n° 10306 | Fiche technique | 14713 caractères | 14713 2395 Temps de lecture estimé : 9 mn |
14/04/06 |
Résumé: Un jeu de cartes coquin me permet d'assouvir mes fantasmes sur ma cousine | ||||
Critères: fh cousins exhib fellation jeu attache | ||||
Auteur : Jean-Michel |
DEBUT de la série | Série : Merci, cousine ! Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Ma cousine Christine et moi sommes très proches. Etudiants l’un et l’autre, nous nous voyons souvent et partageons nos confidences, y compris en ce qui concerne le sexe. Je la savais donc très libérée de ce point de vue là. De taille moyenne, brune aux cheveux mi-longs et légèrement frisés, elle ne possède pas un corps de mannequin mais ces formes épanouies la rendaient très désirable. Elle portait en plus à l’époque un parfum que je trouvais enivrant. En bref, vous avez compris qu’elle m’attirait beaucoup.
Un après-midi d’été, nous allâmes au cinéma ensemble et j’admirais fréquemment à la dérobée ses cuisses satinées largement mises en valeur par sa mini jupe. Je décidai de l’inviter chez moi pour prendre un rafraîchissement. Je lui servis une vodka et j’en pris une également. L’alcool aidant, nous en vînmes à parler de jeux érotiques et de soumission. Christine me confia qu’elle n’avait pas encore jamais pratiqué ce genre de rapports mais qu’ils lui semblaient de nature à lever les inhibitions des 2 partenaires. Mon verre de vodka à la main, je lui avouai à mon tour que j’aimerais bien soumettre une partenaire à mes désirs d’exhibition et de plaisirs buccaux, mais que çà restait surtout un fantasme. Elle me regarda alors sans rien dire. Inspiré par la vodka, j’osai lui proposer une strip-bataille. Elle accepta, à ma grande joie.
Nous commençâmes donc. Les premiers tours furent équilibrés et nous nous retrouvâmes tous les deux pieds nus. Le jeu allait donc devenir très intéressant. Le tour suivants, je retournai un 8 et elle un 7. Elle se leva pour retirer sa jupe mais j’intervins alors en lui disant :
Elle sourit et se rapprocha de moi ; soulevant légèrement le tee-shirt, je déboutonnai alors la jupe puis la laissai tomber à ses pieds. Je découvris alors entièrement ses belles cuisses et une petite culotte couleur chair. Je respirai également son parfum et je décidai :
Et, joignant le geste à la parole, je caressai le derrière de ses cuisses. Les lèvres entre ouvertes , elle semblait apprécier la caresse. J’eus un début d’érection qu’elle ne pouvait voir encore. Elle me dit alors :
Elle tira 1 as, et je dus m’incliner.
Je me levai et elle déboutonna mon pantalon. Le contact de ses mains m’électrisa et mon érection se renforça. Le pantalon descendit à mes pieds. Elle caressa également mes cuisses avec un plaisir évident et je vis son regard traîner sur la bosse de mon slip.
Je retournai un roi et elle aussi. Il fallait rejouer. Je proposai alors que le perdant du tour suivant enlève 2 vêtements d’un coup. Je prenais le risque de me trouver nu alors qu’il lui restait encore 3 vêtements mais j’avais mon idée derrière la tête. Elle accepta et retourna un valet. Je la battis avec une dame. Elle se leva et dit simplement :
Cela devenait très excitant ! Je passais mes mains sous son tee-shirt et commençai à le relever sur son soutien-gorge couleur chair également ; Christine le fit passer par dessus ses épaules et le retira. Je la fis se retourner et j’admirai au passage ses belles fesses encore couvertes par la culotte. Je dégrafai alors le soutif qui tomba par terre. Puis, la faisant se retourner à nouveau je découvris pour la première fois ses seins lourds. Qu’elle était belle ainsi, en petite culotte. Je respirai son parfum à plein nez et je m’assis pour pouvoir enfouir mon visage sur son ventre ; elle se laissai faire et passant mes mains dans l’élastique du slip je roulai légèrement la culotte vers le bas jusqu’à faire apparaître les premiers poils pubiens. Jamais je n’avais trouvé ma cousine aussi belle. C’était un véritable hymne au désir. Je me reculai pour mieux l’admirer ; ses seins se redressaient légèrement sous l’effet du désir que je sentais monter en elle. Je la retournai alors et roulai également l’élastique de sa culotte pour découvrir la naissance de ses fesses. Ainsi arrangé, le petit vêtement ne cachait plus que le strict minimum et elle semblait plus nue que nue. Il était temps de passer au tour suivant car une grosse érection déformait mon slip !
Je tirai un 10 et elle un valet. En riant, elle empoigna mon tee-shirt et me l’enleva aussitôt. Puis elle passa ses mains sur mon torse nu ; avec sa poitrine à portée de main, je la buvais des yeux. Elle passa alors perfidement une main sur mon slip distendu, m’arrachant un gémissement de plaisir.
Au tour suivant, nous tirâmes tous les 2 un 9. Je proposai alors que le perdant du tour suivant subisse un gage. Elle accepta. Je tirai alors un dame. Elle retourna la carte suivante qui était également une dame ! Le cœur battant, je proposai alors que le perdant soit soumis à 2 gages. Je retournai la carte suivante qui était un 8 ; elle sourit devant ce tirage défavorable et me dit :
Et elle retourna… un 7. Elle me regardait, incrédule !
Je la fis se lever. J’étais ivre de désir ; entre-temps, j’avais échafaudé 2 gages des plus excitants !
Je passai ma main sur ses cuisses douces et elle frémit. Je passai mes mains entre l’élastique du slip et la peau et je fis glisser avec une lenteur calculée la petite culotte sur ses cuisses et sur ses jambes. Réceptive à ce doux déculottage, je la voyais passer sa langue sur sa lèvre supérieure. Je découvris une fine et alléchante toison brune. Le petit vêtement devenu inutile tomba à ses pieds. Enfin elle était toute nue devant moi et je pouvais en plus tout exiger d’elle.
Je lui expliquai alors :
J’étais curieux de savoir de combien de pipes elle voudrait me gratifier ! elle regarda ses vêtements éparpillés et choisit le tee-shirt. Celui-ci lui arrivait sur les cuisses juste à la naissance de sa toison brune.
Un peu déçu mais toujours plus excité, je la suivis du regard. Elle se dirigea vers la porte d’entrée et après un rapide coup d’œil descendit les marches pieds nus. Je la regardais par la porte : le tee-shirt laissait largement deviner ses seins gonflés d’excitation. La coquine devait se sentir plus nue encore en sentant la fraîcheur du carrelage sous ses pieds. Elle se pencha par dessus la rampe, me faisant admirer au passage son joli cul. Par chance pour elle, il n’y avait personne. Elle remonta sans se presser quand, arrivée au palier, la porte voisine s’ouvrit. Elle rentra alors sans se presser mais en tirant sur la base de son tee-shirt.
D’où il était placé, le voisin eut le temps de mater ses cuisses et la naissance de ces fesses imparfaitement dissimulées.
Très excitée par son exhibition, elle revint dans le salon où elle entama une danse lascive pour retirer son tee-shirt. Vicieusement elle passa la main entre ses cuisses et commença à se caresser lentement pour m’emmener au comble du désir avant la fellation. Je finis mon verre de vodka en l’admirant … et le piège se referma alors sur moi car je sentis subitement mon plaisir monter. J’approchai vivement le verre pour ne pas tacher la moquette et éjaculai abondamment dans le reste de vodka qui blanchit rapidement.
Quel idiot ! pensai-je d’avoir raté une si bonne occasion d’être satisfait autrement. J’essayai cependant de maîtriser mon orgasme en jouissant sans toucher mon sexe. Les dernières gouttes écoulées, je posai le verre. Mon sexe était resté en érection et pour me redonner des forces je décidai de passer au deuxième gage.
Je lui expliquai alors que j’allais la caresser partout, mais qu’avant cela j’allais l’attacher pour qu’elle ne puisse avoir la tentation de se défendre. Elle n’avait pas encore joui et elle accepta. J’allais chercher un morceau de corde et lui liai gentiment les mains derrière le dos puis je la fis installer à genoux sur le canapé du salon. Une fois à ma merci, je lui annonçai alors :
Avisant une plume de faisan que j’avais trouvée un jour à la campagne, je commençai à la promener sur son corps nu, à caresser le dessous de ses seins, à en asticoter la pointe, à caresser ses cuisses en évitant sa chatte ; elle frémissais légèrement. Passant alors derrière elle, je descendis la plume dans son dos, puis bloquant brusquement ses pieds, j’en chatouillais la plante. Surprise, elle s’accroupit en riant tout en se cambrant. J’en profitais pour revenir promener la plume dans la raie de ses jolies fesses en insistant sur son petit trou ; elle commença à gémir ; j’accentuais alors le mouvement et passai la plume entre ses jambes. Elle s’agitait de plus en plus. Je posai la plume et vis à ce moment mon verre posé sur la table. Une idée très cochonne me traversa alors l’esprit :
Elle me regarda en écarquillant les yeux mais ne pouvait rien faire ainsi entravée tandis que je commençai à promener mes mains sur son corps satiné et sur sa chatte que je trouvai trempée. Sûr de ma victoire, je caressai très doucement son sexe et elle gémissait en ouvrant légèrement la bouche. Elle se mordait la lèvre inférieure pour retarder l’inévitable et le gage qui s’ensuivrait. Je m’appliquai car je savais que j’allais être satisfait par un spectacle encore plus excitant et j’insinuai mon autre main entre ses fesses. Elle s’écria :
Mais je ne l’écoutai pas et je commençai à masser simultanément son clitoris et son anus sachant qu’ainsi elle ne pourrai me dissimuler son orgasme. Au bout de 2 minutes de ce traitement, c’est ce qui arriva et je sentis les vibrations de son bassin entre mes deux mains.
Je pris le verre que j’approchai de sa bouche. Je vis Christine, consentante, entrouvrir les lèvres. Je lui inclinai alors doucement la tête en arrière pour verser l’abondant contenu du verre dans sa bouche. Pour faire durer le plaisir, je fis se rapprocher lentement le liquide blanchâtre du bord du verre puis versai une partie du jus dans sa gorge. Elle avala tout et fit « Mmm » pour me provoquer. Je versai d’un coup le reste du sperme qu’elle avala aussi goulûment. Je regardai alors le verre sur les parois duquel subsistait encore du sperme ; je passai un doigt à l’intérieur pour tout collecter puis lui tendis pour qu’elle le suce. Elle le fit d’une succion bruyante. Cette scène m’avait rendu fou d’excitation.
Je la détachai auparavant et je lui présentait mon sexe bandant. Elle me caressa doucement les couilles puis me prit en bouche et je ne résistai pas longtemps. Je m’assouvis enfin sans retenue dans la bouche de Christine en lui envoyant une abondante éjaculation qu’elle avala jusqu’à la dernière goutte.
Aucun de nous ne songeant à revenir au jeu, je voulus donner du plaisir à ma douce cousine et la faisant allonger sur le canapé, je léchais longuement son sexe trempé. Elle ondulait de plaisir et je la fis jouir à grands coups de langue. Je la pénétrais ensuite longuement. J’étais en pleine forme en me remémorant les 2 scènes précédentes et je la possédais avec force. Elle s’abandonnait totalement. Quand je me sentis prêt à jouir, j’eus alors l’idée de satisfaire un dernier fantasme :
Docilement, elle s’agenouilla en écartant les jambes et se caressa alors les seins voluptueusement. Je commençais à me branler devant sa bouche ouverte. Elle glissa alors sa main entre ses jambes et commença à se caresser. Elle passait doucement sa langue sur ses lèvres d’un air vicieux pour m’exciter encore plus. Accentuant ma masturbation, je dirigeai mon sexe vers sa bouche et j’envoyai ce qui me restait de jus sur sa langue.
Quatre jets fusèrent, ce qui était peu en comparaison de mes précédentes éjaculations. Christine resta un moment la bouche ouverte pour que je puisse voir le sperme puis la referma et avala tout avec une délectation ostensible tout en continuant à se masturber. Elle s’écroula soudain au sol en gémissant très fort, en proie à son plus violent orgasme de la soirée.
Je lui dis simplement alors :
Ce soir-là, nous nous endormîmes ensemble.