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Temps de lecture estimé : 12 mn
07/06/06
Résumé:  Christine se soumet par plaisir et intérêt aux désirs d'un couple pervers...
Critères:  2couples fsoumise fdomine fellation fdanus attache
Auteur : Jean-Michel

Série : Merci, cousine !

Chapitre 02 / 02
Engagement oral

Après l’après-midi mémorable du récit précédent, Christine cherchait à aller plus loin dans son expérience de soumission. J’avais un peu parlé d’elle à un couple ami de la famille, Jean-Claude et Sylviane, que je savais assez libérés sur le plan sexuel et ils semblaient impatient de faire sa connaissance. Ils nous invitèrent donc, un après-midi d’été, dans leur villa de la banlieue marseillaise…


C’était l’été et je n’avais pas eu besoin d’inciter Christine à s’habiller léger. Elle portait un ravissant chemisier blanc et une mini-jupe qui mettait en valeur ses cuisses magnifiques. Pour ma part, j’avais opté pour un short et un tee-shirt. Nous sonnâmes et entrâmes dans la propriété ; je découvris alors la piscine. Christine me souffla :



Je ne suis pas sûr qu’elle me crut quand je lui assurai que je n’étais pas au courant. Elle avait d’ailleurs raison ! Jean-Claude et Sylviane sortirent pour nous accueillir. Ils avaient environ la quarantaine, lui brun aux yeux noisette, elle blonde aux cheveux courts, yeux bleus, fine et souriante. Jean-Claude portait un pantalon tandis que Sylviane était vêtue d’une robe d’été assez longue. Leur tenue tranchait avec la courte jupette de Christine ; celle-ci eut d’ailleurs un effet immédiat sur Jean-Claude que je surpris assez vite en train d’observer ses jambes à la dérobée.

Nous nous installâmes à l’intérieur car le soleil était trop chaud et nous commençâmes à discuter autour d’un café. Jean-Claude et Sylviane devaient bientôt partir en Thaïlande pour les vacances et la discussion roula assez vite sur les pays lointains et les vacances que Christine et moi ne pouvions pas nous payer pour l’instant car nous étions encore étudiants. Pendant la discussion, j’observai que l’effet produit par Christine sur Jean-Claude grandissait. Il la dévorait des yeux d’autant qu’après le digestif, la conversation avait dérivé sur les massages pratiqués dans ce beau pays… Christine s’était rendue compte de la situation et, échauffée par la liqueur de poire, s’amusait à croiser et décroiser les jambes pour accentuer son trouble. Elle avait sympathisé avec Sylviane et toutes les deux riaient comme des collégiennes. De mon côté, je m’efforçais par jeu de détourner Jean-Claude de l’objet de son désir.

Christine finit par déclarer :



Jean-Claude sauta aussitôt sur l’occasion et proposa :



Je sentais que Christine ne résistait que pour la forme et Jean-Claude, de plus en plus excité, finit par dire :



Je commençais à être moi aussi excité par la situation et j’ajoutai alors perfidement :



Elle fit durer un moment le suspense et dit enfin :



Sur ces mots, elle se leva alors de son siège et se planta au milieu du salon. La tension de l’auditoire monta d’un cran mais Sylviane applaudit et réclama :



Excité à la pensée de ce qui allait suivre, Jean-Claude et moi nous carrâmes dans nos fauteuils. Portant alors la main sur le côté de sa jupe, Christine en défit le bouton puis descendit la fermeture-éclair. La jupe chuta à ses pieds dans un bruit mou. Son chemisier lui arrivait juste en haut des cuisses pouvant laisser croire qu’elle ne portait absolument rien dessous. Faisant un pas de côté, elle s’écarta de la jupe tombée à terre. Elle continua alors son effeuillage en défaisant, un à un, lentement les boutons du chemisier ; au fur et à mesure que celui-ci s’entrouvrait, on n’apercevait pas la moindre trace de soutien-gorge. Lorsque le dernier bouton sauta, une petite culotte rouge apparut enfin.



Avec un sourire, Christine rejeta les épaules en arrière et commença à faire glisser le chemisier sur ses épaules ; ce mouvement découvrit sa poitrine aux yeux des spectateurs ravis que nous étions. Elle laissa glisser le chemisier à terre et dit :



Et pour être totalement exacte, elle s’accroupit, détacha ses chaussures puis, regroupant ses vêtements, les posa sur un fauteuil. Visiblement excitée par son strip-tease, elle se tourna en se déhanchant légèrement :



Puis se retournant face à nous :



La question était tendancieuse ! Je la trouvais délicieusement excitante presque nue devant nous. Son adorable petite culotte rouge suggérait la forme de ses fesses bombées plus qu’elle ne les cachait. Je n’étais pas le seul à apprécier car Jean-Claude la dévorait des yeux maintenant qu’il ne restait plus guère d’obstacle à la vue ! Sylviane ressentait comme nous le plaisir que Christine prenait à s’exhiber. Elle s’exprima alors :



Christine restait un peu interloquée mais Sylviane ajouta :



Prise au jeu mais encore hésitante, elle me regarda d’un air interrogatif. Le jeu commençait à m’intéresser bigrement. J’acquiesçai alors vivement de la tête et ravi de l’initiative de Sylviane, je répondis aussitôt :



Au milieu de nous tous qui étions restés habillés, c’était très excitant de voir Christine, vêtue de sa seule petite culotte, sur le point d’accepter de se livrer aux caprices sexuels de ce couple. Après encore un petit moment d’hésitation, elle prononça d’une voix assurée les mots que tout le monde attendait :



En fait, je savais qu’une fois le prétexte trouvé, Christine perdrait toutes ses inhibitions.



Il existait un crochet fixé à une des poutres du plafond. Jean-Claude, qui était aux anges, fit passer d’un mouvement précis la corde dans le crochet. Nous attachâmes les poignets de Christine puis Jean-Claude tira sur la corde pour lui lever les bras au-dessus de la tête et fixa l’autre extrémité à un meuble. Une bosse commençait à déformer son pantalon et il ne put s’empêcher de profiter de la situation pour caresser doucement les seins lourds de Christine. Christine se tendit en entrouvrant la bouche sous le plaisir que lui procurait cette caresse.

Chacun muni d’une plume, nous étions prêts à entamer ce doux supplice quand Sylviane dit :



Maintenant qu’elle avait les deux bras en l’air, retenus par les cordes, Christine ne pouvait plus rien faire pour s’opposer à l’ultime déshabillage. Sylviane passa derrière Christine et mit les mains autour de sa taille. Je regardai Jean-Claude qui fixait l’entrejambe d’un air lubrique. Christine restait sans mot dire, pour ainsi dire offerte. Sylviane commença à rouler la petite culotte sur la taille de Christine, découvrant les premiers poils pubiens. Elle marqua alors volontairement un temps d’arrêt ; c’était troublant de voir Christine se faire déculotter par une femme ! Sylviane était-elle bi ?



Elle descendit alors lentement, inexorablement et irrémédiablement la petite culotte sur ses cuisses et sur ses jambes, nous dévoilant l’intégralité de ses charmes. Christine ouvrit la bouche quand la petite culotte démasqua définitivement son entrejambe. Jean-claude avait les yeux rivés sur sa fine toison brune.



Nous commençâmes à faire virevolter chacun notre plume sur son corps offert. Je la chatouillai à la taille, Sylviane lui caressait les seins tandis que Jean-Claude lui caressait lentement l’intérieur des cuisses. Christine se trémoussait légèrement ce qui la rendait encore plus bandante. Je passai alors derrière elle et, passant légèrement la plume entre ses fesses, je déclarai :



Christine gémit mais écarta plus franchement les jambes en sortant les fesses pour prolonger la caresse. Jean-Claude en profita pour lui caresser la chatte. Après environ une minute de ce traitement, Christine demanda grâce :



Elle lui caressa doucement la taille du bout des doigts et Christine fit un « oh » muet de surprise de se voir ainsi caressée par une femme. Sylviane interrompit sa caresse et dit :



Et joignant le geste à la parole elle passa prestement sa main d’avant en arrière entre les jambes de Christine pour y faire trois lents va-et-vient. Christine poussa un cri de surprise et de plaisir. Cette scène nous avait rendus fous de désir, Jean-Claude et moi, mais Sylviane arrêta son geste.



Nous nous exécutâmes pendant qu’elle s’absentait un court instant. Nous la laissions mener le jeu pour notre plus grand plaisir. Avant de la détacher, Jean-Claude s’offrit un petit plaisir supplémentaire en caressant les fesses d’une Christine sans défense et de toutes façons totalement consentante. Elle revint avec un petit vibromasseur ainsi qu’un tube de pommade et je compris tout de suite où elle voulait en venir.



Christine obéit docilement ; Sylviane ouvrit le tube, fit couler une noix de pommade sur son index et l’introduisit dans l’anus de Christine. Elle était plus que réceptive à cette caresse car elle n’avait pas encore joui. Elle massa un moment puis sortit son doigt. Elle enduit le petit vibromasseur de pommade et commença à l’enfoncer lentement dans le cul de Christine. Celle-ci ouvrait grand la bouche en même temps que l’engin s’enfonçait.



L’engin n’était pas bien gros, ce qui permettait de l’enfoncer facilement.



Le degré d’excitation auquel l’avaient portée les caresses la rendait prête à tout accepter et elle répondit :



Fou de désir, Jean-Claude enlevait déjà pantalon, slip, etc… et j’étais moi-même très excité à l’idée de voir Christine avaler un autre sperme que le mien. Je me déshabillais entièrement également et libérais mon sexe trop longtemps comprimé. Sylviane enleva également sa robe sous laquelle elle ne portait qu’une petite culotte de dentelle bleue. Je découvris pour la première fois sa jolie petite poitrine.

Jean-Claude se plaça devant Christine tandis que Sylviane commençait à faire de légers va-et-vient avec le vibromasseur. Christine entama sa pipe et sous l’effet des caresses anales qu’elle subissait, elle se montrait de plus en plus cochonne, passant doucement sa langue autour du gland en fixant Jean-Claude avec des airs lubriques. Celui-ci n’allait pas pouvoir résister longtemps à un tel traitement. Sylviane accentuait les mouvements du vibro. Je m’étais placé à côté de Christine pour mieux profiter de la scène et l’encourageais de la voix tout en me branlant légèrement. À la fin, Jean-Claude souffla :



J’étais curieux de savoir si l’abondance de l’éjaculation qui allait suivre n’avait pas été exagérée. Je n’eus pas longtemps à attendre. Jean-Claude se raidit, Christine ouvrit la bouche et je vis un premier jet très violent s’écraser au fond de sa bouche en l’éclaboussant au passage. Elle referma sa bouche sur le sexe pour ne rien perdre tandis que Sylviane accentuait le mouvement du vibromasseur. Jean-Claude hurlait de plaisir. J’étais aux premières loges et rapidement, je vis Christine effectuer un premier exercice de déglutition, ce qui n’était pas évident avec la bouche pleine, suivi quelques instants plus tard d’un deuxième.



Sous la surprise, Christine se redressa et laissa échapper de sa bouche le sexe de Jean-Claude. En dépit de la quantité qu’il lui avait déjà enfournée, plusieurs jets vinrent encore s’écraser sur la poitrine de Christine dont la bouche était dégoulinante de sperme. Jean-Claude se finit à la main et un dernier jet vint de déposer sur les seins de ma cousine. Il alla ensuite s’écrouler sur un fauteuil.



Ce faisant, elle fit redresser complètement Christine, elle cala le vibromasseur au fond de son anus et l’alluma dans un petit « clic ». Un faible bourdonnement se fit entendre, amorti par les chairs de ma cousine. Christine ouvrit grand les yeux et la bouche et gémit. Sylviane saisit une petite cuillère à café sur la table, l’approcha de la poitrine de Christine et commença à collecter le sperme sous mes yeux ébahis. Christine, sous l’emprise des vibrations, se passait la langue sur les lèvres en gémissant de plus en plus fort. Sylviane approcha une première cuillérée de la bouche de Christine. Celle-ci ouvrit bien grand et la referma sur la cuillère en en conservant tout le contenu dans sa bouche. Elle l’avala et fit « hmmm ». Excité comme un fou, je saisis moi aussi une cuillère pour faire de même. Je collectai le sperme qui avait dégouliné sur ses cuisses quand elle s’était relevée et j’en remplis la cuillère. Jouissant par le vibromasseur, elle se pourléchait pour m’exciter et je bandais comme un fou. Je lui mis la cuillère pleine dans la bouche et elle en avala gloutonnement le contenu. Sylviane collecta une dernière cuillérée que Christine avala comme les deux précédentes.



Eblouie par tant de perversité, Sylviane dit dans un souffle :



On le devine, j’étais très impatient. Elle se dirigea vers Christine, lui retira le vibromasseur et la fit agenouiller sur la moquette. Celle-ci n’eut pas le temps d’être déçue, car elle s’empressa de demander à Jean-Claude de se placer derrière elle et de lui caresser la chatte. Puis Sylviane se plaça devant moi et dit :



Je m’exécutai avec joie et, passant mes doigts sous l’élastique de la culotte, je descendis lentement le petit vêtement le long de ses cuisses pour laisser apparaître sa petite toison blonde. La culotte tomba à ses pieds et elle fut nue. J’en profitai pour caresser ses fesses. La coquine s’agenouilla en face de Christine tout en me caressant doucement les couilles. Ce contact fit bondir mon sexe.



Je m’approchai rapidement d’elle et engouffrai mon sexe dans sa bouche. Fort du désir accumulé durant cette séance, je jouis presque aussitôt en abondance et avec délices dans sa bouche accueillante. Après de longues secondes, je me retirai, pantelant. Christine ouvrit la bouche et montra le contenu à Sylviane.



Ravi d’avoir l’occasion de faire enfin perdre son contrôle à la meneuse de ce jeu, je me plaçai derrière elle et passai doucement ma main entre ses cuisses. Je trouvais son petit abricot tout mouillé. Elle gémit aussitôt de plaisir, la bouche ouverte. Pendant ce temps, Jean-Claude en faisait autant sur Christine qui, elle, avait la bouche pleine et ne pouvait s’exprimer autant. Je fis durer le plaisir de Sylviane pour prolonger la scène le plus possible, mais la coquine s’abandonna bientôt et dit en regardant Christine dans les yeux :



J’accélérais le mouvement de mes doigts dans sa chatte, Jean-Claude faisant de même de son côté. Sylviane jouit en criant et Christine en avalant.



Cette partie étonnante nous laissa épuisés tous les quatre. Mais nous pûmes, comme promis, profiter des joies de la piscine privée pendant deux longues et folles semaines.


Merci, Cousine !