un peu de côté en plan large. La seconde, de face, est braquée sur l’enculage de ma chérie. Pour offrir la meilleure vue possible, elle écarte ses jambes pour les poser sur les accoudoirs. Afin d’empêcher qu’elles ne glissent, je passe mes mains sous ses cuisses pour les tenir et aussi pour l’aider à se soulever un peu au rythme de la pénétration. Au bout de quelques minutes de la main, elle commence de se caresser la chatte et s’astiquer le bouton, écartant ses lèvres et ouvrant son sexe. De temps à autre je sens ses doigts effleurer ma tige. Elle prend son plaisir. Je relâche ses cuisses lui permettant de se relever. Il est temps, j’avais de plus en plus de mal à me retenir. Elle se penche vers moi pour me donner un baiser.
Après une nouvelle séance d’ablution, Nadette, décidément très émoustillée par le tournage veut enchaîner tout de suite sur la séquence suivante où elle doit jouer seule. Avant de se rhabiller, elle reprend le flacon d’amande douce pour s’oindre la chatte. Nous allons ensuite dans un autre bureau sensé être le sien. Elle s’installe pour travailler. À un moment elle ouvre un tiroir pour en sortir ma photo. Après l’avoir regardée quelques instants, elle recule son siège, pose un pied sur l’assise, remonte sa jupe, écarte son string et commence de se caresser. Elle se dorlote la chatte plusieurs minutes. Sur le bureau nous avions posé un soliflore. Ce petit vase, un tube de verre au fond très épais, est haut d’environ vingt cinq centimètres pour un diamètre d’environ cinq centimètres. Nadette s’en empare. Elle insinue la base dans son minou et l’enfonce jusqu’à ce que près de la moitié de l’objet disparaisse. J’approche la caméra pour immortaliser l’intimité de ma puce vue au travers du vase. Elle le fait tourner, lui fait faire des allers et retours et de son autre main se remit à caresser son clitoris. Alors qu’elle est en pleine action je toque sur son bureau (comme si c’était sur sa porte que je le faisais). Elle rabat sa jupe en disant : « Entrez ! mais sans avoir le temps de retirer ce qui occupe son vagin. Elle reste assise les fesses au bord de son fauteuil. Nous lançons alors dans une conversation très pro. Elle se lève pour chercher un dossier. Durant tout ce temps je continue à filmer sous ses jupes, presque couché par terre. Finalement la conversation prend fin. Nadette, une fois que je sois censé être sorti, relève sa jupe et retire du doux endroit où il est niché le soliflore. Elle rajuste son string et se rend au lavabo pour nettoyer son vase avant de le remettre sur son bureau, toujours suivie par la caméra.
Quand tout est fini, ma chérie remet sur le tapis son idée du midi. Je pensai que cela n’avait été qu’une intention venue dans la conversation et oubliée presque sitôt émise. C’est mon cas, car je n’y songe plus du tout. Je suis assez dubitatif. Je biaise :
Je dois me renfrogner un peu. Elle éclate de rire
Elle ponctue sa phrase d’un baiser avant d’enchaîner :
Comme elle me sent hésitant elle ajouta :
C’est ce que je fais. Nous retournons dans mon bureau après un petit détour dans la cuisine pour se préparer un thé. Nous étalons un dossier et discutons très sérieusement de factures, commandes, et autres joyeusetés. À un moment Nadette/Emmanuelle par un geste maladroit renverse une tasse de thé sur les documents. Je prends l’air furieux et commence à l’enguirlander. Je la traite de maladroite, de calamité et autres mots doux, lui faisant aigrement remarquer que nous allons devoir demander à nos fournisseurs de nous envoyer à nouveau les documents qu’elle a rendus inutilisable, que cela va être long, que nous allons perdre beaucoup de temps alors que déjà nous en manquons… etc. etc. Elle prend l’air d’une fillette confuse, répétant d’une petite voix :
De mon air le plus sévère je dis :
Elle avance vers moi à petit pas. Je la saisis par le bras pour l’entraîner. Nous interrompons l’action pour déplacer les caméras dont l’orientation ne convient plus pour la suite de la scène. Quand ce fut fait, je la reprends par le bras et l’entraîne dans le champ des objectifs. Je m’assois sur une chaise sur laquelle ils sont braqués et la fais basculer sur mes genoux. Je trousse sa jupe, baisse son slip et commence à lui appliquer la fessée. Je ne suis toujours pas très chaud pour cette scène. Nadette l’est plus. Peut être lorsque ses fesses le seraient, le serait-elle moins ? Nous avions convenu ma chérie et moi de deux choses. D’abord d’un signal qu’elle devrait faire si elle désirait que je cesse et ensuite que cela devait faire réaliste. Et pour faire réaliste je fais vrai. Même si je n’y mets pas toute ma force, mes claques ne sont pas que sonores. Elles tombent régulièrement. Le postérieur de ma chérie commence à se colorer délicatement. Il prend une jolie couleur rosée. Puis son teint devient de plus en plus vif. Je suis, malgré mes réticences initiales, troublé. Je sens mon sexe essayer de se dresser dans mon pantalon. Le temps passe, augmentant mon émoi. Malgré tout, je trouve que cela commence à durer. Les fesses de ma puce ont maintenant pris une couleur rouge soutenue. Je juge que cela doit suffire et bien qu’elle ne m’ait pas fait le signal je m’arrête.
Je la fais se relever. Elle se met debout lentement. Comme convenu, je détache sa jupe qui tombe à ses pieds et défais mon pantalon. Ma queue peut enfin se dresser sans entraves. Elle se penche en avant pour me sucer, tournant ses fesses vers une caméra, l’autre la prenant de profil en train de me pomper. Elle ne met pas très longtemps à me faire cracher mon foutre, qui s’écrase sur son visage. Nous nous redressons tous deux et après avoir réorienté les caméras je dis :
Avec une petite voix elle me répond se frottant les fesses reniflant :
Une fois les caméras coupées, Je demande à Nadette :
Nous nous sommes regardés et avons éclaté de rire. Ma puce enchaîne :
Mais si tu trouves que cela ne fait pas assez vrai, on peut prévoir un petit supplément.
Ma chérie baisse son slip, retrousse sa jupe et regarda dans la glace son postérieur en disant :
Tandis que je range les bureaux, elle récupère et emballe les vêtements qui nous avaient servi. Comme j’ai fini avant elle je lui dis :
Une fois tout fini, nous reprenons le chemin du retour. Dans le métro, nous allons nous asseoir sur des strapontins à cause de nos paquets un peu encombrants. Mais à peine ma chérie assise, elle se relève aussi vite et se penche vers moi pour me dire :
Je m’abstiens de tout commentaire oiseux. Elle va se tenir à la barre évitant même de s’appuyer. Nous passons d’abord chez Maman pour récupérer le fiston. Cette dernière nous retient à dîner. Durant tout le repas Nadette a la bougeotte. Elle va à la cuisine pour chercher du sel, du beurre, du pain, de l’eau, du poivre, … ou pour s’occuper d’aller vérifier que rien ne brûle. Malgré cela elle expédie son repas en un temps record. Nous quittons rapidement Maman. Dans la voiture sur le chemin du retour Nadette s’installe à l’arrière. Elle trouve beaucoup de chose à me dire, aussi passe-t-elle tout le trajet à demie dressée, appuyée sur le siège avant. Avant de dormir j’étale délicatement sur les fesses endolories de ma chère et tendre une crème à base d’arnica. Tandis que j’œuvre je ne peux m’empêcher de dire :
Nadette daigne sourire. J’ajoute :
Malgré les émotions de la journée, Nadette s’endort rapidement… sur le ventre.
Le lendemain soir, Nadette me dit qu’elle a passé une journée un peu délicate, car la position assise n’est pas celle qu’elle préfère actuellement. D’un commun accord nous décidons de faire une petite pause dans le tournage du film. Les jours passent. Les fesses de ma chérie perdent de leur couleur et je n’ai plus l’impression que tous les sièges de la maison sont munis d’un puissant ressort les transformant en sièges éjectables. À la fin de la semaine tout est quasiment redevenu normal.
Nous profitons que notre fils était invité à l’anniversaire d’un petit camarade le dimanche après-midi pour utiliser la salle à manger sans risque de le voir surgir à un moment inopportun. Je propose gentiment à ma chérie :
Pour une raison qui m’échappe, elle refuse, sous le fallacieux prétexte qu’elle ne veut pas que je me fatigue la main.
Je ne peux rester sérieux plus longtemps. J’ajoute en riant :
Cette fois-ci c’était le patron qui invite Emmanuelle chez lui. Après le coup de sonnette, j’ouvre la porte, accueille mon invité, la débarrasse de son manteau et la fait entrer au salon. Nous prenons l’apéritif en discutant. Comme nous passons à table je dis avant de partir pour la cuisine :
Nadette/Emmanuelle hésite un moment. Elle se lève et retire sa robe. Après une nouvelle hésitation, elle ôte également son slip et son soutien-gorge et se rassoit. C’est donc en tenue d’Eve que je la retrouve en revenant avec les hors-d’œuvre. En la voyant, je prends l’air surpris. De la manière la plus naturelle elle me dit :
Ayant finit de manger depuis peu, nous n’avons guère envie de remettre ça. Aussi avons-nous abrégé cette partie du tournage, nous contentant de quelques dialogues que la tenue de Nadette rend très décalés et de quelques mains baladeuses pendant le service. Le repas fini, Nadette propose de m’aider à desservir. Je la suis durant cette activité. Tandis qu’elle se penche pour mettre la vaisselle dans la machine, je m’agenouille derrière elle pour mieux profiter du paysage. Nous passons ensuite au salon au salon avec nos fidèles caméras. Je m’installe à côté d’elle sur le canapé. Alors que nous nous embrassons à pleine bouche et que je la caresse, elle entreprend de me déshabiller. Rapidement je me retrouve dans la même tenue qu’elle, version Adam. Je m’agenouille devant elle et commence à lui lécher la chatte. Quand Nadette dit : « Voilà le deuxième dessert. Cela me donne une idée. Après tout moi aussi j’ai bien le droit d’en avoir, même si c’en était une inspirée par un film X. Je me lève et lui demande de patienter quelques secondes. Je me précipite vers la cuisine. J’ouvre le réfrigérateur et m’empare de la bombe de crème Chantilly. De retour au salon j’annonce fièrement en montrant l’engin :
Nadette ne manifeste aucune réticence à ma proposition. Elle va simplement chercher une serviette sur la table, qu’elle étale sur le canapé avant de s’installer dessus. Elle écarte alors largement les cuisses. J’enfonce l’embout entre ses lèvres et appuis sur le bouton. Nadette glousse un peu en disant :
Quand la crème déborde, je recule légèrement la bombe pour décorer son entrejambe. Je déguste alors ma chérie. Commençant par la périphérie, je me rapproche du centre de sa féminité. Tout l’extérieur léché, j’introduis ma langue dans sa chatte pour continuer mon dessert. Son bassin ondule de plus en plus vite. Je sens à ses contractions et au râle qu’elle laisse échapper qu’elle vient de prendre son pied. Je n’en continue pas moins à œuvrer de la langue et des lèvres. Je m’interromps pour la « recharger » en chantilly et plante ma queue dans son puits d’amour. Cela fait déborder la crème. Je la ramone un peu avant de sortir mon sexe maculé de son jus et de chantilly en disant :
Ma puce ne fait pas prier. Après s’être repositionnés par rapport aux caméras, elle commence de me lécher. Ma queue bien nette, elle se met à me pomper jusqu’à ce que je lâche mon foutre. Nous sommes un peu poisseux. Après un passage par la salle de bain, nous tournons la scène du départ de la secrétaire, très formelle en contraste avec ce qui s’était passé précédemment. L’heure avançant nous rangeons notre matériel et allons récupérer notre fiston chez son copain.
Le soir, après les coucher de notre fils, nous reprenons le tournage dans notre chambre (la chambre du patron).Ce doit être la dernière séquence de notre film. Nous voulons qu’il finisse en beauté. Je vous ferais grâce des interruptions dans l’action dues au placement des caméras et aux moments où j’en prends une en main quand je n’interviens plus directement. Nous entrons dans la chambre. Après avoir fermé la porte nous nous déshabillons mutuellement, nous interrompant de temps à autre pour s’embrasser. Je culbute Nadette sur le lit et lui bouffe la chatte. Cette dernière est déjà baveuse avant que je m’y attaque. De temps en temps, je m’égare sur son autre trou. Je me redresse et essayant de prendre un air sadique je dis :
Sans barguigner, elle porte les mains à son sexe et se caresse, frottant son mont de Vénus avec sa paume et son clitoris avec ses doigts. Je la laisse opérer un petit peu avant de proposer :
Dans un râle elle répond :
Je vais chercher un peu plus loin, hors champ, les instruments que nous avions préparés : un pilon de mortier et un rouleau à pâtisserie. Ce dernier est long de quarante centimètres pour un diamètre de six. Le pilon en bois également a un diamètre de cinq centimètres du côté arrondi pour une longueur d’une trentaine de centimètres avec le manche. Elle s’empare du pilon et le fait rentrer dans sa chatte. Elle se pilonne le vagin, ce qui avec un pilon est normal après tout. Je la laisse se besogner tout son saoul, avant d’interrompre son exercice pour remplacer le pilon par ma trique et la pilonne, moi aussi, jusqu’à ce qu’elle prenne son pied. Je me retire pour m’occuper de sa pastille. Un peu avec la langue pour commencer, avec un doigt ensuite, puis deux et enfin avec ma bite bien raide. Je m’allonge ensuite sur le lit. Elle vient s’agenouiller au-dessus de moi et s’empale sur ma queue m’accueillant au fond de son cul. Elle se met à se bichonner la moule, récupère le pilon pour le replonger dans le nid qui l’a déjà accueilli tout à l’heure. De temps en temps mon sexe le sentait lorsque nous étions tous les deux enfoncés au plus profond d’elle. Je lui fais, au bout d’une dizaine de minutes, cesser sa chevauchée en me dégageant.
Ma chérie s’allonge à son tour sur le dos. Je retire le pilon de son con pour se le mettre dans son anus dilaté. Je lui tends alors le rouleau à pâtisserie préalablement oint d’huile d’amande douce, même si cela n’était visiblement pas indispensable. Elle s’en empare. Je me penche vers son sexe pour en écarter les lèvres, entre lesquelles elle insère le rouleau qu’elle tient fermement à deux mains. Elle le fait doucement rentrer. Je m’empare du pilon planté dans son cul pour le manipuler un peu. Je suis hypnotisé par le spectacle de la progression de ce morceau de bois se frayant un chemin dans l’intimité de Nadette. Après un moment de pause, elle commence à lui faire exécuter un lent va-et-vient. Je la laisse ainsi œuvrer presque un quart d’heure.
Je lui retire alors son « jouet ». Je peux m’occuper de son con ainsi libéré, tout en continuant à bouger le pilon de temps à autre. Après lui avoir titillé le clitoris de la langue, je la caresse. J’introduis mon majeur pour lui câliner l’intérieur du vagin. Puis j’y adjoins mon index et ensuite mon annulaire. Je la pistonne ainsi quelques temps. Nadette s’ouvre le plus possible, tenant ses jambes écartées avec ses mains. Mon auriculaire rejoignit ses grands frères. Je fiche alors ma main en elle, jusqu’à ce que mon pouce l’empêche d’aller plus loin. Je la ramone tout en cajolant son bouton érigé avec mon pouce. De temps à autre de l’autre main je reprends le contrôle du pilon pour le faire se mouvoir et empêcher qu’il ne se s’échappe de son abri. Ma chérie halète. Ma main est inondée. Je profite de l’avoir presque entièrement sortie pour coller mon pouce à ma paume. Mes cinq doigts réunis se fraient un chemin dans l’intimité gluante de ma douce moitié. Elle a un petit sursaut quand ma paume la pénètre. Je suis toujours aussi fasciné par le spectacle de ma main disparaissant, comme mangé par sa féminité. Une fois entièrement avalée, jusqu’au poignet, je la fais lentement pivoter, aller, venir.
Pour finir nous voulons tenter un dernier « coup ». Tout en laissant ma main fichée en elle, je m’allonge tête-bêche à ses cotés. Ma chérie se soulève pour venir doucement sur moi. Au passage je retire le pilon qui occupait toujours son cul. Puis toujours précautionneusement, évitant tout mouvement brusque, elle vient s’empaler sur ma queue que je tiens pointée vers le ciel. L’opération n’est pas évidente, d’autant qu’il nous faut quelques ajustements pour rester dans le champ des caméras et quelques contorsions pour en approcher une pour des plus gros plans. Heureusement que la pratique du stretching a permis à Nadette de rester souple. Une fois bien, installés, les mouvements que j’imprimai à mon bassin me permettent d’aller et venir entre ses reins. Chaque coup de queue dans son cul la fait tressauter, donnant par la même occasion un léger mouvement à ma main dans sa chatte. Je tiens le rythme une dizaine de minutes avant de lâcher mon foutre dans ses intestins. Je retire ma main. Ma puce se laisse aller sur le coté, complètement vidée, au propre comme au figuré. Nous nous levons les jambes un peu molles pour rejoindre la salle de bain. Nous remballons le matériel et nous couchons. Il n’a point été nécessaire de nous chanter une berceuse. Nous sombrons rapidement dans le sommeil, tendrement enlacés.
La partie tournage est finie. Nous passons au montage. Ce n’est pas une mince affaire. Il y a de nombreuses nuits courtes. Tout est terminé seulement trois jours avant la venue de Valérie et Renaud. Nous faisons, alors, une projection rien que pour nous. Une fois la séance achevée, il est inutile de dire qu’une fois au lit, nous nous ne sommes pas endormis tout de suite. Il faut dire que depuis la fin des prises de vue, nos rapports avaient été inexistants. D’abord parce qu’après ces exercices intenses, la libido de Nadette baisse nettement, ensuite parce que cela a été la période de ses règles et enfin car nous étions pris par l’achèvement du film.
Une transmutation qui n’est pas celle du plomb en or (mais à mon avis ça la vaut).
Quand je pense à l’évolution de ma chérie depuis que je la connais, je suis sidéré. Lors de la soirée scrabble, qui marqua le début de notre relation, Nadette s’était montrée physique. Après ces débuts en fanfare, elle se révéla, ensuite, plutôt réservée. Si elle aimait bien faire l’amour et y prenait visiblement du plaisir, elle se montrait souvent un peu coincée. Elle m’a dit depuis qu’elle se sentait à l’époque pas toujours à l’aise avec ce qui concernait le sexe. Son éducation religieuse un peu trop stricte la faisait se sentir fautive. À présent, tout en ayant rien perdu de sa foi, nous sommes toujours impliqués dans la vie de notre paroisse, elle dissocie parfaitement, cette dernière de notre intimité. Elle rend à Dieu ce qui est à Dieu et à notre vie de couple ce qui lui revient, même si ce n’est pas toujours très catholique, ni même orthodoxe. Il fallut attendre plusieurs années et l’épisode du château pour qu’elle se lâche à nouveau. C’est après cette aventure que son attitude changea. Elle se montra plus entreprenante, demanda à voir son premier film porno. Elle s’essaya à la sodomie et malgré des débuts laborieux, renouvela quand même l’expérience. L’équipée à Pithiviers a marqué un nouveau tournant, dont le film qu’elle a initié est le fruit. La Nadette d’aujourd’hui se fait enculer et fister, se caresse et se masturbe, y compris avec des instruments divers et variés dans ses deux trous, se lance dans expérience comme la fessée. En plus elle fait tout cela devant des caméras pour pourvoir le montrer à d’autres gens, même si cela se limite à deux personnes.